From the Atlantic Ocean to our own backyards, our researchers have been hunting high and low for inspiration to help better understand and tackle superbugs. For World Antibiotic Awareness Week Jonathan Pearce, MRC’s Head of Infections and Immunity, highlights some of the remarkable interdisciplinary teams carrying out this fascinating research.
From deep-sea sponges to dragonfly wings: Superbug research from unexpected places - News - Medical Research Council, 12.11.2018
Bernadette Cassel's insight:
via Recherche animale sur Twitter, 24.11.2018 :
"#Antibiorésistance: depuis les propriétés #antibactériennes des ailes de #cigale et de #libellule jusqu'à un #antimicrobien issu de l'#éponge de mer, les scientifiques misent sur la nature pour apporter des solutions à l'antibiorésistance..."
Saviez-vous que l’abdomen des cigales est aux trois quarts creux ? J’étais vraiment étonné de l’apprendre et du coup, ça m’a donné envie d’en savoir plus. Déjà, j’ai trouvé une image sympa où l’on voit le soleil traverser l’abdomen de la cigale en lui conférant cette douce luminosité.
"INTERVIEW. Un premier cas de Xylella fastidiosa a été découvert mercredi en Corse. Thierry Candresse, spécialiste des pathologies affectant les arbres fruitiers [, virologue à l'Inra], en détaille les caractéristiques."
[...]
« Comment se propagent ces bactéries ?
Via les petits insectes se nourrissant de la sève des plantes infectées. Dans leur œsophage, les bactéries s’accumulent en attendant de contaminer le prochain plant où ils s’alimenteront. D’un point de vue épidémiologique, c’est un processus très efficace. On sait que deux espèces de cicadelles [un insecte parasite, ndlr], très répandues en Europe, peuvent la véhiculer. La cigale est soupçonnée de faire de même, mais cela reste à démontrer. Sur les longues distances, la maladie voyage de deux façons : par le commerce ou l’importation illégale de plants infectés, ou, c’est moins courant, par le transport d’insectes porteurs de la bactérie. »
Des études morphologiques, acoustiques et génétiques à permis à une équipe de scientifiques de retracer l'histoire évolutive des cigales d'Europe
Passion Entomologie, 25.02.2015. « L’équipe internationale dirigée par le Professeur suisse Peter Nagel et le doctorant Thomas Hertach vient de publier dans la revue « Zoological Journal of the Linnean Society » une nouvelle classification des cigales de montagne de Suisse et d’Italie. Auparavant, l’ensemble des populations de cigales de ces régions était regroupé en une seule espèce : Cicadettamontana (Scopoli, 1772). Or, des études morphologiques, acoustiques et génétiques ont révélé l’existence d’une nouvelle espèce : Cicadettasibillae, qui fait partie d’un complexe de 10 espèces issues d’une seule espèce ancestrale du Pléistocène. »
Cigale.info. « [...] La cigale ne se frotte pas les ailes pour chanter, c'est le grillon qui fait ça. L'appareil à chanter de la cigale ressemblerait plutôt à une tôle convexe que l'on déformerait. La femelle est muette. Seul le mâle chante (pour les attirer). Elle vit plusieurs années sous terre et seulement quelques semaines au soleil pour mourir ensuite. Aucune cigale n'a jamais passé l'hiver. Adulte ou à l'état de larve, elle se nourrit exclusivement de sève, de rien d'autre. Ni mouches ni vermisseaux... n'en déplaise à Monsieur Jean de La Fontaine. »
Par Karim Madjer. Sweet Random Science. « [...] Comme vous le savez sans doute, la partie est des États-Unis fait face à une invasion massive de cigales cette année. Les spécialistes s'attendent à un déferlement gigantesque de Tibicina septendecim : entre 30 et 100 milliards de cigales, dont un milliard dans la ville de New-York seulement. »
« Une invasion spectaculaire mais inoffensive, si on exclut les nuisances sonores : le chant d'une cigale peut atteindre 100 décibels, soit l'équivalent du bruit de la circulation intense sur les avenues de la mégapole ! »
« À la fin du printemps, surgissant de la terre où elles étaient restées blotties pendant 17 ans, elles vivront 6 semaines intenses avant de passer le témoin génétique à une autre génération. En raison de leur cycle de vie particulier, elles sont aussi appelées "cigales périodiques". »
[...]
Bernadette Cassel's insight:
"Certaines cigales sortent de terre tous les 17 ans seulement ! Pourquoi ? Quel rapport avec les nombres premiers ? Et pourquoi l'US NAVY s'y intéresse-t-elle autant ?"
