Regardez cette vidéo avant qu’il ne soit trop tard ! Voici tous les conseils à suivre pour limiter les dégâts en cas de vol ou de perte de votre smartphone (vidéo ci-dessous).
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Regardez cette vidéo avant qu’il ne soit trop tard ! Voici tous les conseils à suivre pour limiter les dégâts en cas de vol ou de perte de votre smartphone (vidéo ci-dessous). No comment yet.
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L'ARCEP publie un nouveau rapport concernant la qualité de l'accès aux services fixes au cours du second trimestre. Numericable arrive en tête avec un taux de panne le plus faible de tous les opérateurs.
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L’UFC que Choisir publiait ce matin son étude sur les réseaux 3G/4G des opérateurs. L’une des parties de cette étude s’est intéressée aux deux réseaux 3G utilisés par les clients Free Mobile : en itinérance sur le réseau Orange ou sur son réseau propre en construction.
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Les dirigeants de Free ont déjà fait connaître leur opposition farouche à l’arrivée de Netflix sur leur box. Au colloque de l’ARCEP, Maxime Lombardini avait tancé ses concurrents en expliquant que « Free a décidé de ne pas se coucher tout de suite devant » le géant US de la VOD...
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C’est un coup de semonce inquiétant qu’a lancé Apple à l’occasion de la présentation du nouvel iPad Air 2. Pourtant peu mis en avant lors de la présentation de son produit, les iPad disposent désormais d’une nouvelle fonction : une carte SIM intégrée.
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Débrancher la prise du câble ou du satellite pour regarder la télévision seulement sur internet. L'idée semble encouragée par des initiatives de deux grandes chaînes américaines, HBO et CBS. HBO, réputée pour ses séries comme "Les Sopranos" ou "Game of Thrones", et la concurrente CBS ("The Good Wife") ont annoncé coup sur coup cette semaine que leurs programmes allaient être disponibles sur internet sans avoir, comme c'était le cas pour les services en ligne qu'elles proposaient jusqu'ici, à s'abonner d'abord à leur offre classique, par câble ou satellite. « On va voir Showtime (la grande concurrente de HBO, qui a produit notamment "Dexter" ou "Homeland") et d'autres le faire aussi », prédit à l'AFP Neil Macker, expert en médias du cabinet Morningstar. Selon une source proche du dossier, la chaîne hispanophone Univision réfléchit déjà à ce type d'offre internet découplée de l'abonnement télévisé traditionnel. Disney et Viacom y ont également ouvert la porte dans des accords récents avec l'opérateur satellitaire Dish Network et Sony. Leur cible, ce sont avant tout les 10 millions de foyers américains ayant un accès internet à haut débit mais pas la télévision par câble ou satellite, et qui semblent faire des émules. Le total d'abonnés à la télévision payante (par câble, satellite ou un opérateur télécom) a reculé pour la première fois l'an dernier, d'après des données de la société SNL Kagan. La pénétration de la télévision payante dans le pays, bien que toujours élevée (84% des ménages), baisse depuis 2010, parallèlement à la montée du numérique, selon le cabinet de recherche LRG: un de ses sondages début septembre voyait 11% des personnes sans télévision citer comme raison principale internet ou le service de vidéo en ligne Netflix (contre 3% en 2009). Vers une télé à la carteLes téléspectateurs « veulent regarder les meilleurs programmes sur l'appareil qu'ils veulent et quand ils le veulent », souligne James McQuivey, un analyste du cabinet de recherche Forrester. Avec l'essor de la vidéo en ligne, « les gens peuvent trouver suffisamment de choses sans payer pour 100 chaînes dont ils ne veulent pas », note aussi Jeffrey McCall, professeur de communication à l'université DePauw. Cela devrait favoriser à terme "une programmation à la carte" sur internet plutôt que les coûteux forfaits multi-chaînes imposés aujourd'hui par les câblo-opérateurs. « Cela ne veut pas forcément dire que les consommateurs paieront moins », prévient James McQuivey. Surtout si les fournisseurs d'accès