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June 20, 3:30 AM
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"Le Domaine de Claire-Fontaine est aussi apprécié des campeurs qui s’installent sur le terrain adjacent. La présence d’un lac a aussi permis de développer des activités liées à la baignade et aux loisirs aquatiques. Il accueille d’ailleurs l’un des plus grands aquaparks de Wallonie, cette structure gonflable installée sur l’eau remporte un vif succès depuis plusieurs années et peut également accueillir jusqu’à 2400 visiteurs sur sa vaste plage herbeuse. Durant la saison froide, dite de repos, l’équipe de gestion du site restait bien active, et d’autant plus cet hiver 2024 puisque le lac a été totalement vidé de son eau. « Nous maintenons la qualité de notre eau au top, certifiée excellente au niveau européen ! » Autre nouveauté, la reprise de l’ancienne cafétéria du lac". La suite à lire sur www.sudinfo.be
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June 16, 1:34 AM
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Une expo photo au BPS22 de Charleroi consacrée au travail d’Hervé Charles, un photographe engagé. Hervé Charles explore depuis le début des années 90 les bouleversements de notre planète à travers son objectif. Ce qui rend son travail unique, c’est ce double regard : à la fois attentif à l’état de l’environnement, et profondément réfléchi sur le rôle même de la photographie. Dès ses premières œuvres, il se fait remarquer avec une série étonnante : des photos de nuages, prises de très près, à bord d’un petit avion de tourisme. Des images en noir et blanc. Chaque image isole un détail qui, en réalité, nous parle du monde entier. Un vrai travail de composition. Avec le temps, Hervé Charles passe à la couleur, mais garde la même rigueur. Il photographie des volcans en éruption, des marées polluées, des forêts en feu, des paysages abîmés par l’homme ou les catastrophes naturelles. L’exposition actuelle ne se veut pas une rétrospective, mais elle met en dialogue ses premières séries et ses travaux les plus récents. Et ce qui frappe, c’est la cohérence de l’ensemble : un regard toujours précis, sensible, et engagé face à l’état de notre planète. À voir jusqu’au 31 août au BPS22 de Charleroi. Autre nouvelle expo à découvrir au Mons Memorial Museum qui s’intitule "L’Esprit Carcéral" et ouvrira ses portes à la mi-juillet. Elle mettra en avant quatre figures marquantes qui ont toutes connu la prison de Mons. Le poète Paul Verlaine, mais aussi Cécile Detournay, Marguerite Bervoets et Fernand Dumont. À travers leurs histoires, l’exposition explore ce que produit la prison : le silence, l’absence, mais aussi les formes de résistance. Comment on continue à exister, à s’exprimer, malgré les murs. On pourra y voir des lettres, comme celles de Verlaine, des photos, des objets brodés, des notes manuscrites…, dont un extrait du poème "La Liberté", écrit par Fernand Dumont, entre les murs mêmes de la prison de Mons. Un rendez-vous théâtral à ne pas manquer cet été : le "Festival Théâtres Nomades" revient du 14 au 17 août, en plein cœur du Bois de la Cambre à Bruxelles. C’est un événement entièrement gratuit, qui célèbre les arts vivants sous toutes leurs formes. Organisé par la compagnie "Les Nouveaux Disparus", le festival en est déjà à sa 18e édition. Et depuis 2007, il a réuni plus de 350.000 spectateurs.
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June 10, 2:00 AM
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"Beaux et tragiques à la fois. De grande dimension, les clichés d’Hervé Charles alertent sur l’état de la planète. Après des études sur les nuages et les volcans, dans les années 90, l’artiste nivellois se fait le témoin, durant les années 2000 et 2010, des bouleversements naturels à travers le monde. Il explore plus particulièrement aujourd’hui les impacts de l’extraction des ressources premières sur l’environnement immédiat.« Mes photos reflètent une forme de « solastalgie », c’est-à-dire une forme de détresse psychique ou existentielle causée par la conscience des changements environnementaux en cours », note Hervé Charles". La suite à lire sur www.surdinfo.be
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June 2, 4:21 AM
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"Ce dimanche, Centrissime organisait sa première balade gourmande à vélos. Une initiative qui a vite connu un grand succès. Au programme: quelques kilomètres à vélo mais surtout la découverte de saveurs locales. L'initiative était encouragée par la Province de Hainaut et Centrissime a alors décidé de mettre des producteurs locaux en avant. Le départ de cette première Balade gourmande pour le thème Rendez-vous en terre agricole se faisait depuis la Ferme Delsanne et proposait quatre autres stops: à l'Ascenseur n°3, à la Ferme de Besonrieux et ses fraises, au Ruchier des Loups pour se terminer aux Etangs de Strépy. Des visites et des dégustations étaient prévues pour la trentaine de participants".
