Ce week-end à Nantes, et ce sur plusieurs jours, s'ouvre la sixième journée nationale du 10 mai.
Le 10 mai correspond à l’adoption par l’Assemblée Nationale de la loi ''Taubira'' en 2001. Dix ans après, la ville de Nantes accueille la femme politique qui a donné son nom à cette loi. Le 21 mai de cette même année, l’Assemblée Nationale et le Sénat adoptent la loi suivante ''La République française reconnait que la traite négrière transatlantique ainsi que la traite dans l’océan Indien d’une part, et l’esclavage d’autre part […] constituent un crime contre l’humanité''. La présence de Christiane Taubira, députée et conseillère régionale de la Guyane, marque son soutien aux initiatives de mémoire de la ville de Nantes.
Les 7, 8, 9 et 10 mai sont consacrées à la journée de commémoration nationale des mémoires de la traite négrière, de l’esclavage et de leurs abolitions. Le village associatif prendra, comme à son habitude, ses quartiers place de la Petite Hollande. Spectacles, visites guidées dans la ville, rendez-vous littéraire, projections, conférences, concerts, expositions, de nombreux évènements alimenteront ce ''10 mai''. Ce village de la Mémoire sera animé notamment par Mémoire de l'Outre-Mer, Casa Africa, le Collectif du 10 mai ou encore CitiZen-Nantes. Omar Pène, chanteur engagé en faveur de la liberté et de la démocratie, originaire du Sénégal, sera présent exceptionnellement mardi 10 mai
Exceptionnellement, la cérémonie du ''10 mai'' se déroulera le 9 mai. A 18h30, passerelle Schoelcher, jet de fleurs traditionnel, minute de silence et discours seront assurés par Christiane Taubira et Jean-Marc Ayrault.
Fin 2011, le Mémorial de l’abolition de l’esclavage sera également inauguré. Il marquera un point d'honneur à cette volonté de Mémoire qui anime la ville de Nantes.
Nouvelobs.com et l'Ina proposent aux futurs candidats à l'élection présidentielle un cours en 10 leçons inspirées par la carrière de François Mitterrand. Dixième leçon : "Imprimer sa trace".
[Note du Curateur] Une série de vidéos de l'INA sont visibles sur ce post.
Un beau numéro. Oui, il faut le dire, c'est un beau numéro de La Revue socialiste qu'a concocté son directeur de la rédaction, l'historien Alain Bergounioux, pour le trentième anniversaire de la victoire de François Mitterrand à l'élection présidentielle de 1981.
Cette réussite tient à l'effort qu'ont fait les contributeurs pour tirer les enseignements de cette victoire. C'est le cas de l'historien Jean-Noël Jeanneney.
Dans un article qui aurait pu porter le titre d'un de ses livres, Leçon d'histoire pour une gauche au pouvoir, le président du conseil scientifique de l'Institut François-Mitterrand explique pourquoi, selon lui, le premier secrétaire du Parti socialiste l'a emporté en 1981 : la "maîtrise des rythmes", d'abord, autrement dit "l'art de réinjecter de la lenteur dans la vie publique". L'homme qui voulait "donner du temps au temps", rappelle l'historien, savait "créer lui-même l'événement sans se le laisser imposer". Il s'est déclaré tardivement candidat (le 8 novembre 1980), puis a fait une campagne courte. Bref, il ne s'est pas épuisé, et a su éviter d'épuiser l'opinion. Les souvenirs de Jean Glavany à propos de la campagne de 1981, racontés quelques pages plus loin, vont dans le même sens - et rappellent au passage quelques éléments de bon sens sur l'usage des sondages en période électorale.