internet augmentent leurs tarifs en réaction à la consommation croissante de bande passante. La télévision classique n'est toutefois pas encore morte. L'offre de CBS ne donne par exemple pas accès à ses matchs de la ligue de football américain. Or, « tant que les gens n'auront pas d'autre moyen d'accéder au sport, ils conserveront leur abonnement à la télévision »,selon James McQuivey. CBS comme HBO « n'essayent pas d'accélérer les désabonnements »mais plutôt « une manière d'obtenir de l'argent des gens qui ne sont pas abonnés » en leur donnant un moyen de regarder leurs programmes « sans pirater », juge aussi Neil Macker. Il souligne que l'offre de CBS, « pas révolutionnaire », rappelle beaucoup ce que Disney, Fox et NBC font déjà avec leur service de vidéo en ligne Hulu: elle permet de visionner les programmes en direct ou de les rattraper le lendemain, avec de la publicité. HBO ne se lancera pour sa part qu'en 2015. Bras de fer avec les distributeursLes chaînes n'ont pas intérêt à couper les ponts avec les diffuseurs traditionnels, qui leur versent d'importants droits de diffusion, et avancent donc « très prudemment », relève Neil Macker. Elles semblent néanmoins prendre de plus en plus conscience de la valeur de leurs contenus. « Quand elles mettent leurs contenus sur internet, elles peuvent atteindre les consommateurs selon leurs propres conditions », souligne Jeffrey McCall. D'après une note de RBC Capital Market, CBS par exemple pourrait bien chercher à prouver surtout combien les consommateurs sont prêts à payer pour ses programmes, en vue de négociations futures avec ses diffuseurs. Cela « inquiète les distributeurs » qui craignent de devenir « juste des tuyaux », indique Roger Kay, analyste chez Endpoint Technologies, prédisant une recomposition dans le secteur de la distribution. Celle-ci a déjà commencé, avec le mariage annoncé des câblo-opérateursComcast et Time Warner Cable, ou du géant des télécoms AT&T avec l'opérateur satellitaire DirecTV.
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Hasard du calendrier ou témoignage des attentes du milieu, les conférences sur le thème de la régulation des données personnelles se sont multipliées au long des dernières semaines, tout comme les affaires de fuite/vol de données (Snapchat, Dropbox, Home Depôt, JPMorgan...)
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Si un rapport préconise le retrait des cabines téléphoniques, Axelle Lemaire estime que l'extension de la couverture mobile doit pallier leur fin annoncée. La secrétaire d'Etat chargée du numérique, Axelle Lemaire, assume le déclin (conduisant à leur disparition progressive) des cabines téléphoniques, mais en échange de l'extension de la couverture des réseaux de téléphonie mobile. Aux 2èmes Assises nationales de la médiation numérique à Bordeaux, Axelle Lemaire a reçu un rapport du sénateur Pierre Camani (PS) et du député Fabrice Verdier (PS) sur le devenir du service universel de télécommunications. En début d'année 2014, le régulateur des télécoms avait déjà suggéré au gouvernement de revoir l'obligation faite à Orange de maintenir au moins une cabine téléphonique dans chaque commune, voire deux dans celles de plus de 1 000 habitants. Entre autres recommandations, les deux auteurs du rapport préconisent le retrait des cabines qui représentent, selon la secrétaire d'Etat, « moins de cinq minutes de communication par cabine par jour ». Axelle Lemaire émet toutefois des conditions à leur retrait du territoire. « J'entends bien le fait que leur usage est devenu souvent obsolète, mais il y a un véritable attachement dans les territoires, notamment des élus mais aussi des résidents des bourgs, à ces cabines, et il ne faut pas les remplacer du jour au lendemain sans s'assurer qu'il y a une couverture mobile » a déclaré Axelle Lemaire. Car le rapport pointe aussi « le problème de l'accès à certaines zones par la couverture mobile », a expliqué Axelle Lemaire, qui a demandé « une nouvelle cartographie des zones blanches ».
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Le Conseil général des Hauts-de-Seine a résilié son contrat avec Numericable qui était chargé de construire le réseau de fibres optiques du département.
