Au cœur de la zone Centre Val de Loire, la Laiterie Saint Denis de l’Hôtel (LSDH) joue la carte des laits de niche, dans l’univers ultra concurrentiel du lait de consommation UHT.
Via Cedric
Get Started for FREE
Sign up with Facebook Sign up with X
I don't have a Facebook or a X account
Your new post is loading...
Your new post is loading...
|
450 exploitations soit un peu plus de 800 éleveurs, sur 14 départements
250 millions de litres livrés en 2016
1/4 du chiffre d’affaires du groupe concerne l’activité laitière (lait de consommation UHT et crème liquide UHT)
329 €/1000 l de prix du lait payé tout qualité toutes primes confondues en moyenne sur 2016 (310 € de prix de base)
Un retour aux producteurs mutualisé et individualisé :
• Pour les contrats avec Monoprix et Auchan, une partie de la plus-value apportée par les contrats est mutualisée à tous les producteurs adhérents de l’APLBC. "L’idée est de ne pas défavoriser les éleveurs qui auraient aimé s’engager mais n’étaient pas dans la zone de collecte." L’autre partie de la plus-value est versée aux producteurs engagés dans le cahier des charges bien-être animal, en compensation du travail supplémentaire (6 E/1 000 l versés sur un mois).
• Pour C’est qui le patron, la marque de Nicolas Chabanne et Laurent Pasquier, c’est différent. Ce lait solidaire, bien-être animal et issu de vaches nourries sans OGM, a créé un débouché pour 48 exploitations (26 millions de litres) de la région de Bresse, qui ont alors pu rejoindre la LSDH. Les producteurs engagés dans le cahier des charges touchent 390 E/1 000 l sur les volumes vendus. Dernièrement, 33 exploitations adhérentes de l’APLBC sont entrées dans le cahier des charges. La plus-value qui leur est versée correspond à 10 % des volumes vendus, soit 12,50 E/1 000 l. Plus les ventes se développeront, plus on pourra faire un retour aux producteurs.