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Les CAUE d'Île-de-France
November 28, 2:36 AM
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Alors que le parc immobilier francilien se rénove petit à petit depuis une quinzaine d’années, grâce notamment aux dispositifs de soutien, les pet...
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Les CAUE d'Île-de-France
November 27, 4:25 AM
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Le quotidien d’information des élus locaux QUI SOMMES-NOUS ? RUBRIQUES Édition du mercredi 26 novembre 2025 Logement social Plan européen pour le logement : les bailleurs sociaux s'inquiètent d'une décision qui pourrait « affaiblir le modèle existant » L'Union sociale pour l'habitat demande le report de la révision des règles actuelles en faveur d'un projet européen de « logement abordable ». Une décision qui « fragiliserait le modèle français » et acterait « un choix de financiarisation au détriment d'une action publique ambitieuse », sans résoudre la crise du logement. Par A.W. « Le premier acte du "grand plan logement abordable" [européen] ne peut pas être la fragilisation d’un des modèles les plus avancés en matière de protection des ménages aux revenus modestes ni la fragilisation des compétences des États membres en matière de logement. » Dans un communiqué publié hier, la présidente de l’Union sociale pour l’habitat (USH), Emmanuelle Cosse, se dit « très inquiète » de « l’empressement » de la Commission européenne à vouloir instaurer un nouveau service d’intérêt économique général (SIEG) pour encadrer les aides d’État dans le secteur du logement. Une réforme voulue par cette dernière afin de « combler le déficit d'investissement dans les logements abordables ». Or si « les mesures d'aide d'État peuvent contribuer à encourager les investissements nécessaires », les règles actuelles « ne sont pas adaptées pour permettre aux États membres de relever efficacement les différents défis liés à l'accès à un logement abordable qui dépassent le cadre du logement social », expliquait en juin dernier la Commission. Coexistence de plusieurs régimes juridiques Dans le cadre de l’élaboration de son plan européen pour le logement (qui doit être présenté d’ici la fin de l’année), elle propose donc la création d’un nouveau SIEG dédié au « logement abordable », différent du SIEG « logement social » existant. Elle envisage aussi la mise en place de SIEG « mixtes », associant logements sociaux et logements abordables, avec « des configurations variables selon la proportion de chaque type de logement », comme le rappelait, au début du mois, la Fédération des Offices publics de l’habitat (OPH). Le problème est que ce nouveau cadre viserait « les 30 % de ménages les plus aisés », selon l’ancienne ministre du Logement de François Hollande qui assure que, « sous couvert d’élargissement », ces nouvelles règles « vont affaiblir le modèle social existant et la mixité sociale pour laquelle nous nous battons ». Sans compter que le périmètre d’un SIEG dédié au « logement abordable » resterait « flou » et risquerait de « déstabiliser les opérateurs existants en les cantonnant à l’accueil exclusif des publics les plus fragiles », a déjà prévenu la Fédération des OPH. « Une telle évolution compromettrait leur capacité d’investissement et alourdirait les finances publiques » et « la coexistence de deux SIEG distincts, aux frontières difficiles à définir, pourrait en outre engendrer de fortes complications financières et administratives », prédit l’organisation professionnelle alors même que les bailleurs sociaux français sont déjà sous la menace de ponctions dans le prochain budget pour 2026. Affirmant que la décision de la Commission a été « prise dans la précipitation » sans « laisser place à une véritable discussion de fond », le représentant de l’USH au sein de Housing Europe (la fédération européenne de logement social, abordable et coopératif), Marc Patay, assure que « le texte proposé ne répond pas à l’ambition affichée de résoudre à l’échelle européenne, la crise du logement ». Risque de dilution du logement social L’Union HLM dit d’ailleurs regretter cette « vision » du futur plan européen pour le logement qui « se limite à une révision du cadre des aides d’État » et vient « une nouvelle fois acter un choix de financiarisation au détriment d’une action publique ambitieuse ». Début octobre, deux organisations dédiées au mal-logement