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May 20, 3:25 AM
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"Il existe des artistes dont l'œuvre semble suspendue dans le temps, entre force et silence, entre densité et légèreté. Gabriel Belgeonne est de ceux-là. Cet homme discret, peintre, graveur, éditeur, fêtera ses 90 ans dans quelques jours. Depuis ce jeudi 15 mai, au Centre culturel de Gerpinnes, il expose un souffle créatif toujours vif. Lors du vernissage, Pierre-Olivier Rollin, directeur du BPS22, a mis en lumière la carrière artistique du Gerpinnois. C'est finalement dans la gravure, guidé par le maître Gustave Marchoul, qu'il trouve sa voie qu'il ne cessera d'explorer pendant 25 ans, réalisant quelque 900 œuvres. Des ateliers artistiques ont également été proposés à destination des enfants comme des adultes. Organisés en partenariat avec la Province de Hainaut, ces moments créatifs ont permis aux participants de s'approprier les notions chères à l'artiste". La suite à lire sur www.lavenir.net
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May 16, 1:31 AM
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"Ce dimanche, le CID du Grand-Hornu organise son tout premier marathon photo. Massimo Di Emidio, chargé de communication au CID, est l'invité des Infos pour en parler. Smartphone ou appareil photo numérique, les deux options sont possibles pour participer au marathon photo de ce dimanche. Sur un parcours de 9km au départ du site du Grand-Hornu, les participants devront photographier le Borinage sous son meilleur angle. Les inscriptions sont toujours possibles via le site du CID Grand-Hornu".
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May 14, 3:02 AM
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"Héritage de Mons 2015, la Guinguette littéraire, devenue en 2023 la « Bringue chez Léon », constitue chaque année un rendez-vous incontournable de l’été. Le temps de quelques week-ends, le splendide jardin de la Maison Losseau se fait l’écrin d’activités culturelles : concerts, théâtre en dialecte local, activités littéraires, rencontres avec des artistes font le bonheur des petits et des grands. « Faisait », devrait-on dire, puisque l’édition 2025 est annulée. Conséquence indirecte des restrictions budgétaires, la Province de Hainaut manque de mains pour organiser l’événement Pour autant, le Service communication de la Province de Hainaut précise que cette annulation ne marque pas la fin de la Bringue chez Léon, l’espoir de le voir battre à nouveau au rythme de la culture en 2026 est bien là". Suite à lire sur www.sudinfo.be
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May 9, 2:17 AM
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"Ce 8 mai 2025 marque le 80e anniversaire de la fin de la Seconde Guerre mondiale. À Charleroi, cette date résonne avec une intensité particulière. À travers la "Randonnée de la mémoire", la ville rend hommage à ses héros, connus ou anonymes, et rappelle l’importance de ne jamais oublier. Marcinelle, un lieu de mémoire La randonnée a démarré sur un site chargé d’histoire : le stand de tir de Marcinelle, aujourd’hui lieu de mémoire. "Le tir de Marcinelle, comme son nom l’indique, c’est un ancien stand de tir où la Garde civique et l’armée venaient s’entraîner", explique Michel Descamps, du Service Hainaut Mémoire de la Province du Hainaut. "Mais pendant les deux guerres, les Allemands ont occupé les lieux". Entre 1940 et 1944, ce site a aussi servi de lieu d’exécution pour les résistants condamnés à mort. Le lieu reste poignant. Le poteau d’exécution est toujours visible, ainsi que le cachot où les résistants passaient leurs dernières heures. "On les emmenait ici, un par un, devant le poteau". Depuis dix ans, la ville de Charleroi et la province de Hainaut tentent de raviver cette mémoire collective. "On a réinvesti les lieux, mais seulement en extérieur car le bâtiment intérieur menace de s’effondrer", précise Michel Descamps. "On a réalisé des fresques sur le thème de la résistance, installé une exposition permanente, et bientôt, un authentique wagon de déportation nazi viendra compléter le site." Ce wagon, véritable témoin des déportations politiques orchestrées par le régime nazi, accueillera une nouvelle exposition dédiée aux résistants et leaders politiques déportés pendant la guerre. "Les fondations sont prêtes, il ne manque plus que les rails et le wagon". Autre arrêt significatif : devant le numéro 34 du Boulevard Audent, où l’on peut encore lire une flèche directionnelle allemande datant de 1944. Cette trace apparente de l’Occupation