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La gestation aura été longue et l'éclosion difficile, mais elle est née. Un arrêté du ministère des Sports daté du 20 avril 2019 porte approbation de la convention constitutive du groupement d’intérêt public (GIP) dénommé Agence nationale du sport.
Les ministres des Sports et de la Ville, Roxana Maracineanu et Julien Denormandie, participent ce vendredi au lancement d'un vaste programme pour développer l'emploi et l'éducation des jeunes par le sport.
Le Centre national pour le développement du sport (CNDS) vient d'adresser ses lignes directrices aux préfectures en termes de soutien à l'emploi. Priorité est donnée aux territoires carencés - zones rurales ou quartiers politique de la ville. Une autre note concerne le dispositif "J'apprends à nager".
L'association Sport dans la Ville aide les jeunes des quartiers défavorisés à s'insérer dans la vie active. Interview de son cofondateur, Philippe Oddou, à l'occasion du lancement du programme « Entreprendre dans la ville » en Ile-de-France....
Le sport comme réponse aux problématiques sociales que les collectivités locales rencontrent sur leur territoire, c'est une conviction portée depuis plus de vingt ans par l'Agence pour l'éducation par le sport (Apels). Le programme national "coach d'insertion par le sport", lancé officiellement jeudi 22 novembre dans le cadre du Salon des maires, est venu renforcer cette conviction.
Les ministres des Sports et de la Cohésion des territoires unissent leurs moyens en faveur du sport dans les quartiers..
Photographier pour comprendre l'expérience sportive d’un groupe de joueuses de rugby à Sarcelles, telle est la démarche qui est à l’origine du projet « Les rugbywomen ». Une occasion de revenir sur l’intérêt heuristique des pratiques photographiques pour l’enquête ethnographique.
L’association Bleu Blanc Zèbre a consacré la troisième étape des États généraux de la ville à la question du sport dans les quartiers. L’occasion pour les élus de pointer les difficultés de financement des équipements sportifs, une réalité reconnue par le secrétaire d'État Julien Denormandie, qui fait miroiter "l’héritage" que constitueront les JO de 2024.
Le Centre national pour le développement du sport vient de publier un bilan de son action portant sur les trois dernières années
Ce programme, qui s’adresse en priorité aux 11-18 ans des quartiers pour leur donner accès aux vacances et aux loisirs, s’appuie sur des actions qui s’inscrivent dans les contrats de ville, dans une logique éducative, sportive et culturelle.
Certains discours, initiés par des extrêmes qui aspirent au chaos, tendent à s’imposer. Dans notre pays, la désignation d’un ennemi intérieur se nourrit du terreau fertile d’une identité nationale, républicaine, laïque fantasmée et dévoyée. Aujourd’hui, « le refoulé colonial est à la base du refoulement du multiculturalisme en général et de l’islam en particulier », comme le note Béligh Nabli.
On connaît désormais les derniers arbitrages dans l'octroi des subventions du Centre national pour le développement du sport (CNDS) au titre de l'année 2016. A travers le CNDS, l'Etat consacrera une enveloppe de 20 millions d'euros en faveur de l'"héritage" de la candidature de Paris 2024.
Les acteurs du sport et de l'animation n'ont certainement pas choisi leur voie pour lutter contre la radicalisation islamiste. Mais le phénomène est pourtant bien réel et ils doivent en tenir compte (lire ci-contre notre article du 11 mai 2016). Le ministère de la Ville, de la Jeunesse et des Sports avait ainsi fait de la prévention de la radicalisation l'une de ses priorités pour 2016. Il passe aujourd'hui à l'acte en publiant un guide intitulé "Acteurs du sport et de l'animation, mieux connaître, mieux comprendre et mieux prévenir les phénomènes de radicalisation".
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Dans le cadre de leur prorogation jusqu'en 2022, les contrats de ville devront désormais comporter un volet "action sportive à vocation d’inclusion sociale et territoriale".
La composition des membres fondateurs de la future agence est désormais actée, y compris s'agissant des représentants des collectivités locales. On en sait aussi plus sur son financement et sur ses déclinaisons territoriales, même si celles-ci ne sont pas pour tout de suite.
Le Commissariat général à l'égalité des territoires (CGET) publie une étude recensant démarches, méthodes, outils et panorama d’initiatives associatives, intitulé "Le sport au service de la cohésion.
L’accessibilité à pied aux équipements sportifs dans les quartiers prioritaires de la politique de la ville (QPV) présente "une bonne couverture mais une offre peu variée". Telle est la principale conclusion d'une étude de l’Observatoire national de la politique de la ville (ONPV), réalisée en collaboration avec le commissariat général à l'Egalité des territoires (CGET) et le ministère des Sports, et publiée le 18 janvier.
Développement des infrastructures, financement de la pratique, féminisation… dans son avis intitulé "L’accès du plus grand nombre à la pratique d’activités physiques et sportives", adopté le 10 juillet en séance plénière par 163 voix pour et 4 abstentions, le Conseil économique, social et environnemental (Cese) fait feu de tout bois pour encourager les initiatives de proximité en faveur du sport tout en impliquant davantage les territoires.
En 2017, le Centre national pour le développement du sport (CNDS) a subventionné 5.200 emplois pour un total de 46 millions d’euros. Ces emplois offrent-ils un effet de levier ? Sont-ils pérennes ?
Quel rôle pour les pouvoirs publics et les acteurs privés en matière de sport dans les espaces urbains métropolitains ? C’est la question que s’est posée le bureau de l’Économie du sport du ministère des Sports dans sa dernière note d’analyse , parue début mai 2018.
Le sport, amateur et professionnel, n’est pas un domaine « protégé ». Il faut avoir le courage de dire qu’on ne peut plus, aujourd’hui, défendre une neutralité du sport par rapport aux défis sociétaux et aux agendas politiques.
Le tennis, sport dit "bourgeois" a-t-il sa place en banlieue ? La question est ouvertement polémique, et rejoint une autre problématique, celle du sport dans les quartiers sensibles. A l'heure où les sociétés occidentales se morcèlent, à l'heure où les banlieues françaises se radicalisent, et où les opinions publiques se replient sur elles-mêmes, les politiques publiques se penchent sur le rôle du sport dans notre société, le sport peut-il être à même de recréer un lien social distendu ?
Les zones urbaines sensibles (ZUS) sont les grandes bénéficiaires de la politique de subventions du Centre national pour le développement du sport (CNDS) sur la période 2011-2015. La part des crédits de construction ou réhabilitation d'équipements sportifs attribués en ZUS s'élevait en effet à 25% des subventions du CNDS (hors stades de l'Euro 2016) en 2011, avant de passer, après une augmentation régulière année après année, à 46% en 2015.
Le mardi 13 décembre 2016, l’Agence pour l’éducation par le sport (Apels) et l’association Villes de France, réunissant plus de 600 communes et intercommunalités de plus de 15000 habitants ont signé une convention afin d’étendre sur le territoire les pratiques d’insertion éducative et professionnelle des jeunes par le sport.
Le sport tend à être perçu de manière positive dans les banlieues populaires, où il jouerait un rôle majeur dans l’éducation et dans l’intégration des jeunes. À rebours de ces représentations « enchantées », l’ouvrage de Carine Guérandel montre comment les politiques publiques et les dispositifs sportifs contribuent à renforcer les stéréotypes de genre et l’invisibilité des filles dans les cités.
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