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Les insectes à la croisée des disciplines
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Vanessa Manceron : Les veilleurs du vivant - Avec les naturalistes amateurs

Vanessa Manceron : Les veilleurs du vivant - Avec les naturalistes amateurs | EntomoScience | Scoop.it
Vanessa Manceron s'est intéressée à une pratique scientifique discrète mais de plus en plus indispensable : connaître et reconnaître les plantes, les oiseaux, les papillons et autres insectes, les mondes vivants, tout autour de nous.

 

Éditions La Découverte

Collection : Les Empêcheurs de penser en rond
Parution : 25/08/2022

 

"Pour l'observer le mieux était d'aller en Angleterre, où la tradition naturaliste fait se côtoyer professionnels, universitaires et amateurs. Ce travail n'y est pas tenu pour un passe-temps marginal, mais considéré comme nécessaire. Cette science participative s'apparente à un savoir déambulatoire qui se déploie selon ses propres règles, en s'immergeant dans un territoire précis, délimité, pour y documenter régulièrement et systématiquement les espèces présentes, montrer comment elles se développent, gagnent du terrain ou régressent, voire disparaissent. Il faut apprendre à repérer les moindres indices, à les photographier mais aussi à les dessiner."

 

Vanessa Manceron est anthropologue, chercheuse au CNRS. Elle est spécialiste du rapport au vivant et mène ses terrains d'enquête en France, en Angleterre et en Italie.

 

Bernadette Cassel's insight:

 

(Re)lire aussi

 

 

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Plurivers. Un dictionnaire du post-développement

Plurivers. Un dictionnaire du post-développement | EntomoScience | Scoop.it

Comment réorganiser les sociétés humaines dans leurs relations au vivant? – Plurivers

 

Un projet coordonné par : Ashish Kothari (Inde), Ariel Salleh (Australie), Arturo Escobar (Colombie et Etats-Unis), Federico Demaria (Espagne), Alberto Acosta (Equateur).

 

ASHISH KOTHARI est l’un des fondateurs du groupe environnemental indien Kalpavriksh. Il a enseigné à l’Institut indien d’administration publique, a coordonné le plan national de stratégie et d’action pour la biodiversité en Inde, a siégé aux conseils d’administration de Greenpeace India et de Greenpeace International, a contribué à la création du ICCA Consortium et a présidé un réseau de l’UICN sur les zones protégées et les communautés.

 

ARIEL SALLEH est une militante. Elle a été l’une des rédactrices à l’origine de la revue états-unienne Capitalism Nature Socialism. Elle est professeure honoraire en économie politique à l’université de Sydney en Australie, ancienne membre du groupe de recherche Post-Growth Societies à l’université Friedrich-Schiller d’Iéna en Allemagne.

 

ARTURO ESCOBAR est professeur émérite d’anthropologie à l’université de Caroline du Nord à Chapel Hill et est associé à plusieurs universités colombiennes. Il travaille avec les mouvements sociaux afro-colombiens depuis plus de deux décennies.

 

FEDERICO DEMARIA est un chercheur en écologie politique et en économie écologique à l’Institut de science et technologie de l’environnement de l’université autonome de Barcelone (ICTA-UAB), en Espagne. Il a notamment coordonné Décroissance. Vocabulaire pour une nouvelle ère (Passager clandestin, 2015). Il est également producteur d’olives biologiques.

 

ALBERTO ACOSTA est un économiste équatorien. Ancien directeur du marketing de la Corporation pétrolière d’État équatorienne, ancien ministre de l’Énergie et des Mines de l’Équateur et ancien président de l’Assemblée constituante de Montecristi, il est devenu un compagnon d’armes des luttes populaires et membre du Groupe de travail permanent sur les alternatives au développement.


Via dm
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Est-ce que le cerveau humain est voué à exploiter son environnement jusqu’à épuisement total des ressources ?

Est-ce que le cerveau humain est voué à exploiter son environnement jusqu’à épuisement total des ressources ? | EntomoScience | Scoop.it
A quoi ressemblera l'humain de demain ? Sommes-nous conscients de l’évolution et la maîtrisons-nous ? Face au dérèglement climatique, la disparition de la biodiversité, les pandémies, saurons-nous faire les bons choix et être enfin acteurs de notre propre évolution ?

