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Les insectes à la croisée des disciplines
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Médaille d'or CNRS 2023 pour l'écologue Sandra Lavorel

Médaille d'or CNRS 2023 pour l'écologue Sandra Lavorel | EntomoScience | Scoop.it
La chercheuse et écologue Sandra Lavorel est mise en avant par le CNRS qui lui a décerné sa médaille d'or annuelle, jeudi 21 septembre.   Ses travaux ont montré l'importance de la biodiversité pour nos sociétés, domaine d

 

LeBrief du 22 septembre 2023
Crédits image : CNRS
 

"Ses travaux ont montré l'importance de la biodiversité pour nos sociétés, domaine de recherche que l'on nomme l'écologie fonctionnelle. Elle a été membre du comité interdisciplinaire de la Plateforme intergouvernementale scientifique et politique sur la biodiversité et les services écosystémiques (IPBES), considéré comme le « Giec de la biodiversité ». Dans ce cadre, elle a co-édité en 2021 le rapport GIEC-IPBES sur la biodiversité et le changement climatique.

 

Elle travaille, entre autres, à la confection de la base de données Plant Trait qui recense les caractéristiques des plantes (morphologiques, anatomiques, biochimiques, physiologiques et phénologiques). Elle est membre du comité de pilotage de ce projet.

 

Basée à Grenoble, la chercheuse a pour terrain de travail les montagnes alpines avec, par exemple, la station scientifique du Lautaret, située à 2 100 mètres d’altitude.

 

Pour Antoine Petit, président-directeur général du CNRS, « Sandra Lavorel mène des recherches qui œuvrent à une meilleure compréhension des enjeux environnementaux contemporains et à venir. Elles permettent d'appréhender le fonctionnement et les dynamiques des écosystèmes en réponse aux changements planétaires auxquels nous sommes confrontés. En lui décernant la Médaille d’or 2023, le CNRS souhaite rendre hommage au parcours exceptionnel de cette éminente écologue française. Sa renommée internationale et son engagement pour apporter son expertise scientifique en appui aux décisions publiques constituent autant de témoignages de l'excellence qui jalonne son parcours »."

 

-------

NDÉ

Le communiqué

 

"#Communiqué 🗞️ La médaille d'or 2023 du @CNRS distingue l’écologue Sandra Lavorel, spécialiste du fonctionnement des écosystèmes, pionnière dans la définition et l’analyse des services rendus par la biodiversité aux sociétés humaines. ➡️ https://t.co/0ttM7e8b9Y #TalentsCNRS 🪙 (...)"

 

via CNRS 🌍 sur X
https://twitter.com/CNRS/status/1704767832540496302

 

Bernadette Cassel's insight:

 

(Re)lire aussi

 

  • COP15. Pourquoi la biodiversité est au cœur de tous les enjeux environnementaux - De www.humanite.fr - 6 décembre 2022, 19:28

 

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Virginie Courtier-Orgogozo, biologiste : « Les humains auront progressé quand ils arrêteront de dévaloriser les autres formes de vie »

Virginie Courtier-Orgogozo, biologiste : « Les humains auront progressé quand ils arrêteront de dévaloriser les autres formes de vie » | EntomoScience | Scoop.it
Le monde vivant dépasse par sa complexité toutes nos machines les plus sophistiquées. La chercheuse Virginie Courtier-Orgogozo, tout juste nommée à la chaire annuelle « Biodiversité et écosystèmes » du Collège de France, invite à repenser notre rapport à cette nature fascinante.

 

Publié le Mardi 9 mai 2023
Anna Musso
 

"« Penser le vivant autrement », tel est l’intitulé de la leçon inaugurale qu’a prononcée Virginie Courtier-Orgogozo au Collège de France, en février dernier, lors de sa titularisation à la chaire annuelle « Biodiversité et écosystèmes » du prestigieux institut.

Depuis plus de vingt ans, cette brillante biologiste s’intéresse aux mécanismes impliqués dans l’évolution des espèces, afin de mieux comprendre nos origines et le futur du monde vivant. Elle nous offre dans cet entretien une leçon particulière pour les lectrices et les lecteurs de l’Humanité.

 

Dans vos recherches sur l’évolution, vous vous êtes intéressée à la mouche drosophile. En quoi est-elle si utile pour comprendre le monde vivant ?

 
La mouche drosophile est, avec la souris et l’être humain, l’une des trois espèces animales pour lesquelles nos connaissances en génétique sont les plus avancées. Au début du XXe siècle, le généticien Thomas Morgan, prix Nobel en 1933, a eu l’idée de l’utiliser comme modèle d’étude pour comprendre le rôle des gènes et des chromosomes. Cette mouche possède de nombreuses propriétés intéressantes : elle s’élève sans difficulté au laboratoire, elle a un cycle de vie très rapide (dix jours seulement entre un œuf et une nouvelle femelle qui pond) et ses chromosomes peuvent s’observer facilement au microscope.

Aujourd’hui, la drosophile est étudiée par des milliers de chercheurs dans le monde et les découvertes scientifiques réalisées grâce à elle peuvent généralement s’appliquer aux autres espèces. Par exemple, 75 % des gènes associés à des maladies humaines sont présents chez la drosophile.

 

Dans mon laboratoire, nous étudions plusieurs espèces qui lui sont proches dans le but de mieux comprendre les mécanismes en jeu dans le développement de nouveaux caractères morphologiques et physiologiques.

 

Vous citez François Jacob, prix Nobel de médecine 1965, pour évoquer le « bricolage de l’évolution ». Pourquoi cette métaphore est-elle plus intéressante que celle, omniprésente, de la machine ?