Aux autres ingrédients de la victoire - un ancrage résolument à gauche et une capacité à "faire confiance aux vertus de sa propre pédagogie", au risque de prendre l'opinion à revers (ce qui fut le cas à propos de la peine de mort) -, Jean-Noël Jeanneney ajoute une autre réflexion, elle plutôt inspirée par les échecs postérieurs à 1981 : les socialistes, selon lui, auraient dû constituer à l'époque où ils étaient dans l'opposition une sorte de "contre-gouvernement", à la manière des Britanniques. Gage d'efficacité pour les lendemains de victoire, il s'agit, dit-il, d'un besoin "impérieux" aujourd'hui.
Plus encore que les bilans des années Mitterrand dressés par ceux qui en sont également comptables (de Robert Badinter à Hubert Védrine, de Laurent Fabius à Lionel Jospin, en passant par Michel Rocard, dont l'article est à la fois le plus brillant et le plus cinglant), deux autres séries de contributions réunies dans ce numéro sont d'un intérêt particulier. (...)
François Mitterrand en 1981 à Belfort en train de discuter avec Jean-Pierre Chevènement (à droite). A gauche, Raymond Forni, député du Territoire; au second plan, Milo Géhant, le maire de Belfort. Archive Jean Becker
Le Pays BHM :
Jean-Pierre Chevènement, sénateur (MRC) du Territoire de Belfort, a été plusieurs fois ministre de François Mitterrand. Il a aussi pris une part importante dans la victoire de 1981, il y a trente ans. Quels sont vos souvenirs du 10 mai 1981 ?
Vers 18 h, rue de Solférino, j’apprends par un ami travaillant dans une boîte de communication, le résultat des sondages « sortie des urnes » : François Mitterrand devance nettement, d’environ quatre points, Valéry Giscard d’Estaing.
Avec quelques secrétaires nationaux du PS présents à Paris, nous nous répartissons les plateaux de télévision qui me retiendront jusqu’à plus de 11 h du soir. J’éprouve une profonde satisfaction : j’ai adhéré il y a dix-sept ans au Parti socialiste. Il y a dix ans, en juin 1971, c’était le Congrès d’Epinay. Toutes ces années, je les ai englouties pour préparer cette victoire.
Je triomphe modestement, car au fond de moi, je sais la précarité des choses, l’immensité des défis à relever. Je connais l’intérieur des faiblesses du Parti socialiste. Je connais aussi les qualités de François Mitterrand. Serons-nous collectivement à la hauteur ?
Vous vous êtes rendu à la fête place de la Bastille, le soir même. Vous étiez sensible à l’euphorie ambiante ?
Vers minuit en effet, je rejoins la place de la Bastille avec ma femme. Un orage éclate. Une pluie torrentielle s’abat sur les manifestants, sans parvenir à doucher leur joie. Heureusement, une voiture immatriculée dans le 93 nous prend en auto stop. Avant de me laisser embarquer, le jeune conducteur, torse nu, me demande pour qui j’ai voté. Je lui dis : « Mitterrand ! » et il me répond : « Alors montez ! » « Et vous, lui dis-je, pour qui avez-vous voté ? » « Pour personne, me répond-il, je ne me suis pas inscrit ! » Je mesure d’emblée que le soutien des masses n’est pas acquis pour la gauche…
TropLibre : Retour sur le 10 mai 81 : un bilan...pas si rose !
En ce temps de célébration quasi-unanime où l’on croit revivre à trente ans de distance « le passage de l’ombre à la lumière » du 10 mai 1981, l’on nous permettra d’introduire quelques réflexions dissonantes dans le concert de louanges. Car certaines mesures prises dans la première année du gouvernement de gauche pèsent encore lourdement sur notre société et nos comptes publics.
Trois décisions majeures en effet ont été prises dans la foulée du succès électoral de François Mitterrand : les nationalisations, l’octroi du statut de fonctionnaire aux agents des hôpitaux et des collectivités territoriales rendues largement autonomes par la décentralisation, et la « retraite à 60 ans ». La première de ces décisions s’est révélée être réversible ; elle a de ce fait peu nui au pays. En revanche, les deux autres se sont solidement installées dans le paysage institutionnel et social français et constituent toujours une source de dépenses excessives, de déficits publics et d’inefficacité.