 

LSD, La série documentaire par Perrine Kervran

L’humain de demain - Ép. 4/4 - Depuis Lucy, 3 millions d’années d’Humanité

Super pouvoir

On est la seule espèce qui interviennent directement sur son évolution avec la médecine. J-P. Demoule

Le progrès le plus important qu'on a depuis le Néolithique, l'écriture, le livre, l'informatique, c'est ce stockage de données et aujourd'hui, on a accès comme on n'a jamais eu accès à la connaissance. A. Balzeau 

Est-ce qu'on va avoir un sixième doigt, des oreilles pointues ? On voit que les changements morphologiques, si l'on compare Néandertal et Sapiens, ça a pris quand même 600 à 700 000. Donc, il y aura certainement des changements morphologiques à venir, mais ils vont prendre beaucoup de temps et on ne sait pas a priori dans quel sens ils vont aller. E. Heyer

 

 

Avec 

  • Yves Coppens, paléoanthropologue  
  • Luc Julia , co-inventeur de l’assistant vocal Siri
  • Mathieu Bablet, auteur de BD et illustrateur  
  • Jean-Paul Demoule, archéologue et préhistorien 
  • Dominique Folscheid, philosophe 
  • Mark Hunyadi, philosophe 
  • Sébastien Bohler, journaliste scientifique
  • Antoine Balzeau, paléoanthropologue 
  • Evelyne Heyer, professeure d'anthropologie génétique au Muséum national d'histoire naturelle 

 

Un documentaire par Franck Bessière, réalisé  par Assia Khalid 

 

[Mots-clés : "propre de l'homme" ; "propre de l'humain" ; "propre à l'humain" ; neurosciences ; striatum]

 

Bernadette Cassel's insight:

 

(Re)lire aussi :

 

Comment une partie de notre cerveau nous oblige à détruire la planète - De www.rfi.fr - 6 mars 2019, 09:44

 

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L'étude du minuscule nous révèle l'ampleur du désastre écologique

L'étude du minuscule nous révèle l'ampleur du désastre écologique | EntomoScience | Scoop.it
Peur, indifférence, dégoût... Notre rapport aux insectes nous éclaire sur notre relation à l'autre. Plongée dans cet univers parallèle, minuscule et grouillant avec l'anthropologue Hugh Raffles.

 

Pourquoi les insectes n'entrent pas dans notre univers moral Télérama (abonnés)

Weronika Zarachowicz Amélie Fontaine

Publié le 28/04/16 mis à jour le 08/12/20

 

L'étude du minuscule nous révèle l'ampleur du désastre écologique

"Pour franchir cette porte du minuscule, encore fallait-il une méthode. Celle choisie par l'anthropologue est à la mesure de son sujet : une expérimentation follement libre, qui enjambe les frontières et oblige à regarder et à penser autrement. Une provocation aussi, vis-à-vis des conventions universitaires, que Raffles bouscule joyeusement, ce qui résonne avec son parcours éclectique (Raffles fut ambulancier, DJ, régisseur de théâtre, avant de bifurquer vers le prestigieux département d'anthropologie de l'université de Californie). Parce que « la vitalité de la vie elle-même fait exploser les barrières bien nettes des catégories scientifiques », il convoque l'histoire, la peinture, la musique, la biologie, la philosophie, l'économie, la psychanalyse, l'entomologie... Le résultat — une encyclopédie foisonnante (et une réussite littéraire), composée de vingt-six récits classés en abécédaire — fait penser à ces cabinets de curiosités qui, « en incitant à l'émerveillement (...) menaient à la réflexion philosophique et de là, à la connaissance vraie ».