Les machines et les objets techniques ont une place de plus en plus importante dans nos sociétés. Il est tentant de leur comparer les êtres vivants – c’est d’ailleurs ce que je viens de faire moi-même, en parlant des « mécanismes » de l’évolution. Mais les êtres vivants sont très différents. Les machines nécessitent une intervention extérieure pour leur construction, leur assemblage, leur maintenance et leur réparation.

Les êtres vivants, au contraire, ne se forment pas par assemblage d’éléments : ils s’auto-assemblent à partir d’un être vivant déjà existant avec une continuité physique entre ce dernier et ses descendants. Chaque être vivant est l’extrémité d’un long lignage qui existait déjà sur Terre il y a plus de 3 milliards d’années.

Il n’y a pas véritablement de début à un être vivant. La diversité biologique provient de l’accumulation de mutations et de changements successifs qui ont eu lieu au fur et à mesure des générations. La nature utilise ce qui existe déjà et le modifie. C’est ce que François Jacob a appelé le « bricolage de l’évolution ».

 

Vous tentez de trouver des lois générales dans l’évolution du vivant, mais est-ce possible face à une telle complexité ?

Nous essayons de trouver de nouvelles règles, ou plutôt des tendances générales – qui peuvent avoir quelques exceptions… – pour mieux comprendre ce monde qui nous entoure. Ces dernières années, j’ai étudié les mutations qui contribuent aux changements apparus au cours de l’évolution des espèces.

Nous avons constaté que les mutations responsables de l’évolution à court terme (entre individus de la même espèce) sont différentes de celles associées à l’évolution à long terme (entre espèces). Celles à court terme sont souvent des inactivations de gènes : ces pertes de fonction apparaissent fréquemment, mais, en général, elles ne perdurent pas, car elles limitent les possibilités futures d’évolution des organismes."

 
Bernadette Cassel's insight:

 

  • Penser le vivant autrement | Collège de France - De www.college-de-france.fr - 3 février, 19:59

 

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Le prix 2022 du Collège de France pour les jeunes chercheuses et les jeunes chercheurs est décerné à Aude Bernheim, chercheuse en microbiologie et en génétique

Le prix 2022 du Collège de France pour les jeunes chercheuses et les jeunes chercheurs est décerné à Aude Bernheim, chercheuse en microbiologie et en génétique | EntomoScience | Scoop.it

"Pour sa première édition, le prix, doté de 20 000 euros et d’une invitation à prononcer une conférence au Collège de France, avait pour thème Biodiversité et évolution."

 

Le jury, présidé par Françoise Combes, professeure du Collège de France, titulaire de la chaire Galaxies et cosmologie, a dû départager de nombreuses candidatures de très haute valeur.

 

Après délibération, Aude Bernheim, spécialiste de la biodiversité microbienne, a été distinguée pour la qualité de ses publications, le caractère pionnier et innovant de ses travaux, incluant le dépôt de brevets, son parcours professionnel au sein des meilleures équipes de recherche et sa capacité à s’entourer, en tant que responsable d’équipe à l’Inserm, des meilleurs spécialistes, quelques années seulement après avoir soutenu sa thèse.

 

L’engagement public d’Aude Bernheim en faveur d’une science ouverte et participative, soucieuse des questions de parité, a également été salué par le jury.

 

Le prix lui sera remis le 15 novembre 2022 à l’occasion d’une cérémonie publique au Collège de France. Aude Bernheim prononcera sa conférence au Collège de France le 13 décembre 2022.

 

Bernadette Cassel's insight:

 

Précédemment

 

  • Des Français·es champion·nes du monde de biologie synthétique - De www.franceculture.fr - 23 décembre 2013, 19:33

 

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Kenya : Segenet Kelemu, la reine des insectes

Kenya : Segenet Kelemu, la reine des insectes | EntomoScience | Scoop.it

"À l’heure où la destruction de la nature peut contribuer à l’émergence de pandémies, la scientifique travaille à montrer comment les insectes bénéficient à l’humanité."

 

L’Afrique apporte sa pierre à la science (10)

Par Marion Douet(Nairobi, correspondance)

Publié le 19 juin 2020 à 18h00 - Mis à jour le 20 juin 2020

"Cela ne fait aucun doute, Segenet Kelemu aime les insectes. La directrice de l’Icipe (Centre international pour la physiologie des insectes et l’écologie) de Nairobi peut en parler de longues heures, avec passion. Au beau milieu de notre entretien, elle prend le temps d’une incise pour préciser « que 70 % de nos cultures sont pollinisées par les abeilles », qui sont pour elle « des animaux de ferme très très travailleurs », et d’enchaîner sur l’extraordinaire potentiel nutritif des criquets – pour l’homme comme le bétail – ou encore sur la symbiose entre certaines plantes et ces petits animaux.

 

« Les insectes apportent tellement de choses différentes à l’humanité, à l’environnement. C’est ce que j’aime le plus avec cette institution et avec mon métier », poursuit-elle, en nous recevant dans son bureau de « Dudu ville » (« la ville des insectes »), le surnom donné au campus verdoyant de l’Icipe, seul centre de recherche au monde qui leur est entièrement dédié, où l’on étudie notamment leur impact sur l’agriculture.

Cette phytopathologiste éthiopienne âgée de 62 ans est une pointure dans son domaine. Une référence mondiale. Derrière la porte de son bureau pendent des dizaines de badges, témoins des multiples conférences et événements (elle rentre tout juste de Suède, après Israël et l’Ethiopie), auxquels elle participe pour sensibiliser l’opinion et lever des fonds pour les recherches du centre.

Ancien enfant pauvre

Aux murs, s’affichent les multiples prix qu’elle a reçus ces quinze dernières années, dont le prix L’Oréal-Unesco « Pour les femmes et la science », en 2014. « C’est une scientifique remarquable, qui fait bouger la science et incarne une nouvelle génération de femmes [scientifiques] de très haut niveau », dit d’elle Nelson Torto, le directeur de l’Académie africaine des sciences, dont elle est membre depuis 2013. En 2018, pour sa série de vidéos « Heroes in the Field », Bill Gates l’a choisie et rangée dans le top 5 des personnalités qui « l’inspirent » le plus à travers le monde.

