Corporate governance - Vigil

Les resserrements budgétaires se font sentir un peu partout au Québec, donnant des maux de tête aux gestionnaires, aux employés et aux citoyens touchés. Le gouvernement du Québec n’est toutefois pas le seul à imposer le couperet, dans le contexte du déficit, selon ce qui ressort du plus récent Panorama des finances publiques, publié ce mardi. On y constate même que les gouvernements de trois autres provinces sont plus exigeants. Au cours des prochaines années, les dépenses du gouvernement québécois croîtront au rythme de 1,9 % par année. En comparaison, la croissance sera de seulement 1,5 % en Alberta, de 1,2 % en Ontario et de 0,5 % à Terre-Neuve-et-Labrador, selon le Panorama, produit par la Chaire en fiscalité et en finances publiques (CFFP) de l’Université de Sherbrooke, sous la direction de Luc Godbout1.

Moins de dix ans après leur fusion, Keurig et Dr Pepper prévoient de redevenir des entreprises distinctes. Keurig Dr Pepper a annoncé lundi le rachat du propriétaire de Peet’s Coffee pour 18 milliards US. Elle se scindera ensuite en deux : une entreprise vendant du café et l’autre des boissons fraîches comme Snapple, Dr Pepper, 7UP et des boissons énergisantes. Cet accord annule la fusion de 2018 entre Keurig et Dr Pepper. L’action Keurig Dr Pepper chutait de 11 % lundi après-midi. Les investisseurs étaient préoccupés par le projet de la société de financer l’acquisition à la fois par des liquidités et par l’emprunt. Lundi, la firme de notation de crédit S&P Global a placé Keurig Dr Pepper sous surveillance avec des implications négatives, se disant inquiète de l’augmentation de la dette et de la complexité de la transaction en deux étapes.

Le profit net d’Hydro-Québec est en baisse de 18 % au deuxième trimestre de 2025, malgré la hausse des tarifs de 3 % en vigueur depuis ce printemps. La société d’État rapporte un bénéfice net de 221 millions pour les mois d’avril, mai et juin, en baisse de 48 millions par rapport à la même période l'an dernier. La hausse des tarifs en vigueur depuis le 1er avril et la croissance de la demande ont rapporté 196 millions de plus que l’an dernier, mais les charges d’exploitation sont en hausse de 132 millions en raison « des activités en lien avec les priorités du Plan d’action 2035 », précise Hydro-Québec. La stratégie de remplissage des réservoirs, rendue nécessaire à cause de la sécheresse prolongée, a coûté 129 millions supplémentaires en achats d’électricité, ce qui a réduit le bénéfice net du trimestre.

The pressure to compete for AI talent is heating up, and boards today face a familiar decision: escalate pay packages to meet talent pressure or build competitive advantage through the rest of the EVP. Compensation is important, but it is only one part of the employee value proposition (EVP) required to attract and retain people. The pressure to compete for AI talent is heating up, and boards today face a familiar decision: escalate pay packages to meet talent pressure or build competitive advantage through the rest of the EVP. The most enduring companies know when to do both—when to invest in compensation and when to invest more heavily in the broader workplace experience that sustains culture and retains great talent over time.

Private equity firms are struggling to raise money despite offering unprecedented enticements to attract new investor cash, underscoring a sector-wide contraction that is denting the profitability of the industry. Private equity groups raised just $592bn in the 12 months to June: their lowest tally for seven years, data from Preqin show. The decline came even as firms offered more discounts such as management fee cuts, “early-bird discounts” for investors who commit quickly to new funds and other incentives. They “are offering a smorgasbord of discounts”, said Marco Masotti, global head of private equity fundraising at law firm Paul Weiss, who added in a report by the firm that PE groups were “facing mounting fee pressure and agreeing to a cascade of discounts”. The industry’s fundraising has shrunk by nearly a third from its record levels in 2021. Higher interest rates and a slowdown in dealmaking have left firms unable to sell trillions of dollars in ageing investments, causing growing frustration from investors, many of whom are now refusing to back funds.Private equity fundraising slides as sector’s downturn deepens

