L'étiquette énergétique d'un logement a-t-elle une incidence sur le prix de celui-ci ? Les Notaires de France et l'association Dinamic actualisent leur étude sur la valeur verte avec les chiffres de 2016. Découvrez l'impact sur les montants des transactions. Une maison ou un appartement n'aura évidemment pas la même valeur selon si son étiquette énergie est "A" ou "G". Dans un cas, cette dernière indique que l'habitat est bien conçu, isolé et performant et que ses consommations seront faibles, alors que dans l'autre, le confort sera grandement dégradé et les factures, bien supérieures. Les Notaires de France viennent de mettre à jour l'étude "La valeur verte des logements en 2016" en s'appuyant sur les travaux initiaux menés par l'association Dinamic en 2014. Ils livrent un document de synthèse qui illustre les variations constatées pour des biens, similaires dans leurs caractéristiques (surface, localisation) mais différents dans leur classement énergétique.
(...)
Build Green's insight:
L'impact énergétique d'une maison est désormais mesurable : "une maison individuelle mieux classée sera vendue entre +3 % et +6 % plus cher, tandis que si ses performances sont légèrement inférieures, son prix sera diminué de -3 à -8 %, selon la région."
Le règlement sur les produits de construction (RPC), dispositif réglementaire complémentaire au marquage CE des produits de construction s’applique dans tous les États de l’Union européenne. Ce règlement, entré en vigueur en 2013, introduit un certain nombre de nouvelles dispositions dont la principale mesure réside dans la fourniture obligatoire d’une déclaration des performances (DdP) par les fabricants pour garantir à la fois la conformité des produits de construction et leurs performances. Le RPC prévoit l’insertion du numéro de référence de la déclaration des performances (DdP) dans les mentions du marquage CE et offre aux fabricants trois possibilités de mise à disposition des DdP : sous format papier, informatique (le document enregistré et envoyé par e-mail) ou mise en ligne sur un site Internet.
Une enquête de la DGCCRF réalisée en 2013 a permis de vérifier le respect de la réglementation sur l’étiquetage obligatoire du niveau d’émissions en polluants volatils des produits de construction. Trois familles de produits ont été contrôlées : les cloisons et les faux plafonds, les produits d’isolation ainsi que les portes et fenêtres. La présence de l’étiquette a été vérifiée à deux stades : à la production et à la distribution.
L'étiquette énergie, étendue aux chaudières et aux chauffe-eauReportée à plusieurs reprises, la réglementation relative aux exigences d’écoconception des chaudières et des chauffe-eau a été publiée en septembre dernier par la Commission européenne. Ainsi, dès septembre 2015, ces appareils se verront également dotés d’étiquettes énergétiques. Cette mesure permettra aux consommateurs de s’équiper efficacement tout en faisant des économies d’énergie.
La Commission européenne et les Etats membres ont décidé, le 10 octobre, de ne pas faire obligation aux fabricants d’équipements produisant de la chaleur par effet Joule de faire figurer une étiquette énergie sur leurs produits. Une mention « ne convient qu’aux espaces bien isolés ou pour des usages occasionnels » figurera sur les convecteurs électriques portables. (...)
Désormais, les produits de construction et de décoration devront porter une étiquette indiquant leurs émissions de composés organiques volatils dans l’air intérieur.
A partir du 1er septembre 2013, l’étiquetage des produit de construction, des revêtements de mur ou de sol, et des peintures et vernis est obligatoire en matière d’émissions de composés organiques volatils. L’étiquette doit clairement indiquer les niveaux d’émissions de COV par une classe allant de A+ (très faibles émissions) à C (fortes émissions). (...)
L’information sur les produits de construction connaît actuellement un important développement, notamment au regard de leurs qualités environnementales. Différents systèmes de classification existent dont les objectifs ne sont pas forcément les mêmes.
Labels, marquages, certifications, les produits de constructions portent de nombreuses appréciations dont la nature peut varier considérablement. Il existe, d’une part l’affichage obligatoire, d’autre part des affichages optionnels (par exemple certains classements performanciels) qui peuvent aussi bien relever de réglementations européennes que de réglementations nationales. (...)