 

Peu de choses prédestinaient pourtant Segenet Kelemu à cette carrière. En 1957, elle naît à Finote Selam, dans une région rurale de l’ouest de l’Ethiopie où les petites filles sont généralement destinées à un mariage précoce et aux travaux des champs. « Récolter le café, enlever les mauvaises herbes, collecter le bois, j’ai fait tout ça », rappelle-t-elle. A part un tempérament de fer et des résultats brillants à l’école, elle a alors bien peu d’atout pour faire mentir son destin.

 

Pourtant, elle y croit et sera la première femme de sa région à intégrer l’université d’Addis-Abeba. Elle, cet ancien enfant pauvre qui collectionne aujourd’hui obsessionnellement les stylos, ce bien si rare dans son enfance. A la médecine ou aux statistiques, auxquels la poussent alors parents et professeurs, elle préfère l’agriculture, pour faire « quelque chose que j’aimais et qui soit utile ».

Vingt-cinq ans à l’étranger

Ce qui ne plaît guère à son père qui avait d’autres ambitions pour elle et lui a tellement de fois répété : « Nous sommes tous des fermiers, certains ne savent même pas lire et écrire, et toi tu vas à l’université pour devenir fermière ? ». Ce qui aujourd’hui la fait rire doucement.

 

Rapidement, de son Ethiopie natale, elle s’envole poursuivre ses études au Mexique puis aux Etats-Unis, où elle débarque un mois de décembre, « choquée » par les journées courtes, le froid, l’absence de feuilles sur les arbres qui lui fait alors « l’effet d’une attaque nucléaire ». « Heureusement, que je n’avais pas de ticket retour… », se remémore volontiers celle sur qui la culture américaine, très compétitive, a eu une grande influence, d’autant, reconnaît-elle aujourd’hui, qu’elle devait un peu correspondre à son état d’esprit.

 

Depuis son retour en Afrique en 2007, après vingt-cinq ans à l’étranger (dix ans de master, thèse et postdoctorat aux Etats-Unis, et quinze ans au Centre international d’agriculture tropicale en Colombie), son but est « de changer la vie des gens en améliorant l’agriculture en Afrique », où ce secteur représente souvent le premier pilier de l’économie et de la sécurité alimentaire.

 

La promotion de la science auprès des jeunes est son autre combat. « Je ne fais plus de recherche moi-même, mais je guide de jeunes scientifiques. Et nous observons un grand déficit, à l’échelle mondiale. Les plus brillants veulent être médecin, avocat, ingénieur, car la société n’attribue pas suffisamment de valeur à la science. Or, elle est essentielle pour notre bien-être, l’avenir de notre planète. A moins que nous n’attirions plus de gens dans la science, nous sommes condamnés. » Sa fille unique, glisse-t-elle en passant, étudie actuellement aux États-Unis la biologie de l’évolution et l’écologie."

  

 

[Image] Segenet Kelemu, directrice de l’Icipe (Centre international pour la physiologie des insectes et l’écologie de Nairobi), à Paris, en mars 2014. FRANCK FIFE / AFP

  

→ Lire aussi Au Mali, un laboratoire à la pointe de la recherche sur le paludisme
Bernadette Cassel's insight:

 

À (re)lire :

 

  • Segenet Kelemu : "La science n’est pas réservée aux génies" - De www.franceinter.fr - 22 août 2014, 08:15

 

  • 16e Prix L'Oréal-UNESCO pour les Femmes et la Science : les 5 lauréates 2014 - De www.newspress.fr - 8 mars 2014, 23:56
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Annabelle Kremer-Lecointre : Femmes de science. À la rencontre de 14 chercheuses d’hier et d’aujourd’hui

Annabelle Kremer-Lecointre : Femmes de science. À la rencontre de 14 chercheuses d’hier et d’aujourd’hui | EntomoScience | Scoop.it
... Dans cet ouvrage original, Annabelle Kremer-Lecointre donne la parole à des femmes de science du passé et d’aujourd’hui, sous forme d’entretiens Certaines sont célèbres comme Ada Lovelace, Marquise du Châtelet, Irène Joliot-Curie, Dian Fossey et d’autres ont été oubliées alors qu’elles ont accompli des travaux scientifiques remarquables que souvent les hommes se sont appropriés !

 

Annabelle Kremer-Lecointre, La Martinière

 

Hypatie est une des rares femmes de l’Antiquité dont on ait la trace. Hypatie explique qu’elle enseigne à Alexandrie la philosophie, l’astronomie et les mathématiques dans son école et à ses disciples dans sa demeure, qu’elle associe à l’étude la réalisation pratique d’instruments comme un hydromètre. Une photographie du film « Agora » la montre en train d’étudier les traités d’Euclide ou de Ptolémée. Elle nous apprend que dans l’Égypte antique, la femme est considérée comme l’égale de l’homme !

 

Maria Sibyla Merian est l’unique femme naturaliste du XVII° siècle dont les illustrations sur les chenilles et les insectes, extraites de ses somptueux ouvrages, montre ses qualités d’artiste. Angélique Marguerite Le Boursier Coudray, femme sage itinérante, enseigna au XVIII° siècle l’art de faire accoucher avec des « machines », un mannequin et des poupées. Pour chaque chercheuse, un grand portrait couleur et une citation éclairant leur démarche comme celle de Jeanne Villepreux-Power : « Pour moi, il est capital d’expérimenter à partir du terrain. J’ai passé beaucoup de temps à observer les êtres vivants dans leur milieu naturel ».

