(...) "En Syrie, si les opposants au régime d'Assad l'emportaient,la population, libérée de Daech verrait les horreurs du groupe djihadiste, "comme un atroce cauchemar qui a heureusement pris fin" avance le chercheur Gilles Dorronsoro dans Le Monde. Mais si les territoires de l'EI étaient repris par le régime et à nouveau soumis à sa terreur, les Syriens se souviendraient de l'ère Daech comme d'une période "finalement pas si terrible, en comparaison..."