Your new post is loading...
Your new post is loading...
Les ministres des Sports et de la Cohésion des territoires unissent leurs moyens en faveur du sport dans les quartiers..
Photographier pour comprendre l'expérience sportive d’un groupe de joueuses de rugby à Sarcelles, telle est la démarche qui est à l’origine du projet « Les rugbywomen ». Une occasion de revenir sur l’intérêt heuristique des pratiques photographiques pour l’enquête ethnographique.
L’association Bleu Blanc Zèbre a consacré la troisième étape des États généraux de la ville à la question du sport dans les quartiers. L’occasion pour les élus de pointer les difficultés de financement des équipements sportifs, une réalité reconnue par le secrétaire d'État Julien Denormandie, qui fait miroiter "l’héritage" que constitueront les JO de 2024.
Le Centre national pour le développement du sport vient de publier un bilan de son action portant sur les trois dernières années
Ce programme, qui s’adresse en priorité aux 11-18 ans des quartiers pour leur donner accès aux vacances et aux loisirs, s’appuie sur des actions qui s’inscrivent dans les contrats de ville, dans une logique éducative, sportive et culturelle.
Certains discours, initiés par des extrêmes qui aspirent au chaos, tendent à s’imposer. Dans notre pays, la désignation d’un ennemi intérieur se nourrit du terreau fertile d’une identité nationale, républicaine, laïque fantasmée et dévoyée. Aujourd’hui, « le refoulé colonial est à la base du refoulement du multiculturalisme en général et de l’islam en particulier », comme le note Béligh Nabli.
On connaît désormais les derniers arbitrages dans l'octroi des subventions du Centre national pour le développement du sport (CNDS) au titre de l'année 2016. A travers le CNDS, l'Etat consacrera une enveloppe de 20 millions d'euros en faveur de l'"héritage" de la candidature de Paris 2024.
Les acteurs du sport et de l'animation n'ont certainement pas choisi leur voie pour lutter contre la radicalisation islamiste. Mais le phénomène est pourtant bien réel et ils doivent en tenir compte (lire ci-contre notre article du 11 mai 2016). Le ministère de la Ville, de la Jeunesse et des Sports avait ainsi fait de la prévention de la radicalisation l'une de ses priorités pour 2016. Il passe aujourd'hui à l'acte en publiant un guide intitulé "Acteurs du sport et de l'animation, mieux connaître, mieux comprendre et mieux prévenir les phénomènes de radicalisation".
Dans une note de service récemment mise en ligne, le Centre national pour le développement du sport donne le détail de la répartition des subventions de la part équipements pour l'année 2016 ainsi que les modalités de dépôt des demandes pour les porteurs de projet.
Le ministre de la ville, de la jeunesse et des sports, Patrick Kanner, veut mieux contrôler le respect des valeurs républicaines par les clubs sportifs et les associations.
Le ministère de la Ville, de la Jeunesse et des Sports et le Commissariat général à l'égalité des territoires (CGET) lancent un appel à projets pour soutenir les associations nationales favorisant les actions citoyennes liées à la pratique sportive dans les quartiers prioritaires de la politique de la ville.
Le pôle ressources national Sport, éducation, mixité, citoyenneté (PRN-SEMC) du ministère des Sports travaille actuellement à la conception d'un guide intitulé "Penser et gérer des équipements sportifs dans les quartiers prioritaires de la politique de la ville".
|
En 2017, le Centre national pour le développement du sport (CNDS) a subventionné 5.200 emplois pour un total de 46 millions d’euros. Ces emplois offrent-ils un effet de levier ? Sont-ils pérennes ?
Quel rôle pour les pouvoirs publics et les acteurs privés en matière de sport dans les espaces urbains métropolitains ? C’est la question que s’est posée le bureau de l’Économie du sport du ministère des Sports dans sa dernière note d’analyse , parue début mai 2018.
Le sport, amateur et professionnel, n’est pas un domaine « protégé ». Il faut avoir le courage de dire qu’on ne peut plus, aujourd’hui, défendre une neutralité du sport par rapport aux défis sociétaux et aux agendas politiques.
Le tennis, sport dit "bourgeois" a-t-il sa place en banlieue ? La question est ouvertement polémique, et rejoint une autre problématique, celle du sport dans les quartiers sensibles. A l'heure où les sociétés occidentales se morcèlent, à l'heure où les banlieues françaises se radicalisent, et où les opinions publiques se replient sur elles-mêmes, les politiques publiques se penchent sur le rôle du sport dans notre société, le sport peut-il être à même de recréer un lien social distendu ?
Les zones urbaines sensibles (ZUS) sont les grandes bénéficiaires de la politique de subventions du Centre national pour le développement du sport (CNDS) sur la période 2011-2015. La part des crédits de construction ou réhabilitation d'équipements sportifs attribués en ZUS s'élevait en effet à 25% des subventions du CNDS (hors stades de l'Euro 2016) en 2011, avant de passer, après une augmentation régulière année après année, à 46% en 2015.
Le mardi 13 décembre 2016, l’Agence pour l’éducation par le sport (Apels) et l’association Villes de France, réunissant plus de 600 communes et intercommunalités de plus de 15000 habitants ont signé une convention afin d’étendre sur le territoire les pratiques d’insertion éducative et professionnelle des jeunes par le sport.
Le sport tend à être perçu de manière positive dans les banlieues populaires, où il jouerait un rôle majeur dans l’éducation et dans l’intégration des jeunes. À rebours de ces représentations « enchantées », l’ouvrage de Carine Guérandel montre comment les politiques publiques et les dispositifs sportifs contribuent à renforcer les stéréotypes de genre et l’invisibilité des filles dans les cités.
Les sports collectifs sont autant d’outils efficaces pour le vivre-ensemble. L’association, « Sports dans la ville », a décidé de saisir la balle au bond.
Deux projets proposés par l'Union française des œuvres laïques d'éducation physique (Ufolep) ont été retenus par le ministère des Sports dans le cadre du plan Citoyens du sport.
(...) Globalement, le budget 2016 sera de 497 millions,(...) Qui en sont les gagnants ? Tout d'abord l'emploi sportif dans les quartiers prioritaires de la politique de la ville (QPV). Dans le cadre du plan "Citoyens du sport", 100 emplois supplémentaires d'éducatrices et éducateurs sportifs seront créés en 2016 au sein des clubs actifs auprès de la population dans les QPV grâce à une aide du CNDS de 18.000 euros par an et par emploi, soit 6,5 millions d'euros.
Myriam El Khomri, secrétaire d'État chargée de la politique de la ville, s'est rendue, ce 29 avril, à Melun (Seine-et-Marne). L'occasion pour la secrétaire d'État de revenir sur les orientations du programme Ville Vie Vacances.
L’Agence pour l’éducation par le sport (APELS) a rendu public, le 5 juin, le bilan d’une expérimentation unique centrée sur le rôle social et éducatif du sport. Un travail inédit qui met en évidence le fort potentiel du sport dans les quartiers prioritaires, les attentes nouvelles du terreau associatif, et surtout, les clés pour qu’elles soient prises en compte par les collectivités. Un travail qui, par bien des aspects, va faire débat dans les services des sports.
|