36% se rendent directement sur le site du média, contre 35% qui arrivent via Facebook, Twitter..., d'après le Pew Research.
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36% se rendent directement sur le site du média, contre 35% qui arrivent via Facebook, Twitter..., d'après le Pew Research.
Béatrice D.'s insight:
Enquête du Pew Research Center auprès de 2 000 consommateurs américains d'actualités Les médias sociaux et traditionnels sont au coude-à-coude en terme d'accès préféré à l'info, loin devant les alerts infos ou les moteurs de recherche: 36% à se rendre directement sur le site du média, contre 35% qui arrivent sur la page d'un article grâce à Facebook, Twitter, ou autre canal social, d'après le Pew Research. En outre, le média en ligne renforce le besoin d'échanger dans le monde physique.
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Par Barbara Chazelle, France Télévisions, Direction de la Prospective En l'espace de quelques semaines, les médias français ont débarqué sur Snapchat. Dans la partie Stories uniquement pour le mome…
Béatrice D.'s insight:
Les médias français multiplient les expérimentations sur Snapchat. Deux tendances semblent se dégager :
Pour en savoir plus, cliquez sur le titre
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À la Rédaction du Financial Times, il ne sera plus mal vu de traîner sur Facebook… En effet, le quotidien britannique a annoncé qu’il allait lancer son Facebook at Work. Ce service, encore en version bêta mais qui doit être lancé cette année, va pouvoir être testé par les employés du journal, comme c’est déjà …
Béatrice D.'s insight:
Un journal me paraît adapté pour mettre en place le travail collaboratif... même si les journalistes sont souvent individualistes (sans compter le secret des sources et du carnet d'adresses) et si les rédactions ont un fonctionnement bien plus vertical qu'horizontal. Oui, bon d'accord, c'est pas gagné. Mais j'en rêve.
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Béatrice D.'s insight:
Bilan 2015 du Figaro, par le directeur général Marc Feuillée > En 2015, le groupe, filiale de Dassault, a réalisé un chiffre d'affaires de 500 millions d'euros, stable sur un an, et un bénéfice d'exploitation en hausse de 5%, à 21 millions d'euros (hors CCM Benchmark). > Le numérique représente 35% du CA du Figaro mais 65% de ses profits. Sur le web, l'offre payante du Figaro.fr, lancée en avril 2015, compte désormais 40 000 abonnés. > la version papier du quotidien ne représente plus que 20% du CA. > Le Figaro vise pour 2016 un chiffre d'affaires de 535 millions d'euros (soit une hausse de 7%) et un bénéfice d'exploitation de 30 millions d'euros (en nette augmentation de 42%), notamment par l'intégration de CCM benchmark, mais aussi la mise en place de synergies commerciales (régie publicitaire commune) et technologiques (bases de données). La diversification > conférences payantes > croisières avec des personnalités > les petites annonces (Explorimmo, Cadremploi..) > les services en ligne (chainemeteo.com, billetterie Ticketac..)
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La ville de Groningen (Groningue en français et, oui, ça se prononce « gros ningue ») accueille chaque année le festival Eurosonic. Méconnu du grand public, cet événement est pourtant un rendez-vous incontournable pour tous les professionnels européens de ...
Béatrice D.'s insight:
Le 14 janvier, 20 Minutes a invité les internautes qui le suivent à devenir rédacteurs en chef de leur journaliste envoyé au festival Eurosonic à Groningen. Le journal gratuit promet une interaction quasi immédiate via le hashtag (mot dièse) #twittoguidé sur Twitter. Excellente idée que 20 Minutes présente dans cet article comme une "expérience". Vivement le retour d'expérience.
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Facebook poursuit sa conquête du mobile en dévoilant deux fonctionnalités, l’une portée sur la vidéo avec « Live », autrefois réservé aux personnalités est
Béatrice D.'s insight:
Extraits - Désormais, les médias, les marques, entreprises ou organisations pourront utiliser la fonction Live (toujours depuis iOS) et partager des annonces, des mises à jour d’information, montrer l’envers du décors, bref communiquer à leur manière et en direct. - Une fois le direct lancé, la liste des amis qui consultent la vidéo s’affiche, tout comme le flux de commentaires. - Par ailleurs, Facebook propose une nouvelle fonctionnalité, Collage. Un outil de création d'album photos similaire à Collection de Google Photos.
