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Il apparaît donc clairement, aujourd’hui, qu’au-delà des questions financières, de la zone euro, de la crise des dettes publiques…, la question essentielle est bel et bien celle du fonctionnement de nos institutions. Aussi longtemps que les pays développés feront le choix de la démocratie («gouvernement du peuple, par le peuple») ils se doivent d’appliquer à la lettre ses principes élémentaires, à savoir que le gouvernement doit être sous le contrôle permanent du peuple, par la démocratie directe. Par le biais au recours toujours effectivement possible à un référendum d’initiative populaire.
C’est le glas de l’euro qui sonne ce soir, la décision qui ne devait pas être prise par les grecs (suivant les banquiers et les politiciens) a été prise, un référendum!!! Les prévisions se confirment donc et les bourses s’effondrent littéralement! Le krach se confirme, demain, faites des courses en urgence, ça va faire très mal!!! ECONOMIE – Les bourses chutent et les dirigeants s’inquiètent, à l’issue de l’annonce d’un référendum en Grèce sur le plan de sauvetage du pays… La zone euro a brutalement replongé dans l’instabililité mardi après l’annonce surprise d’un référendum en Grèce, un coup de poker qui menace le plan de sauvetage sur lequel les partenaires européens d’Athènes s’étaient laborieusement mis d’accord la semaine dernière...
Nicolas Sarkozy et Angela Merkel vont tenter cet après-midi de rappeler le Premier ministre grec, Georges Papandréou, à la raison et à ses responsabilités politiques. Un référendum, en Grèce, pose en effet la question de l'éclatement de la zone euro. La perspective d'un référendum en Grèce plonge la zone euro dans une immense incertitude. Ne pas ajouter de la panique à la panique et limiter les dégâts : les dirigeants européens ont tenté hier de masquer la sidération et la colère provoquées par l'annonce aussi soudaine qu'inattendue du Premier ministre grec d'organiser un référendum sur le plan de sauvetage européen...
La zone euro a brutalement replongé dans l'instabilité, mardi 1er novembre, après l'annonce surprise d'un référendum en Grèce. Un coup de poker qui menace le plan de sauvetage sur lequel les partenaires européens d'Athènes s'étaient laborieusement mis d'accord la semaine dernière et relance les craintes d'une faillite de la Grèce et d'un éclatement de la zone euro...
L'entièreté de l'état major de l'armée grecquevient d'être limogé. Depuis deux jours on craignait un coup d'état militaire en Grèce.L'un des problèmes des finances publiques grecques est une armée pléthorique, la plus importante par habitant de toute l'Europe. La décision de referendum du Premier Ministre Grec pourrait-elle être une tentative désespérée de sauver la démocratie? Tout cela n'est que spéculation de ma part, mais a un horrible gout de déjà-vu. C'est la volonte d'extraire le peuple grec des griffes du "régime des colonels" qui avait été à l’ origine de l'entrée hâtive dans l'Union Européenne...
L'accord européen est remis en cause par l'organisation du référendum annoncé par Papandreou. Le président français doit appeler la chancelière allemande ce mardi...
Les dirigeants de la zone euro ont conclu un accord, vers 4 heures ce jeudi matin, pour tenter de sauver l'euro. Pourtant, selon Jacques Sapir, ce plan anticrise est le « pire accord envisageable », car il va contribuer à nous plonger encore davantage dans la récession et priver l'Europe de son indépendance. D'autant plus qu'il ne suffira pas à sauver la Grèce. L'accord réalisé cette nuit ne fera que prolonger l'agonie de l'Euro car il ne règle aucun des problèmes structurels qui ont conduit à la crise de la dette. Mais, en plus, il compromet très sérieusement l'indépendance économique de l'Europe et son futur à moyen terme. C'est en fait le pire accord envisageable, et un échec eût été en fin de compte préférable. Nos gouvernements ont sacrifié la croissance et l'indépendance de l'Europe sur l'autel d'un fétiche désigné Euro...
Plusieurs centaines de manifestants anti-austérité ont empêché la tenue de la parade militaire annuelle du 28 octobre à Salonique au nord de la Grèce, forçant le président de la République Carolos Papoulias à quitter les lieux."Je suis désolé. "Je suis désolé. Ils devraient avoir honte. Je ne veux pas partir, mais certains ont vraiment envie que cet événement soit annulé" a déclaré le président Papoulias, 82 ans, aux médias présents...
Les marchés boursiers s'envolent à l'ouverture comme pour saluer l'accord que les 27 ont réussi à boucler jeudi matin dans la douleur. Ce plan anticrise est censé assurer sa survie au prix d'une une forte réduction de la dette de la Grèce, d'une recapitalisation des banques et de la contribution de pays émergents comme la Chine. Nicolas Sarkozy, Angela Merkel et Christine Lagarde, la directrice générale du FMI, ont dû intervenir personnellement dans la nuit pour trouver un compromis avec les banques, alors que les discussions étaient enlisées. Les négociations ont été "très dures", aux dires de M. Papandréou. Finalement en échange de l'effort demandé au secteur bancaire (autour de 106 milliards d'euros), un accord a été trouvé pour recapitaliser les établissements qui en auraient besoin...