5) (ma preuve morphologique préférée avec le réseau de veines) Au moment de la dernière métamorphose que subit la nymphe pour passer au stade adulte, le casque se déplie et gonfle… comme une aile! Pour vous aider à comprendre, voici la manière dont les ailes se déplient chez une cigale qui passe au stade adulte:
Mais on y apprend aussi que le groupe d’espèces le plus proche des membracides, en terme de parenté, est celui des cicadas… Mince, c’est un terme anglophone… Peut-être que le son suivant vous mettra alors la cicada à l’oreille:
"All periodical cicadas belong to the same genus, Magicicada. There are three species of 17-year cicada and four species of 13-year cicada. The 17-year cicadas are mostly found in northern US states and 13-year cicadas in south.
Two of the broods died out over the course of the 20th century, so there are now just 15
Together they make up 15 "broods", each on a different life cycle.
The broods are identified by Roman numerals, but the numbering jumps around in a confusing way. For instance there is a brood XIV (14) and a brood XIX (19), but no broods XV (15), XVI (16), XVII (17) or XVIII (18).
That's because in 1898, entomologist Charles Marlatt was under the impression that there were 30 broods, and he named them accordingly. It then turned out that only 17 of his predicted broods existed, but his numbering system has stuck.
What's more, two of the broods died out over the course of the 20th century, so there are now just 15.
"Certaines commencent dès 8H30 comme la Cigale du garric (Tibicina garricola) et d’autres chantent jusque tard dans la nuit (jusqu’à 23H30 !) comme la Cigale grise (Cicada orni) et la Grande cigale commune (Lyristes plebejus)."
OPIE-Insectes. « Qui n'a pas entendu le chant des cigales de Provence, musiciennes de concerts assourdissants par les chaudes journées d'été, hors de proportion avec la taille de l'insecte mais répété par des millions d'artistes ? Ou le chant à la fois mélancolique et joyeux du grillon, classiquement réfugié près du fournil ? »
« Bien des insectes disposent d'appareils émetteurs de sons et de récepteurs ad hoc. Leur signification est avant tout sexuelle, les mâles attirant ainsi les femelles. Les musiques que font retentir les uns comme les autres remontent à des millions d'années. Ce que nous entendons est au fond une musique "fossile" et pourtant bien de notre temps. »
[...]
« Chez les insectes, il existe une grande diversité de moyens de produire le "chant" ou signal, à ne pas confondre avec les bruits (bourdonnement, creusement, chocs...). Nous pouvons les classer en cinq catégories, dont les deux premières rassemblent le plus grand nombre de cas :
Cet insecte chanteur pourvu d'un rostre piqueur est à l'honneur de cette nouvelle étape du Tour de France de la biodioversité, en partenariat avec le Museum national d'Histoire naturelle.
[Entretien vidéo Sciences et Avenir avec Arnaud Horellou, chef de projet des Zones Naturelles d'Intérêt Écologique Faunistique et Floristique (ZNIEFF) au Service du Patrimoine naturel du Muséum d'Histoire naturelle]
France Inter. « Pour débattre de l'actualité scientifique cette semaine :
[...]
Pierre DEOM, Rédacteur du journal « la Hulotte »
Son sujet : La publication du 100e numéro de la Hulotte ! A cette occasion, les 5 premiers numéros sont réédités.
En 1989, la revue a reçu le prix de la vulgarisation scientifique de la Fondation de France.
[...]
Cédric YVIN, Ingénieur agronome à l’ITEIPMAI (institut technique interprofessionnel des plantes à parfum, médicinales et aromatiques)
Son sujet : La lavande se meurt ! Une maladie bactérienne transmise par une petite cigale [sic] s’attaque à la lavande, plante emblématique de la Provence. Quelles sont les stratégies mises en place ? »
Or donc, ces trachées sont constituées de chitine, la molécule qui participe à la structure de la cuticule des insectes: leur fameux exosquelette. Est-ce ça veut dire que les trachées font partie de l’exosquelette des insectes? Et bien oui! Les trachées sont des extensions de l’exosquelette qui pénètrent à l’intérieur de l’animal pour permettre la diffusion de l’oxygène. Pour s’en persuader, il suffit d’observer une mue d’insectes, comme celle de cette photo sauvagement piquée au blog Les poissons n’existent pas et représentant une mue de cigale :
(Mue de cigale révélant les trachées)
Vous voyez tous ces petits filaments à l’intérieur de la mue? Et bien ce sont des trachées! En se débarrassant de l’intégralité de son exosquelette, la cigale se débarrasse également de ses vieilles trachées et les troque pour de belles trachées neuves. C’est comme si un serpent, en se débarrassant de sa vieille peau, crachait aussi ses poumons… Ouais je sais, y’a plus glamour comme image…
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via Recherche animale sur Twitter, 24.11.2018 :
"#Antibiorésistance: depuis les propriétés #antibactériennes des ailes de #cigale et de #libellule jusqu'à un #antimicrobien issu de l'#éponge de mer, les scientifiques misent sur la nature pour apporter des solutions à l'antibiorésistance..."
https://twitter.com/recherche_anima/status/1066397308047294466