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En intégrant sa carte SIM multi-opérateurs à l'iPad Air 2 et Mini 3, Apple rend sa liberté à l'internaute mais menace le modèle historique des réseaux mobiles. Les opérateurs mobiles le redoutaient : Apple l'a fait. En intégrant une carte SIM universelle sur l'iPad Air 2 et les iPad mini retina 3, c'est désormais Apple qui fournit au client ce petit carré de métal doré qui lie depuis 20 ans, les opérateurs à leurs abonnés. Une petite révolution est en marche, d'un autre calibre que les changements qu'Apple a déjà provoqués sur les formats de cartes, avec les micro puis nano-SIM. Pour bien marquer la rupture avec l'existant, le constructeur californien n'hésite pas à la baptiser "Apple Sim". Cette carte SIM ne donne accès qu'à l'Internet mobile ce qui n'empêche pas d'utiliser les services et les applications de voix sur IP (Skype, Viber, etc...) sur réseaux 3G/4G ou sur réseau wi-fi. Préinstallée sur les modèles wi-fi+réseau cellulaire des nouveaux iPAd, cette carte SIM permet au consommateur de choisir entre des offres sans engagement d'opérateurs et d'activer le service mobile depuis l'écran de sa tablette, sans changer de carte SIM. Sur le plan technique, il s'agit d'une carte SIM programmable stockant les données relatives aux opérateurs sur la partie qui peut précisément être reprogrammée. Les iPad vendus par les opérateurs continueront d'utiliser, et pour cause, des cartes SIM traditionnelles. 3 opérateurs américains et 1 opérateur anglais misent sur Apple SIMIl n'empêche. Le concepteur des iPad a réussi à convaincre plusieurs opérateurs de le suivre sur la voie de l'Apple SIM. Il a conclu des accords spécifiques avec 3 des 4 grands opérateurs mobiles américains (AT&T, T-Mobile US et Sprint) et un opérateur anglais (Everything Everywhere, filiale d'Orange et de l'opérateur allemand T-Mobile). Le constructeur précise que cette liste est susceptible d'évoluer. En coupant le cordon ombilical qui lie l'abonné à son opérateur mobile, la carte SIM intégrée multi-opérateurs apporte son lot de rupture pour les réseaux cellulaires. En déplacement à l'étranger, le possesseur d'iPAd sélectionnera plus aisément une offre mobile temporaire, à condition qu'Apple arrive à convaincre d'autres opérateurs de miser sur la carte Apple SIM. A l'intérieur d’un pays (aux Etats-Unis pour l'instant) il deviendra possible de changer d’opérateur en fonction du meilleur prix proposé. Mais ce ne sera pas sans conséquence pour le portefeuille des opérateurs… A terme, cette SIM universelle et intégrée pourrait se généraliser, ce qui bouleverserait durablement le modèle technique et marketing des opérateurs. Accentuant la concurrence entre eux, cette approche risque de les transformer en fournisseurs de connectivité radio "banalisée". La vraie rupture pour Apple consisterait à proposer, aussi, une carte SIM intégrée sur ses futurs iPhones. Il doit y penser furieusement. Mais peut-il heurter de front les opérateurs mobiles dont le constructeur californien a encore besoin pour subventionner ses coûteux smartphones ? Pas sûr.
