Myron Ebell, qui se défini sur Twitter comme « l’ennemi numéro 1 de l’alarmisme climatique », n’avait pas commencé depuis une minute quand un homme en costume portant une bannière « Resist » l’a apostrophé, l’accusant de « nier des faits scientifiques fondamentaux ». L’activiste a été escorté hors de la salle par le service de sécurité.
Via congruence-RSO