L’union de la gauche et son programme commun (...)
Bob Marley, le "pape du reggae" aux plus de 200 millions d'albums vendus dans le monde, est mort le 10+1 mai 1981 à Miami, il y a 30 ans, occasion de rendre hommage à celui qui continue, génération après génération, de faire vibrer la planète. Les rastafaris de Zambie se rassembleront à Lusaka pour un grand concert nocturne afin de "célébrer la vie" de leur idôle, devenue le "porte-voix des défavorisés" de la planète, dont la musique, dit à l'AFP Brian Chengela, directeur de Jah Entertainment, "continue, par sa force, de maintenir une unité qui transcende les croyances, les races, les couleurs, les frontières et les cultures". Concerts, émissions de radios ou télévisées sont également prévus en France où France Ô diffusera le concert "Live at The Rainbow" et le documentaire "The Wailers : Catch a fire", plongée dans les coulisses de cet enregistrement (Catch a fire) en 1972. En 1977, Bob Marley s'était produit avec son groupe, The Wailers, au Rainbow Theatre de Londres, un concert mythique pendant lequel il avait interprété les morceaux de l?album qu?il venait d?enregistrer dans la capitale britannique ("I Shot the Sheriff", "Lively Up Yourself", "Get Up, Stand Up", "Jamming", "No Woman No Cry", "Exodus" et "War"). Deux livres paraissent en français à cette occasion: "Bob Marley, Les secrets de toutes ses chansons 1962-1981", de Maureen Sheridan (éditions Hors Collection), journaliste spécialiste du reggae, à la tête de sa propre maison de disques en Jamaïque et "Bob Marley, destin d'une âme rebelle" (Flammarion) de Francis Dordor, journaliste aux Inrockuptibles. (...)
Lionel Jospin a assuré vendredi que le 10 mai 1981 avait été pour lui "un choc politique et émotionnel" et que "ce qui a tourné autour de 1981" a été d'une "force émotive plus grande" que le jour où il est devenu Premier ministre en 1997.
Le 10 mai 1981, alors premier secrétaire du PS, M. Jospin a raconté: "j'étais d'abord dans le XVIIIè où je votais, ensuite au siège du PS où j'attendais les résultats et enfin sur la place de la Bastille et à nouveau très tard auprès de François Mitterrand quand il a nous rejoints depuis Château Chinon au siège du Parti socialiste". "Dominait évidemment une force d'exultation, de joie triomphante et puis commençait à se glisser parmi nous la conscience des difficultés qui nous attendaient" (...)
Le 10 mai 2011 le Comité d'Organisation du 10 mai en collaboration avec l'UNESCO, organise une conférence-débat à l'occasion du 10ème anniversaire de la loi 2001-434 dite Taubira. A cette occasion nous avons la présence en exclusivité en France; Mme Malaak SHABBAZ, fille du Dr Betty SHABBAZ épouse de Malcolm X.
L'Assemblée nationale française se prononcera mardi 10 mai, par un vote solennel, sur le projet de loi de réforme constitutionnelle relatif à l'équilibre des finances publiques dont l'examen a pris fin dans la nuit de mercredi à jeudi. L'opposition a déjà annoncé qu'elle voterait contre, s'attirant les foudres du gouvernement, qui aura besoin in fine d'une majorité des 3/5es des parlementaires pour l'adoption définitive de ce texte constitutionnel par le Congrès réuni à Versailles. (...)
Le député Maxime Gremetz (apparenté PCF), exclu temporairement du palais Bourbon pour avoir provoqué un esclandre, pourra regagner l'Assemblée --hasard du calendrier-- le 10 mai, jour anniversaire de la victoire de François Mitterrand en 1981, a-t-on appris de source parlementaire. Il pourra de nouveau circuler librement dans l'enceinte du Palais Bourbon à partir de mardi à 00H00, a-t-on précisé.