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Selon Digiday, le New York Times a créé, en septembre dernier, une équipe de 11 personnes pour travailler sur les alertes notifications. Dirigé par Andrew Phelps, ce pôle expérimente plusieurs types de customisation des pushs en fonction de ce que lit le mobinaute, des horaires, de la langue et du device.
Béatrice D.'s insight:
Ce pôle expérimente depuis septembre 2015 plusieurs types de customisation des pushs en fonction de ce que lit le mobinaute, des horaires, de la langue et du device. On pourrait ajouter, très vite, en fonction du lieu où il se trouve. Les datas que les lecteurs donnent sur eux-mêmes peuvent servir la diffusion en améliorant "l'expérience client"... comme les annonceurs qui vont pouvoir adresser des pub ciblées en fonction de leurs centres d'intérêts. A terme, on peut penser que les nouvelles sources de revenus qui vont en découler compenseront la baisse des ventes du print.
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Par Alice Pairo, France Télévisions Il y a aujourd’hui dans le monde plus de mobinautes que d’internautes. La France à elle seule en compte 31 millions, et 4/10 d’entre eux l’utilisent dans la demi…
Béatrice D.'s insight:
La France compte 31 millions de mobinautes. 40% d’entre eux utilisent leur portable dans la demi-heure qui suit leur réveil. Selon Méta-Media, pour toucher les lecteurs et donc capter ce marché, ça suppose...
Cliquer sur le titre pour lire cet article en entier.
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Menaces, poursuites, violences contre des journalistes, sites Internet bloqués, quotidiens asphyxiés...
Béatrice D.'s insight:
A l'approche des élections du 1er novembre, le président Erdogan intensifie son harcèlement contre la presse indépendante. Un élément clef de la stratégie de tension de celui qui vise à s'imposer en recours, par tous les moyens. Pour lire l'article en entier, cliquez sur le titre.
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Les internautes peuvent accéder aujourd’hui, sans dépense apparente, à une multitude de biens culturels. Quels modèles économiques se cachent derrière cette gratuité ? À qui profite l’abondance de contenus gratuits sur Internet ?
Béatrice D.'s insight:
Dans leur livre La gratuité à quel prix ?, Joëlle Farchy, Cécile Méadel, Guillaume Sire dressent un portrait complet des acteurs et modèles économiques présents sur le marché des biens culturels en ligne. Ils pointent par la même occasion le problème crucial du partage de la valeur entre des acteurs comme Google, Apple ou Amazon et les créateurs de contenus, notamment quand la gratuité est la règle. Gratuité illusoire soit dit en passant, car il y a en réalité deux prix à payer: l'omniprésence de la publicité d'une part, la monétisation de vos (de nos) données personnelles - goûts, habitudes, voire opinions politiques, religieuses - d'autre part... sans compter le coût d'un abonnement internet, le prix de l'ordinateur et j'en passe. Toutefois, les chercheurs ne donnent pas de solutions concrètes à l’inégale répartition des revenus. Et c'est bel et bien sur ce point que le bât blesse pour les groupes de presse "Google dépendants". La home page n'est plus, loin s'en faut, la vitrine chérie des sites de presse, pure player ou non. Les référenceurs ont tellement bien fait leur travail que de plus en plus de lecteurs arrivent de la vaste toile. Une bonne chose pour les "clics", mais pas forcément pour le portefeuille. Qui contrôlera les données fournies (volontairement ou involontairement) par ces lecteurs à l'avenir? De la réponse à cette question pourrait bien dépendre la survie de la presse traditionnelle telle que nous la connaissons aujourd'hui. Lire aussi : Attention à votre ego sur les réseaux sociaux
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Le groupe Pearson, qui a déjà vendu le « Financial Times » à un groupe japonais, souhaite se recentrer sur le domaine éducatif.
Béatrice D.'s insight:
Pour lire l'article du Monde en entier, cliquez sur le titre La crise de la presse n'est cette fois pas responsable de cette cession. Selon le Financial Times, les 50 % détenus dans The Economist Group seraient valorisés à hauteur d’environ 400 millions de livres. Soit un montant comparable à la vente du FT Group, alors que The Economist Group dégage des bénéfices d’exploitation deux fois et demie plus importants.