renvoie à un passé lourd de sens. "Elle a été peinte en 1944 par les autorités allemandes pour indiquer la direction de Philippeville et le Namurois, c’était une rue ultra-importante pour les nazis", explique Michel Descamps. Le Boulevard Audent concentrait une grande partie de l’administration allemande pendant l’Occupation. Le siège de la Gestapo, le tribunal militaire, et l’administration allemande y avaient leurs quartiers. Aujourd’hui, l’un de ces anciens bâtiments est devenu une résidence artistique. Mais sous ses fondations modernes, des vestiges subsistent. "Il y avait des cachots, on ne sait pas exactement à quoi ça a servi, mais on sait que ça a été utilisé par les nazis". À travers cette randonnée urbaine, Charleroi révèle que les cicatrices de son passé ne se sont jamais entièrement effacées. Charleroi rend également hommage à des figures inattendues de la Résistance, comme les pigeons voyageurs. Parmi les étapes marquantes de ce chemin de mémoire, le monument aux pigeons soldats se distingue par son originalité et la force symbolique qu’il incarne. Situé à Charleroi, ce monument est l’un des trois seuls au monde avec Bruxelles et Lille à honorer ces messagers ailés de la Résistance. "Le pigeon est ni plus ni moins que l’animal qui a été le plus décoré, que ce soit pendant la Première Guerre comme lors de la Seconde". Ces oiseaux, parachutés depuis l’Angleterre, revenaient vers leur point de départ en transportant des messages de la plus haute importance. Le pigeon, c’était le moyen de communication utilisé par la Résistance pour informer des actions qu’elle menait ici sur le terrain. Si les pigeons ne furent pas les seuls outils de communication, les radios, le morse et les messages codés envoyés depuis Londres jouaient également un rôle central, ils restaient une alternative précieuse lorsque la discrétion ou la rapidité était vitale. Mais la Résistance à Charleroi ne se limitait pas aux messages. "L’importance, c’était justement tout ce qui était renseignement, sabotage de trains, de ponts, de voies ferrées", énumère Michel Descamps. Elle fut aussi armée, notamment en fin d’occupation. Ainsi, avant même l’arrivée des forces alliées les 3 et 4 septembre 1944, les résistants avaient préparé le terrain, sauvant notamment un pont stratégique sur la Sambre. "Cela permettra aux Américains d’aller le plus rapidement possible vers l’Allemagne". Le monument aux pigeons soldats se distingue par son originalité et la force symbolique qu’il incarne. La dernière étape de la "Randonnée de la mémoire" s’achève devant l’Hôtel de Ville de Charleroi, où une figure féminine emblématique de la Résistance locale refait surface : Yvonne Ledoux. Fonctionnaire sous un échevin rexiste, elle a risqué sa vie pour soutenir les persécutés. La résistance, c’était une affaire d’hommes. Les femmes étaient plutôt rares à être actives dans cette résistance. Yvonne Ledoux, elle, a pourtant joué un rôle important. Travaillant au sein même de l’administration locale pour un échevin rexiste, c’est-à-dire collaborateur avec l’Allemagne nazie, Yvonne Ledoux n’a pas hésité à utiliser sa position pour lutter contre l’occupant. Yvonne Ledoux n’a pas hésité à utiliser sa position pour lutter contre l’occupant. Son action était double : d’une part, elle subtilisait des tampons, des papiers officiels, des cachets, et même des timbres de ravitaillement, autant d’éléments essentiels pour fabriquer de faux papiers destinés à ceux que l’on devait cacher. D’autre part, elle est parvenue à cacher huit prisonniers de guerre soviétiques dans une des tours de l’Hôtel de Ville de Charleroi ! Une audace inouïe au nez et à la barbe de l’ennemi. Mais c’est une action symbolique qui a marqué les esprits : le 11 novembre 1943, elle participe à l’arrachage du drapeau nazi sur la façade de l’Hôtel de Ville, remplacé par le drapeau belge. "Ce jour-là, pendant 45 minutes, le drapeau noir-jaune-rouge a flotté sur l’Hôtel de Ville, au nez et à la barbe des nazis", raconte Michel Descamps. Un geste audacieux, et un rappel que les femmes aussi ont joué un rôle déterminant dans la Résistance. Les 6,3 kilomètres de la "Randonnée de la mémoire", rappelle que l’histoire de Charleroi pendant l’Occupation est faite d’actes de courage, souvent anonymes. Grâce à cette initiative de la Province de Hainaut, seize lieux de mémoire reprennent vie, et les héros de l’ombre, comme Yvonne Ledoux, retrouvent la place qu’ils méritent dans le récit collectif". Retrouvez l’itinéraire complet et toutes les informations pratiques sur le site "Hainaut Mémoire" de la Province de Hainaut.