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FFT : la fédération « tend les bras pour qu'il revienne »
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Après avoir initié dix-neuf procédures d'instruction contre onze opérateurs, l'Arcep vient d'accentuer ses pressions contre trois d'entre eux. Guadeloupe Téléphone Mobile, Martinique Téléphone Mobile et Guyane Téléphone Mobile ont ainsi été mis en demeure pour des manquements dans la 2G et la 3G. L'autorité de régulation des communications électroniques et des postes a récupéré ses pouvoirs de sanction, et le fait savoir. En septembre, le régulateur des télécommunications a lancé une offensive générale contre onze opérateurs "pour des faits susceptibles de constituer des manquements aux obligations afférentes à leurs activités". Aujourd'hui, trois d'entre eux font l'objet d'une mise en demeure. Il s'agit de Guadeloupe Téléphone Mobile, Martinique Téléphone Mobile et Guyane Téléphone Mobile. Comme leur nom l'indique, aucun d'entre eux n'est actif dans l'Hexagone : ils sont tous situés dans des territoires ultramarins. Selon l'Arcep, ils ont été "autorisés en 2008 à établir un quatrième réseau mobile 2G / 3G dans chacun des trois départements d'outre-mer concernés". Six ans plus tard, il apparaît que les trois opérateurs "n'ont, à ce jour, déployé aucun site 2G ou 3G en vue de fournir des services mobiles". Aussi l'autorité a-t-elle décidé de les mettre en demeure. Ces derniers ont donc un an et deux mois pour rentrer dans le rang. Dans le cas contraire, ils s'exposeront à des poursuites qui pourraient déboucher sur une amende ou l'abrogation de la licence. Au cours de la mise en service d'un réseau mobile 2G et 3G couvrant l'intégralité de la population de ces territoires ultramarins, l'ARCEP effectuera trois vérifications afin de vérifier que Guadeloupe Téléphone Mobile, Martinique Téléphone Mobile et Guyane Téléphone Mobile respectent bien leurs engagements : la première aura lieu le 15 janvier 2015, la seconde le 15 avril 2015 et la dernière le 16 janvier 2016.
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Les relations étaient tendues depuis plusieurs mois. Patrick Devedjian a tranché aujourd'hui lors de l'Assemblée Départementale : Sequalum, filiale à 95% de Numericable et à 5% de SFR perd son contrat pour l'installation et la maintenance d'un réseau en fibre optique sur tout le territoire altoséquanais. |
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Bouygues Telecom et Microsoft lancent le paiement sur facture mobile (Bbox Actus)
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La Commission européenne annonce une "solution à l'amiable" concernant la question des subventions d'Etat accordées aux géants de l'Empire du Milieu. Les équipementiers télécoms chinois s'en sortent bien. Les enquêtes lancées par la Commission européenne il y a plus d'un an n'ont finalement débouché sur aucune sanction, les contentieux ayant été réglés à l'amiable ou abandonnés. Ou faut-il comprendre que Bruxelles n'entend pas froisser le partenaire chinois... Rappel des faits. Après plusieurs mois de tergiversations, Bruxelles annonce au printemps 2013 des enquêtes au sujet des équipementiers chinois pour dumping tarifaire et subventions illégales de la part de l'Etat chinois afin de soutenir une politique tarifaire agressive. Huawei et ZTE (non cités dans l'enquête) proposent en effet des prix inférieurs d'au moins 35 % aux tarifs de marché, au grand dam des équipementiers européens et américains qui ne cessent de dénoncer cet état de fait. "Nous voulons adresser un avertissement aux Chinois, leur dire que s'ils ne changent pas leurs pratiques, il y aura des taxes", expliquait alors une source proche du dossier. Ces taxes augmenteraient mécaniquement le prix des produits des deux groupes. Amicale pression Ce n'est pas la première fois que Bruxelles se penche sur cette question. En 2010, le belge Option saisissait la Commission à propos des clés 3G dont le marché est contrôlé à 90% par ces deux équipementiers. Des négociations directes ont été mises en place entre le plaignant et les accusés. Des discussions visiblement profitables puisque Option a retiré ses plaintes contre ses deux concurrents chinois, éteignant la procédure de Bruxelles. Comme dans cette affaire, il y avait fort à parier que Bruxelles privilégie la négociation plutôt que la répression. Un pari gagnant puisque la Commission annonce ce lundi avoir trouvé une "solution à l'amiable" concernant le volet des subventions lors d'une rencontre entre le commissaire européen, Karel De Gucht, et le ministre chinois au Commerce, Gao Hucheng. Quant au volet dumping tarifaire, l'enquête a été abandonnée il y a quelques mois... Il faut dire que la Chine avait aimablement fait pression sur Bruxelles. "Si la partie européenne insiste pour ouvrir une enquête, la partie chinoise prendra, conformément aux règles de l'OMC et au droit chinois, des mesures fermes pour sauvegarder ses droits et intérêts légitimes, et les conséquences devront en être supportées par la partie à l'origine des frictions", déclarait en mai dernier Shen Danyang, porte-parole du ministère du Commerce, à la presse à Pékin. Rappelons que la Chine est le deuxième partenaire commercial de l'Europe tandis que Huawei et ZTE sont désormais d'importants pourvoyeurs d'emplois sur le Vieux continent.