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À l’occasion de la première rencontre de l’Observatoire de l’audiovisuel et du numérique, Frédéric Bonnard, Hervé Brusini, Gérard Leclerc, Céline Pigalle, Etienne Rouillon étaient présents pour débattre de l’avenir de l’information TV face au web 2.0.
Béatrice D.'s insight:
Ma phrase préférée... hélas: "Il y a une incompréhension du numérique par les médias traditionnels". Par Frédéric Bonnard, lors d'un débat sur l’avenir de l’information TV face au web 2.0., avec Hervé Brusini, Gérard Leclerc, Céline Pigalle et Etienne Rouillon.
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Les pouvoirs publics vont-ils bientôt mettre le nez dans les algorithmes ? Devant l'importance croissante des formules mathématiques et de...
Béatrice D.'s insight:
C'est aussi ce vers quoi veut aller la presse pour fournir des abonnements personnalisés aux lecteurs qui auraient ainsi la possibilité le faire leur marché dans le fil continu d'infos proposé par un journal. Avantages - ils seraient a priori intéressés par l'immense majorité des sujets qui arriveraient sur leur e-journal. Alors qu'on peut estimer qu'ils lisent en moyenne 2 à 4 articles dans un journal papier payé plein tarif ou même au tarif abonné. - une information préalablement triée par centre d'intérêt pour ne pas se noyer dans l'infobésité qui confine à la superficialité, mais aussi pour faire le tri dans vraies et fausses infos. Autrement dit, une info labellisée qui laisse de côté les rumeurs. Donc, un rapport utilité/plaisir/prix nettement plus favorable avec la personnalisation des abonnements. Inconvénients - un manque d'ouverture, un sens de la curiosité pas forcément sollicité, risque de prêt-à-penser avec développement de la pensée unique... Donc, un rétrécissement de la pensée. Engagement nécessaire des médias - Exigence de qualité dans le travail de curation effectué par les médias sur les infos qui dépassent leur domaine de compétences (l'international pour la PQR par exemple), mais aussi dans leur domaine de compétences. A creuser - Des associations entre médias pour mettre en commun des infos thématiques destinées à des gens qui veulent en savoir plus dans des domaines très pointus. - Fourniture de revues de presse par mot-clés avec une plus-value par rapport aux Google alertes par exemple. Objectif: avoir une approche plus qualitative grâce à une sélection en amont de la part des éditeurs. |
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Béatrice D.'s insight:
TRADUCTION DU CHAPITRE SUR LA FRANCE Les médias en France se caractérisent par un secteur de la radiodiffusion fort et dynamique et une presse faible qui a lutté pour gérer la transition vers le numérique. Il y a une concentration croissante de la propriété des médias entre quelques magnats puissants. Analyse d'Alexandre Lechenet Les attentats de Paris en novembre 2015, les premiers meurtres à Charlie Hebdo en janvier, ainsi que deux élections, ont accru l'intérêt pour l'information l'an dernier. La chaîne d'info en continu BFM TV a atteint 4 millions de téléspectateurs le 9 janvier et 2,5 millions dans la nuit du 13 novembre, confortant sa réputation en tant que source principale pour l'info en direct. Cependant, cette chaine fait face à une nouvelle concurrence avec LCI (membre du groupe TF1), qui est en libre accès depuis avril 2016 alors qu'elle avait auparavant attiré de petits auditoires en tant que télévision payante. En revanche, le secteur des journaux a été incapable de capitaliser sur le vif intérêt pour l'info, en dépit d'un rôle clé en ligne: ainsi, une vidéo du drame prise par un journaliste du Monde sur son iPhone, en dehors de la salle de concert Bataclan, a été largement partagée sur les médias sociaux. Le site reste une destination en ligne clé. Malgré de fortes performances en ligne par les groupes de presse écrite, la diffusion papier continue à tomber (-3,83%) et les recettes publicitaires sont en forte baisse (-0,6% en général et -7,9% pour les journaux). La concentration des médias a été la grande tendance de la dernière année au sein de l'industrie de la presse. Patrick Drahi, propriétaire du fournisseur de télécommunications SFR-Numericable, a acquis L'Express-Roularta, et a créé un nouveau groupe appelé Altice médias qui inclut les propriétés de médias existants, tels que le journal Libération. Drahi a également pris une participation significative dans NextRadioTV, propriétaire de BFM TV et RMC. Pendant ce temps, Bernard Arnault, propriétaire de la société de luxe LVMH et du journal Les Echos, a acheté Le Parisien-Aujourd'hui en France, un quotidien régional pour Paris et sa région, avec une version cousine pour le reste de la France. Plus d'une centaine de personnes ont quitté L'Express-Roularta après le changement de propriétaire. Chez Lagardère, propriétaire de magazines et chaînes de télévision, environ 200 devraient partir. Canal +, propriétaire de la chaîne i-Télé, dispose également d'un nouveau propriétaire, Vivendi, dont le PDG Vincent Bolloré a apporté des changements importants à la direction alors que Canal est en train de perdre des abonnés. PSB est partagé entre trois entités, une pour la radio, une pour la télévision, et une pour la radiodiffusion internationale.
