Actualités de l'élevage

En dix ans, le coût de récolte de l’ensilage a presque doublé, conséquence de la flambée du pétrole, du prix du matériel et de la hausse d

Éleveur de brebis à Hauville (Eure), Samuel Foubert propose aux agriculteurs de pâturer leurs cultures intermédiaires et ainsi utiliser une technique de broyage naturelle.

Sur l’Agricampus de La Roque, une parcelle d’orge a été pâturée en février par des brebis allaitantes. Si l’objectif était avant tout de réduire la pression maladies et adventices sur la céréale, le pâturage de l’orge a également permis d’économiser du stock de fourrage, élément non négligeable suite à une année de sécheresse. Il a fallu quelques heures aux animaux pour s’habituer à ce fourrage peu commun mais le pâturage a finalement été un succès. Il faut veiller à ne pas faire sur-pâturer la céréale, c’est-à-dire ne pas faire consommer l’épi pour conserver le potentiel de rendement. 

Christian Veillaux, responsable de l’équipe Herbivores de la zone Est des chambres d’agriculture de Bretagne, fait le point sur la situation des prairies et des cultures fourragères, en de déficit hydrique et de baisse des températures, alors que les stocks fourragers sont au plus bas.

Face à des aléas climatiques de plus en plus fréquents et intenses, les éleveurs français revisitent des pratiques ancestrales, innovent et diversifient leurs cultures fourragères. Découvrez notre série d'articles « cultures fourragères et changement climatique ».

Le méteil est une culture dite fourragère si elle est semée à l’automne. Il peut aussi être une culture dérobée lorsque le semis se fait e

L’été, les sécheresses semblent de plus en plus récurrentes et affectent la production de fourrage ainsi que la possibilité pour les animaux de pâturer sans recours à un affouragement au pré. Faut-il se tourner vers de nouvelles espèces issues de climats chauds et secs ? C’est ce que teste la ferme expérimentale des Bordes dans l’Indre.