 Your new post is loading...
La Nouvelle-Aquitaine est la seule Région française à avoir inscrit la filière textile dans ses priorités. Avec 5 grands marchés et savoir-faire historiquement ancrés (textile, habillement, chaussure, maroquinerie, tannerie et mégisserie), elle porte l’ambition d’être un territoire de référence en la matière.
Via ADI Nouvelle-Aquitaine
Les entreprises deeptech, fondées sur l’innovation de rupture, génèrent une importante création de valeur à la fois économique et sociétale, en permettant des progrès dans l’ensemble des secteurs clés. La Direction Générale des Entreprises vient de publier un rapport dressant un état des lieux de l’écosystème deeptech en France et des enjeux pour les années à venir.
Les collectivités territoriales s’intéressent de plus en plus aux possibilités offertes par l’intelligence artificielle et commencent à s’organiser pour travailler ensemble. Pour preuve, la montée en puissance des projets impliquant la technologie de l’IA au sein des collectivités territoriales a pris un nouveau tournant. L’idée de mutualiser les initiatives et les expertises individuelles a en effet beaucoup progressé et commence à prendre des formes plus structurées, notamment avec le déploiement d'une "Bibliothèque d'IA territoriales".
Les RÉGAL, pour Réseaux d'évitement du gaspillage alimentaire, ont pour objectif de mobiliser, à l'échelle d'un territoire, l'ensemble des acteurs de la chaîne alimentaire. Diffusion de l'information, création de savoirs collectifs, émergence de projets innovants, partage et capitalisation des bonnes pratiques professionnelles… Il s'agit d'une véritable communauté de travail qui fonctionne en intelligence collective pour répondre aux enjeux du gaspillage alimentaire. Le REGAL Nouvelle-Aquitaine a été créé en 2018.
La FNCCR et InfraNum ont présenté le 17 mars 2025 les résultats définitifs de leur étude sur cinq cas d'usage associés aux territoires connectés. L'objectif était de démontrer les bénéfices économiques et environnementaux de ces projets et d'inciter les pouvoirs publics à aider les collectivités à se lancer. Les conclusions annoncent "des investissements conséquents mais des gains massifs". Sur l'horizon 2025-2035, l'étude projette un investissement global de 1,825 milliard d'euros pour un retour économique de 3,309 milliards, soit un bénéfice net de 1,484 milliard d'euros. Le bilan environnemental est également conséquent avec une réduction de 3.300 kilotonnes de CO2 et l'économie de 811 millions de m³ d'eau.
Information des usagers à la mairie de Plaisir (Yvelines) avec un robot conversationnel utilisant l'intelligence artificielle (IA) venant prêter main-forte aux standardistes, recours à l'IA pour traiter les images de vidéosurveillance pendant les Jeux olympiques et paralympiques de Paris, optimisation de la ressource en eau en Isère en facilitant le travail des chercheurs de fuite grâce à l'identification des zones concernées ou encore lutte contre le gaspillage alimentaire à Nantes Métropole en prédisant la fréquentation des cantines, prévision du risque d'inondation à Nîmes, amélioration de la connaissance des places de stationnement en Haute-Garonne... Les exemples ne manquent pas et témoignent de la place croissante de l'intelligence artificielle dans les collectivités territoriales.
Depuis quelques années, les collectivités prennent le contrôle de leur connectivité. Cette ambition s’explique notamment par la place devenue centrale de la transformation numérique dans la gestion des collectivités et des services publics. La question de l’autonomie et de la résilience des infrastructures réseau devient par conséquent cruciale. Dans ce cadre, gagner en indépendance, notamment via la création de syndicats mixtes ouverts, permet de sécuriser les infrastructures, de lutter contre la fracture numérique et de se soustraire aux contraintes techniques ou commerciales des opérateurs.
À Saint-Jean-Pied-de-Port, le 12 mars prochain, des retours d’expérience d’entrepreneurs et d’acteurs locaux seront proposés lors de rencontres nommées « Innovez en Ruralité ». L’objectif est de mieux comprendre les stratégies entrepreneuriales de celles et ceux qui s’implantent et se développent en milieu rural.