En radio, en particulier, les programmes d'information du matin, restent importants. Le service public fonctionne bien par radio, mais fait face à la concurrence de TF1 et d'autres chaînes d'infos télévisées. En réaction, la nouvelle direction de France Télévisions et de Radio France ont établi le projet de chaine d'info 24h/24 PSB, à la télévision et en ligne. Elle devrait être lancée à l'automne 2016, ce qui veut dire que la France aura alors l'un des plus grand nombre de chaînes d'information "free-to-air" dans le monde occidental.
En termes d'infos en ligne, l'audience des principaux sites ne cesse de croître, en particulier sur mobile, mais les recettes restent un problème. De nombreux éditeurs exploitent un paywall mesuré ou utilisent un modèle freemium - comme Le Monde et Le Figaro - restreignant certains articles aux abonnés. les recettes publicitaires numériques ne progressent pas aussi vite que prévu et ont été touchées par la croissance du "ad-blocking" qui, à 30%, est nettement supérieur à la moyenne européenne. En mars 2016, les principaux éditeurs ont lancé une campagne publique coordonnée pour accroître la sensibilisation à la question et, dans certains cas, ont un accès restreint pour ceux qui utilisent des ad-bloqueurs. Une exception aux tendances à la baisse de l'industrie des médias est Mediapart, un site d'infos rentable connu pour son journalisme d'investigation et ses articles d'opinion marqués. Le business modal de Mediapart repose uniquement sur le revenu de ses abonnements; le site n'a pas de publicité. Les Jours, une start-up fondée par d'anciens journalistes de Libération, lancée en mars 2016, a aussi un modèle économique basé sur l'abonnement. Dans la presse écrite, Sociéty un magazine bimensuel, a été lancé par So Press et acclamé par la critique. Les éditions françaises du Huffington Post (13%) et BuzzFeed (4%) se distinguent également par leur impact, en particulier avec les jeunes. Les changements dans l'utilisation des médias sur la période 2013-2016 L'info télévisée reste la source la plus importante d'information en France, même si l'audience est en forte baisse, plongeant en particulier chez les jeunes. Les journaux imprimés ont une portée plus faible qu'ailleurs en Europe. Payer pour s'informer La plupart des groupes de presse intensifient leurs efforts pour développer des abonnements numériques ou groupés, mais les progrès sont lents. Seulement 11% des gens sont prêts à payer pour s'informer en ligne, ce qui place la France au 12e rang (sur 26) des pays analysés par le Reuters Institute. La confiance La confiance globale dans la presse, en France, est parmi les plus basse en Europe avec seulement environ un quart des personnes interrogées qui pensent que les infos ne sont pas influencées par la politique (25%) ou le commercial (22%). La confiance des lecteurs ou téléspectateurs a été affectée par le sentiment selon lequel des magnats des médias sont connus pour leurs liens avec des politiciens de haut niveau, ce qui a interféré directement avec les questions éditoriales, selon eux. Résultat, seulement 29% des personnes interrogées disent avoir confiance aux journalistes. POUR LIRE LE RAPPORT 2016 EN ANGLAIS SUR LA FRANCE (ET LE MONDE) OU VOIR LES NOMBREUSES INFOGRAGRAPHIES, CLIQUEZ SUR LE TITRE
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Par Damien Van Achter, fondateur du lab.davanac, co-fondateur de l'accélérateur de start-up NEST'up, professeur invité à l'IHECS. Billet invité. Nous, journalistes, qui nous prétendons "indépendant…
Béatrice D.'s insight:
Extrait du billet de Damien Van Achter, fondateur du lab.davanac. Pour le lire en entier, cliquez sur le titre. "Des exemples commencent à apparaître de médias qui, parce qu'ils adoptent des process semblables aux startups, trouvent leur modèle grâce ces end-users et aux conversations que les journalistes entretiennent avec eux, combinée à une forte diversification des revenus." Les clés - La diversification - Les datas tirées de l'audience - Le personal branding des journalistes - Changement de mentalité - S'adapter aux feedbacks des utilisateurs/lecteurs - Savoir à qui on s'adresse et pourquoi - Financement participatif sur des reportages que les lecteurs veulent voir traités A lire aussi, l'article lié sur l'expérience de La Montagne qui met en valeur les commentaires de ses lecteurs avec un format vidéo dédié.