Jeudi 18 avril, l’Union des fabricants de menuiseries extérieures et la Chambre syndicale des fabricants de verre plat ont lancé une étiquette énergie pour portes et fenêtres. Objectif : faciliter la comparaison des performances des produits. Les deux syndicats espèrent que leur étiquette « made in France » influencera les discussions bruxelloises en cours sur l’établissement d’une étiquette européenne.
Le gouvernement doit rendre obligatoire et bien plus lisible l’affichage environnemental, censé favoriser l’achat de produits moins polluants et qui a fait l’objet d’une expérimentation durant un an, a préconisé mardi 5 février le Centre d’analyse stratégique (CAS).
"Les Français disent vouloir contribuer à la préservation de la planète (...), mais seule une petite frange de la population met en application ces idées dans la vie de tous les jours", constate le CAS dans une note d'analyse.
Alors que la semaine du développement durable, qui se tient jusqu’au 7 avril prochain, a mis l’accent pour sa dixième édition sur l’affichage environnemental, la filière de la terre cuite a décidé d’étiqueter ses produits. Depuis le 1er janvier 2012, les produits de décoration (peintures, vernis, etc.) et les matériaux de construction (revêtements de sols, etc.) doivent présenter une étiquette sur le niveau d’émissions dans l’air ambiant de dix composés organiques volatil, de très faible (A+) à élevé (C).
La notion de Diagnostic de Performance Energétique (DPE) des bâtiments est issue de la directive européenne sur la performance énergétique des bâtiments qui vise à donner un cadre européen aux politiques nationales de réduction des consommations d’énergie des bâtiments existants et à construire, dans la perspective de la mise en œuvre du protocole de Kyoto. Les Etats-menbres doivent ainsi veiller à ce que, « lors de la construction, de la vente ou de la location d’un bâtiment, un tel diagnostic soit communiqué au propriétaire, ou par le propriétaire à l’acheteur ou au locataire potentiel. Il doit être également affiché dans les lieux accueillant du public de plus de 1000 m2. »
C’est fait : les produits de construction et de décoration sont étiquetés en fonction de leur dangerosité sur la qualité de l’air intérieur par émissions de COV.Nous passons 80% de notre temps à l’intérieur et nous savons maintenant quels produits de déco ne pas acheter pour ne pas s’empoisonner la vie. Mais dans l’air il n’y a pas que des COV, ils y a aussi des micro-organismes. Vivre sans c’est aussi possible traquez les logos et trouvez le produit qu’il vous faut.
A partir du 1er juin 2017, les produits chimiques présents sur le marché devront respecter la nouvelle réglementation européenne CLP. En quoi consiste-t-elle ? Qui est concerné ?
Réponses.
A compter du 1er juin 2017, l'ensemble des produits chimiques mis sur le marché doivent respecter le règlement européen CLP en matière de classification, d'étiquetage et d'emballage. Cela concerne donc les substances (composés chimiques purs) et les mélanges de substances.
La Commission Européenne a engagé, en missionnant un groupement de 3 consultants (VHK, IFT Rosenheim, VITO), une étude préparatoire dans le cadre de la procédure des directives Ecodesign / Energy Labelling pour les fenêtres. Et il préconise la mise en place d’un règlement d’étiquetage énergétique des fenêtres mises à disposition dans l’UE au titre de la directive Energy Labelling.
A Intersolar 2014, l'industrie solaire thermique se met en ordre demarche pour afficher l'étiquetage énergétique A+++ sur tous lessystèmes dès septembre 2015.
En septembre 2013, les règles d'écoconception et d'étiquetage énergétique des systèmes de chauffage, de production d'eau chaude, des systèmes mixtes (chauffage + ECS) et des ballons de stockage ont été publiés au Journal Officiel de l'Union Européenne.
Comment allier l’efficacité énergétique des bâtiments et qualité de l’air (QAI) en résidentiel et tertiaire ? Isolation et qualité de la ventilation indissociables.
Le Plan d’actions sur la Qualité de l’air intérieur : le 23 Octobre 2013, Le ministère de l’Écologie, du Développement durable et de l’Énergie et le ministère des Affaires sociales et de la Santé rend public un Plan d’actions sur la qualité de l’air intérieur donnant des propositions de la Conférence environnementale de septembre 2012. (...)
