Un credo illusoire, selon l’Union des familles en Europe.«Comment vit-on vraiment le divorce de ses parents ?», s’est interrogée l’association, qui prône la défense des intérêts des familles et souhaite contrebalancer les thèses actuelles sur le «divorce heureux».
Dans une enquête, elle a posé la question à 1137 personnes, âgées de 18 ans à plus de 56 ans, «victimes» d’une rupture parentale.
Pour l’écrasante majorité (88 %), cette séparation a eu des effets à long terme sur leur personnalité.
48 % des personnes interrogées projettent l’ombre de la séparation jusque dans leur propre vie sentimentale.
56 % des personnes interrogées évoquent des études écourtées, des conditions matérielles peu propices à la course aux diplômes ou encore des difficultés de concentration. Pour 41 % d’entre eux, l’onde de choc se répercute jusque dans leur vie professionnelle.
http://affairesfamiliales.wordpress.com/2012/04/03/les-enfants-de-divorces-seront-ils-des-adultes-perturbes-que-deviennent-ils/
Via
Actus des familles,
694028
En Suisse, la psychologie légale n’a aucun code déontologique et pratique au bon vouloir de chacun, avec une absence préoccupante de cadre.
Cette absence de code déontologique est la porte ouverte à tous les abus de pouvoir, ainsi qu’une mise en danger des enfants et des familles.L’étude de Philip JafféEn 2008, le psychologue Philip Jaffé a publié un article à ce sujet : La déontologie professionnelle du psychologue helvétique (voir en page 35 de ce document).Dans cet article, Philip Jaffé raconte qu’au cours de son enquête il a constaté que même pour le code déontologique de leur pratique clinique, seuls 10 % des psychologues suisses le connaissaient bien (10 % n’avait jamais vu leur code de déontologie et 80% le connaissaient très peu).Philip Jaffé termine l’article en disant que puisqu’il n’y a pas de code déontologique pour la psychologie légale, les experts judiciaires peuvent consulter les codes déontologiques de leur pratique clinique ou le code déontologique américain de la psychologique forensique.L’institut de formation des experts psycho-judiciaires suissesEn Suisse, les experts psycho-judiciaires sont formés par l’Institut Universitaire Kurt Bosch (IUKB).Cet institut n’a aucun code déontologique, lui non plus. Voir cette page : Diplôme d'expertises psycho-judi