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CCM Benchmark, leader français des médias en ligne avec ses sites et forums thématiques ("Comment ça marche", "Journal des Femmes", "Copains d'Avant"...). Paris - Le Figaro, le doyen des quotidiens français, est devenu le champion du "big data", ces données des internautes qui intéressent tant les marques, en croisant les profils des lecteurs des sites du Figaro et de ceux de sa filiale CCM Benchmark.
Béatrice D.'s insight:
CCM Benchmark est le leader français des médias en ligne avec ses sites et forums thématiques ("Comment ça marche", "Journal des Femmes", "Copains d'Avant"...) mais aussi expert de l'analyse des données. Les équipes "data" du Figaro et de CCM, désormais regroupées, peuvent ainsi personnaliser les mails publicitaires. Résultat, "les offres de spectacles" d'un site comme Ticketac (billetterie) "sont dix fois plus lues", assure Pascal Pouquet, codirecteur de CCM avec Jean-François Pillou. Lorsque l'on sait que le groupe Figaro envoie à ses lecteurs environ 15 millions d'e-mails promotionnels par jour, on comprend mieux la gourmandise de ses clients pour l'expertise développée au sein du Figaro pour le big data. Sans ciblage de l'audience, une moitié de l'investissement publicitaire est perdu. A ce titre, le groupe le Figaro offre des garanties. Mais qu'en est-il du respect de la vie privée? C'est aux internautes eux-mêmes de se poser la question puisqu'ils sont bien souvent les premiers à laisser volontairement des informations personnelles un peu partout. Certains apprécient l'utilisation qui en est faite, préférant voir surgir des publicités qui les concernent directement plutôt que d'autres qui polluent leur écran pour rien. D'autres sont réfractaires. Mais avant de récolter ces fruits-là, encore faut-il faire les investissements nécessaires. Et, faute de moyens, tous les groupes de presse, en France, sont loin d'avoir d'être aussi avancés que le groupe Le Figaro en la matière. Investir ou mourir, je crains que, entre ces deux solutions, ils n'aient plus guère de choix. Et pour cause, le prix de la pub sur internet est beaucoup plus bas que sur le print... sauf dans les médias qui, comme Le Figaro, peuvent garantir à leurs clients que les messages publicitaires touchent des prospects parfaitement ciblés et intéressés par les produits promus.
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Dans toute nouvelle formule d’un journal, il y a ce qui change et ce qui ne change pas. Commençons par ce qui change.
Béatrice D.'s insight:
Le quotidien La Croix lance le mercredi 20 janvier 2016 une formule plus moderne pour son journal papier et un site internet plus ambitieux. Passé au format tabloïd en 2013, le quotidien du groupe Bayard adopte une version plus sobre et abandonne son logo sur fond bleu au profit d'un orange éclatant, signe de la "vitalité" du journal, selon ses dirigeants. Le journal a vendu 90.000 exemplaires par jour en moyenne en 2015, grâce à la fidélité de ses abonnés qui représentent 80% de ses ventes. Ses ventes en kiosques ne représentent que 4.500 exemplaires par jour. Il faut saluer la campagne multi supports qui accompagne le lancement de cette nouvelle formule, que ce soit sur le print, le mobile ou le web. Vraiment novateur. Bravo.
