Une équipe de chercheurs de l’Université de Stanford s’est intéressée aux conséquences des plaintes à répétition, sur le fonctionnement du cerveau. D’après leurs résultats, se plaindre de façon quotidienne crée un cercle vicieux, amenant le cerveau à « emmagasiner cette routine, tendant à la reproduire de façon naturelle ». Les scientifiques expliquent que plus on est négatif, plus il est difficile de déceler les aspects positifs de la vie.
Via congruence-RSO