U.S. shale producer Crescent Energy said on Monday it would acquire smaller peer Vital Energy in an all-stock deal valued at US$3.1-billion, including debt. The deal highlights how some U.S. companies are pursuing scale at a time when mergers and acquisitions in the shale industry slowed in the second quarter due to volatility in the energy and equity markets. Vital shareholders will receive 1.9062 shares of Crescent common stock for each share held, representing an offer valued at US$18.95 per share and a premium of 20 per cent, based on the stocks’ last close. Shares of Vital Energy were up 9.5 per cent while Crescent Energy was down 2.9 per cent in premarket trading. Reuters had on Friday, after markets closed, reported on the deal talks, citing people familiar with the matter. The merger will create one of the 10 largest independent oil and gas producers in the U.S., with positions across the Eagle Ford, Permian and Uinta basins and more than a decade of drilling inventory, the companies said.

Keurig Dr Pepper has struck a deal to buy Peet’s Coffee owner JDE Peet’s for $18 billion, a prelude to spinning off its coffee brands into a separate public company. The deal is transformational for Keurig Dr Pepper and would eventually unwind the 2018 transaction that put coffee maker Keurig and beverage company Dr Pepper under the same corporate roof. At that time, the transaction was the world’s biggest in nonalcoholic drinks. Keurig Dr Pepper said it would pay JDE Peet’s shareholders 31.85 euros (around $37) a share in cash, a 33% premium to the average price over roughly the last three months. JDE Peet’s, based in Amsterdam, has a market value of around $15 billion. Keurig Dr Pepper’s is around $50 billion. After that deal closes, Keurig Dr Pepper plans to separate into two companies listed in the U.S., one focused on coffee and the other on refreshment beverages including Dr Pepper, 7UP, Snapple and energy drinks such as Bloom and Ghost. The global coffee company would have roughly $16 billion in annual revenue, while the beverage company would have some $11 billion in revenue.

Donald Trump a annoncé vendredi l’entrée de l’État fédéral américain au capital de l’entreprise de semi-conducteurs et processeurs Intel, à hauteur de 10 %, affirmant que cela n’avait « rien coûté ». « C’est un grand honneur pour moi d’annoncer que les États-Unis possèdent désormais pleinement 10 % du capital d’Intel, une grande entreprise américaine avec désormais un futur encore plus incroyable », a écrit le président américain sur sa plateforme Truth Social. « J’ai négocié cet accord avec Lip-Bu Tan (le directeur général du groupe, NDLR). Les États-Unis n’ont rien payé pour ces parts qui sont désormais valorisées environ onze milliards de dollars. C’est un grand accord pour les États-Unis et pour Intel », s’est-il félicité.

Chaque dimanche, nous braquons les projecteurs sur des éléments de l’actualité financière et boursière qui peuvent être utiles à l’investisseur, mais qui pourraient être passés sous le radar
La BMO a retiré mardi sa recommandation d’achat sur le titre d’Alimentation Couche-Tard. L’analyste Tamy Chen dit entrevoir une croissance organique modérée avec une visibilité limitée sur les catalyseurs susceptibles de propulser l’action à la hausse. En conséquence, elle dit ne pas juger attrayante l’évaluation de l’action à son niveau actuel. Elle aimerait notamment voir une amélioration significative des ventes des établissements comparables aux États-Unis. Alimentation Couche-Tard présentera sa plus récente performance financière trimestrielle le 2 septembre.

