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Créé en 2004, le Six pattes est un bulletin qui à pour objectif de refléter l'activité de l'OPIE Franche-Comté et plus largement celle des entomologistes franc-comtois.
Journées d’école... Journées de récréation "Le but de cette école d'apiculture traditionnelle est de participer à construire le pays où les abeilles ne meurent pas : où elles ne disparaissent pas, laissant derrière elle la ruche et leur provisions, désertant un univers qui, semble t'il, ne leur plait pas.
Ce pays où les abeilles ne meurent pas est autant en nous qu'en dehors de nous. Mais c'est avant tout le pays où, à la fin de l'hiver, ouvrant une ruche après l'autre : on retrouve des abeilles brillantes, gaillardes, empressées, en pleine forme, trottinant au dessus des rayons naturels des ruches troncs ou des cadres rectangulaires.
Elles sont toutes là : elles ont toutes survécu à l'hiver avec leurs reines. C'est la récolte la plus précieuse de l'apiculteur."
Fête de la Nature. « Arbres et pollinisateurs : Un document réalisé par l'association Arbres et Paysages 32 présentant les interactions entre arbres et insectes. »
« De nombreuses informations sur la pollinisation et les différents pollinisateurs, un calendrier des floraisons des essences d'arbres... »
« Depuis plusieurs décennies, nous assistons à une diminution inquiétante de la biodiversité, phénomène multifactoriel, en grande partie lié à la dégradation et à la fragmentation des habitats. Les populations de pollinisateurs, dont l’abeille domestique en subissent les conséquences. Alors que les affections parasitaires, pathologiques et toxicologiques qui touchent l’abeille commencent à être étudiées et médiatisées, la préservation des habitats et des ressources alimentaires des pollinisateurs reste un domaine peu abordé. Pourtant, il est aujourd’hui avéré que l’appauvrissement et la banalisation de la flore aggravent le contexte dans lequel évoluent les abeilles domestiques, notamment en période de disette (hors colza et tournesol). Les trames arborées et herbacées jouent un rôle transversal et fondamental face à cette problématique. Dans des paysages agraires simplifiés, en milieu agricole “appauvri“, la restauration et la création de structures paysagères herbacées et arborées (couverts végétaux en intercultures, agroforesterie, haies champêtres...) devraient permettre de recréer les conditions d’un équilibre favorable à la biodiversité et notamment à aux insectes pollinisateurs et à l’abeille domestique. »
pdf à télécharger
Association Française d'Agroforesterie. « Lettre information Agroforesteries - Janvier 2014 : Salon International de l'Agriculture, PAC et régions, Agroforesterie et abeille... »
EpE - Entreprises pour l'Environnement. « L'érosion de la biodiversité ne cesse de croitre malgré les différentes alertes du monde scientifique et les entreprises ont un rôle à jouer pour ralentir cette perte de la biodiversité. »
« L’enjeu est complexe et la situation pas toujours facile à analyser pour une entreprise. La nouvelle brochure d’EpE, « Mesurer et piloter la biodiversité », décrit les outils qu’utilisent les entreprises pour se saisir du sujet : les indicateurs, de reporting ou de management. Elle s’appuie sur les pratiques des membres d’EpE et les échanges des trois dernières années au sein de la commission Biodiversité présidée par Daniel Baumgarten, Directeur Développement durable de Séché Environnement. »
→ Brochure d’EpE « Mesurer et piloter la biodiversité »
OBIOS. « Téléchargements »
Le Son de la Biodiversité n°1 "Les Pollinisateurs" : pollinisateurs, biodiversité et coévolution ; importance des pollinisateurs sauvages (par Samantha Bailey) ; attirer les pollinisateurs dans son jardin ; actualités et initiatives concernant les pollinisateurs.
Le Son de la Biodiversité n°2 "Le Sol" : le sol source de toute biodiversité (par Lydia et Claude Bourguignon) ; la faune du sol (par Samantha Bailey et Benoît Nusillard) ; le sol une histoire d'interdépendance écologique ; projet Mon Bio Jardin d'OBIOS ; acualités et initiatives concernant le sol ; conseil de lectures pour jardiniers.
Les forêts anciennes constituent des zones à forts enjeux en termes de patrimoine naturel, que cela soit au plan de la biodiversité ou au plan du changement climatique par un stockage naturel du carbone.