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May 6, 8:19 AM
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"Que s’est-il passé le 8 mai 1945 ? C’est le jour de la capitulation de l’Allemagne nazie mettant fin à la Seconde Guerre mondiale en Europe. Que savent les plus jeunes de cette date ? Comment aborder et leur expliquer cette guerre, 80 ans après, alors que la guerre en Ukraine ou à Gaza fait partie de notre quotidien ? A l’Ecole du Futur à Mons, qui pratique une méthode d’enseignement transversale, les plus âgés encadrent les plus jeunes. Ici, des élèves reviennent d’un voyage au mémorial de Buchenwald, 80 ans après la libération du camp. Un séjour qui laisse des traces. David, 13 ans, témoigne : "Ça nous rappelle de toujours résister pour quelque chose. Il y a eu des choses choquantes. Je vais m’en souvenir toute ma vie". La particularité de cette école, ce sont des projets communs entre les années. Les rhétos parrainent les premières secondaires, les troisièmes encadrent les plus jeunes. Certains ont même été formés pour devenir guide durant le séjour. "En tant que guide, on doit connaître, on doit apprendre l’histoire du camp, mais aussi en étant sur place, on essaie de contenir nos émotions pour pouvoir expliquer correctement aux plus petits. C’est compliqué parce que l’arrivée dans le camp est forte", déclare Elsa, 18 ans. Ces élèves doivent désormais présenter devant un public ce qu’ils ont appris. Pour l’occasion, ils préparent des discours, des maquettes, relisent des livres, ou encore créent des bijoux hautement symboliques. Elina, 13 ans, explique que le choix s’est porté "sur des triangles rouges, car ils sont en rapport avec la résistance. Beaucoup de résistants avaient des triangles différents, le rouge étant le triangle le plus connu". Egalité entre les élèves, la méthode Korczak . Depuis 4 ans, l’école du Futur mise sur des projets transversaux. La Seconde Guerre mondiale est utilisée aussi pour les cours de mathématique, de géographie ou de français. Cette méthode d’enseignement, basée sur la méthode Korczak, pédiatre et auteur juif polonais, précurseur des Droits de l’Enfant, déporté et mort au camp d’extermination de Treblinka en 1942, mise sur l’égalité entre tous les membres de la classe. Pour Jill Lampaert, professeure dans le degré inférieur, cette pédagogie et les projets qui en découlent fonctionnent parce que, des années après, des élèves en reparlent. Elle prend l’exemple de la montée en puissance du parti d’extrême droite en Allemagne, l’AfD, dont les élèves et la professeure ont parlé en classe. "On tente de semer le maximum", conclut-elle. Ces cours inclusifs incitent les élèves à s’impliquer et à transmettre. Mais surtout à ne pas oublier ce qu’on commémore le 8 mai".
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April 28, 7:46 AM
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"Après une vingtaine d'années d'exploitation, l'expo animation Mémoire de la Seconde Guerre Mondiale arrive en fin de cycle. La Province de Hainaut veut la réinventer. L’expo a fait le tour du Hainaut. Si elle a fait plusieurs étapes en bords de Sambre, et récemment encore à Fleurus. "Pour des raisons budgétaires mais aussi parce que nombre de ses acteurs -victimes de la déportation, intervenants, comédiens- vieillissent et n'auront bientôt plus l'énergie ni la santé pour continuer, l'expo animation Mémoire, en partenariat avec le War Heritage Institute, arrive en fin de vie", selon le coordinateur de la cellule provinciale Mémoire du Hainaut Michel Descamps. "La force de cette expo toujours active, c'est de faire des jeunes des personnages réels du conflit de 1940-1945." Chacun est en effet appelé à tenir un rôle puis à comparaître devant un juge despotique et expéditif qui ne leur laisse aucune chance. Suite de l'article sur : www.dhnet.be
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April 24, 7:24 AM
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"Il est désormais possible de privatiser le restaurant pour des occasions spéciales. Niché au cœur du Grand-Hornu, son restaurant Rizome n'est plus à présenter. Et s'il reste fidèle à ses horaires habituels, il est aussi désormais possible de privatiser ses services pour des occasions spéciales au sein du Grand Auditorium du Grand-Hornu pouvant accueillir jusqu'à 120 places assises ou 200 debout. Mariages, fêtes privées, séminaires ou visites culturelles clôturées par un repas raffiné… Ce nouveau projet s'inscrit dans la dynamique de diversification portée par le chef depuis plusieurs mois. La suite à lire sur www.lavenir.net
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April 17, 2:31 AM