L’étiquette énergétique se positionne sur le marché de la rénovation pour le logement résidentiel. Afin d’obtenir des classes comparables dans toutes les zones climatiques, le bilan énergétique annuel servant à la définition des classes est choisi comme le pourcentage d’économies d’énergie induites par le remplacement de menuiseries extérieures faiblement performantes (menuiserie de référence) par les menuiseries du modèle évalué.
L’Union des Fabricants de Menuiseries Extérieures (UFME) propose aux particuliers un guide pédagogique dédié à la présentation de l’Étiquette Énergie Menuiserie "Fenêtres & Portes" et à sa lecture.
Mais qu’est ce que le COP ou EER et surtout comment ça marche ? Petit rappel.
Jusque là, les produits de climatisation et de pompe à chaleur étaient régis par un indicateur de performance nommé COP pour le chaud et EER pour le mode rafraichissement.
Pour les obtenir, on réalise des mesures à un point fixe et identique pour tout le monde : +35°C en mode froid et +7°C en mode chaud. La Puissance produite (chaud ou froid) divisée par la puissance électrique consommée permet d’ obtenir le fameux sésame COP ou EER. (...)
Je me demande toujours pourquoi on ne réadapte pas les critères au lieu d'ajouter des +++++ au A. Je ne suis pas sûr que ça aide à l'incitation pour les produits énergétiquement performants et c'est un peu trompeur pour le consommateur.
Le Ministère de l’écologie, du développement durable et de l’énergie vient de diffuser un important projet de décret réglementant l’affichage environnemental des produits destinés au bâtiment et mis sur le marché. Il s’agit de garantir que les produits étiquetés « verts » le méritent.
À l’occasion de ses 50 ans d’existence, l’ONIP, fabricant de peintures, commercialise une nouvelle gamme de produits nommée Aqua 50 et dotée de la nouvelle étiquette « Air intérieur » A+. Cet étiquetage matérialise le niveau d’émissivité en COV. Il est désormais obligatoire pour les produits de décoration et garantit le respect de la qualité d’air intérieur après application.
Peintures, parquets, cloisons, colles, vernis... Les produits de construction et de décoration sont une source importante de pollution de l'air intérieur des habitations. En effet, les polluants volatiles qu'ils contiennent se dégagent dans l'atmosphère longtemps après leur application. Pour informer le consommateur, une étiquette indique désormais, de manière simple et lisible, le risque que le produit représente pour la santé. De quoi s'agit-il ? Comment choisir un produit en fonction de sa sensibilité ? Explication.
Cette émission CONSOMAG, réalisée en partenariat avec le Ministère du Développement Durable et l'INC à l'occasion de la Semaine du Développement Durable, a été diffusée sur le réseau de France Télévisions en avril 2012C
La lutte contre la pollution de l'air intérieur s'invite de force chez les industriels. Le gouvernement vient d'inaugurer l'étiquetage des composés organiques volatils (COV) dégagés par les produits de décoration et de construction. Ces produits chimiques gazeux figurent en tête des polluants les plus problématiques dans les logements, les bureaux, salles de classe et autres. Ils sont diffusés pendant des années par les colles des bois agglomérés dans les meubles. On les retrouve dans quantité de matériaux, de peintures, etc. L'étiquette indique désormais le niveau d'émission, classé de A+ (très faibles émissions) à C (fortes émissions), ce qui permettra aux consommateurs d'en faire un facteur de décision d'achat.
En matière de qualité de l’air intérieur, les solutions Terre Cuite® seront bientôt étiquetées : suite à l’obligation d’étiquetage de certains produits de construction et de décoration, les professionnels de la filière terre cuite, et notamment les fabricants de brique de structure, ont fait le choix d’aller encore plus loin…
L’étiquetage constitue une avancée décisive dans la lutte contre les pollutions de l’air intérieur. Mais a priori, ce n’est pas encore assez pour la filière terre cuite, qui pour aller plus loin proposera :
To get content containing either thought or leadership enter:
To get content containing both thought and leadership enter:
To get content containing the expression thought leadership enter:
You can enter several keywords and you can refine them whenever you want. Our suggestion engine uses more signals but entering a few keywords here will rapidly give you great content to curate.
L'impact énergétique d'une maison est désormais mesurable : "une maison individuelle mieux classée sera vendue entre +3 % et +6 % plus cher, tandis que si ses performances sont légèrement inférieures, son prix sera diminué de -3 à -8 %, selon la région."