L'élu de la Somme avait provoqué un esclandre mi-mars en pleine réunion publique sur l'accident nucléaire au Japon. Cet incident lui a valu une sanction inédite, une exclusion temporaire (interdiction de paraître au palais Bourbon jusqu'à l'expiration du 15e jour de séance publique suivant la décision), prononcée le 23 mars par le Bureau (organe dirigeant) de l'Assemblée. Il a aussi écopé d'une privation de la moitié de son indemnité parlementaire en avril et en mai.
Play3-Live Disney Interactive nous informe que LEGO Pirates des Caraïbes : le jeu vidéo sortira finalement le 10 mai. Dans cette adaptation de la célèbre série de long métrages, nous retrouverons Jack Sparrow, c'est la moindre des choses, et plus de 70 autres personnages. Nous y découvrirons aussi en avant-première des éléments du quatrième film, sous-titré la Fontaine de Jouvence.
Une démo devait également précéder le jeu, malheureusement, l'interruption du PSN ne nous permettra pas de l'obtenir avant sa sortie.
[note du Curateur] Cette carte concerne le 10 mai 2011 fêtant le trentenaire du 10 mai 1981
En ce mardi pas tout à fait comme les autres, le Peuple de Gauche regarde avec nostalgie dans le rétroviseur, suivre le Tag 30ans http://www.scoop.it/t/10-mai?tag=30ans D'autres, dont notre Président, regardent encore plus loin dans le passé et curieusement le Tag est 10ans : http://www.scoop.it/t/10-mai?tag=10ans
Le général Farmbacher, commandant de la forteresse de Lorient, a signé le cessez-le-feu le 7 mai à Étel. Avant la reddition des troupes à Caudan, il a été enfermé au haras.
Ouest-France Dans le courant de l'après-midi du 10 mai 1945, un convoi de huit voitures est arrivé au haras sous bonne escorte américaine. (...)
A l'occasion de la diffusion de la web-série en 10 épisodes "Mitterrand du verbe à l'image, petit précis de communication pour conquérir l'Elysée", sa réalisatrice, Lucie Cariès, revient sur la manière dont l'ancien président socialiste a conquis la caméra et la télévision. La documentariste aborde également comment ses successeurs ont adapté la communication à leur propre mandat.
Les deux boîtes noires, toujours à bord de l’Île de Sein, le bateau chargé de les repêcher, devraient être acheminés en Guyane d’ici mardi prochain, avant de repartir par avion vers la France selon Daniel Ferey, préfet de Guyane.
Le patrouilleur La Capricieuse est parti jeudi après-midi 5 mai pour rejoindre l’Île de Sein, toujours sur les lieux où repose l’épave du vol AF447 d’Air France. Il récupérera les deux boîtes noires pour les acheminer en Guyane. Ces précieuses cargaisons seront accompagnées de près par un OPJ (officier de police judiciaire) de la gendarmerie, un personnel du Bureau Enquête Analyses (BEA) et un officier brésilien. Ensuite, les données de vols ainsi que les enregistrements des voix de pilotes dans le cockpit, repartiront vers la métropole par avion.
Les familles attendent beaucoup de ses boîtes noires dans l’explication du crash du vol Rio-Paris de juin 2009, mais nul ne sait encore si les données pourront être récupérées, car la durée pendant laquelle elles ont reposé à 3 900 mètres de profondeur laissent planer quelques incertitudes. Sur place, le bateau Île de Sein poursuit son travail de repêchage des corps (deux ont déjà été remontés à bord jeudi et vendredi), mais la direction générale de la gendarmerie nationale (DGGN) a déjà indiqué que cette mission était délicate et qu’il subsistait de « fortes incertitudes » quant à la réussite complète de cette seconde mission.