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"Au boulevard Solvay, sur l'esplanade devant le BPS22, musée d'art de la Province de Hainaut, tou(te)s les citoyen(ne)s de Charleroi et de bien au-delà, notamment les étudiant(e)s et étudiantes des diverses filières éducatives ainsi que leurs familles, sont conviés, ce vendredi de 11 à 17 heures, à un grand brunch urbain. "Au programme, des stands tenus par les commerçants locaux, une terrasse aménagée pour profiter du printemps, un concert de jazz sans oublier des visites de l'exposition en cours au BPS22". L'accès à l'exposition Off Voices de l'artiste sud-africaine Candice Breitz sera proposé au tarif réduit de 3€ pour les visiteurs de plus de douze ans, gratuité pour les moins de 12 ans. Au-delà, deux visites guidées en groupe seront organisées, à 14h et 14 h 30". La suite à lire sur www.lavenir.net
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April 17, 2:03 AM
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'Les animations urbaines mises sur pied par l'ASBL "Charleroi centre-ville" s'axent souvent autour de la ville-basse. Pourtant, le prochain rendez-vous va s'installer en plein cœur du CampusU, sur le site historique de l'UT sur l'esplanade devant le BPS22, musée d'art de la Province de Hainaut. Les citoyen(ne)s et les étudiant(e)s des diverses filières éducatives ainsi que leurs familles, sont conviés ce 18 avril de 11 à 17 heures à un grand brunch urbain. Des spécialités salées et sucrées pourront se déguster tout au long de l'événement. Le groupe What About Sax assurera l'ambiance musicale. Et pendant ce brunch urbain, au BPS22, l'accès à l'exposition "Off Voices" de l'artiste Candice Breitz sera proposé au tarif réduit de 3€. La suite à lire sur www.dhnet.be
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June 18, 5:13 AM
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"Toutes les bibliothèques du Hainaut étaient réunies à la maison des associations à La Louvière. But de la journée : échanger ses expériences et découvrir de nouveaux outils pour permettre notamment aux bibliothèques de se réinventer. Une journée d’échanges et d’innovations. La maison des associations a accueilli la réunion plénière annuelle des bibliothèques hennuyères, un rendez-vous incontournable pour les professionnels du secteur. Organisée par l’équipe du Gazomètre, opérateur d’appui pour la Province du Hainaut, cette journée visait à favoriser les échanges de pratiques, à renforcer les liens entre collègues, et surtout à présenter les nouveautés et outils qui feront vivre les bibliothèques en 2025. Un appui essentiel au quotidien. « Notre rôle est de les soutenir dans leurs projets au quotidien, en leur proposant différents types d’outils ou d’aide. Cela peut être un délégué qui anime dans leur bibliothèque, des modules d’animation, des expositions, des lots thématiques, etc. Ici, on leur présente toutes les nouveautés 2025. » — Pascale Vanderpère, directrice de l’opérateur d’appui Un moment de recul et de partage « C’est très riche. Dans notre bibliothèque, on est souvent dans notre bulle. Ce type de journée permet de prendre du recul, d’échanger avec d’autres collègues sur les difficultés, les solutions, les expériences. C’est très positif et constructif. » — Héloïse Demaret, bibliothécaire à Ham-sur-Heure Le podcast : un outil d’avenir Parmi les outils émergents mis à l’honneur : le podcast, qui s’inscrit dans une volonté de moderniser les bibliothèques et de renforcer leur mission éducative. « Je lance une question philosophique sur le métier de bibliothécaire, et on laisse le débat émerger. L’objectif est d’en faire un petit montage. Cela participe à l’éducation à la parole, au débat, à l’expression. » — Guillaume Loriaux, bibliothécaire pour l’opérateur d’appui « Nous voulons exploiter le podcast dans notre réseau communal. Aujourd’hui, on ne peut pas ignorer les médias et les réseaux sociaux. Le podcast peut nous aider à toucher de nouveaux publics, à élargir notre audience. » — Héloïse Demaret « Une fois qu’ils ont commencé, je me rends chez eux pour les former, leur montrer le fonctionnement, et les accompagner. » — Guillaume Loriaux Des lieux culturels en constante évolution Aujourd’hui, les bibliothèques dépassent largement leur image traditionnelle. Elles deviennent des espaces de vie, d’échange, de création, et d’accès à la culture sous toutes ses formes. « Ce sont des lieux ouverts, souvent gratuits ou très accessibles, où l’on peut découvrir une multitude de ressources. » — Pascale Vanderpère Conclusion Loin d’être figées, les bibliothèques hennuyères s’adaptent, innovent, et s’ouvrent à de nouveaux usages. Cette réunion annuelle montre combien ces institutions culturelles restent essentielles, vivantes, et résolument tournées vers l’avenir.
