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Les insectes à la croisée des disciplines
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Rescooped by Bernadette Cassel from Les Nouveaux modèles économiques (Régénération, circularité, ESS,
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"FAUT SE REVEILLER ! ON VA VERS MADMAX" - Timothée Parrique | LIMIT #decroissance

"FAUT SE REVEILLER ! ON VA VERS MADMAX" - Timothée Parrique | LIMIT #decroissance | EntomoScience | Scoop.it
Nouveau "TALK" sur LIMIT avec Timothée Parrique.

Conversation bien sympathique sur "Ralentir ou périr", c’est le nom de son livre.
Ce docteur en économie spécialiste de la décroissance, chercheur à l’université de Lund, en Suède nous explique forcement... la décroissance en projet de société.

https://www.seuil.com/ouvrage/ralentir-ou-perir-timothee-parrique/9782021508093

CHAPITRES :
0:00 - Ralentir ou périr.
7:00 - Décroissance seule solution ?
12:00 - Décroissance inévitable ?
13:00 - Richesses concentrées
14:39 - Les 1% de riches ne céderont pas ?
18:29 - La réflexivité économique
21:40 - Inégaux face au climat.
23:15 - Changer le statut des entreprises ⬇️
24:01 - Exemple !
27:25 - Le Paradoxe d'Easterlin (PIB vs Bonheur)
30:06 - La théorie du ruissellement (est fausse)
31:15 - Croissance économique : Indicateur biaisé.
33:00 - Pouvoir Achat vs Pouvoir Vente.
35:31 - Arnaque à l'échelle planétaire
39:38 - Argent & Santé
41:20 - Décroissance - Exercice de pensée 🚀🧠
46:05 - L'accumulation par la dépossession.
50:29 - L'entre-aide vs L'individualisme
57:30 - Les mots de la fin
59:56 - Eviter la guerre à tout prix.


Via NoveTerra
Bernadette Cassel's insight:

 

Précédemment

 

  • Conférence "Ralentir ou périr, l'économie de la décroissance" - De www.u-bordeaux.fr - 4 octobre 2022, 14:53

 

NoveTerra's curator insight, March 3, 2023 3:42 PM
1 heure avec l'économiste Thimothée Parrique pour parler de l'avenir des possibles ensemble quand on repense nos modèles de société et de création de valeur et surtout notre narratif sur la croissance !
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Muhammad Yunus : « La crise du coronavirus nous ouvre des horizons illimités pour tout reprendre à zéro »

Muhammad Yunus : « La crise du coronavirus nous ouvre des horizons illimités pour tout reprendre à zéro » | EntomoScience | Scoop.it
TRIBUNE. L’économiste et Prix Nobel de la paix 2006 appelle, dans une tribune au « Monde », à repenser le monde de l’après. Pour lui, la reconstruction doit être sociale et écologique, pour éviter une catastrophe qui pourrait être bien pire que l’actuelle.

 

Publié le 05.05.2020 (abonnés)

 

[Image] Des employés volontaires assemblent la partie mécanique des respirateurs à l’usine PSA de Poissy (Yvelines), le 22 avril. BENJAMIN GIRETTE POUR LE MONDE

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Biodiversité et économie, des liaisons dangereuses ?

Biodiversité et économie, des liaisons dangereuses ? | EntomoScience | Scoop.it

[via] Cosciences sur Twitter, 01.05.2020 : "#live #Science nous parlons de perte de biodiversité à 18h en compagnie de Gérard Duvallet, directeur de recherche en écologie et Stanislas Rigal, doctorant en écologie. Peut-on sauvegarder la #biodiversite dans un système capitaliste ?"

https://twitter.com/Coscience34/status/1256237172769898499

 

 

[Image] Stanislas Rigal, Guillaume Bagnolini et Gérard Duvallet (capture d'écran)

 
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L'innovation Frugale, késako ?

L'innovation Frugale, késako ? | EntomoScience | Scoop.it
L'innovation frugale permet de développer de nouvelles offres à forte valeur ajoutée pour soi et son écosystème, tout en touchant un large public grâce à des prix abordables. La notion de sobriété se trouve ainsi en chaque humain et se reflète au niveau d’une équipe, d’une entreprise, de ses produits ou services.

 

Frugal Innovation day, 14.03.2019

 

L'innovation frugale - la boussole pour naviguer sous complexité et incertitude

 

Lean, agile et frugal ?

 

L'innovation frugale est l'approche non structurée et non linéaire de résolution de problèmes. Elle a été utilisée pour traiter les problèmes "épineux", sous contraintes de ressources, dans les pays émergents comme l'Inde et le reste des BRICS. Cette approche peut-elle aujourd'hui offrir quelques pistes à l’occident pour anticiper un avenir émergent ? Accélérer les projets d'innovation? Faire émerger le potentiel humain de vos équipes en face de l'IA? Réconcilier écologie et économie ?

Peut-elle générer des liens fructueux entre esprit, culture, business modèles, innovation et environnement ?

 

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Mieux que la décroissance ? La "désinnovation" !