 

Rosalind Franklin a beaucoup souffert de différences de traitement par rapport à ses collègues masculins dont les trois titulaires du prix Nobel pour la structure de l’ADN n’ont même pas mentionné son nom ! Les entretiens avec des scientifiques d’aujourd’hui, Frédérique Pelsy généticienne, Sylvie Le Bomin ethnomusicologue et Nalini Anantharaman mathématicienne montrent le parcours, les recherches et les difficultés rencontrées en tant que femme."

(...)

 
  • Autrice : Kremer-Lecointre Annabelle
  • Éditions de La Martinière Jeunesse
  • Année de parution : 2021
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Femmes scientifiques à la une

Femmes scientifiques à la une | EntomoScience | Scoop.it
Comment améliorer la représentation des femmes scientifiques dans les médias ?

Suivez-nous sur twitter (@SciencesMedias et #scmedias)


Journée organisée par l'Association des Journalistes Scientifiques de la Presse d'Information (AJSPI), la Bibliothèque nationale de France (BnF), la Société Chimique de France (SCF), la Société Française de Physique (SFP), la Société Française de Statistique (SFdS), la Société Informatique de France (SIF), la Société de Mathématiques Appliquées et Industrielles (SMAI) et la Société Mathématique de France (SMF).

 

 

Programme

L'ensemble de la journée est animée par Mathieu Rouault, journaliste à Grand Labo.

09:30
Ouverture de la journée par Laurence Engel, présidente de la Bibliothèque nationale de France, Daniel Hennequin, Société Française de Physique et Audrey Mikaëlian, vice-présidente de l'Association des Journalistes Scientifiques pour la Presse d'Information
09:45
Céline Calvez, députée des Hauts de Seine, membre de la commission des affaires culturelles et de l'éducation, co-auteure du rapport d'information sur les femmes et les sciences
10:05
Un mois de femmes scientifiques dans la presse écrite, par Cécile Michaut, journaliste
10:20
Nommer les savantes avec les mots qui conviennent : un enjeu pour la construction d’une société égalitaire, par Éliane Viennot, professeuse de littérature
10:40
Où sont les femmes dans les médias scientifiques ? État des lieux et perspectives, par Clémence Perronnet, chercheuse en sociologie et maîtresse de conférences en sciences de l’éducation
11:00
Pause
11:15
Table ronde Les (bonnes ?) pratiques dans les médias avec
  • Audrey Mikaëlian, journaliste-réalisatrice et rédactrice en chef
  • Mathilde Farine, gender éditrice du Temps
  • Philippe Pajot, rédacteur en chef de La Recherche
12:00
Représentation des expertes, nous journalistes avons un rôle à jouer, par Léa Lejeune, journaliste, membre du Haut Conseil à l'Égalité, présidente de Prenons la une.
12:20
Natacha Rault, journaliste, présidente de l'association Les Sans PagEs
 12:45
Pause déjeuner
14:00
Laurent Simon, TheMetaNews
14:20
Alexis Verger, auteur de @366portraits
14:40
Aude Bernheim, autrice de L'intelligence artificielle, pas sans elles !
15:00
Table ronde Les (bonnes) pratiques des organisations scientifiques
  • Caroline Champenois, chercheuse CNRS, membre de la commission Femmes et Physique de la Société Française de Physique et du conseil d'administration de l'association Femmes&Sciences.
  • Liliana Cucu-Grosjean, co-présidente comité parité INRIA
  • Marie-Ange Folacci, directrice de la communication et porte parole du CEA
 
15:45
Pause
16:00
Table ronde Conseil et astuces pour une meilleure représentation des femmes scientifiques dans les médias avec
  • Karine Lacombe, cheffe du service maladies infectieuses à l'hôpital Saint-Antoine à Paris
  • Sabrina Krief, professeure au Muséum national d'histoire naturelle
  • Isabelle Collet, informaticienne, enseignante-chercheuse à l'université de Genève
 
16:45
Conclusion, par Caroline Lachowsky, journaliste et productrice de l'émission Autour de la question (RFI)
17:00
Clôture
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Les 21 femmes les plus influentes de la Tech en France

Les 21 femmes les plus influentes de la Tech en France | EntomoScience | Scoop.it
Dans le classement des 100 personnes les plus influentes dans la tech en France, réalisé et diffusé par l’agence européenne de relations presse TytoPR, la première place est occupée par une femme. Directrice de l’innovation à la Société Générale, Claire Calmejane fait partie des 21% de femmes présentes dans le rapport.

 

Par Heloïse Pons - 03 janvier 2021 / 10H00

 

"Parmi elles, six sont journalistes, ce qui laisse donc peu de place aux entrepreneuses et aux chercheuses. Plus globalement, le secteur de la Biotech est le plus représenté dans le classement général avec 14 noms évoqués, dont 3 d’entre eux sont féminins : Emmanuelle Trombe, avocate spécialisée dans l’accompagnement de sociétés biomédicales et pharmaceutiques chez MWE, Aude Guo, cofondatrice d’Innovafeed, startup de production de protéines d’insectes et Lucie Larguier, directrice corporate de Transgene, qui développe des immunothérapies innovantes contre le cancer."

(...)

 

[Image] Aude Guo, co-fondatrice d’InnovaFeed, dans le « Club des entrepreneurs » de Challenges. Elle revient sur la success story d’InnovaFeed et ses prochaines étapes de développement (...)

 

via InnovaFeed dans le "Club des entrepreneurs" de Challenges - Innovafeed, 28.02.2019 https://innovafeed.com/innovafeed-dans-le-club-des-entrepreneurs-de-challenges/

 

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Miriam Louisa Rothschild, spécialiste des puces

Miriam Louisa Rothschild, spécialiste des puces | EntomoScience | Scoop.it
Miriam Rothschild est une autorité mondiale sur les puces. Elle est la première à étudier le mécanisme du saut chez ces animaux. Elle étudie également leur cycle reproductif qui, chez les lapins, est relié aux variations hormonales de leur hôte. Elle fait paraître environ 350 publications en entomologie, en zoologie et sur des sujets variés.

