EXPLORATION
234.5K views | +1 today
Follow
EXPLORATION
Découverte du monde tous azimuts sans tabous • « Le véritable voyage de découverte ne consiste pas nécessairement à chercher de nouveaux paysages, mais à avoir de nouveaux yeux »  • Propulsé par http://activeast.free.fr
Your new post is loading...
Your new post is loading...
Scoop.it!

Enquête sur Georges Soros et son néocolonialisme en Afrique, par Kemi Seba

"Qui est Georges Soros, un des principaux acteurs dans la géopolitique mondiale actuelle? Kemi Seba nous en fait un portrait et met en garde contre son action déstabilisatrice en Afrique."

 

  • Aller encore plus loin sur #soros
No comment yet.
Scoop.it!

The Soros Connection - Base de données

The Soros Connection - Base de données | EXPLORATION | Scoop.it

"Migrants, révolutions colorées et déstabilisations financières : suivez la piste Soros et plongez dans l’œil du cyclone.

 

The Soros Connection rassemble sur sa page Facebook toute information sur George Soros et sur ce blog, des articles synthétisant rapports comptables, cartographies des réseaux et prospectives de Thibault Kerlirzin."

No comment yet.
Scoop.it!

Les usines à faux drapeaux de George Soros

Les usines à faux drapeaux de George Soros | EXPLORATION | Scoop.it

"Le magnat nomadisé des fonds spéculatifs et perturbateur politique professionnel, George Soros, mène une guerre contre les États à l’aide de symboles, une guerre où les armes utilisées sont des drapeaux et des banderoles qui ont été soit ressuscités du passé, soit sortis du chapeau par une myriade de groupuscules associatifs, dans le but d’attiser les tensions religieuses, raciales ou ethniques dans le monde entier.

Que ce soit celui du mouvement serbe OTPOR!, avec son poing levé, adopté par divers groupes de manifestants dans le monde, ou le sinistre drapeau noir et blanc de l’État islamique, qui est d’abord apparu au cours des printemps arabes soutenus par George Soros, force est de constater que les usines à faux drapeaux de Soros tournent à plein régime.

Soros et ses sbires ont appris leur leçon sur l’importance du symbolisme dans les ouvrages de Gene Sharp, fondateur de l’Institution Albert Einstein de Boston, dans le Massachusetts. Si certains chercheurs en sciences politiques établissent un parallèle entre le catéchisme politique de Sharp sur la manière de mener des rébellions non violentes, avec les thèses défendues par Gandhi et Martin Luther King, il apparait surtout que ses enseignements sur la façon de bouleverser l’équilibre politique d’une nation relève plus de techniques empruntées à Mao, Marx et Hitler.

Dans la boîte à outils du petit révolutionnaire fournie par Sharp, on trouve les «drapeaux et couleurs symboliques», les «slogans, caricatures et symboles» ainsi que les «banderoles, posters et autres éléments de communication visuelle». Les «couleurs symboliques» ont été largement utilisées par les ONG de Soros et la CIA dans leur soutien aux «révolutions colorées» en Ukraine (l’orange), au Kyrgyzstan (le rose), et les révolutions avortées en Iran (le vert), au Koweit (le bleu) et en Birmanie (le safran)." (...)

No comment yet.
Scoop.it!

Les fondations Rockefeller et Ford derrière le Forum social mondial : quand le militantisme social est financé par des fondations privées

Les fondations Rockefeller et Ford derrière le Forum social mondial : quand le militantisme social est financé par des fondations privées | EXPLORATION | Scoop.it

"Cette année, le Forum social mondial se tient à Montréal. Le FSM réunit des militants sociaux engagés, des collectifs contre la guerre et des intellectuels de renom.

La plupart des participants ignorent que le FSM est financé par des fondations privées dont Ford, Rockefeller, Tides et consorts. Ce financement est en grande partie versé aux organisateurs du FSM sous la gouverne de son Conseil international.

