Il apparaît donc clairement, aujourd’hui, qu’au-delà des questions financières, de la zone euro, de la crise des dettes publiques…, la question essentielle est bel et bien celle du fonctionnement de nos institutions.
Aussi longtemps que les pays développés feront le choix de la démocratie («gouvernement du peuple, par le peuple») ils se doivent d’appliquer à la lettre ses principes élémentaires, à savoir que le gouvernement doit être sous le contrôle permanent du peuple, par la démocratie directe. Par le biais au recours toujours effectivement possible à un référendum d’initiative populaire.