 

Wikipédia - La dernière modification de cette page a été faite le 6 septembre 2020 à 20:11.


"Elle fait partie de l’école de génétique d’Oxford durant les années 1960, elle y rencontre E. B. Ford (1901-1988). Elle est l’une des rares femmes supportées par ce généticien. Elle participe à la campagne de Ford pour la légalisation de l’homosexualité.

Miriam Rothschild s’implique également dans la protection de l’environnement en Grande-Bretagne, notamment de la flore et des papillons. Elle est la conseillère pour les plantations du Prince Charles à Highgrove House."

 

[Image] Miriam Louisa Rothschild est à la droite sur la photo (prise en juillet 1988)

 
[Catégories : Biologiste britannique - Entomologiste britannique - 
Zoologiste britannique - Membre honoraire de la Zoological Society of London - Dame commandeur de l'ordre de l'Empire britannique - Étudiante du King's College de Londres - Famille Rothschild - Naissance dans le Northamptonshire - Naissance en août 1908 -  Décès en janvier 2005 - Décès à 96 ans]
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(Re)lire aussi :

 

Les puces font leur cirque - De www.illustre.ch - 4 décembre 2013, 23:57

 

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Prix international L’Oréal-Unesco pour les femmes et la science : 5 chercheuses récompensées en sciences de la vie, dont Edith Heard | INSB

Prix international L’Oréal-Unesco pour les femmes et la science : 5 chercheuses récompensées en sciences de la vie, dont Edith Heard | INSB | EntomoScience | Scoop.it
Edith Heard est directrice générale du Laboratoire de biologie moléculaire européen (EMBL), chaire d'épigénétique et mémoire cellulaire au Collège de France, et ancienne directrice de l'unité de Génétique et biologie du développement à l'Institut Curie.
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Valérie Masson-Delmotte, dans le « TOP 10 » de Nature pour l'année 2018

Valérie Masson-Delmotte, dans le « TOP 10 » de Nature pour l'année 2018 | EntomoScience | Scoop.it
Le magazine Nature a distingué Valérie Masson-Delmotte, plaéoclimatologue au CEA, en la plaçant parmi les 10 scientifiques qui ont le plus marqué le monde en 2018.

 

Publié le 21.12.2018

 

"Valérie Masson-Delmotte, paléoclimatologue au Laboratoire des sciences du climat et de l’environnement (CEA-CNRS-UVSQ Paris Saclay/IPSL) et co-présidente du groupe n°1 du Giec, a été couronnée par la revue Nature aux côtés de neuf autres personnalités scientifiques ayant toutes marqué le monde en 2018."

 

 

[Image] Valérie Masson-Delmotte: Earth monitor

A climatologist was a driving force behind the IPCC’s stark report on global warming. Credit: Laurence Geai for Nature

 

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D'autres articles :

• Valérie Masson-Delmotte, une climatologue parmi les dix scientifiques de l’année - La Croix, 19.12.2018
https://www.la-croix.com/Sciences-et-ethique/Sciences/Valerie-Masson-Delmotte-climatologue-parmi-dix-scientifiques-lannee-2018-12-19-1200990602

• Valérie Masson-Delmotte, climatologue tempérée, 28.11.2018
https://www.franceculture.fr/ecologie-et-environnement/valerie-masson-delmotte-climatologue-temperee

 

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La marquise du Châtelet, femme de sciences invisibilisée

La marquise du Châtelet, femme de sciences invisibilisée | EntomoScience | Scoop.it
Le 10 septembre, à Lunéville, on commémore la disparition d’Émilie du Châtelet (1706 – 1749), une femme de sciences et philosophe injustement méconnue, victime des préjugés sexistes.

 

Par Nicolas Brucker , 09.09.2018

 

"... comment accorder la brillante figure dont É. Badinter a fait naguère le portrait (Emilie, Émilie. L’ambition féminine au XVIIIe siècle, Flammarion, 1983, réédité en 2006), dont se réclame le très médiatique IEC, institut parisien pour la défense de la cause des femmes, dont des écoles, des collèges et des lycées partout en France portent le nom… avec cette muette empreinte sur le sol d’une église d’une petite ville de Lorraine ? Sentiment d’une anomalie… ou d’une injustice. (...)"

 

[Image] Élisabeth Badinter offrit il y a 15 ans une petite plaque de marbre blanc destinée à identifier la sépulture. Cette plaque, parce qu’elle risquait de gêner le passage, fut placée contre un pilier, sur le côté, dans un endroit où elle devenait invisible.

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L'intelligence animale

L'intelligence animale | EntomoScience | Scoop.it

"Les animaux sont beaucoup plus intelligents qu'on ne l'a jamais pensé. L’éthologie étudie les comportements animaux et bouscule nos préjugés sur l'intelligence animale."

 

La Tête au carré - jeu. 25 mai 2017 - par Mathieu Vidard

 

Mathieu Vidard reçoit pour en parler

 

 

 

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Maladie de Lyme : « Plus personne ne nie qu'il y a un problème de diagnostic »

Maladie de Lyme : « Plus personne ne nie qu'il y a un problème de diagnostic » | EntomoScience | Scoop.it
Muriel, Vayssier-Taussat, bactériologiste à l'Inra

Directricede recherches à l'Inra (Institut national de la recherche agronomique), la bactériologiste Muriel Vayssier-Taussat travaille sur les agents pathogènes transmis par les tiques. Elle confirme la fiabilité défaillante des tests actuels de détection de la maladie de Lyme en France.
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Anna Reser, Leila MacNeil : Forces de la nature. Ces femmes qui ont changé la science

Anna Reser, Leila MacNeil : Forces de la nature. Ces femmes qui ont changé la science | EntomoScience | Scoop.it
Les femmes brillent par leur absence dans l’histoire des sciences. Et c’est une injustice selon les historiennes Anna Reser et Leila McNeil. Leur livre nous présente une impressionnante galerie de portraits de femmes, anonymes ou méconnues, «qui ont changé la science».