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La Neutralité du Net et la contribution au financement de la culture et des réseaux étaient des sujets au cœur des rencontres cinématographiques de Dijon. En cause, ces géants du net, parmi lesquels on compte les GAFA (Google, Amazon, Facebook, Apple) ou encore Netflix, qui profitent des acteurs et réseaux français sans contribuer véritablement au financement n’hésitant pas à contourner les réglementations notamment fiscales.
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Spotify is finally letting subscribers share their accounts with family and friends. The streaming music service is unveiling Spotify Family today, a way to share a premium subscription with up to...
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C’est à l’occasion des assises de la médiation numérique à Bordeaux qu’Axelle Lemaire, secrétaire d’Etat au Numérique a dévoilé de nouvelles mesures pour l’accès au numérique des français : "il faut aujourd’hui assurer une couverture mobile et assurer un apprentissage des usages."
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C’est dans une tribune dans Les Echos que Fabrice Gil, président de Gil Conseil a déclaré que Free devait réussir le virage du paiement sur mobile pour "sauver à la fois internet et la banque de demain".
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La Cour de cassation a refusé le licenciement pour faute d'une salariée qui avait échangé plus de 1 200 e-mails personnels en deux mois sur son poste de travail, pour défaut de déclaration préalable à la CNIL du dispositif de contrôle. Dans un arrêt du 8 octobre 2014 de sa chambre sociale, relayé par Legalis, la cour de cassation a confirmé l'obligation pour les employeurs de déclarer à la Commission nationale de l'informatique et des libertés (CNIL) les traitements qu'ils souhaitent pouvoir réaliser sur les e-mails reçus et envoyés par les salariés. En l'absence de déclaration préalable, aucun courriel personnel ne peut être retenu contre l'employé(e) qui abuserait de sa messagerie professionnelle à des fins personnelles. Selon l'attendu de la cour de cassation, "constituent un moyen de preuve illicite les informations collectées par un système de traitement automatisé de données personnelles avant sa déclaration à la CNIL". En l'espèce, il était reproché à une employée de la société Crédits Finance Conseils, devenue Finapole, d'avoir eu une "utilisation excessive de la messagerie à des fins personnelles". L'entreprise avait compté plus de 1200 messages sur une période de deux mois, et y avait vu un motif de licenciement pour cause réelle et sérieuse, notifié le 2 décembre 2009. Mais la société n'avait déclaré son analyse informatisée des e-mails que le 10 décembre 2009, une semaine après la notification du licenciement. Pas de licenciement légal sans preuve licite La cour d'appel d'Amiens avait accueilli favorablement l'action de l'entreprise, en estimant qu'elle pouvait se passer de déclaration CNIL pour évaluer le volume des courriels reçus avec la messagerie électronique mise à disposition des employés. Les juges avaient retenu "un impact indéniablement négatif sur l'activité professionnelle", et confirmé la légalité du licenciement. Mais la cour de cassation estime que "en statuant comme elle l’a fait, en se fondant uniquement sur des éléments de preuve obtenus à l’aide d’un système de traitement automatisé d’informations personnelles avant qu’il ne soit déclaré à la CNIL, alors que l’illicéité d’un moyen de preuve doit entraîner son rejet des débats, la cour d’appel a violé" la loi de 1978 sur la protection des données personnelles. Dans une recommandation récente expliquant aux entreprises les bonnes pratiques de déchiffrement des communications des salariés, l'Agence Nationale de Sécurité des Systèmes d'Information (ANSSI) avait joint une annexe juridique qui rappelait l'obligation d'informer les salariés des mesures mises en place, et d'effectuer une déclaration à la CNIL.