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Les vieilles forêts se caractérisent souvent par une accumulation de bois morts, résultante de la dynamique naturelle du boisement (les vieux arbres finissement par tomber créant les trouées nécessaires au développement de la régénération naturelle). Ce bois mort accueille une faune particulière, et notamment les insectes saproxyliques qui en se nourrissant de ce bois mort participent au recyclage de la matière organique.
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Le Bulletin de la Société d’entomologie du Canada, publié depuis 1969, présente trimestriellement des informations entomologiques, des occasions, des renseignements sur les opérations de la Société, des dossiers scientifiques d’importance, et des analyses d’ouvrages. Versions en ligne Volume 45(3) Septembre 2013 (numéro courant) [...]
Les découvertes d’espèces intéressantes en région issues des prospections de 2013 ont été nombreuses. Ce constat trouve une origine dans, la (...)
Découvrez le dossier réalisé par Wild Touch et Envol Vert dans le cadre de la sortie du film
La forêt contient plus des deux tiers des espèces vivantes terrestres, aussi l’on en déduit l’importance de cet habitat pour les pollinisateurs. Mais qui sont-ils ? Les insectes comme les papillons, les abeilles, certaines mouches, les charançons, mais aussi les oiseaux comme les colibris ou encore les mammifères comme certaines chauves-souris. Ils sont responsables d’environ un tiers de la production mondiale de nourriture (fruits, légumes, oléagineux, certaines légumineuses, café, cacao, épices...).
30% des récoltes meurent ravagées par les ravageurs. Les carabes, coccinelles, syrphes et autres insectes carnassiers issus de la biodiversité forestière se chargent en grande partie, de protéger nos cultures en luttant contre les ravageurs.
Dans le cadre de la sortie du film “Il était une forêt” le 13 novembre 2013, Wild Touch et Envol Vert vous invite à découvrir leur dossier sur Les services rendus par la forêt.
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"Pour commencer voici une interview radiophonique de Pierre Rasmont par Alexandre Wajnberg, mise en onde par Nathalie Jacquemin. C'est de la très bonne vulgarisation scientifique : du miel pour les oreilles." > Cliquez ici pour commencer le téléchargement – 37 mn – 45 Mo
Il est question des abeilles solitaires et sauvages et de leur disparition. Comment elles ont été confrontées à l'histoire de nos habitudes "alimentaires" (industrialisation de l'agriculture, systématisation de l'usage des engrais azotés, développement du secteur agro-alimentaire) et comment ces habitudes associées au réchauffement climatique ont entrainé leur perte. Nos abeilles mellifères bénéficient dans le meilleur des cas de l'attention de l'apiculteur et des médias, ce n'est pas le cas des abeilles solitaires qui disparaissent (presque) en silence.
Pierre Rasmont est directeur du laboratoire de zoologie de l'université de Mons en Belgique – spécialiste de l'étude des insectes pollinisateurs.
Alexandre Wajnberg – journaliste scientifique – et Nathalie Jacquemin – responsable de la mise en onde – concoctent (entre autres choses) l'émissions radiophonique de vulgarisation: "Science sans conscience n'est que ruine de l'âme, oui mais conscience sans science n'est qu'un vilain gros mot" sur Radio Campus Bruxelles. → Radio Campus » Histoire de savoir / Sciences exactes, 30.03.2010 http://www.radiocampus.be/non-classe/histoire-de-savoir-sciences-exactes-5-6063/#respond
Le 2 décembre à Mayotte, avaient lieu les 1ères Assises de l’Education à l’Environnement et au Développement Durable (EEDD) organisées par Mayotte Nature Environnement. Une journée riche en rencontres et en échanges qui laisse entrevoir la constitution du premier réseau d’EEDD de l’île. Comment cela se passe-t-il ? Témoignage de Rachel Louiset, coordinatrice du réseau Education à l’Environnement de France Nature Environnement.