 

Histoire des sciences, Notes de lecture

Pierre Potier, 30 mai 2023

 

Morceaux choisis :

 

Dans les mondes antique et médiéval, les femmes sont guérisseuses et sages-femmes, et les plantes médicinales sont leur chasse gardée. Leur accès à l’éducation et à la vie publique est fermé.

 

A partir du XVIIe siècle, quelques-unes parviennent à percer la muraille.


Maria Cunitz publie un livre de calculs d’astronomie en allemand (1650), destiné à un public profane, et corrige même des erreurs du grand Kepler.


Nicole Lepaute, épouse de l’horloger de Louis XV, calcule avec succès la date du retour de la comète de Halley, recueillant les éloges publics de l’astronome Lalande.


Marie-Anne Lavoisier, l’épouse du grand chimiste, traduit pour son mari les chimistes anglais et illustre ses livres. «Il est probable qu’il ne serait arrivé à rien sans l’aide de Marie-Anne», déclarent les auteures sans toutefois étayer cette affirmation discutable.

La botanique est le domaine privilégié des femmes.


La naturaliste allemande Maria Merian part au Suriname, à 52 ans, seule avec sa fille, pour y étudier les insectes (1699) durant vingt-et-un mois. Elle en tire un magnifique ouvrage, Metamorphosis, un chef-d’œuvre de l’histoire naturelle. Merian était aidée au Suriname par des esclaves, et les auteures déplorent, avec leurs yeux du XXIe siècle, «l’absence de vergogne des scientifiques européens qui exploitent à leur compte les savoirs des personnes qu’ils asservissaient».


Première femme à faire le tour du monde, la Française Jeanne Barret a dû se travestir en homme au départ de l’expédition scientifique dirigée par Louis de Bougainville (1766). A son retour, la Marine royale lui accorde le titre de «femme extraordinaire», et une retraite !"

(...)

Bernadette Cassel's insight:

 

 

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Eunice Foote, pionnière oubliée des sciences climatiques

Eunice Foote, pionnière oubliée des sciences climatiques | EntomoScience | Scoop.it
Si John Tyndall est considéré comme un pionnier de l’étude de l’effet de serre, une Américaine oubliée par l’histoire avait quelques années d’avance sur lui.

 

Par Manuel Peinado Lorca (The Conversation)
2 janvier 2023 à 10h04 Mis à jour le 4 janvier 2023

 

"En 1859, le physicien irlandais John Tyndall est le premier à découvrir que des molécules de gaz comme le dioxyde de carbone, le méthane et la vapeur d’eau (que l’on appelle aujourd’hui gaz à effet de serre ou GES) bloquent la radiation infrarouge. On le considère comme le premier scientifique à avoir prédit les impacts que provoqueraient sur le climat de petits changements dans la composition atmosphérique. C’est du moins ce que l’on enseigne dans les facultés de sciences du monde entier.

 

Sans rien enlever aux recherches de Tyndall ni à celles, postérieures, du prix Nobel suédois Steven Arrhenius, auquel est attribuée la découverte de l’effet de serre, les chercheurs contemporains négligent le travail d’Eunice Newton Foote (1819-1888). Selon le récit fait par Leila McNeill dans le Smithsonian, cette scientifique réalisa ses expériences en 1856, trois ans avant que Tyndall ne présente ses résultats et quarante avant qu’Arrhenius ne dévoile les siens."

(...) 

 

-------

NDÉ

Illustration

 

"Pour une femme comme Eunice Foote, qui était aussi une activiste du mouvement en faveur des droits des femmes, il n’a pas dû être agréable d’être évincée de la présentation de sa propre découverte. The Road to Seneca Falls de Judith Wellman montre que Foote signa la Déclaration de sentiments de Seneca Falls de 1848, et fut désignée aux côtés de la fameuse activiste et abolitionniste Elizabeth Cady Stanton pour éditer les actes de la Convention destinés à sa publication.

 

Comme les nombreuses autres scientifiques que l’histoire a oubliées, son destin illustre les formes de discrimination qui ont longtemps maintenu les femmes dans l’arrière-boutique de la science."

 

  • Eunice Foote, la première scientifique (et suffragette) à avoir théorisé le changement climatique - De theconversation.com - 25 décembre 2022, 17:05

 

[Image] Liste de femmes et d’hommes qui signèrent la Déclaration de Sentiments lors de la première Convention des Droits de la Femme, à Seneca Falls, New York, 19 et 20 juillet 1848. Le nom d’Eunice Newton Foote figure en cinquième position dans la colonne de gauche. Library of Congress

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Quelques espèces que l'on trouve sur place ou ailleurs dans le monde et qui ont été nommées d'après des naturalistes de Singapour

Quelques espèces que l'on trouve sur place ou ailleurs dans le monde et qui ont été nommées d'après des naturalistes de Singapour | EntomoScience | Scoop.it
Naming a new species can also serve either a practical purpose or be driven by emotion.

 

What's in a name: 6 animals named after Singaporean naturalists

Ang Qing
Published 8 août 2022
 
[Image] The pair of tiny armoured spiders of the same species - Singaporemma lenachanae - were named after Dr Lena Chan. PHOTOS: NPARKS, LIN YUCHENG
 
----------
NDÉ
Pour aller plus loin :
 

Endémiques à Singapour, ces deux minuscules araignées de la même espèce - Singaporemma lenachanae - ont été nommées d'après la Dre Lena Chan et n'ont pas été vues en dehors de la réserve naturelle de Bukit Timah jusqu'à présent.