La banque centrale américaine est actuellement sous le feu nourri de l’administration Trump, qui critique publiquement ses décisions et ses dirigeants, ce qui est du jamais vu. Mais l’institution, née à la suite de crises successives, en a vu d’autres. La Réserve fédérale (Fed) a été créée en 1913 pour mettre de l’ordre dans un système financier secoué par des paniques à répétition qui avaient causé une multitude de faillites de banques, d’entreprises et d’individus. La crise de 1907, qui a vu la Bourse de New York chuter de 50 % et l’impact se propager à tout le pays, a rendu urgente la nécessité de mettre de l’ordre dans le Far West financier de l’époque. La Fed, comme on l’appelle, a une structure unique parmi les banques centrales du monde. Elle est le résultat d’un compromis entre la méfiance atavique des Américains envers l’intervention du gouvernement dans l’économie et la nécessité de modérer l’appétit de profit des entreprises privées.

In today’s climate of volatility and reinvention, boards that view workforce planning as an HR sidebar are missing a vital lever for value creation. In boardrooms across the country, talent has long been considered a differentiator. But today, it’s more than that. It’s an existential lever. In an era marked by AI disruption, labor shortages, hybrid models and shifting employee expectations, workforce planning is no longer an operational afterthought. It is a strategic imperative, deserving the same scrutiny and foresight as cybersecurity, capital allocation and enterprise risk. Boards that fail to rigorously pressure-test talent strategies face rising exposure to execution risk and missed growth opportunities. According to McKinsey & Company, nearly 50 percent of executives cite skills gaps as a critical threat to business success over the next five years, with 87 percent already experiencing those gaps or anticipating them soon.

Former Credit Suisse bankers have helped Santander win lead roles on a series of high-profile blank-cheque company deals, underscoring the Spanish lender’s ambitions to become a more serious player on Wall Street. Santander has in recent months been announced as the sole bookrunner on listings for several special purpose acquisition companies, or Spacs. The backers behind the investment vehicles are familiar faces who rode the huge Spac boom in 2020 and 2021, including billionaire investors Alec Gores, Bill Foley and most recently Chamath Palihapitiya.  The mandates reflect the impact of bankers hired from Credit Suisse following the 2023 takeover of the Swiss lender by rival UBS. They include Niron Stabinsky, one of Wall Street’s best-known Spac bankers, and David Hermer, Santander’s head of corporate and investment banking. 

Meta (Facebook, Instagram) a signé un contrat de plus de 10 milliards de dollars avec Google Cloud pour utiliser ses serveurs et d’autres services d’informatique à distance, d’après une source proche du dossier. L’information a initialement été révélée par The Information, média spécialisé dans le secteur des technologies. Le contrat, qui s’étend sur six ans, est l’un des plus gros jamais obtenu par la branche infonuagique de Google depuis sa création il y a 17 ans. Mi-juillet, le patron de Meta Mark Zuckerberg a fait part de sa volonté d’investir des « centaines de milliards de dollars » dans des infrastructures d’intelligence artificielle, en vue de parvenir à son objectif affiché : construire une IA plus intelligente que les humains. Les géants des technologies dépensent des sommes colossales pour améliorer leurs modèles d’IA générative, qui nécessitent d’énormes puissances de calcul, et donc des puces informatiques de pointe et beaucoup d’énergie.

Le président Donald Trump a menacé lundi d’imposer de nouveaux droits de douane et des restrictions à l’exportation aux pays qui, selon lui, ciblent les entreprises technologiques américaines. « Les taxes ou la législation sur les services numériques, et les réglementations sur les marchés numériques sont toutes conçues pour discriminer ou nuire à la technologie américaine », a écrit M. Trump sur sa plateforme Truth Social. Ses commentaires semblent viser les pays européens et les organisations qui ont adopté des lois réglementant le web. L’Union européenne, par exemple, dispose de la législation sur les marchés numériques (DMA) et de la réglementation sur les services numériques (DSA), qui concernent la concurrence et la modération des contenus. Le Royaume-Uni impose également une taxe sur les services numériques.