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Les nouveaux iPad de la firme à la pomme seront dotés d"une SIM maison permettant à l'utilisateur (américain et britannique pour le moment) de souscrire directement à des forfaits data. Apple concrétise donc sa stratégie d'évitement des opérateurs. Cela fait maintenant quatre ans qu'Apple réfléchit aux manières de contourner les opérateurs lors de l'achat d'un iPhone. En 2010, des rumeurs insistantes faisaient état d'une carte SIM maison qui serait intégrée et scellée dans ses smartphones. La plate-forme technique aurait permis à Apple de connaître le profil de l'utilisateur et de le relier à un numéro client. Un crime de lèse majesté pour les opérateurs qui contrôlent l'accès direct à leurs clients quelque soit le terminal utilisé. Pour l'opérateur en effet, c'est le risque de perdre le lien très étroit avec l'abonné, incarné par cette fameuse carte SIM. Mais sous la pression des opérateurs, qui refusent de perdre le contact avec le client final, la firme à la pomme avait décidé de repousser son projet. Un projet qui revient par la petite porte avec certains des nouveaux iPad présentés ce jeudi. Les iPad Air 2 et iPad mini 3 équipés d'un module 4G sont effet dotés d'une carte SIM universelle baptisée Apple SIM. La pomme y va en douceur : cette SIM est amovible et seulement dédiée à la data et à la tablette (l'iPad ne pouvant pas utiliser les réseaux cellulaire pour téléphoner) mais elle illustre l'objectif initial de contournement des opérateurs. "Changer fondamentalement le rapport entre l'opérateur et l'abonné" Concrètement, Apple SIM permettra à l'utilisateur (américain et britanniques pour le moment) de souscrire et d'activer "directement" depuis l'iPad des forfaits 4G data ponctuels (sans engagement) auprès de certains opérateurs (AT&T, T-Mobile US, Sprint aux USA et Everything Everywhere en UK). Il est également possible de changer de fournisseur, sans changer de carte évidemment puisque celle-ci est universelle. Les opérateurs continueront à fournir la capacité réseau mais perdent ainsi le lien essentiel qui les attache aux client et à ses données. Mieux, il sera également possible de faire de même lors d'un déplacement à l'étranger (d'autant plus que les derniers iPad supportent à peu près toutes les fréquences exploitées). Bref, c'est une partie du modèle économique des opérateurs qui est en danger avec cette initiative. Pour le moment, les effets seront mesurés étant donné que seul l'iPad et la data sont concernés (d'autant plus que les iPad 4G ne sont pas les plus vendus). Par ailleurs, cette SIM n'est pas scellée, ce qui permet de la remplacer à n'importe quel moment par une carte opérateur. Mais si l'expérience est positive, elle pourrait être appliquée à la voix et à l'iPhone. Imaginez la possibilité de 'switcher' d'opérateur en un clic, sans autre forme de procès. Une vraie catastrophe en perspective pour ces acteurs. "Apple SIM a le potentiel de changer fondamentalement le rapport entre l'opérateur et l'abonné", commente Ian Fogg, analyste pour IHS Technology. "En permettant de faciliter le changement d'opérateur et de tarifs, Apple met clairement sous pression les revenus et les marges des opérateurs". Et de poursuivre : "Apple change de position et force donc les opérateurs à négocier pour être supporté par cette carte". Apple a encore besoin des opérateurs "Apple SIM est le plus important challenge imposé aux opérateurs depuis longtemps. Si Apple place sa carte dans les iPhone et s'il retire l'emplacement traditionnel dédié aux SIM des opérateurs, l'impact sera énorme pour le business model des opérateurs", conclut l'analyste. Cette annonce fait en tout cas déjà une première victime : le français Gemalto qui fabrique la plupart des cartes SIM vendues dans le monde. Son cours de bourse a pris une claque ce vendredi à la bourse de Paris. Reste que pour certains analystes, la nouveauté d'Apple doit être relativisée. Un analyste cité par Reuters souligne que la carte SIM traditionnelle n'est pas "morte" soulignant que même si Apple tente de généraliser sa carte sur ses produits, sa part sur le marché des smartphones est assez faible, environ 15%, précise-t-il. Par ailleurs, il ne faut pas oublier qu'Apple a encore besoin des opérateurs pour distribuer ses iPhone à des prix subventionnés, associés à des forfaits. Le bras de fer ne fait que commencer.