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L'éditeur belge, déjà propriétaire de plusieurs titres de presse quotidienne...
Béatrice D.'s insight:
En résumé L'éditeur belge, déjà propriétaire de plusieurs titres de presse quotidienne régionale, a obtenu le feu vert de l'Autorité de la Concurrence pour racheter les 49,3% du capital détenu par le groupe norvégien Schibsted. Le montant de la transaction n'a pas été divulgué. Rossel, qui contrôle, entre autres, le quotidien belge Le Soir et le journal régional La Voix du Nord, est également en Belgique l'éditeur de Metro, le seul quotidien gratuit du pays.
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Béatrice D.'s insight:
Auteure d'une thèse professionnelle sur le même sujet, je partage sans réserve cette excellente synthèse signée Cyrille Frank, que j'avais d'ailleurs interviewé il y a 18 mois pour nourrir ma réflexion. Pour ceux qui n'ont pas le temps de lire, je rappelle ici brièvement les 10 conseils, développés avec de solides arguments dans cet article (pour le lire en entier, cliquez sur le titre) 1- Offrir un vrai service 2- Proposer un contenu rare 3- Proposer un prix décent 4- Avoir une politique commerciale intelligente A explorer, les solutions de micropaiement, La solution Qiota et Moments. 5- Promouvoir intelligemment ses contenus Penser aux algorithmes comme Outbrain et Taboola 6- Exploiter les données de ses utilisateurs 7- Repenser les produits éditoriaux autour du service 8- Tester, se planter, essayer encore 9- Cesser de produire ce qui a peu de valeur pour le lecteur 10- Unir ses forces entre marques médias
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AudienceLeMag.com est le site de référence qui donnent accès à des analyses de fond réalisées par Médiamétrie, sur les grandes tendances de la consommation média et de la convergence des contenus, ainsi que les usages et les comportements du public à l'égard de la télévision, de la radio, du cinéma, d'internet et de la téléphonie mobile
Béatrice D.'s insight:
Pour la dixième année consécutive, l’étude Media In Life de Médiamétrie mesure et analyse la place des médias et des loisirs numériques au cours d’une journée de la vie des personnes vivant en France. Sans surprise, si la télévision reste prédominante dans la population générale, les 13-34 ans sont proportionnellement beaucoup plus nombreux sur ordinateur, téléphone et tablette, avec un avantage certain pour le téléphone mobile. Résultat, avec la prolifération des écrans à domicile (6,4 par foyer au 1er trimestre 2015), les Français ont de plus en plus de contacts quotidiens avec les médias : 44,4 en moyenne par personne en 2014, contre 33,9 en 2005, soit une hausse de 31% en 10 ans. Cliquez sur le titre pour voir les détails du bilan 2014 rendu public le 2 novembre 2015.
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Béatrice D.'s insight:
Extrait Après plusieurs mois de test, les Instant articles de Facebook sont officiellement disponibles sous iOS. Les utilisateurs d'iPhone verront en effet désormais apparaître certains titres de presse avec un petit éclair dans leur visuel, indiquant qu'il s'agit de l'un de ces éléments, qui se chargera donc de manière bien plus rapide que la moyenne. Avantage simplifier l'expérience de l'utilisateur avec des articles qui "respectent une mise en page spécifique et n'intègrent pas des dizaines de trackers ou d'espaces publicitaires comme on le trouve souvent sur les sites internet des médias en ligne" En être ou ne pas en être? Telle est la question pour les éditeurs de presse qui risquent de perdre du trafic sur leur propre site, même si Facebook s'engage à garder une présentation qui respecte leur identité graphique. Pour le moment, les éditeurs ont également le choix: intégrer des outils de mesure d'audience et monétiser le contenu à leur manière... ou passer par la régie de Facebook.
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Béatrice D.'s insight:
Interview de Patrick Eveno, historien et économiste des médias, qui décrypte l'intérêt grandissant de ces capitaines d'industrie pour les titres de presse, dans capital.fr Auto-censure : c'est un risque, de la part des rédactions concernées par les rachats d’industriels, selon Patrick Eveno.
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Il aura fallu 4 ans et demi au 'New York Times' pour y parvenir. Le quotidien américain a indiqué jeudi que le nombre d'abonnés payants à son...