Le plus ancien rucher collectif traditionnel au monde, s’appelle Taddart d’Inzerki ou « Taddart ou Guerram ». IL est situé dans la commune rurale d’Argana, à 80 km au nord d’Agadir. Selon les membres de l’association Igounane Igounane-Inzerki, ONG nouvellement créée pour sauvegarder cet important patrimoine apicole, le rucher se compose aujourd’hui de 279 cases. La production est partagée par plusieurs douars de la tribu et reste un héritage ancestral de valeur. Chaque case peut contenir en moyenne 15 à 20 ruches traditionnelles, soit environ 4.180 ruches. Si on considère que chaque ruche peut produire 6 litres de miel minimum. Le rendement annuel serait de 25.000 litres de miel, à base de thym (Tazouknnit), le miel le plus prisé et le plus cher également, avec pas moins de 500 Dh le litre. Au cœur des montagnes du Haut-Atlas, le plus ancien et le plus grand rucher collectif au monde est un réel patrimoine dont la construction remonte à 1850. Pour y arriver, après près d’une heure de trajet sur la route nationale 8, il faut encore passer autant de temps sur une longue et sinueuse piste poussiéreuse. Mais le site vaut le détour. Sur un versant sud à une altitude moyenne de 980 mètres, une structure d’un autre temps, trône au milieu de nulle part.
Via Bee Api?
« Caractérisés par un sol pauvre et drainant sur des calcaires ou des sables, ces milieux exceptionnels accueillent une faune et une flore qui leur sont propres. Menacés de disparition à cause de l’abandon de l’élevage et du non enlèvement des espèces ligneuses.
Souvent en continuité écologique avec les fonds de vallée, ces milieux naturels servent de zones de maturation et de nourrissage à de nombreux animaux et notamment les insectes.
Les pelouses calcaires et silicicoles sont des milieux de vie remarquables pour leur biodiversité, tant au niveau de la flore parfois aux allures méditerranéennes que de la faune très riche en invertébrés. »
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Pour les enseignants : téléchargez la présentation du programme pédagogique
[Image] « Quelques espèces remarquables des pelouses. À gauche : Linum suffruticosum, en haut à droite : Libelloides coccajus, en bas à droite : Polyommatus coridon. »
Un événement éditorial majeur pour la botanique européenne ! Les éditions Biotope et la Société botanique de France sortent en juin 2014 "Flora Gallica - Flore complète de la France" au prix public de 89 € ttc. Cela fait des décennies que les botanistes attendaient cette nouvelle flore exhaustive sur les plantes vasculaires de France (6 000 taxons)
Via Pescalune
Biomimesis. « L'association Biomimicry-Europa vient enfin de faire paraitre le premier numéro de sa revue numérique Biom'. Ce premier numéro met à l'honneur la chimie durable. »
association Forêt Méditerranéenne
Via algrappe
GDIE. « Ce guide s’adresse en priorité à toute association de résidents (amicale de locataires, conseil syndical de copropriétés,…) souhaitant organiser, seule ou avec une aide extérieure, des actions simples et conviviales pour sensibiliser les résidents à la biodiversité dans les espaces verts de leur immeuble. »
[...] Le guide "Immeuble au vert - sensibiliser à la biodiversité dans les espaces verts de ma résidence" est disponible gratuitement sur simple demande à l’adresse suivante (dans la limite des stocks disponibles) : gdie.contact@gmail.com
Pour lire le guide, CLIQUEZ ICI Pour télécharger gratuitement le guide, CLIQUEZ ICI
Le website Les Lépidoptéristes de France (www.lepido-france.fr) croît rapidement. Nombre d’articles (ou «posts») disparaissent dans les arcanes de sa mémoire. Pour leur éviter l’oubli, nous présentons sur cette page les archives de lepido-france. Les publications y sont classées et présentées par zones zoologiques et par pays.
Située dans le Parc naturel régional du Livradois Forez, ces vallées sont riches en biodiversité.
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L’alternance de milieux (hêtraie et hêtraie – sapinière, chaumes, tourbières et prairies…) crée une diversité naturelle et paysagère qui favorise la présence d’espèces animales montagnardes intéressantes : chouette de Tengmalm, gélinotte, chat forestier… La diversité en papillons est également à noter avec par exemple une espèce rare le Satyrion… Sur les sommets ont retrouvera également de nombreuses espèces d’oiseaux.
Du fait des pentes, les secteurs forestiers sont très peu exploités et vieillissent lentement. La présence de bois morts constitue un indicateur de cette « non-exploitation » et favorise la présence d’espèces spécifiques, dont les invertébrés saproxyliques (se nourrissant de bois mort et participant ainsi au recyclage de la matière organique).
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Lire l’article Projet Vallées Glaciaires: amélioration des connaissances écologiques
Voir la vidéo Les vallées glaciaires du Haut Forez
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