Boîte à outils numériques

Les bibliothèques prennent une part grandissante dans la collecte et la valorisation des archives de la recherche et contribuent ainsi, comme le décrit le sociologue et historien des sciences Jean-François Bert dans l’entretien qui ouvre ce dossier, à « comprendre l’invention d’un concept, mesurer l’implication du savant dans sa découverte, prendre conscience des chemins pris, des impasses, des routines, des opérations de manipulation, d’accumulation, de tri ».

Le consortium BHL, qui met en ligne la bibliothèque numérique Biodiversity Heritage Library, propose le 19 avril une journée d'étude (en anglais) sur "enjeux d'ouverture des données des bibliothèques numériques pour les sciences naturelles". 

Le Centre de Ressources Scientifiques de l’Observatoire de l’Univers Institut Pythéas est pluridisciplinaire et multi-site.

Il regroupe quatre bibliothèques spécialisées en astronomie, environnement, et océanographie implantées dans les différents instituts composant cet OSU.

Correspondances, cours, dessins, vidéos, photographies, instruments, scientifiques… : le patrimoine de PSL numérisé sur PSL Explore. 24933 documents et 19 collections

À l'occasion des 20 ans du consortium Couperin, chargé de négocier l'accès aux revues scientifiques pour les bibliothèques universitaires, les premiers résultats d'une grande enquête menée auprès de plus de 11.000 chercheurs ont été dévoilés. Le système de l'édition scientifique actuel trouve ses limites pour une majorité d'entre eux, qui se disent prêts à s'investir très largement dans l'accès ouvert.

L’impact environnemental des activités humaines constitue une préoccupation de plus en plus prégnante. Parmi les pollutions engendrées par ces activités, celles liées au secteur du numérique ne cessent d’augmenter. Selon la Commission européenne, le numérique représentait, en 2021, entre 5 et 9 % de la consommation d’électricité mondiale et si aucune mesure n’est prise, il pourrait totaliser 14 % des émissions mondiales de gaz à effet de serre d’ici à 2040.

Impliquées depuis une dizaine d’années dans le développement de pépinières de revues scientifiques en accès ouvert, les bibliothèques universitaires françaises font aujourd’hui partie des acteurs majeurs de l’écosystème de l’édition scientifique publique. Axée dans un premier temps principalement sur l’hébergement et la diffusion de revues, cette nouvelle mission s’est progressivement enrichie de services tels que la formation, le soutien juridique, le référencement. Les professionnels en charge de ces pépinières ont dû acquérir de nouvelles compétences et s’acculturer aux métiers de l’édition.

Depuis janvier 2020, l'ADBS et la FMD sont engagées dans un partenariat visant à tisser des liens d’amitié et de collaboration entre les profesionnel·le·s des deux pays. Les adhérent·e·s de l'ADBS bénéficient ainsi gratuitement de la revue Documentation et Bibliothèques.

L’intelligence économique constitue un secteur majeur du champ de l’information, des données et des documents. Sa dimension plus conceptuelle de stratégie d’entreprise a été abordée lors d’un précédent numéro de la revue I2D (juin 2017).

Dans ce dossier, nous en abordons la dimension plus pratique, à travers sa rencontre avec les territoires, en intégrant des retours d’expériences, en croisant les regards de chercheurs universitaires et de professionnels de terrain, en nous appuyant à la fois sur des témoignages et sur des articles scientifiques.

Nouveau : Aureli, L’accès unifié aux ressources électroniques d’INRAE

Produits & Services, Le catalogue de l'offre de services de l'IST à INRAE 

Vos besoins, nos réponses, Nos principaux services présentés selon vos besoins

Archive ouverte d'INRAE, L'entrepôt des travaux scientifiques d'INRAE

Un questionnaire, proposé au personnel de l’Inra en avril 2018, a permis de mesurer les pratiques en ce qui concerne l’accès et l’usage de ressources documentaires, les ressentis concernant le libre accès ainsi que les réactions et humeurs au travers des commentaires. Cette enquête, dont les principaux résultats sur les publications sont présentés ici, a été menée dans le cadre de la stratégie pour la science ouverte du document d’orientation de l’Inra et dans un contexte de négociations avec les éditeurs commerciaux.

Le consortium Couperin s’est donné comme objectif de faire de l’information scientifique et technique le bien commun de la communauté scientifique. Il regroupe 242 membres, principalement des universités, organismes de recherche et grandes écoles.

En plus de ses missions d’évaluation et d’organisation de l’achat des ressources documentaires numériques au bénéfice de ses membres, Couperin oeuvre à l’amélioration de la communication scientifique.