 

Prenons la lettre C, comme « Créatures de Tchernobyl » et comme « Cornelia Hesse-Honegger ». Cette singulière peintre-scientifique suisse a découvert l'impact de la catastrophe sur les punaises, indicateurs biologiques exceptionnels car particulièrement sensibles aux polluants absorbés par les plantes sur lesquelles elles vivent. Depuis, elle se consacre à l'étude et à la peinture des insectes vivant près des sites nucléaires, inventant sa propre méthodologie, déroutant les critiques d'art autant que les scientifiques. « Ses peintures, souligne l'anthropologue, nous rappellent que l'art et la science sont complémentaires et interdépendants, que leur séparation, comme le montrent bien les merveilleux lavis de Galilée, est le résultat d'une évolution des savoirs, ayant abouti à une ultra-spécialisation de disciplines toujours moins ambitieuses. »"

(...)

 

  • À lire Insectopedia, de Hugh Raffles, éd. Wildproject
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Émilie Dardenne : Introduction aux études animales (2e éd.) 

Émilie Dardenne : Introduction aux études animales (2e éd.)  | EntomoScience | Scoop.it

"Cet ouvrage est le premier à proposer, en français, un panorama des études animales. Ce champ de recherche pluridisciplinaire ancré dans les sciences humaines et sociales étudie les représentations des animaux autres qu’humains et les relations entretenues avec eux par les êtres humains (autrement dit, les relations « anthropozoologiques »)."

 
Introduction aux études animales - Émilie Dardenne - Manuels hors collection - Format Physique et Numérique | PUF
Date de parution : 12/10/2022

 

Émilie Dardenne est maîtresse de conférences en anglais [en études anglophones et en études animales, voir ci-après, NDÉ] à l’Université Rennes 2 où elle est responsable pédagogique du diplôme d’université « Animaux et société ». Ses travaux portent sur l’éthique animale et l’utilitarisme. 

 

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NDÉ

Podcast en relation :

 

 

Avec Hugo Clément, journaliste, auteur de Les Lapins ne mangent pas de carottes (Fayard, 2022), et Emilie Dardenne , maîtresse de conférence à l’Université Rennes 2, en études anglophones et en études animales. Autrice de « Introduction aux études animales » (Puf paraît en 2e édition le 12/10/2022)

 

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(7 scoops et plus)

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« Vivre une expérience et ne pas la transmettre, c'est la trahir » : Institut Covid-19 Ad Memoriam

« Vivre une expérience et ne pas la transmettre, c'est la trahir » : Institut Covid-19 Ad Memoriam | EntomoScience | Scoop.it
Institut de l'Université de Paris et de l'IRD. Associer des mondes multiples pour penser ensemble la pandémie de COVID-19.

 

Université de Paris, 06.04.2021
 
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NDÉ
Pour aller plus loin
 
 

L’Institut Covid-19 Ad Memoriam, présidé par la Pr. Laëtitia Atlani-Duault, est un nouvel institut de l’Université Paris Cité et de l’IRD.


Créé sous l’égide du World Health Organisation Collaborative Center for Research on Health and Humanitarian Policies and Practices, il associe un très grand nombre d’institutions de la recherche, de la santé, du droit et de la justice, des associations, des cultes, des arts et de la culture. L’ambition de l’Institut est d’ouvrir un débat et de partir à la rencontre de tous.

 

L’objectif de l’Institut est de créer un lieu de mémoire numérique pour ouvrir le dialogue et préparer gouvernants et citoyens aux crises à venir. Il propose d’écouter et de collecter les expériences pour comprendre et se souvenir, car il n’y a pas d’espérance sans mémoire.

 

Lire l’article Un institut Covid pour se souvenir et préparer les prochaines crises

 

 

 

L’ensemble du projet sera conduit en étroite collaboration avec l’Institut Covid 19 Ad Memoriam.

 

Cet appel à projets constitue une déclinaison importante de l’initiative portée par l’Institut Covid-19 Ad Memoriam qui associe des « mondes » multiples – chercheurs, soignants, artistes, juristes, associations de victimes, autorités spirituelles, culturelles et grands courants de pensée, représentants de la société civile, entrepreneurs, étudiants… – pour élaborer une réflexion commune sur la pandémie de COVID-19 et collecter, archiver, analyser  les traces et mémoires de celle-ci.