Via ADI N-A veille
Alors que l’instabilité politique française de ces derniers mois a détourné de l’Hexagone les investisseurs étrangers – notamment américains, comme le montre Business France ce 5 mars -, les investissements de la France dans la transition énergétique font preuve de résilience. "La dynamique reste positive, avec des projets qui atteignent 23,5 milliards d’euros en 2024", selon la huitième édition du Baromètre Arthur Loyd sur l’attractivité des territoires publié le même jour.
L’intelligence artificielle (IA) s’impose comme un enjeu stratégique au niveau mondial, et Montpellier se positionne activement pour faire partie de cette révolution technologique. Une nouvelle dynamique se met en place avec la création de IA Montpellier Méditerranée, lancée en février 2025, pour fédérer les énergies locales et renforcer la compétitivité de la région. L'objectif de cette nouvelle association est de fournir un environnement sécurisé propice à la création d’IA souveraines respectueuses des libertés individuelles.
La délégation aux collectivités territoriales et à la décentralisation du Sénat a confié à quatre sénateurs une mission relative à l’ingénierie du développement économique, dont les travaux doivent s’achever fin mars 2025. Afin d’alimenter le futur rapport, une table-ronde était organisée le 20 février pour appréhender les évolutions nécessaires.
Publiés aux éditions PUCA, les actes de la rencontre acteurs-chercheurs "Redirection Urbaine, inverser le regard pour ménager le territoire" qui s’est tenue récemment à Epernay, présentent les résultats de la démarche pionnière menée par sept agglomérations pilotes dans le cadre du programme "Territoires pilotes de sobriété foncière". L’objectif était d’explorer et analyser par l’expérimentation et l’évaluation, les conditions par lesquelles une approche de l’aménagement décorrélant croissance et consommation d’espace était possible. Ces sept collectivités locales où les élus se sont engagés à innover, ont pris le risque de la bifurcation et ont fait la "preuve du concept".
Le jeudi 13 février 2025, le Sénat a mis en ligne un rapport thématique sur l’utilisation possible de l’IA par les acteurs locaux et les comportements à adopter. Il décrypte l'équation bénéfice-risque de l’IA dans les territoires, décrit des scénarios possibles pour l'avenir de l'IA dans les territoires, et propose des recommandations et propositions opérationnelles pour un déploiement réussi.
|
Après une première promotion en Charente et départements limitrophes, celle-ci va accompagner 15 entreprises du Pays-Basque, du Béarn et des Landes. Pendant 12 mois, elles bénéficieront de ce programme d’accompagnement structurant de la Région Nouvelle-Aquitaine, Bpifrance et ADI pour accompagner leur transition environnementale, énergétique et numérique.
Via ADI Nouvelle-Aquitaine
Réchauffement climatique, pollution, perte de biodiversité, gestion des ressources naturelles… L’urgence écologique place les collectivités au cœur de l’action, mais leur engagement se heurte à de nombreux défis. Pour mieux les accompagner, la Banque des Territoires dresse un état des lieux précis de la transformation écologique dans les territoires, mettant en lumière les avancées, obstacles et leviers d’action pour accélérer la transition.
Après trois ans de travaux, le collectif Entreprendre la ruralité, créé à l’initiative de la fondation Entreprendre, a publié le 19 mars son livre blanc. Dix propositions y sont détaillées pour lever les freins au développement de l’entrepreneuriat dans les territoires ruraux. L’accompagnement des porteurs de projets apparaît comme le levier essentiel de la revitalisation de ces territoires. Sélectionnées grâce à un appel à projet, Airelle et Atis, associations basées en Nouvelle-Aquitaine, ont participé aux actions restituées dans ce document.