Cette question a été soulevée à maintes reprises par des organisations progressistes et des militants du FSM : on ne peut lutter contre les élites du néolibéralisme et du nouvel ordre mondial et s’attendre en même temps à ce qu’elles financent nos activités!

Le Forum social mondial, dont le thème est « Un autre monde est nécessaire, ensemble il devient possible! », a vu le jour en 2001 lors de la tenue du tout premier forum à Porto Alegre, au Brésil.

Depuis sa création en 2001, le FSM est considéré comme un groupe de coordination internationale représentant des organismes populaires de la base déterminés à lutter contre la mondialisation. Son but déclaré est de remettre en cause le capitalisme d’entreprise et le modèle économique néolibéral dominant.

Lors de sa réunion inaugurale, le Forum social mondial s’est défini comme une contre‑offensive au Forum économique mondial (FEM), qui réunit annuellement des dirigeants d’entreprise et des politiciens à Davos, en Suisse. Le FSM de 2001 à Porto Alegre s’est tenu en même temps que le FEM à Davos.

Le FSM a certes de nombreuses réalisations importantes à son actif, attribuables en grande partie à la détermination des militants de terrain, sauf que la direction centrale du FSM, au lieu de s’opposer efficacement aux élites du nouvel ordre mondial, sert plutôt leurs intérêts corporatifs (souvent involontairement). C’est que le financement corporatif est devenu un moyen de coopter le FSM.

Le FSM a accompli deux grandes réalisations : sa participation en février 2003 à la protestation mondiale contre la guerre menée par les USA en Irak, et son soutien aux mouvements et aux gouvernements progressistes, notamment en Amérique latine.

Par contre, lors du FSM de 2013 à Tunis, la déclaration finale était en principe favorable à « l’opposition syrienne » soutenue par les USA. De même, le Groupe islamique des combattants libyens (LIFG), qui aurait prétendument dirigé le « printemps arabe » contre le gouvernement de Mouammar Kadhafi, a été tacitement confirmé comme une force révolutionnaire. Plusieurs ateliers sur la Libye louangeaient l’intervention militaire occidentale. Un atelier intitulé « transition de la Libye vers la démocratie » portait sur la question à savoir si la Libye s’en tirait mieux sans Kadhafi.

Financer la dissidence

Dès ses tout débuts en 2001, le Forum social mondial a été financé par des gouvernements et des fondations privées, dont la Ford Foundation, qui a des liens avec les services secrets étasuniens.

Le mouvement altermondialiste s’oppose à Wall Street et aux géants du pétrole du Texas contrôlés par Rockefeller et consorts. Pourtant, les fondations et les organismes de bienfaisance de Ford, Rockefeller et consorts accordent de généreuses contributions aux réseaux anticapitalistes progressistes et aux environnementalistes (opposés à Wall Street et aux géants du pétrole), dans l’espoir de finir par pouvoir les encadrer et coordonner leurs diverses activités.

Les mécanismes de la « fabrication de la dissidence » opèrent dans un environnement manipulable, par la coercition et la cooptation subtile d’un petit nombre de personnes qui comptent au sein des « organisations progressistes » comme les coalitions contre la guerre, les groupes environnementalistes et le mouvement altermondialiste. Bien des dirigeants de ces organisations ont dans un certain sens trahi leur base populaire.

Les corporations financent la dissidence pour mieux la contrôler.

La Ford Foundation (qui a des liens avec la CIA) a fourni des fonds au FSM pendant ses trois premières années d’existence dans le cadre de son programme axé sur le « renforcement de la société civile mondiale ».

Lorsque le FSM s’est tenu à Mumbai en 2004, le comité organisateur indien a décliné l’offre de soutien de la Ford Foundation. Mais cela n’a pas en soi modifié les liens du FSM avec les donateurs. Lorsque la Ford Foundation s’est retirée officiellement, d’autres fondations se sont positionnées.

Le FSM dispose de plusieurs sources de financement, dont celui d’un consortium de fondations privées sous la tutelle consultative du réseau Engaged Donors for Global Equity (EDGE).