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June 11, 1:32 AM
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"À l'entendre, le photographe Hervé Charles se posait plus de questions qu'il n'avait de propositions à faire lorsque Pierre-Olivier Rollin, le directeur du BPS22 à Charleroi, l'invita à imaginer, si ce n'est une rétrospective le concernant. Bien sûr, au vu de l'ampleur de l'œuvre entamée il y a une trentaine d'années, le projet n'avait rien d'insensé. Elle annonce surtout une préoccupation environnementale. D'ailleurs, le fil rouge le plus manifeste est bien celui de la nature et de ses métamorphoses. Des transformations lentes dues au changement climatique ou des bouleversements brusques dus à l'activité humaine : marée noire, marée verte, stress hydrique, exploitations minières, autant de sujets abordés par l'artiste". Albedo - BPS22- Charleroi. www.bps22.be jusqu'au 31 août 2025. La suite à lire sur www.lalibre.be
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June 6, 3:34 AM
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"La dichotomie ancienne entre la photo plasticienne et la photo documentaire vole en éclats dans le travail du photographe qui occupe tous les espaces du BPS 22 jusqu'au 31 août. Il ne reste que l'émotion, pure, parfois dure, de ces images époustouflantes d'une nature terrestre impactée par l'acharnement de l'activité humaine. L'Albedo, c'est la mesure de la lumière réfléchie par un corps, notamment la lune, dans le ciel nocturne. C'est aussi le titre de l'exposition que consacre le BPS 22, musée d'art de la Province de Hainaut, au photographe Hervé Charles, né à Nivelles. Une évocation d'un phénomène naturel pour une oeuvre qui, depuis 30 ans, poursuit un objectif : témoigner, par l'image, des mutations que subit la planète Terre, principalement sous les coups de l'activité humaine. Pierre-Olivier Rollin, directeur du BPS 22 : "Certaines des compositions, certains cadrages, aboutissent sur des clichés qui ressemblent à des tableaux, à de l'art abstrait. Mais les sujets présentés sont évidents, incendies de forêt, éruptions volcaniques, fontes de glaciers, pollutions chimiques, marées noires, marées vertes". La suite à lire sur www.dhnet.be
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May 27, 1:53 AM
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"De l’Égypte ancienne à aujourd’hui, la brique a évolué et façonné notre quotidien. Matériau de terre, elle se dévoile, au CID au Grand-Hornu, sous diverses formes au potentiel multiple. Architectes et designers révolutionnent la brique, jusqu’au 28 septembre. Le Centre d’Innovation et de Design (CID) du Grand-Hornu invite le public à découvrir son exposition inédite intitulée " Que veux-tu, Brique ? ". Cette exposition met à l’honneur la brique, un matériau emblématique de l’architecture industrielle, en explorant ses multiples facettes à travers le prisme du design contemporain. La brique n’est pas neuve au CID. Rappelez-vous, en 2022, le CID proposait "La Brique hors les murs", qui avait déjà exploré les potentialités de la brique en tant que matériau de design. Emmenée par la commissaire Caroline Naphegyi, l’exposition "Que veux-tu, Brique ?" approfondit la question et propose une immersion dans l’univers de la brique, en tant que matériau, outil et source d’inspiration. Les visiteurs pourront découvrir comment ce matériau, souvent perçu comme ordinaire, peut être transformé en objet de design à la fois esthétique et fonctionnel. L’exposition présente une cinquantaine d’œuvres, de l’époque moderniste à aujourd’hui. Les architectes se sont emparés de la brique standard traditionnelle comme système de construction, tout en diversifiant leurs formes et matières. Les déclinaisons de briques en matières premières biosourcées et le réemploi de déchets issus de la démolition et de la surproduction industrielle représentent des alternatives majeures de recherche appliquées à la construction. À une tout autre échelle, artistes et designers présentés dans l’exposition détournent la terre de brique de son objet initial et lui confèrent de tous autres usages tant fonctionnels que symboliques, comme autant de déclinaisons possibles de cette forme simple aux potentiels multiples. Une exposition à voir au Centre d’Innovation et Design, au Grand Hornu jusqu’au 28 septembre".