Environ un quart des contrôles de la CNIL s’inscrit dans le cadre de thématiques prioritaires annuelles qu’elle définit. En 2025, elle se concentrera sur les données collectées via les applications mobiles, les traitements de données par l’administration pénitentiaire ainsi que la cybersécurité des collectivités territoriales. Ces dernières sont particulièrement vulnérables. La CNIL a donc décidé de contrôler les mesures qu'elles mettent en œuvre afin de protéger les données des usagers. En parallèle, elle va continuer à renforcer son action en vue de sensibiliser et d’accompagner les collectivités territoriales en matière de cybersécurité. Par cette double action, la CNIL souhaite aussi préparer l’entrée en application de la directive NIS2, en cours de transposition, qui prévoit une montée en compétences et des exigences nouvelles pour les collectivités territoriales en matière de sécurité informatique.
La Technopole de La Rochelle et Le Village by CA Charente-Maritime Deux-Sèvres organisent une journée dédiée à la levée de fonds à Créatio Tech, le 21 mars prochain à partir de 10h.
Via ADI N-A veille
Alors que le gouvernement envisage de décaler l’objectif intermédiaire « zéro artificialisation nette » de 2031 à 2034, une recherche lève le voile sur les coûts, parfois élevés, des opérations de renaturation des sols. Ces données inédites offrent aux décideurs des repères chiffrés pour planifier la transition écologique de leurs territoires.
Les investissements étrangers ont encore contribué en 2024 à la diversification du tissu industriel régional ! Le flux entrant des projets est resté très encourageant pour la Nouvelle-Aquitaine, malgré un ralentissement global des prises de décisions, dû à un contexte international incertain. Avec 93 opérations d’investissement recensées sur le territoire, la région conserve son attrait auprès des investisseurs étrangers. Cependant, le contexte économique global pèse sur les projections de création d'emplois : 1450 emplois annoncés.
Les préfets viennent de recevoir leur – rigide – cahier des charges pour l’attribution des dotations de soutien à l’investissement des collectivités et du fonds vert. Priorité est donnée plus que jamais au verdissement des aides, avec un accent mis sur l’adaptation au changement climatique et à la sobriété foncière. Le soutien aux maires bâtisseurs, "sans étalement urbain", au monde maritime et aux mobilités douces font leur entrée dans le fonds vert.
Le 19 février 2025, la Banque des Territoires soutenue par l’Union européenne, a dévoilé un nouveau projet d’outil numérique innovant : Friches+. Dans la continuité de France Foncier+, le portail national du foncier économique lancé par la Banque des Territoires et le Cerema en 2024 qui recense déjà plus de 700 opportunités foncières, Friches+ est un outil complémentaire qui sert à construire des indicateurs à forte valeur ajoutée (ex : estimation du coût de requalification, opportunité de compensation ou de renaturation de ces espaces, diagnostic des sols). Il a également pour but l’identification et la requalification des friches.
Olivier Bouba Olga et Michel Grossetti ont débattu avec le Club de prospective territoriale de France Stratégie sur la diffusion de la croissance... Il ressort de leur observation des territoires, que la dynamique ou la performance économique ne tient pas nécessairement à la taille des agglomérations, mais à la capacité que ces territoires ont à mobiliser, combiner et valoriser leurs ressources.
L’Insee a publié le 11 février dernier une analyse des espaces naturels, agricoles et forestiers consommés sur la décennie 2012-2021. En une décennie, la France (hors Mayotte) a consommé plus de 227 000 hectares d’espaces naturels, agricoles ou forestiers, soit une augmentation de 6,3 % de l’espace urbanisé. L’activité économique représente 23 % de cette consommation, derrière l’habitat (63 %).
La DGTrésor vient de présenter son rapport final sur les "Enjeux économiques de la transition vers la neutralité carbone", une analyse approfondie des conséquences économiques de la décarbonation. Ce rapport montre que la transition bas-carbone représente un défi d’ampleur surmontable et de durée modérée pour la croissance économique, dont les effets sur les finances publiques sont importants mais peuvent maîtrisés. Les coûts de la décarbonation sont très inférieurs à ceux de l’inaction climatique.
|