Ce réseau, auparavant connu sous le nom de The Funders Network on Trade and Globalization (FTNG), joue un rôle de premier plan dans le financement des FSM successifs. Depuis le tout premier Forum en 2001, il a le statut d’observateur au Conseil international du FSM." (...)

No comment yet.
Scoop.it!

Alex Jones s'indigne de George Soros

"Alex Jones parle du riche parasite milliardaire des femen, George Soros. Au début de son intervention, il fait référence à l'émission anglaise "60 minutes" qui a interviewé George Soros, en 1998. Dans cette émission, GS racontait fièrement que lorsqu'il était petit (7-8 ans déjà), il repérait des juifs et les dénonçait à la police pour gagner du fric. Le problème d'Alex Jones est que malgré cela, GS est depuis toujours encensé par les nazis de l'ADL (Anti Dfamation League, l'équivalent US de la LICRA en encore plus riche, encore plus malsain (si c'est possible) et encore plus puissant."


L'Esprit Du Moment's insight:
No comment yet.
Scoop.it!

Qui est George Soros ?

"OpenSociety, Manifestations Anti-Trump, Révolutions colorées, Black Lives matter, Femen, Ingérence, Spéculation"

 

No comment yet.
Scoop.it!

Interview rare du milliardaire sociopathe George Soros de 1998 (VOSTFR)

No comment yet.
Scoop.it!

L'EMPIRE SOROS - Conférence de Maurice Gendre et Thibault Philippe

"Le 19 mars 2016, l'équipe d'ER Lille accueillait Maurice Gendre et Thibault Philippe pour une conférence intitulée SOROS WARS, l'empire Soros.

Cette conférence dénonce la face cachée des ONG, les intérêts des spéculateurs à financer des actions dites "citoyennes", et comment la soit-disant "société civile" composant ces organisations est en réalité souvent très liée à des réseaux de pouvoir et d'influence. Thibault Philippe propose également, afin de se défendre contre ces manipulations de l'opinion publique, une méthodologie visant à démasquer les entreprises faussement désintéressées et spontanées."

No comment yet.
Scoop.it!

Kemi Seba: "les liens entre le journal Le Monde, Soros, le Quai d'Orsay"

Kemi Seba, chroniqueur géopolitique panafricaniste, dévoile les liens entre le JOURNAL LE monde, Soros, et le quai d'Orsay. www.kemiseba.com
No comment yet.
Scoop.it!

Les dealers Bill Clinton & George Bush, par Laurent Glauzy

Les dealers Bill Clinton & George Bush, par Laurent Glauzy | EXPLORATION | Scoop.it

"La bataille pour la libéralisation de la drogue par l’ultra-capitaliste apocalyptique Soros dure depuis des décennies. L’Open Society Foundations, l’organisme de Soros fondé en 1979, travaille à ce dessein avec un autre instrument entre les mains des Illuminati et des services secrets britanniques, le Tavistock Institute, dont les Beatles furent le produit. Dès les années 1960, les Warburg, principaux soutiens de cet institut, financèrent les célèbres laboratoires Sandoz pour la production du LSD.


Berlinois de naissance, né sous la période de l’Allemagne national-socialiste, réservé mais très pragmatique, Aryeh Neier, bien entendu activiste des droits de l’homme, est investi par Soros comme dirigeant de l’Open Society Institute (ancienne appellation de l’OSF jusqu’en 2011), avec un budget, en 1993, de 500 millions de dollars. Dans un article de 2003, Neier se rappelle avec gratitude de Soros, de son programme des années 1960 sur la dépénalisation de la marijuana, de la méthadone, de l’entretien des héroïnomanes et des programmes alternatifs aux peines de détention. Un programme qui permet à Soros de continuer à écouler sa dope" (...)


L'Esprit Du Moment's insight:

Connexe http://explicithistoire.wordpress.com/2014/01/07/les-dessous-de-la-cia/

No comment yet.