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May 19, 3:19 AM
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"Pas de mer et de cocotiers au sud du pays, mais 25 points d'eau où les baigneurs peuvent piquer une tête. Parmi ceux-ci, le lac de Clairefontaine à Chapelle-lez-Herlaimont. Pour des raisons stratégiques, nous ouvrons le lac aux baigneurs du 1er juin au 30 août", explique Nicolas Matloka, responsable de la communication et de la promotion du domaine. "En effet, c'est durant cette période que nous recevons le plus de monde. Le domaine est très vaste et propose différentes activités. En été, quand il fait beau, ça peut aller jusqu'à 2400 visiteurs sur une journée." Le lac a été vidangé. Nous avons par ailleurs pris des dispositions par rapport à la prolifération des poissons qui devenait problématique". La suite à lire sur www.dhnet.be
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May 14, 8:09 AM
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"Le printemps fleurit aussi dans les bibliothèques ! Les établissements de lecture publique se transforment en véritables lieux de fête et d’évasion. "Le Printemps des bibliothèques" prend vie ce vendredi 16 mai 2025 au Gazomètre à La Louvière. C’est le printemps dans le jardin, dans les parcs mais aussi dans les bibliothèques ! "C’est la fête dans plein de bibliothèques autour de nous", s’enthousiasme Pascale Vanderpere, responsable de la Lecture publique pour la Province de Hainaut. La manifestation a bien évolué depuis ses débuts. D’un simple fil conducteur thématique partagé entre bibliothèques, l’événement est devenu une véritable célébration : la Biblio Night Fever. C’est un moment vraiment festif, convivial et toutes les bibliothèques ont rivalisé d’imagination pour proposer des choses hyper légères, sympas. Au programme : concerts, escape games, musique, food-trucks, animations pour enfants et adultes… L’ambiance promet d’être inclusive. "C’est pour faire la fête avec notre public habituel, mais aussi pour aller chercher de nouveaux publics". Née en Hainaut il y a dix ans, l’idée a fait son chemin bien au-delà de ses frontières initiales. D’abord suivi par le Brabant wallon, puis Namur, l’événement est aujourd’hui célébré dans toutes les provinces wallonnes et à Bruxelles. Pour cette 10ᵉ édition, Le Printemps des bibliothèques s’étend à toute la Fédération Wallonie-Bruxelles, une consécration pour cette initiative hennuyère devenue nationale. Les activités varient en fonction des lieux, les responsables des bibliothèques étant libres d'élaborer leur programme. L’occasion idéale pour (re) découvrir les bibliothèques sous un autre jour. "Il y aura de la musique, des food-trucks, un glacier, de l’art floral, et même l’inauguration d’une céramique d’Eva Evrard", annonce Pascale. Le numérique aussi a sa place. La bibliothèque attire-t-elle encore malgré les alternatives numériques ? Les bibliothèques d’aujourd’hui ne sont plus de simples lieux de prêt. Elles sont des espaces vivants, animés, interactifs, riches en activités variées autour du livre… et bien plus encore. Et pour ceux qui préfèrent le numérique ? La solution existe. "On a une offre de livres numériques très importante dans le cadre d’un projet plus large de toute la fédération qui s’appelle Lirtuel, accessible dans toutes les bibliothèques publiques", précise-t-elle. Cet événement culturel est totalement gratuit, sans frais d’inscription ni de prêt. "Ça ne doit vraiment pas être un obstacle", insiste la responsable. Le Printemps des bibliothèques est une main tendue vers toutes les générations, une fête du savoir, du lien social et de la créativité. L’interview de Pascale Vanderpere, responsable de la Lecture publique pour la province de Hainaut, est à réécouter ci-dessus au micro de Carine Bresse, dans Hainaut Matin sur VivaCité".
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May 9, 4:01 AM
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"Le 8 mai 1945 marquait la fin de Seconde Guerre mondiale. A Charleroi, une randonnée de 6,5 km fait revivre les lieux marqués par la Résistance. Portée par Michel Descamps, la Rando de la Mémoire mêle histoire locale et devoir de transmission. 80 ans après la fin de la Seconde Guerre mondiale, une randonnée pas comme les autres invite à marcher dans les pas des résistants carolos. À l’origine de cette initiative, il y a Michel Descamps, un passionné d’histoire qui tisse un lien entre passé et présent. « Nous sommes derrière la gare de Charleroi, dans le quartier de la Villette, face au lieu-dit Le Tir de Marcinelle, c’est ici que débute cette rando de la mémoire », explique Michel Descamps, le coordinateur de Hainaut Mémoire. La Rando de la Mémoire débute donc ici, au pied de ce bâtiment, que l’on appelle le Tir de Marcinelle. Dans ces lieux, une cinquantaine de résistants ont été tués. « Durant la Seconde Guerre mondiale, les nazis ont utilisé cet endroit pour s’entraîner, mais aussi exécuter des résistants ». Un peu avant, juste à côté du poteau mortel, il reste encore le cachot, c’est là que les prisonniers attendaient, avant d’être exécutés. Cette rando est une boucle de 6,5 km divisée en 15 étapes. A chacune de celles-ci, on découvre un lieu chargé d’histoire, comme le pont de l’Église par exemple. « C’est la résistance qui libère la ville de Charleroi, et lorsque les Américains arrivent, le pont est toujours debout afin de permettre aux Alliés de se rendre le plus rapidement possible en Allemagne ». Même l’immeuble de l’Hôtel des Chemins de fer garde encore des séquelles des affrontements, huit décennies plus tard. À pas d’homme, ce ne sont pas seulement des rues que l’on traverse, mais des fragments d’histoire. La Rando de la Mémoire n’est pas qu’un parcours touristique, c’est une invitation à ne pas oublier et à rester vigilant".
