« La GPA, c’est altruiste, généreux, honnête et bienveillant : cela permet à des couples tristes de fonder des familles heureuse ; et une fois que les enfants existent, il faut bien les accepter » ; tel est le discours, assorti de photos attendrissantes d’enfants charmants, destiné à imposer la libéralisation de la gestation pour autrui (GPA). Et c’est au nom des « droits de l’homme », caution morale indiscutable, que la GPA doit être acceptée, au nom de l’intérêt supérieur des enfants et du droit au respect de la vie familiale.