Mieux que la décroissance ? La "désinnovation" ! | EntomoScience | Scoop.it
Apprendre à «faire sans» une nouvelle technique, réutiliser au lieu de reconstruire: désinnover est une façon écologique de préserver la planète dans des secteurs aussi variés que l’agriculture, les transports, ou le BTP.

 

par Nicolas Celnik

publié le 2 juin 2022 à 18h31
 

"Et si le futur de l’innovation ne consistait pas à développer un nouvel outil, mais à en enlever un qui existe déjà ? Cette piste, qui n’est pas à proprement parler la manière orthodoxe d’envisager le progrès technique, est pourtant en train de se frayer un chemin dans les sphères écolos. On lui trouve un ensemble de noms, qu’il s’agisse de «désinnovation», «arts de la fermeture» ou de «redirection écologique».

 

L’idée de départ est simple : nous sommes en pleine catastrophe écologique. Celle-ci est causée par un ensemble de technologies dont nous dépendons au quotidien, qu’il s’agisse de pesticides, du smartphone ou des centrales nucléaires. Une énième mise à jour de logiciel, un drone épandeur de pesticides ou un hypothétique avion thermique ne permettront vraisemblablement pas de résoudre cette crise. Au contraire : ce sont plutôt des causes de l’impasse actuelle que des remèdes. Ou, selon les mots d’Alexandre Monnin, Diego Landivar et Emmanuel Bonnet, coauteurs de Héritage et fermeture. Une écologie du démantèlement (Divergences, 2021), ces objets et ces infrastructures qui nous encombrent sont des «communs négatifs»."

(...)

 

→ « Le tournevis plutôt que la bêche » : une écologie du démantèlement – Libération, 23.07.2021 https://www.liberation.fr/idees-et-debats/le-tournevis-plutot-que-la-beche-une-ecologie-du-demantelement-20210723_54QWFPLPRZCG5GU2FKO7YRZAOE/

 

La révolution écologique sera noire, comme le cambouis : dans un court essai, Emmanuel Bonnet, Diego Landivar et Alexandre Monnin, enseignants à l’ESC-Clermont s’attaquent aux "communs négatifs", ces biens polluants qui doivent être démantelés pour garantir l’habitabilité de la planète.

 

par Clara Guillard

publié le 23 juillet 2021 à 10h00
 

En septembre 2020, Emmanuel Macron défendait avec ferveur la 5G devant un parterre d’entrepreneurs de la French Tech, moquant ceux qui voudraient «relever la complexité des problèmes contemporains en revenant à la lampe à huile». Les propos, méprisants et caricaturaux, ont soulevé une vague d’indignation. Et pourtant, ils posent un paradoxe bien réel, sur lequel achoppe encore une partie de la réflexion écologiste : la survie de l’humanité dépend de ce qui la tue à petit feu. Comment vivre aujourd’hui sans l’agriculture intensive, qui nourrit des millions d’êtres ? Se chauffer sans électricité produite au charbon ou par des centrales nucléaires dont nous ne savons que faire des déchets radioactifs ?

 

Emmanuel Bonnet, Diego Landivar et Alexandre Monnin, enseignants à l’ESC-Clermont Business School se saisissent de cette question dans leur dernier essai, Héritage et fermeture. Une écologie du démantèlement, paru aux éditions Divergences.

 

À rebours des injonctions à la désertion ou à la rupture, ils plaident pour la reconnaissance de la dépendance que les infrastructures capitalistes – routes, réseaux de communication, usines pétrochimiques – ont tissé à tous les niveaux de nos modes de subsistance. Se reconnecter à la nature passe donc d’abord par une «déconnexion» à l’égard d’un système technique polluant, productiviste et extractiviste (la «Technosphère») qui ne peut se contenter de la puissance d’imaginaires nouveaux et bucoliques. Tournevis à la main, les trois auteurs prônent une gestion collective et pragmatique du «patrimoine noir» de l’humanité : fleuves et sols pollués, câbles sous-marins, avions…

 

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Crise sanitaire et confinement : l’apport de la démographie et des sciences de la population

Crise sanitaire et confinement : l’apport de la démographie et des sciences de la population | EntomoScience | Scoop.it
L’Institut national d’études démographiques (Ined) mobilise un large éventail de disciplines -- la démographie bien sûr, mais aussi l’économie, l’histoire, la géographie, la sociologie, l’anthropologie, la statistique, la biologie ou encore l’épidémiologie -- pour décrire et comprendre les changements à l’œuvre au sein des populations, qu’il s’agisse de fécondité, de mortalité, de migrations, de rapports de genre et d’équilibres entre les générations, ou encore d’inégalités sociales ou géographiques. Cette approche pluridisciplinaire est précieuse pour analyser l’impact de la pandémie de Covid-19 sur les populations et sur les sociétés, en France et dans le monde.