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May 8, 4:23 AM
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"L'événement aura lieu le 18 mai prochain. Les inscriptions sont encore possibles jusqu'à vendredi. C'est un challenge que bon nombre de photographes, amateurs ou professionnels, devraient apprécier relever ! Le Grand-Hornu s'apprête en effet à organiser son tout premier marathon photo au cœur du Borinage. Les participants seront invités à capturer des clichés sur des thèmes imposés dans un temps limité. Les photos seront à réaliser le dimanche 18 mai prochain, entre 10 h 30 et 17 h 30. Ce Marathon Photo sera ouvert à deux catégories – smartphone et boîtiers numériques – et sera composé de six thèmes définis dévoilés le jour J. Un jury composé de professionnels de la photographie, de la culture et du tourisme récompensera les meilleures séries dans trois catégories. La date limite des inscriptions est fixée à ce vendredi 9 mai 2025. Elles sont à remplir via le site internet du CID au Grand-Hornu". La suite lire sur www.dhnet.be
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Province_Hainaut
May 5, 3:45 AM
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"Du 15 au 25 mai le public est convié à admirer les œuvres du gerpinnois. Des ateliers pour petits et grands sont aussi proposés. À l'occasion de ses 90 ans, une exposition création mettra en lumière l'équilibre délicat de l'œuvre de l'artiste, à la fois discrète et rigoureuse. Le vernissage se tiendra le jeudi 15 mai à 19h30 en présence de l'artiste présenté par Pierre-Olivier Rollin, directeur du BPS22. Des ateliers artistiques animés par la Province de Hainaut seront proposés pour les enfants et les adultes". La suite à lire sur www.dhnet.be
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April 28, 4:39 AM
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"Le site du Tir à Marcinelle retrouve sa vocation d'éducation permanente et mémorielle. Un wagon de déportation y proposera bientôt une expérience inédite. En 2015, le coordinateur de la cellule Mémoire de la Province de Hainaut prend conscience de la menace de disparition qui pèse sur le site du Tir à Marcinelle. Habitant du quartier, Michel Descamps va frapper à la porte de la ville de Charleroi pour revitaliser le lieu. Julie Patte vient d'obtenir l'échevinat de l'Enseignement, elle est alors en charge aussi de la Jeunesse. "Le site du Tir a été le théâtre du massacre de 50 résistants durant la deuxième guerre mondiale, dont le major Servais, premier commandant régional de l'Armée secrète", rapporte Michel Descamps. Le d'exécution et le cachot sont de précieux témoins de cette sombre page de l'histoire locale: la volonté est de la faire ressurgir pour y sensibiliser la jeunesse. Selon le président du collège provincial Eric Massin en charge de la Culture, le Hainaut dégagera un budget pour concevoir l'expo. Les choses pourraient aller très vite, encore en 2025, mais la présence suspectée de matériaux amiantés dans le wagon retarde son transfert." Suite de l'article sur : www.lavenir.net
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April 22, 4:57 AM
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"Si vous êtes passé par l’UCampus ce vendredi entre 11h et 17h, vous avez probablement vu des Carolos, et pas seulement des étudiants, profiter du soleil au cœur d’une terrasse éphémère. Le tout premier Brunch urbain de l’ASBL Charleroi CentreVille s’y était installé. Un après-midi festif qui permet de redynamiser la Ville haute, pour le plus grand bonheur notamment des commerçants. Entre le BPS22 et l’Ucampus se mêlaient des spécialités salées, une odeur de café, le soleil, des rires et du jazz. « C'est notre première édition, indique Hélène Malnoury, chargée de communication de l’ASBL Charleroi Centreville. Le but est de laisser les habitants du quartier, les étudiants et les commerçants s’approprier l'esplanade du BPSS2 et de créer un espace de rencontres et d'échanges. » Les étudiants sont heureux de voir des activités animer leur campus et de tenir le bar de l’événement, des familles prennent du bon temps, les commerçants de la Ville haute sont au centre de l’événement, et font déguster leurs spécialités pour se faire connaître…. L’esplanade, souvent déserte, prend vie et chacun y trouve son bonheur. Après de multiples événements à la Ville Basse, ce brunch urbain fait vibrer la Ville haute. Et bonne nouvelle, vu le succès de cette première édition, ça ne devrait pas être la dernière. L’ASBL songe déjà à d’autres brunchs urbains pour profiter du soleil et des espaces de la ville Haute comme il se doit".
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April 8, 1:54 AM
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"Diplômée de La Cambre, Lucile Soufflet (50 ans) fait aujourd’hui autorité en matière de mobilier urbain. Mais elle s’épanouit aussi dans des créations plus intimes qui invitent le beau dans le quotidien. L’exposition Common Grounds consacrée à son travail se tient au CID Grand-Hornu jusqu’au 24 août".
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