mettaient aussi en garde contre les dangers liés au « glissement du logement social vers le "logement abordable" dépendant des marchés financiers ». « Derrière cette expression séduisante se cache le risque d’exclure encore davantage les ménages les plus modestes, déjà durement frappés par l’explosion des loyers et des prix immobiliers », expliquaient ainsi la Fédération européenne des associations nationales travaillant avec les sans-abri (Feantsa) et la Fondation pour le logement des défavorisés (anciennement Fondation Abbé-Pierre), dans un rapport. « Dans les débats européens en particulier, le logement abordable est souvent envisagé comme un nouveau segment de marché à destination des classes moyennes, distinct du logement social destiné, quant à lui, aux plus défavorisés », constataient-elles, en soulignant que cette notion veut « tout dire et rien dire car elle très consensuelle et très vague ». Et celles-ci de rappeler que, « dans plusieurs pays, l'émergence de cette notion s’est accompagnée d’un glissement progressif de la politique publique du logement vers une approche financiarisée, et d’un rétrécissement de l'offre accessible aux ménages les plus vulnérables ». Le risque serait ainsi de voir « les financements publics s’orienter vers un segment intermédiaire afin de stimuler les investissements privés, au détriment des logements à bas loyers ». Résultat, logement social serait « dilué » dans le soutien aux « logements abordables » et aux classes moyennes. Dans ce contexte, l’USH estime « urgent » que la Commission « reporte sa décision » et « dote réellement les fonds structurels des moyens nécessaires à une politique de logement et de cohésion territoriale ambitieuse ». Et les bailleurs sociaux français ne seraient pas les seuls à le penser, à en croire Marc Patay. Selon le représentant de l’USH au sein de Housing Europe, il y aurait « un large ensemble d’acteurs du logement social en Europe » qui considère que « les conditions ne sont aujourd’hui pas réunies pour qu’une décision sur le SIEG Logement soit arrêtée par la Commission européenne dès le mois de décembre ». Suivez Maire info sur Twitter : @Maireinfo2 S'ABONNER GRATUITEMENT NOUS ÉCRIRE PARTAGER IMPRIMER DANS L'ÉDITION DU JOUR Petite enfance : la ministre de la Santé présente sa feuille de route aux maires Véhicules électriques : le nombre de points de charge accessibles au public a augmenté de 69 % en un an Pas de lien démontré entre l'usage des smartphones et le cancer, selon une étude de l'Anses Foncière pour la transformation immobilière : plus de 1 000 logements créés à partir de bureaux Émission « Maire info, Le Débat » consacrée au statut de l'élu Retrouver une édition Accéder au site 2025 Copyright AMF - Tous droits réservés RSS Mentions légales Régie publicitaire Contact
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Les CAUE d'Île-de-France
November 21, 3:57 AM
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Il y a cent ans naissait l’architecture moderne, un nouveau modèle centré sur la lutte contre l’insalubrité et l’exiguïté de l’habitat. Cet épisode s'intéresse à la "cuisine de Francfort", une installation où tout est à portée de main, développée en 1926 par l’architecte autrichienne Margarete Schütte-Lihotzky pour des logements sociaux.
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Les CAUE d'Île-de-France
November 21, 3:45 AM
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Dans un contexte de net ralentissement des prix et de conditions de financement difficiles au premier semestre 2024, la dépense de l’ensemble des agents économiques dans le domaine du logement progresse de 1,6 % en 2024, pour s’établir à 618,9 milliards d’euros. Cette hausse est portée par la progression en valeur des dépenses courantes (+ 4,6 %) tandis que l’investissement en logement recule de 6,6 %. L’activité immobilière, qui s’élève à 337,7 milliards d’euros, connaît une forte baisse de 10,5 %, liée à la contraction des acquisitions dans l’ancien et au recul de l’investissement en logements neufs. Les aides au logement, versements et réductions de dépenses, représentent près 43,1 milliards d’euros. Elles diminuent de 1,1 %, en raison de la baisse des prestations sociales, particulièrement liées au chèque énergie, et au recul des aides liées au dispositif « MaPrimeRénov’ ». En revanche, les avantages de taux sont en nette hausse, conséquence de la remontée des taux de marché.