François Legault doit regretter d’avoir créé la commission d’enquête sur la gestion informatique à la SAAQ. Il voulait montrer que son gouvernement n’avait rien à se reprocher. Et il espérait que ce scandale de la société d’État ne remonterait pas jusqu’à lui. Ce n’est pas ce qui arrive. Le commissaire Denis Gallant pourrait le convoquer pour vérifier ce qu’il savait ou devait savoir. Ces questions sont importantes. Mais il y en a une autre qui est tout aussi cruciale : ce fiasco se répétera-t-il ?

Selon la loi sur la gouvernance des sociétés d’État, le ministre délègue une partie de ses pouvoirs au conseil d’administration, rappelle Alexandra Langelier, vice-présidente exécutive de l’Institut sur la gouvernance d’organisations privées et publiques. Plus précisément, il confie au C.A. des directives et objectifs, qui en supervise ensuite l’exécution. Mais il en demeure ultimement responsable.

Thoma Bravo will acquire Verint Systems in a $2 billion deal, including debt, the customer engagement platform said on Monday, marking the latest software buyout as private equity firms increasingly bet on AI to navigate an uncertain economy. Software companies have emerged as prime acquisition targets as adoption of artificial intelligence and recurring revenue prove to be resilient markers in an economy pressured by tariffs and volatile customer spending. Under the agreement, Verint shareholders will receive $20.50 per share in cash. The offer represents a premium of 4.2% to the stock's closing price on June 30, before the talks were first reported, and implies an equity deal value of $1.23 billion, according to Reuters calculations. Shares of Verint — which provides an AI-powered platform to help enterprises organize, manage and improve customer interactions across various channels and digital operations — were down 1.2% at $20.23. 

A group representing the world's biggest stock exchanges has called on securities regulators to clamp down on so-called tokenised stocks, arguing that the blockchain-based tokens create new risks for investors and could harm market integrity, a letter seen by Reuters shows. Tokenised equities are blockchain-based tokens created to represent shares in companies. The tokens represent ownership of the securities but investors do not become shareholders in the underlying company. Crypto exchange Coinbase and broker Robinhood are among those making a push into the nascent sector that could shake up the securities investing landscape. Proponents say tokenised equities can cut trading costs, speed up settlement and facilitate around-the-clock trading. The World Federation of Exchanges (WFE), in a letter sent to three regulatory bodies last Friday, said it was concerned the tokens "mimic" equities without providing the same rights or trading safeguards.

MEG Energy Inc. has accepted a friendly cash-and-stock takeover offer from oilsands neighbour Cenovus Energy Inc. worth $7.9 billion, including debt, but Strathcona Resources, the hostile bidder MEG has spurned, is not ready to give up its pursuit. A special committee reviewed all available options to boost shareholder value after Strathcona made its takeover attempt this spring, MEG chairman James McFarland said Friday. “After considering the Strathcona unsolicited offer, engaging with multiple parties on proposals, and assessing them against MEG’s stand-alone plan, the special committee and the MEG board unanimously concluded that the proposed transaction with Cenovus represents the best strategic alternative,” McFarland said in a statement. Strathcona executive chairman Adam Waterous said MEG’s board has agreed to a “take-under,” as the Strathcona bid, open until Sept. 15, is worth a dollar more per share than what Cenovus has put forward. 

The prospect of lower interest rates is boosting many parts of the market: real-estate firms, banks, manufacturers. The outlook for Wall Street’s most popular stocks—the Magnificent Seven tech giants that have led major indexes to records—is much less clear. Those market leaders—Amazon.com, Alphabet, Apple, Meta Platforms, Microsoft, Nvidia and Tesla—have been buffeted recently by questions about the potential for artificial intelligence, concerns about their increasingly stretched valuations and competition from hitherto unloved parts of the market.  In the coming days, the tech sector will face a key test when Nvidia, the world’s most-valuable listed company, reports earnings. What investors learn there could be key to further gains. Joshua Boyer, 43, said he has trimmed his exposure to megacap tech stocks like Nvidia, Microsoft and Meta by about 25% in recent days. The Phoenix resident said shares have grown expensive relative to the companies’ earnings and said he is satisfied with the outsize returns over the past several months.