 

Ces araignées rares ont été baptisées du nom de la directrice principale de la division internationale de la conservation de la biodiversité du Conseil national des parcs par les arachnologues Lin Yucheng et Li Shuqiang en 2017.

 

L'intention était d'honorer la Dre Chan pour son rôle dans la facilitation de la collaboration en matière de recherche entre Singapour et les universitaires de Chine.

 

→ Dr. Lena Chan
Senior Director, International Biodiversity Conservation Division
National Parks Board (NParks) of Singapore

https://amcham.com.sg/wp-content/uploads/2020/10/Biography-Dr-Lena-Chan.pdf

 
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Femmes de sciences en BD : la sélection de la Bibliothèque des Sciences et de l'Industrie

Femmes de sciences en BD : la sélection de la Bibliothèque des Sciences et de l'Industrie | EntomoScience | Scoop.it
Avec cette sélection de bandes dessinées, partons à la découverte de la vie de ces inventrices, chirurgiennes, aviatrices, volcanologues... Ces femmes qui font la science.

 

Sélections documentaires - Ressources en ligne - Chercher, trouver - Bibliothèque - Lieux ressources - Au programme - Cité des sciences et de l'industrie via Twitter, 05.06.2021

 

[Image] Calpurnia, volume 2

Daphné Collignon, d'après le roman de Jacqueline Kelly, Rue De Sèvres, 2020, 83 p. Cote bibliothèque :  JV1 2 CALPU  

 

"En 1899, Calpurnia Tate, 11 ans, habite au Texas, dans le comté de Cadwell. Avec l’aide de son grand-père, un naturaliste, elle observe les sauterelles, les lucioles ou les opossums et développe son esprit scientifique. Elle se pose mille questions et se demande si la science peut être une voie sur le chemin de la liberté pour une jeune fille à l'aube du XXe siècle." [Electre]

Retrouvez ce document dans le catalogue de la bibliothèque.

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Femmes de science, au fil des labos…

Femmes de science, au fil des labos… | EntomoScience | Scoop.it
Moins de 30 % des chercheur·euses dans le monde sont des femmes*. La journée internationale des femmes et des filles de science, le 11 février, destinée à promouvoir les carrières scientifiques auprès de celles-ci, est l’occasion de mettre en lumière les femmes de science d’INRAE.


Femmes de science à INRAE

INRAE INSTIT, 10.02.2021

 

"Des exemples de femmes de sciences, en voici cinq parmi tant d’autres. Ils illustrent la diversité de nos métiers, des carrières exemplaires, des travaux d’excellence salués par la communauté scientifique, ou tout simplement la passion qu’éprouvent ces femmes pour les sciences."

 

Leurs portraits : 
> Maria Héléna-Ramos, hydrologue
> Akiko Sugio, chercheuse en pathologie végétale
> Blandine de Lauzon-Guillain, épidémiologiste
> Charlotte Sinding, chercheuse en neurosciences
> Véronique Brault, virologue et directrice de l'unté Santé de la Vigne et Qualité du Vin d'INRAE

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Elisabeth Bouvet, dame de pique

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Cette infectiologue, présidente de la Commission technique des vaccinations, est l’un des personnages clés de la stratégie sanitaire actuelle.

 

Par Eric Favereau et Roberto Frankenberg, Photo 20 janvier 2021 à 21:06 (abonnés)

 

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Adi Utarini : aux manettes de la lutte contre la dengue 

Adi Utarini : aux manettes de la lutte contre la dengue  | EntomoScience | Scoop.it
Alors que le coronavirus balayait le monde, Adi Utarini et ses collègues se sont concentrés sur une autre maladie qui ravage l'Amérique latine et touche près de 400 milions de personnes par an : la dengue. Adi Utarini est à l'origine d'un essai de relâche de moustiques génétiquement modifiés dans une grande ville indonésienne qui a permis de réduire de 77 % les cas de dengue. Les travaux d'Adi Utarini ont débuté en 2011 mais la scientifique a bataillé durant des années pour faire accepter son projet. Les moustiques modifiés restent aujourd'hui l'une des stratégies les plus prometteuses dans la lutte contre les maladies transmises par les moustiques (Zika, dengue, paludisme...)

 

Les 10 scientifiques qui ont fait 2020 selon Nature

Par Céline Deluzarche, 01.01.2021

 

 

"As the COVID-19 coronavirus swept the world this year, Adi Utarini was focused on battling a different deadly infection: dengue fever. In August, her team reported a big victory that could point the way towards defeating this disease — which afflicts up to 400 million people per year — and possibly others carried by mosquitoes, too.

 

Utarini and her colleagues have managed to cut cases of dengue fever by 77% in parts of a large Indonesian city by releasing mosquitoes that had been modified to stop them from transmitting the virus. Epidemiologists hailed the result as staggering — and a long-sought win against a virus that has plagued many countries, especially lower-income nations in Asia, Africa and South America.

 

“It was a very big relief,” says Utarini, a public-health researcher at Gadjah Mada University (GMU) in Yogyakarta — where the trial took place — and the study’s lead scientist in Indonesia." 

 

 

 

[Image] Credit: Ed Wray for Nature

Bernadette Cassel's curator insight, January 2, 2021 1:27 PM

 

(Re)lire aussi :

 

 → Une usine d'insectes pour contrer la dengue, construite par des Français avec un programme australien - De www.tntv.pf - 27 août 2020, 18:29
 
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Vendée. Un prix pour la brillante chercheuse vendéenne

Vendée. Un prix pour la brillante chercheuse vendéenne | EntomoScience | Scoop.it
Laure-Anne Poissonnier, âgée de 31 ans, reçoit le prix Jeunes talents L’Oréal – Unesco pour les femmes et la science. Une reconnaissance de ses travaux dédiés aux insectes.