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Les CAUE d'Île-de-France
November 20, 2:12 AM
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En 2023, les mesures anti-crise du logement d’Elisabeth Borne, alors cheffe du gouvernement, avaient déçu la filière. En 2024, Guillaume Kasbarian, éphémère ministre du Logement, avait lui aussi formulé des annonces.
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Les CAUE d'Île-de-France
November 17, 10:55 AM
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Anne Roué-Le Gall, enseignante-chercheure à l’École des hautes études en santé publique (EHESP), et Charlotte Sari, doctorante dans le cadre de l’AMI « Engagée pour la qualité du logement de demain (1) », partagent une conviction commune : penser l’aménagement à partir de la santé.
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Les CAUE d'Île-de-France
November 13, 6:08 AM
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[RÉUNION PUBLIQUE LE VENDREDI 14 NOVEMBRE 2025] - Venez participer à la construction d'un droit au logement au Kremlin-Bicêtre. ✅ En 2026, nous portons
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Les CAUE d'Île-de-France
November 3, 3:36 AM
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Les autorisations de logements collectifs, incluant les résidences, enregistrent une hausse de 5,3 % en septembre 2025 pour atteindre 22 194 unités. Cette progression s’explique par une très forte augmentation des logements en résidence, tandis que les logements collectifs ordinaires sont en légère baisse. Au cours des douze derniers mois, le nombre total d'autorisations de logements collectifs est inférieur de 3,8 % par rapport à la moyenne des cinq années précédentes. Ce résultat s'explique par une diminution des logements collectifs ordinaires, tandis que les logements en résidence sont en progression. Les ouvertures de chantiers de logements collectifs, y compris en résidence, diminueraient de 6,4 % en septembre par rapport à août, atteignant 15 170 unités. Cette baisse provient des logements collectifs ordinaires alors que les logements en résidence augmentent.
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Les CAUE d'Île-de-France
October 30, 4:59 AM
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L'Institut national de la statistique dévoile jeudi le niveau de croissance atteint au troisième trimestre par l'économie française, relativement résiliente malgré la forte incertitude politique et la hausse des droits d...
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Les CAUE d'Île-de-France
October 29, 4:29 AM
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Habiter chez des proches, dans des appartements insalubres ou s’entasser dans des surfaces trop petites… Alors que les parcs locatifs social et privé sont toujours plus engorgés, des centaines de milliers de personnes se logent comme elles le peuvent.
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Les CAUE d'Île-de-France
October 27, 4:42 AM
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L’aspiration à la maison individuelle des Français est bien légitime, surtout quand on est propriétaire du terrain.
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Les CAUE d'Île-de-France
October 27, 4:34 AM
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France nature environnement, la Fondation pour la nature et l'homme et la Fondation pour le logement ont présenté le 21 octobre une étude démontrant qu'il est possible de construire 70 00
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Les CAUE d'Île-de-France
October 16, 4:15 AM
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MaPrimeRénov' : recentrage des aides et baisse du budget de l'Anah de 500 millions d'euros en 2026...
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November 27, 4:26 AM
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La rénovation énergétique du parc résidentiel francilien représente un enjeu stratégique à fort impact énergétique, environnemental et social.Face aux objectifs, la réalité du terrain rév...
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November 26, 4:17 AM
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Le DPE, diagnostic institutionnel des transactions immobilières françaises, a 20 ans. Retour sur une vaste tartufferie thermique…
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November 21, 3:56 AM
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Il y a cent ans naissait l’architecture moderne, un nouveau modèle centré sur la lutte contre l’insalubrité et l’exiguïté de l’habitat. Dans cet épisode : les architectes allemands du Neues Bauen des années 1920 développent des logements lumineux et abordables pour tous. Une pièce à vivre centrale, fonctionnelle et minimaliste fait son apparition : le séjour.