La fin de l’exemption de droits de douane pour les colis de faible valeur entrant aux États-Unis pousse de nombreux services postaux européens à suspendre leurs envois en attendant des éclaircissements sur cette règle. Cette exemption permet aux colis d’une valeur inférieure à 800 $ US d’entrer aux États-Unis en franchise de droits. Selon les données de l’Agence américaine des douanes et de la protection des frontières, 1,36 milliard de colis ont été expédiés en 2024 sous ce régime, pour des marchandises d’une valeur de 64,6 milliards US. L’exemption expire le 29 août. Les services postaux européens ont ainsi annoncé samedi la suspension de nombreux envois vers les États-Unis, en raison de la confusion suscitée par les nouveaux droits d’importation.

Si les Canadiens boycottent les produits et les voyages aux États-Unis, le gouvernement fédéral continue à accorder d’importants contrats à des firmes américaines. Le gouvernement fédéral a accordé près d’un milliard de dollars en contrats à des entreprises situées aux États-Unis depuis que le président Donald Trump s’est installé de nouveau à la Maison-Blanche en janvier et a déclenché une guerre commerciale contre le Canada. Et si la tendance des six derniers mois se maintient, le gouvernement fédéral pourrait facilement dépasser la valeur moyenne des contrats accordés à des entreprises américaines au cours des trois dernières années – soit 1,3 milliard de dollars par année – en dépit des tensions commerciales.

Federal Reserve Chair Jerome Powell on Friday opened the door ever so slightly to lowering a key interest rate in the coming months but gave no hint on the timing of a move and suggested the central bank will proceed cautiously as it continues to evaluate the impact of tariffs and other policies on the economy. In a high-profile speech that will be closely watched at the White House and on Wall Street, Powell said that there are risks of both rising unemployment and stubbornly higher inflation. That puts the Fed in a tough spot, because it would typically cut its short-term rate to boost hiring, while keeping it high – or raising it – to fight inflation. “The stability of the unemployment rate and other labour market measures allows us to proceed carefully as we consider changes to our policy stance,” Powell said in prepared remarks. That suggests the Fed will continue to evaluate jobs and inflation data as it decides whether to cut rates, including at its next meeting Sept. 16-17.

In recent years, environmental, social, and governance (ESG) concerns have become central to the corporate conversation. Social and environmental goals, in particular, often require long-term commitments—commitments that typically stretch well beyond the tenure of any individual CEO. It’s no surprise, then, that ESG-conscious investors increasingly worry that companies are quick to make bold, long-term promises but slower to implement the concrete short-term actions needed to deliver on these commitments. One solution, often discussed in boardrooms and shareholder meetings, is to link CEO compensation to ESG outcomes. If ESG goals are truly strategic priorities, the logic goes, then tying them to executive pay ensures accountability. By embedding ESG metrics in compensation packages, companies appear to affirm that these goals matter—not just in press releases, but in the decisions that guide corporate behavior. But are these incentives real drivers of change, or are they simply well-crafted messages to placate concerned investors?

Hedge fund Emmett Investment Management is gearing up for a possible board room fight at Whitestone REIT and may nominate directors to the shopping center operator's six-person board, two people familiar with the matter told Reuters. Emmett, a New York-based investment firm run by Alexander Rohr, has been a long-term investor in Houston-headquartered Whitestone and has expressed frustrations about how the company allocates capital and criticized its governance. The firm owned 2.2% of the company at the end of the second quarter, making it the sixth largest investor. For Whitestone, which is worth roughly $633 million, a fight with Emmett would be its second proxy battle in two years. Shortly after beating back last year's board challenge, management rejected a $15 a share takeover bid by MCB Real Estate. Since then, Whitestone's share price has dropped by more than 14% to around $12.40 as of Wednesday's close.