One Peshmerga reportedly wounded MOSUL — Islamic State (IS) militants have once again attacked Kurdish Peshmerga forces with chemical weapons
ARTICLE IN ENGLISH : IS Attacks Peshmerga Frontline with Improvised Chemical Rockets
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Curated by Béatrice D.
Plongez dans ma revue de presse sur les médias pour nourrir votre réflexion sur l'évolution du journalisme. En prime, résumés pour ceux qui n'ont pas le temps de lire. Réactions bienvenues.
Idem pour la situation au Kurdistan. Other Topics
Béatrice D.
Mon CV, mon projet de livre sur le génocide kurde, des vidéos et des portraits en avant-première.
Le Kurdistan après le génocide
Hommage aux victimes du génocide kurde (182000 morts en 1988, bien plus depuis 1969) et analyse du miracle économique actuel
Les médias face à leur destin
Quel avenir pour les journalistes et les journaux? Quelle stratégie pour la presse face à la concurrence des réseaux sociaux?
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TRADUCTION DE L'ARTICLE DE BASNEWS : TO READ IT IN ENGLISH CLICK THE TITLE ABOVE
Des militants de Daesh ont à nouveau attaqué les forces Peshmergas kurdes avec des armes chimiques, en faisant plusieurs blessés.
Selon un commandant des peshmergas sur le front Khazr, les forces kurdes ont subi cette énième attaque chimique de Daesh tôt le matin du 30 avril à Khazr, près du barrage de Mossoul.
Le commandant Rebin Rozhbayani a révélé aux médias que l'un peshmergas a été blessé et que plusieurs autres souffrent de nausées, de vomissements et d'essoufflement.
BasNews a appris que les peshmergas qui sont équipés de masques à gaz et d'autres protections ont survécu à l'attaque chimique, mais que les autres (qui n'en avaient pas) sont touchés.
Les autorités kurdes font constamment des demandes aux forces de la coalition internationale pour qu'elles fournissent aux peshmergas des équipements de protection pour faire face à la guerre chimique, car ils ont récemment été plusieurs fois attaqués par des roquettes improvisée transformées en fusées chimiques.
COMMENTAIRE
La semaine dernière encore, Massoud Barzani, le président de la région autonome du Kurdistan, a redemandé des équipement de protection pour les peshmergas à une délégation de députés et de sénateurs français. Khami Hedjar, conseiller au Parlement du Kurdistan irakien, l'a répété à un journaliste de la Dépêche du Midi: «Nous avons besoin d'armes lourdes, d'armes antichars, de moyens aériens, nous avons besoin de drones face aux drones de Daesh qui surveillent nos positions, nous n'avons pas de gilets pare-balles ni de tenues contre les armes chimiques. Daesh paye ses combattants mais nos peshmergas, eux, payent leur équipement, leurs armements. Nous avons besoin d'hôpitaux mobiles et d'hélicoptères, ne serait-ce que pour évacuer nos blessés. Aujourd'hui ? Ce sont des particuliers ou la famille, qui les évacuent dans leur voiture ! Faute d'évacuation rapide, nous avons perdu beaucoup d'hommes», raconte-t-il. Réalité très concrète aussi à Erbil, la capitale de la région autonome du Kurdistan irakien. La ligne de front est à 44 km.