 

Covid-19 - États de la recherche

 

[via] Comité pour la science ouverte sur Twitter, 23.04.2020 : "Nous avions souligné l'importance des approches pluridisciplinaires de l'épidémie: @InedFr en est un bon exemple #Covid-19 #SHS"
https://twitter.com/ouvrirlascience/status/1253350920735223814

 

 

[via] Comité pour la science ouverte sur Twitter, 23.04.2020 : "Nous avions souligné l'importance des approches pluridisciplinaires de l'épidémie: @InedFr en est un bon exemple #Covid-19 #SHS https://t.co/9tRh68klT6" / Twitter
https://twitter.com/ouvrirlascience/status/1253350920735223814

 

Bernadette Cassel's insight:

 

'épidémiologie' in EntomoScience | Scoop.it
https://www.scoop.it/topic/membracides/?&tag=%C3%A9pid%C3%A9miologie

 

(29 scoops)

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L'écologie et l'économie sont-elles compatibles ?

Prix Nobel d’économie 2014, médaille d’or du CNRS 2007, X1973, président honoraire de la fondation Jean-Jacques Laffont – Toulouse School of Economics et président de l’Institute for Advanced Study in Toulouse. Il est également professeur invité au MIT, membre de l’Académie des Sciences Morales et Politiques et directeur d’études cumulant à l’École des hautes études en sciences sociales. Ses recherches portent sur l’organisation industrielle, la réglementation, la théorie des organisations, la théorie des jeux, la finance, la macro-économie, et la psychologie. Il est l’auteur de Économie du bien commun, dont une partie est consacrée aux implications économiques du développement durable.

 

Jean Tirole - YouTube

Ecole polytechnique
Ajoutée le 7 jun 2019
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Recherche CNRS-INEE : Quand le productivisme nuit à l'agriculture

Recherche CNRS-INEE : Quand le productivisme nuit à l'agriculture | EntomoScience | Scoop.it
Vincent Bretagnolle étudie les alternatives à l’agriculture intensive sur les 450 kilomètres carrés d’une zone agricole située au sud de Niort. Il explique à CNRS Le journal comment un moindre recours aux pesticides augmente les revenus des agriculteurs sans affecter leur production.

(...)

 

Quand le productivisme nuit à l'agriculture. Par Laure Cailloce, 27.02.2018

 

Conduire des expérimentations sur un territoire de 450 kilomètres carrés, comme vous le faites dans la zone atelier de Chizé, ce n’est pas banal. Pouvez-vous nous expliquer le principe de vos recherches ?

Vincent Bretagnolle : La zone atelier « Plaine et val de Sèvres » – c’est son nom officiel – a été créée en 1994 sur un constat : le modèle agricole productiviste est en bout de course. Il dégrade l’environnement et la biodiversité, a des conséquences délétères sur la santé humaine – au premier chef, sur celle des agriculteurs –, et n’est plus viable économiquement puisqu’on assiste à la baisse continue des revenus des mêmes agriculteurs. Face à ce constat, la question qui se pose est la suivante : quel modèle inventer pour l’agriculture de demain ? À Chizé, nous avons décidé d’explorer la piste de l’agroécologie, une agriculture durable qui utilise les ressources de la nature pour se développer. Mais, à la différence de la plupart des études basées sur des modèles théoriques ou menées dans des stations expérimentales hors-sol, nous testons toutes nos hypothèses en conditions réelles, grâce à la participation des agriculteurs : près de 200 exploitations ont ainsi accepté de collaborer ces dix dernières années.

 

 

À quoi ressemble votre zone d’étude, concrètement ?

V. B. : C’est une des grandes plaines céréalières de France où l’on cultive le blé, le colza, le tournesol, mais aussi le maïs ou la luzerne. Les terres y étant très pauvres, on y pratique encore beaucoup l’élevage, même si les prairies ont disparu au profit des stabulations, ces bâtiments où les animaux vivent à longueur d’année. 450 exploitations agricoles sont aujourd’hui présentes sur ce territoire, qui a la particularité d’être classé Natura 2000 du fait de la présence d’oiseaux protégés comme le busard ou l’outarde canepetière. On y trouve encore des haies, des petits bosquets, et quelques vignes dans le sud de la zone, mais ces éléments du paysage très prisés des insectes et des oiseaux disparaissent progressivement.

(...)

 

 

 

"La Zone Atelier Plaine & Val de Sèvre est l’une des 13 zones atelier du dispositif INEE RZA. Elle a été labellisée Zone Atelier en 2008. Les données y sont collectées cependant depuis 1994.

C’est un dispositif de l’Institut Ecologie et Environnement du CNRS, destiné à favoriser la recherche interdisciplinaire et inter partenariale autour d’un projet commun – en l’occurrence, l’Agro-écologie des territoires- s’appuyant notamment sur un outil d’organisation, de stockage et de partage de l’information scientifique. Cet outil doit à la fois répondre aux besoins de recherche fondamentale, de recherche appliquée et aux demandes sociétales."

Bernadette Cassel's insight:

 

"Depuis dix ans, les chercheurs de la zone atelier ont travaillé main dans la main avec 200 exploitations agricoles : producteurs de blé, de colza ou encore de tournesol."

 

Les Sentinelles du climat's curator insight, March 5, 2018 7:40 AM
Oui, la biodiversité est utile à la production agricole, et pas uniquement pour la pollinisation