José Gomez de Soto et son «chapeau doré», exposé au musée d'Angoulême.Photo Phil Messelet
- Charente Libre :
Agris sans le casque gaulois, c'est Guernica sans Picasso, la Nouvelle Vague sans Truffaut, les rallyes sans Loeb. Difficilement imaginable trente ans après la découverte. Preuve de cette notoriété intacte: le nouveau restaurant du bourg s'appelle «Le Casque d'Or». Sa carte est décorée du fameux «chapeau doré», comme le nomme avec humour son découvreur, José Gomez de Soto.
10 mai 1981, Agris à l'unisson de la France rose, entre dans l'histoire. Ce jour-là, le directeur de recherches du CNRS s'en souvient comme si c'était hier. «On s'est retrouvé sur le parking devant la grotte des Perrats avec l'un des spéléos qui avait trouvé un bout de bronze avec de l'or dessus. Le morceau suffisait à identifier le casque. Il n'y avait pas de doute. C'était la stylistique du IVe siècle avant J.-C. On a effectué une balade dans le réseau. On a découvert un second fragment qui se raccordait, poussé dans les terriers par les blaireaux. Dès le lendemain, je prévenais les services archéologiques pour mettre en route une fouille de sauvetage», raconte José Gomez de Soto, devant le couvre-chef, placé sous bonne garde au musée d'Angoulême.
La petite commune d'Agris allait vivre un printemps 81 mémorable. Tout le monde jouait le jeu. Le propriétaire, René Balloux, abandonnait ses droits pour une indemnisation symbolique. La mairie mettait à disposition l'école et ses moyens techniques. «Pendant deux mois, c'était le black-out total pour éviter le pillage du site».
Tout est allé très vite. «Trois ou quatre séances de fouilles» ont suffi pour mettre à nu le chef-d'oeuvre de l'art celtique, amputé des deux premiers fragments. «Un lycéen qui fouillait avec moi m'a alerté. Son pied passait au travers. Le casque se trouvait à 35 centimètres de profondeur. On voyait la bordure en surface. On a mis une journée entière à le sortir. En passant la main, on s'est rendu compte qu'il était complet». (...)
En raison de travaux programmés, le Tunnel sous Fourvière sera fermé dans les deux sens de circulation durant les nuits du 9 au 12 mai 2011, à partir de 21h et jusqu'à 6h le lendemain.
Pour Serge Moati, "François Mitterrand a transformé la fonction de président".
- L'indépendant.fr
À la veille de la commémoration du 10 mai 81, que vous inspire cette nouvelle miterrandolâtrie ?
Quel souvenir gardez-vous de l'élection de François Mitterrand ?
D'un superbe quiproquo et des larmes de Laurent Fabius, rue de Solférino. Prévenu en fin de journée par un institut de sondage, on comprend dans un premier temps que c'est la droite qui a gagné. Puis, on réalise notre méprise même si j'étais complètement incrédule.
Pourquoi ?
Pour ma génération, c'était hautement improbable. Nous avions toujours perdu. D'ailleurs jusqu'à l'annonce des résultats, je n'y ai pas cru.
Avec le recul, pensez-vous que le débat télévisuel a été un acte décisif de l'entre deux tours de 1 981 ?
Non, car on sentait que Mitterrand tenait le bon bout. Il est vrai néanmoins que c'était serré et que nous ne pouvions pas nous permettre de perdre une voix. Et ne pas perdre, voulez dire gagner. Mais on dit que Mitterrand ne voulait pas de ce débat ?
Il gardait en effet un souvenir humiliant du débat de 1974 où Giscard avait été bon. Il excellait dans ces exercices télévisuels. Mitterrand, lui redoutait les caméras. Il avait peur de reproduire sa piètre performance. (...)
Et comme le voyage fut doux et agréable... Je vous invite à le refaire avec moi aujourd'hui... Souvenez-vous, nous sommes dans les années 80... On a à peine 10 ans...Et à la télé, pas de Pokémon ou autres dessins animé tout bidon, non !