Calendrier

La date limite du dépôt des projets de recherche pluridisciplinaire rédigés en français est fixée au 7 juillet 2021, à minuit.

 

 

 

Communiqué - Histoires de crise pour recueillir les témoignages des Français sur la pandémie de Covid-19
par la rédaction à partir du communiqué de presse - le 27 octobre 2021
 

Créé dès le début de la pandémie par l’anthropologue Laëtitia Atlani-Duault, l’Institut Covid-19 Ad Memoriam se donne pour mission de collecter, archiver et analyser les traces et mémoires de la pandémie. Avec la plateforme Histoires de crise, l’Institut franchit une étape majeure de son projet : la création d’un espace numérique de témoignages où chacune, chacun, quelles que soient ses expériences, peut venir raconter son vécu du Covid-19.

 

 

 

L’institut COVID-19 Ad Memoriam propose d’associer des « mondes » multiples – chercheurs, soignants, artistes, juristes, associations de victimes, autorités spirituelles et culturelles et grands courants de pensée, représentants de la société civile, philosophes, entrepreneurs… – pour penser ensemble la pandémie de COVID-19, qui constitue une rupture anthropologique majeure pour la société française et, plus largement notre monde globalisé. Les conséquences de cette crise sur la société seront nombreuses et durables, il s’agit de les mesurer, et de travailler à renforcer nos capacités d’anticipation et de résilience collective.

 

L’institut a pour Présidents d’honneur, les Professeurs Jean-François Delfraissy (Président du Conseil scientifique COVID-19) et Françoise Barré-Sinoussi (Présidente du CARE COVID-19).

Il est organisé comme un Consortium d’institutions majeures venant des mondes de la recherche, de la santé, du droit et de la justice, des associations de victimes, des autorités spirituelles et culturelles et grands courants de pensée, ou encore des arts et de la culture. 

Bernadette Cassel's insight:

 

 

(5 scoops)

 

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Sciences et droit à l'erreur - Ép. 3/4 - La grande aventure de la science

Sciences et droit à l'erreur - Ép. 3/4 - La grande aventure de la science | EntomoScience | Scoop.it

"Le principe de la méthode scientifique est de s'approcher de plus en plus de la réalité, en suivant un processus d'essai-erreur."

 

La grande aventure de la science, Épisode 3 : Sciences et droit à l'erreur, LSD - La série documentaire, France Culture, 11/11/2020

 

"Pour atteindre la réalité, des procédures systématiques de vérification par les pairs sont mises en place pour être sûr de ne pas faire fausse route. Ce "working progress" signifie que la recherche avance par tâtonnements, que le droit à l'erreur est indispensable, puisqu'il faut explorer de fausses pistes avant de pouvoir les éliminer.

 

Il faut s'aventurer dans des pistes audacieuses puis savoir les valider ou non le moment venu. Ce fragile cheminement signifie que la science est en mouvement permanent, et qu'elle n'est que temporairement "juste", jusqu'à preuve du contraire...

 

Solide et fragile à la fois, on ne peut s'appuyer sur la science que jusqu'à un certain point, et savoir ouvrir les yeux sur de nouvelles pistes qui s'ouvrent."

 

Avec

  • Bruno Canard, directeur de recherche au CNRS au laboratoire architecture et fonction des macromolécules biologiques (Centre national de la recherche scientifique - Aix-Marseille université)
  • Vincent Jullien, professeur émérite de philosophie et histoire des sciences de l'université de Nantes  
  • Jacques Van Helden, bio-informaticien à l'INSERM
  • Hervé Maisonneuve, rédacteur en chef de la Rédaction médicale et scientifique
  • Frédéric Keck, anthropologue
  • Jean-Paul Krivine, rédacteur en chef de la revue Science et pseudo-sciences
  • Philippe Huneman, philosophe des sciences, directeur de recherche au CNRS
  • Samuel Alizon, directeur de recherche au CNRS, 
  • Luc Perino, médecin, diplômé de médecine tropicale et d'épidémiologie
  • Sylvain Laurens, sociologue, maître de conférences de l'EHESS

Via Réseau Canopé