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Les CAUE d'Île-de-France
November 20, 10:52 AM
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Vincent Jeanbrun, le ministre du Logement, veut un choc de simplification et rêve des JO de l'aménagement du territoire...
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November 18, 4:11 AM
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L'habitat pavillonnaire amorce-t-il une phase de déclin après des décennies de progression ?La part de logements individuels au sein de l’ensemble des ré...
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November 13, 6:10 AM
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ICF Habitat La Sablière a récemment inauguré une résidence rénovée de 99 logements collectifs, à Soisy-Sous-Montmorency, plus confortables et durables.
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Les CAUE d'Île-de-France
November 12, 7:35 AM
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Découvrez comment adapter votre installation électrique à l'électrification du logement. Conseils d'experts et recommandations sécurité.
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Les CAUE d'Île-de-France
November 3, 2:35 AM
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EN IMAGES. Un bâtiment réversible et passif a vu le jour dans la capitale bretonne. Cette conception ingénieuse permet de transformer l'immeuble tertiaire en logements. #BatiActu
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October 30, 4:58 AM
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Pourquoi une inspection minutieuse et l'entretien des toitures-terrasses garantissent leur pérennité ? Réponses dans « Qualité Construction ».
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Les CAUE d'Île-de-France
October 29, 4:28 AM
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Le bâtiment veut une politique de planification pour construire 448 000 logements neufs par an...
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Les CAUE d'Île-de-France
October 27, 4:42 AM
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Alors que l'Ile-de-France manque encore cruellement de logements, avec 1,3 million d'habitants mal logés, un collectif d'associations propose, dans un rapport,...
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October 20, 8:11 AM
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La guerre commerciale internationale, le contexte budgétaire national et les perspectives de croissance molle en France refroidissent les investisseurs institutionnels, dont les rendements financiers issus de leurs logements acquis en bloc ont été effacés en partie ou en totalité par la rapide hausse des taux d’intérêt entre mi-2022 et mi-2023. Et ce n’est pas l’instabilité politique, accentuée le 9 septembre dernier par la démission du gouvernement Bayrou, qui va changer la donne.La photographie prise fin septembre par le Groupement d’intérêt économique (GIE) Immostat et mise en ligne le 20 octobre montre qu’après un premier semestre 2025 encourageant, le marché de l’investissement résidentiel en bloc a connu un fort ralentissement au troisième trimestre (T3). En effet, seulement 561M€ ont été engagés, en baisse de 18% sur un an et de 30% par rapport à la moyenne des T3 des cinq dernières années.Des volumes divisés par deuxSur les neufs premiers mois de 2025, le volume global des investissements résidentiels en France s’est élevé à 2,5Mds€, en hausse de 4% sur un an. Les actifs résidentiels classiques et intermédiaires ont totalisé 1,4Md€ (-27%), tandis que les résidences gérées ont capté 1,1Md€ (+177 %). Cette forte croissance est essentiellement portée par les résidences étudiantes, qui totalisent près d’1Md€ depuis le début de l’année contre un peu plus de 100M€ un an plus tôt. À lire aussiGecina vend ses logements étudiants à un investisseur américainEn crise depuis la fin de l’époque des taux très bas, le marché reste donc loin de ses niveaux de 2020 et 2021. Les montants annuels engagés s’élevaient à près de 7Mds€, soit environ le double du volume annuel enregistré en 2023 et 2024. Les deux plus mauvais crus après 2018, première année étudiée par Immostat.Le GIE rassemble BNP Paribas Real Estate, CBRE, Cushman & Wakefield et JLL. Les principaux brokers français se sont entourés de trois partenaires (BPCE Solutions immobilières, Esset Valorisation et Ikory) pour analyser les dynamiques du marché résidentiel. Leur indicateur comprend les logements locatifs classiques et intermédiaires, les résidences étudiantes et séniors ainsi que les résidences de coliving et des actifs résidentiels mixtes. Les HLM et les Etablissements d’hébergement pour personnes âgées dépendantes (Ephad) sont exclus.À lire aussiEn cette quatrième année de crise, le secteur immobilier n’est pas près de rebondir
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