Vous trouvez qu’il y aurait des modifications à faire sur la production et la distribution des médicaments ? Les récents scandales vous ont concerné ? Vous avez envie de faire bouger les choses sur la politique du médicament ? Ce débat est pour vous.
Le mardi 10 mai, la Mutualité Française organise une rencontre intitulée "Médicament : ce qui doit changer !". Ce rendez-vous, ouvert aux adhérents mutualistes, se tiendra à Nantes (Loire-Atlantique), au grand auditorium de la Cité internationale des congrès. Les débats viendront alimenter les propositions de la Mutualité Française en vue des élections de 2012.
Négligences en série, défaillances au sein du système d'autorisation, d'évaluation et de surveillance du médicament : l'affaire du Mediator® a mis en lumière de graves dysfonctionnements qui ont conduit à un véritable scandale sanitaire. Suite à cette affaire, la Mutualité Française a publié un plan pour "moraliser et moderniser la politique du médicament".
Des changements en profondeur sont nécessaires si l'on ne veut pas laisser se développer un sentiment de suspicion à l'encontre du médicament, préjudiciable à la santé publique", explique Etienne Caniard, président de la Mutualité Française. Venez nombreux !
Mardi 10 mai, à Nantes, de 14h à 16h30, dans le grand auditorium de la Cité internationale des congrès.
(Boursier.com) -- La 8ème édition de la Caravane des Entrepreneurs s'arrête le 10 mai à Paris. Organisée comme un pôle d'expertise itinérant sur le thème de l'entreprise (création ou reprise d'entreprise, auto-entrepreneur, franchisé...), la Caravane regroupe des représentants de toutes les spécialistes de la gestion de l'entreprise. Elle propose aux visiteurs des accompagnements individualisés par des experts de l'entrepreneuriat. Le greffe du tribunal de Commerce de Paris partenaire au quotidien des entrepreneurs vous donne rendez-vous lors de ce rendez-vous incontournable du printemps.
Le 10 mai prochain la Caravane des Entrepreneurs fera escale Place Baudoyer, sur la place de la mairie du 4ème arrondissement de Paris.
Du 10 au 15 mai – La Bellevilloise Du 19 au 29 mai – Le musée du quai Branly Du 17 mai au 05 juin – Le Musée du Montparnasse Soirée de lancement: le 28 avril à l’Auditorium de l’Hôtel de ville de Paris (sur invitation) Mais aussi: . Le Cap – Aulnay-sous-bois . Deux Pièces cuisine – Blanc-Mesnil . Argo’Notes – Montreuil INFOLINE : 01 48 59 36 11
Dans sa nouvelle exposition « Les Tours du monde de Titouan Lamazou » présentée pour la première fois à La Cité de la Voile Eric Tabarly, Titouan déploie toute sa palette d’artiste pour faire partager ses rencontres du bout du monde. Photos, vidéos, gouaches et dessins sont autant de points de vue différents sur ce qui constitue l’essentiel du travail de l’artiste voyageur : l’échange et la découverte de l’autre. Cette mosaïque de regards croisés s’offre dans une mise en scène inédite à découvrir à Lorient du 10 mai au 17 juillet 2011, grâce au soutien de Cap l’Orient agglomération.
Tarifs exposition « Les Tours du monde de Titouan Lamazou » : adulte 6 euros, enfant (de 4 à 7 ans) et abonnés : 4 euros.
Tarifs visite couplée Cité de la Voile Eric Tabarly et exposition Titouan Lamazou : adulte 15,60 euros, enfant (de 5 ans à 17 ans) et abonnés : 11,50 euros.
La Cité de la Voile Eric Tabarly est ouverte du lundi après-midi au dimanche de 10h à 18h, tous les jours pendant les vacances scolaires et durant l’été tous les jours de 10h à 19h.
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