Béatrice D.'s insight:
Les 3 points clés de l'article des Echos - Avec les abonnés papier qui y ont aussi accès, ça fait 2,1 millions de personnes qui peuvent lire l'édition en ligne du New York Times. - Résultat, le quotidien américain a annoncé que son bénéfice avait bondi de 78% au 2e trimestre, par rapport à la même période de 2014, ceci grâce... à des coûts de fonctionnement plus faibles. Le numérique coûte moins chez que le papier, c'est sûr. Mais la masse salariale, a-t-elle été touchée? - Dernier détail important de l'article: au NYT, la publicité a perdu 12,8% sur papier et progressé de 14,2% dans le numérique.
Anna Lopes's curator insight,
August 10, 2015 4:19 AM
Les 3 points clés de l'article des Echos - Avec les abonnés papier qui y ont aussi accès, ça fait 2,1 millions de personnes qui peuvent lire l'édition en ligne du New York Times. - Résultat, le quotidien américain a annoncé que son bénéfice avait bondi de 78% au 2e trimestre, par rapport à la même période de 2014, ceci grâce... à des coûts de fonctionnement plus faibles. Le numérique coûte moins chez que le papier, c'est sûr. Mais la masse salariale, a-t-elle été touchée? - Dernier détail important de l'article: au NYT, la publicité a perdu 12,8% sur papier et progressé de 14,2% dans le numérique.
Guillaume Laurens's curator insight,
August 19, 2015 5:08 AM
Le 'New York Times' a atteint la barre du million d'abonnés numériques… Un cap est franchi. Est-ce que ce sera suffisant pour faire école ?
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10% des Français payent pour de l'information en ligne, selon le Digital News Report 2015* publié par Reuters. Un niveau qui place l'Hexagone au-dessus du Royaume-Uni (6%) et de l'Allemagne (7%),
Béatrice D.'s insight:
Extraits > En terme de «marques médias» en ligne, le rapport 2015 révèle que les Français préfèrent 20 Minutes, Le Monde et… Google News en 3e position, qui devancent Le Figaro. Par comparaison, l’agrégateur n’arrive qu’en 9e place en Grande-Bretagne, derrière les historiques (BBC, Sky News, Guardian), et 5e en Allemagne. C’est dans les pays latins (Italie et Espagne) que Google fait d’avantage l’actualité. > Les réseaux sociaux sont de plus en plus utilisés comme une source d’information : 34% des répondants affirment y avoir recours, contre 19% un an plus tôt. Cliquez sur le titre pour lire l'article de Frenchweb en entier
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Le réseau social veut mettre en valeur -- et donc héberger -- des articles de journaux sur son apppli mobile. La proposition, alléchante, inquiète tout de même des médias déjà "Google dépendants".
Béatrice D.'s insight:
Delphine Cuny, rédactrice en chef adjointe de Rue89, pose très bien le débat en s'appuyant sur les arguments du regretté David Carr, ancienne plume du New York Times, titre prestigieux... qui fait partie des 9 neuf grands éditeurs de médias américains, anglais et allemands qui testent depuis mercredi « Instant Articles », "sorte de nouveau kiosque numérique, version mobile, gratuit et estampillé Facebook", actuellement proposé uniquement sur son appli pour iPhone. Déjà, Google Actualités aspirait une bonne partie du gâteau publicitaire sur le web. Voilà maintenant Facebook qui veut vampiriser le marché spécifique sur mobile. Et aux médias traditionnels, les yeux pour pleurer? Aujourd'hui, le débat sur le modèle économique de la presse doit évidemment être posé, mais celui sur l'indépendance éditoriale des journalistes aussi.
Guillaume Laurens's curator insight,
May 20, 2015 2:43 AM
Les #médias, « des serfs au royaume de #Facebook » ? #Presse #RéseauxSociaux #Technologies |
Enquête du Pew Research Center auprès de 2 000 consommateurs américains d'actualités
Les médias sociaux et traditionnels sont au coude-à-coude en terme d'accès préféré à l'info, loin devant les alerts infos ou les moteurs de recherche: 36% à se rendre directement sur le site du média, contre 35% qui arrivent sur la page d'un article grâce à Facebook, Twitter, ou autre canal social, d'après le Pew Research.
En outre, le média en ligne renforce le besoin d'échanger dans le monde physique.