 

Publié le 02/10/2020 (abonnés)

 

 

 [Image] Laure-Anne Poissonnier, post-doctorante, dédie ses travaux aux insectes depuis huit ans. | FONDATION L’ORÉAL

 

___________________________________________________________________

SUR LE MÊME SUJET (en libre accès) :

→ Vendée : Laure-Anne dédie sa vie aux insectes pour mieux comprendre les humains | Le Journal des Sables, 01.10.2020
https://actu.fr/pays-de-la-loire/saint-cyr-en-talmondais_85206/vendee-laure-anne-dedie-sa-vie-aux-insectes-depuis-8-ans-pour-mieux-comprendre-les-humains_36447808.html

 

Bernadette Cassel's insight:

 

Scoop en relation :

 

Des embouteillages chez les fourmis ? Impossible ! De passion-entomologie.fr - 16 janvier, 09:08

 

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Remise de la médaille de la Société Française de Parasitologie à la Professeure Marie Laure Dardé #SFPSFMM2019

Remise de la médaille de la Société Française de Parasitologie à la Professeure Marie Laure Dardé #SFPSFMM2019 | EntomoScience | Scoop.it

La société Française de parasitologie SFP réunit des spécialistes, médecins, chercheurs, vétérinaires qui s’intéressent à tous les aspects des parasitoses

 

via Parasite - The Journal sur Twitter, 22.05.2019 https://twitter.com/ParasiteJournal/status/1131228738832752647

 

"Marie-Laure Dardé, M.D., Ph.D., is professor of Parasitology and Mycology in the Faculty of Medicine of Limoges (France) and is at the head of the Department of Parasitology at the University Hospital of Limoges, in charge of the routine diagnosis of human toxoplasmosis. She has been involved in Toxoplasma strain genotyping for many years. She manages, together with the Laboratory of Parasitology of Reims University (France), the BRC ToxoBS (Biological Resource Centre for Toxoplasma Strains) and the network of French laboratories for strain and clinical data collection. She works on the association between Toxoplasma genotypes and outcomes of human toxoplasmosis and has described severe forms of toxoplasmosis in immunocompetent patients in French Guiana. Studies performed by her team in molecular epidemiology contributed to the knowledge of geographical differences in the distribution of Toxoplasma genotypes. More recently, she performed research on Toxoplasma detection in wild and domestic animals and in water."

 

 

Elle est également :

 

- Ancienne Présidente de la la SFP

 

 

- Membre du Comité Éditorial de Parasite - et l'une de ses reviewers·euses les plus actives

 

 

- Co-responsable de l’axe Neuroparasitoses PU-PH - IENT

 

 

- Autrice d'une thèse, elle a dirigé 8 thèses, a été présidente de jury pour 4 thèses, a été rapporteuse pour 5 thèses, a été membre de jury pour 1 thèse

 

 

- (...)

Bernadette Cassel's insight:

 

→ #SFPSFMM2019 :

 

  • Congrès de la Société Française de Parasitologie (SFP), de la Société Française de Mycologie Médicale (SFMM) et Journées Franco-Maghrébines de Parasitologie-Mycologie - From sfpsfmm2019.sciencesconf.org - 8 May, 18:24
 
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Une femme Nobel de physique repousse le plafond de verre

Une femme Nobel de physique repousse le plafond de verre | EntomoScience | Scoop.it
Les prestigieux prix sont encore très majoritairement remis à des hommes, surtout dans les domaines scientifiques.

 

Les femmes représentent 5 % des lauréats des prix Nobel, 02.10.2018

 

"... Non pas que les femmes n’aiment pas les prix Nobel : elles n’en ont jamais refusé, contrairement aux hommes (Jean-Paul Sartre en 1964 et Le Duc Tho en 1973). Mais les récompenses ne se sont pas ruées sur elles. Et quand il y a distinction, avec un prix, elle est souvent partagée et sert de prétexte à une diversité de façade."

(...)

 

[Image] Donna Strickland celèbre son prix Nobel de physique avec ses collègues et étudiants de l'université de Waterloo, dans l'Ontario, au Canada, le 2 octobre 2018 / AFP

 

[via] Une femme Nobel de physique repousse le plafond de verre - La Croix, 03.10.2018 https://www.la-croix.com/Sciences-et-ethique/femme-Nobel-physique-repousse-plafond-verre-2018-10-03-1300973372?from_univers=lacroix

 

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Bourses Germaine Cousin 2018 – Société entomologique de France

Bourses Germaine Cousin 2018 – Société entomologique de France | EntomoScience | Scoop.it
Mademoiselle Germaine Cousin, spécialiste des Grillons au sein de l’ancien Laboratoire d’Entomologie générale et appliquée du Muséum, a légué par testament en 1993 à la Société entomologique de France, une somme destinée à attribuer des bourses et des prix à des chercheurs amateurs ou professionnels, en entomologie pure ou appliquée.

 

 

Bernadette Cassel's insight:

 

"Mademoiselle Germaine Cousin (1896 – 1992) a légué à la Société entomologique de France, une somme destinée à attribuer des bourses aux chercheurs amateurs ou professionnels, en entomologie pure ou appliquée.

 

Des bourses seront attribuées en 2018. Les dossiers de candidature peuvent être téléchargés directement sur le site internet de la Société entomologique de France."

 

Laurent Péru

Président de la SEF

(via l'OPIE)

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17 femmes prix Nobel de sciences

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Depuis 1901, année de sa création, 583 Prix Nobel ont été décernés pour des travaux dans une discipline scientifique. Parmi ceux-ci, seulement 18 ont récompensé une femme (eh oui, il y en a une qui en a reçu deux !)

 

Ludmilla Science, 07.03.2017

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