Metaglossia: The Translation World
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Curated by Charles Tiayon
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South Africa’s national symbols | Soweto

Source: Department of Arts and Culture, South African Government Online
A country’s symbols – seal, motto, flag, anthem, coat of arms and natural symbols – tell its story and play a crucial role in building pride and a sense of belonging. South Africa’s national symbols are rich in heritage, and tell the stories of the country’s abundant natural and cultural diversity.
The Department of Arts and Culture is the custodian of all our national symbols and is tasked with educating all South Africans in their meaning and history, especially during the annual national Heritage Month, held during September.
In April 2012 the South African Post Office released a stamp set depicting all the national symbols. It can be purchased at post offices countrywide, or online through the virtual post office.
Decoding the coat of arms
A coat of arms of any country is the highest visual symbol of that country, and is part of the great seal, which confers absolute authority on all documents bearing it. South Africa’s new coat of arms was launched on Freedom Day, 27 April 2000, during former president Thabo Mbeki’s administration. It was created by designer Iaan Bekker and replaced the former coat of arms which had been in use since 1932.
The coat of arms is elegant and contemporary in design and distinctly egg-shaped. In the lower portion, known as the oval shape of foundation, the first element is the motto in a green curve, which is completed by two symmetrically placed pairs of elephant tusks pointing upwards. Within the oval shape formed by the tusks are two symmetrical ears of wheat symbolising fertility, which in turn frame a centrally placed gold shield, reminiscent of a drum.

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Translation of the Olympic Hymn

En cette période de campagne électorale, une passionnée de politique comme moi tente de suivre tout ce qui s'y passe, et ce, dans tous les partis. Indépendantiste convaincue, je m'informe avec davantage d'intérêt sur ce qui se passe dans la sphère souverainiste. Je suis tombée sur des vidéos du chef d'Option nationale, Jean-Martin Aussant, s'exprimant au sujet de son parti... en anglais et en espagnol. Il m'est apparu étrange qu'un parti souverainiste s'affichait à l'aide de langues différentes de la langue officielle du Québec, qui plus est, celle qui est au coeur du projet d'indépendance.
Une militante du comité national m'a donc expliqué que son parti voulait faire la souveraineté avec les Québécois de toutes origines. C'est un objectif noble auquel j'aspire aussi, cependant, j'estime qu'il faudrait le faire dans la langue commune, et non dans de multiples langues: rassembler les gens de différentes origines dans une culture et dans une langue commune. S'adresser aux minorités dans leur langue, c'est faire le raisonnement que ces gens ne se sont pas francisé: s'ils ne l'ont pas fait, peut-on considérer qu'ils s'intéressent vraiment à la politique du Québec, qui plus est, à la question nationale? S'adresser à eux dans leur langue, n'est-ce pas faire preuve d'un accommodement raisonnable et ainsi encourager «le multiculturalisme à la canadienne» dont veulent probablement s'affranchir les militants d'Option nationale? Utiliser des moyens comme l'espagnol pour intéresser l'hispanophone à l'indépendance du Québec, c'est le conforter en lui disant que s'il n'apprend pas la langue, qu'on viendra à eux: c'est un peu un non-sens pour des indépendantistes qui écrivent dans leur programme (point 5.2) «qu'un gouvernement d'Option nationale fera de la connaissance fonctionnelle du français un critère obligatoire pour immigrer au Québec».

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Un concours pour trouver un hymne national

Zurich (Sipa) La Société suisse d'utilité publique (SSUP) va lancer ces prochains mois un concours pour trouver un nouvel hymne national. Elle considère que les paroles du cantique suisse sont "lourdes de style" et "peu actuelles". Le nouvel hymne devrait être introduit le 1er Août 2015. Les candidats devront présenter un texte en deux langues.

La SSUP a souligné mercredi qu'elle est persuadée qu'un nouveau texte de l'hymne national lui "conférerait une meilleure adhésion de la population" et "serait entonné avec davantage d'enthousiasme". Le concours sera organisé ces prochains mois sur la base du préambule de la Constitution fédérale de 1999. Les participants vont devoir puiser dans leur créativité "afin de rédiger, en conservant l'architecture de la mélodie actuelle, un nouveau texte qu'ils présenteront au concours en deux langues nationales".

Un règlement détaillé du concours va être élaboré dans les semaines à venir. Un jury va être créé à l'échelon national: il devra "dresser un plan afin de s'allier les forces politiques indispensables à la réalisation de ce projet". Le public sera régulièrement informé sur l'avancement des travaux.

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