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PARIS (Reuters) - Les actionnaires du groupe Le Monde ont adressé un courrier au PDG de TF1 Nonce Paolini lui confirmant leur volonté de reprendre la chaîne d'information en continu menacée d'une lourde restructuration, a déclaré vendredi le président du directoire du groupe de presse Louis Dreyfus sur BFM Business. . Le groupe de télévision, filiale de Bouygues, a parallèlement déposé un recours en référé devant le Conseil d'Etat pour faire annuler la décision rendue fin juillet par le gendarme des médias. Une audience devant la juridiction administrative est prévue mardi prochain. Les actionnaires du Monde Pierre Bergé, Xavier Niel et Matthieu Pigasse ont pour leur part publiquement exprimé à plusieurs reprises leur intérêt pour la pionnière des chaînes d'information mais sans réussir à convaincre le groupe TF1 qui faisait valoir de son côté n'avoir reçu aucune proposition formelle de leur part. "Ils (les actionnaires) ont confirmé aujourd'hui à Nonce Paolini, par courrier, formellement, leur intérêt à ouvrir une vraie discussion et à reprendre cette chaîne qui est une très belle chaîne", a déclaré Louis Dreyfus sur BFM Business. "Les actionnaires du Monde sont très mobilisés autour de ce projet", a-t-il ajouté. Il a ajouté que leur proposition prévoyait la poursuite de l'exploitation de LCI comme chaîne d'information en continu avec la volonté de développer son offre numérique. Prié de dire s'il prévoyait la reprise de l'ensemble des salariés de la chaîne, qui emploie 247 personnes, Louis Dreyfus a répondu par l'affirmative. TF1 n'a pas souhaité faire de commentaire.
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En février dernier, nous avions découvert Hopus.net, une start-up française qui avait vocation à promouvoir un modèle économique alternatif lié au transit IP. Dans le sens de l’application du concept de terminaison d’appel data : « Celui qui reçoit et achemine des flux sur son réseau perçoit une rémunération, afin que le trafic circule bien. Celui qui émet paie le juste prix pour que son trafic s’écoule dans les meilleures conditions. »
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Toutes les applis qui gèrent des transactions bancaires ne sont pas forcément bien programmées. Certaines ne réalisent même pas les vérifications les plus basiques au niveau des connexions SSL. s transactions bancaires réalisées sur des terminaux mobiles sont-elles réellement sécurisées? La question se pose quand on voit la multiplication des failles SSL ces derniers temps (Heartbleed, Goto Fail, Poodle…). Le chercheur en sécurité Thomas Brandstetter a voulu en savoir plus et a créé une plateforme de test qui permet de voir si les applications mobiles procédaient aux bonnes vérifications SSL. Une quinzaine de points sont ainsi passés en revue: le certificat est-il valide? la signature est-elle correcte? l’autorité de certification est-elle de confiance? etc. L’expert a analysé près de 90 applications, principalement dans les domaines des banques et de l’e-commerce. Il a présenté ses conclusions le vendredi 17 octobre, à l’occasion de la conférence Black Hat Europe 2014. Le résultat n’est pas aussi brillant qu’il devrait l’être, compte tenu des données manipulées. Ainsi, 20 % des applications trébuchent au-moins sur l’un des quinze obstacles. Pire: dans 5 % des cas, aucune vérification n’est effectuée, ce qui est une invitation aux pirates à effectuer des attaques de type « Man in the middle ». Heureusement, il y a aussi des bonnes nouvelles. Ainsi, un certain nombre d’applications effectuent tous les vérifications et sont donc réellement au top niveau d’un point de vue sécurité. |