BRUXELLES (Reuters) - Le nouveau plan pour la Grèce adopté jeudi représente un succès certain pour Nicolas Sarkozy même si la France a dû céder sur certains points importants à son grand partenaire allemand pour présenter un front commun à leurs partenaires. Le président français a souligné le "caractère historique" des décisions prises, en déclarant espérer qu'elles permettraient de "pacifier les marchés" et de permettre à la Grèce, avec une dette publique divisée par deux, de retrouver "le chemin d'une croissance normale"...
Les bourses européennes ont clôturé en forte hausse vendredi poussées par les espoirs de décisions concrètes pour la zone euro. Le point sur les quatre enjeux majeurs du sommet de dimanche. Les bourses européennes ont repris du poil de la bête vendredi soir, poussées par un regain d'optimisme à deux jours du sommet européen qui doit apporter une réponse à la crise dans la zone euro. Paris a terminé en hausse de 2,8%, Francfort de 3,5%, Londres de 1,9%, et Madrid de 2,8%. Les yeux sont à présent braqués sur Bruxelles, qui devrait annoncer dimanche des mesures concrètes pour sauver la Grèce, éviter la contagion de la crise aux pays fragiles de la zone euro, et rassurer les marchés. Le point sur les quatre enjeux majeurs de ce sommet...
A la veille du sommet européen de dimanche, les ministres des Finances de la zone euro ont approuvé le versement de la nouvelle tranche d'aide de huit milliards d'euros à la Grèce. Ils n'ont en revanche pas avancé sur la réforme du Fonds de soutien à l'euro. Le versement d'une nouvelle tranche d'aide de huit milliards d'euros à la Grèce a été approuvé vendredi par les ministres des Finances de la zone euro, qui ont toutefois dû constater leurs différences persistantes...
Les ministres des Finances de la zone euro ont donné leur feu vert de principe vendredi soir au déblocage d'un prêt de 8 milliards d'euros au total en faveur de la Grèce qui en a impérativement besoin pour éviter la faillite, ont indiqué à l'AFP des diplomates européens. Il faut néanmoins que le FMI donne son accord. Les ministres "ont donné leur accord pour la 6ème tranche du prêt pour la Grèce", a dit une de ces sources. Un autre diplomate a confirmé le feu vert. Il s'agit d'une tranche tirée du premier plan de sauvetage en faveur d'Athènes décidé l'an dernier, d'un montant de 110 milliards d'euros au total...
Athènes (awp/afp) - Le déficit budgétaire grec a continué à augmenter en septembre, pour atteindre 19,1 milliards d'euros, en hausse de 15% par rapport au déficit cumulé des neuf premiers mois de 2009, en dépit de la rigueur dictée au pays surendetté, a indiqué mercredi le ministère des Finances. Les revenus, à 34,9 milliards pour les neuf mois de 2011 sont en baisse de 4,2% par rapport à la même période de 2010, tandis que les dépenses sont en hausse de 7%, à 52.488 milliards, selon un communiqué du ministère. Ce dérapage a été anticipé par le gouvernement qui fixe désormais un objectif de déficit public à 8,5% du PIB contre 7,4% prévu (et 10,5% en 2010), et par les créanciers du pays, UE et FMI, qui ont du coup imposé depuis septembre un sursaut de rigueur, avec notamment de nouvelles taxes et coupes dans le secteur public...
La comparaison de l'évolution des cours des obligations grecques et irlandaises désignent celui en qui les marchés ont confiance. La Grèce pourra-t-elle s’en sortir sans une nouvelle restructuration de sa dette?? Les marchés financiers demeurent sceptiques, comme le montre l’effondrement des emprunts grecs en Bourse. L’accord conclu le 21 juillet dernier avec les Etats européens prévoit notamment que les titres détenus par les banques subiront une décote de 21%...
La zone euro a décidé lundi de le reporter. Elle a demandé plus d'efforts budgétaires à Athènes. Des efforts ont été salués, mais ils ne suffisent pas. Réunie lundi à Luxembourg, la zone euro a décidé de reporter une nouvelle fois le déblocage du prêt crucial de la tranche de 8 milliards d'euros du premier plan d'aide, qu'attend impatiemment la Grèce. Pour justifier cette décision, Jean-Claude Junker, le président de l'Eurogroupe, a demandé à Athènes "d'accepter des mesures supplémentaires" pour 2013 et 2014. La privatisation de plus d'entreprises a aussi été demandée...
La Grèce ne respectera pas ses engagements de réduction de déficit cette année. Ses bailleurs de fonds pourraient être tentés de sévir. Mais leurs marges de manoeuvre sont limitées. C'était un secret de polichinelle. Mais la Grèce l'a officialisé lundi matin: elle ne respectera pas ses engagements de réduction de déficit, ni cette année ni l'an prochain. Ce qui est nouveau, c'est niveau de déficit du pays: 8,5% du PIB pour 2011 et 6,8% pour 2012. Pour cette année, il est en dessous des objectifs votés par Athènes en juin (7,4%). Mais le pays fait un peu mieux que les estimations de ses créanciers. Les experts de la "Troïka" (UE, FMI, BCE) avaient pronostiqué en septembre un déficit de 9,5%. Quoi qu'il en soit, l'Europe pourrait décider de forcer la Grèce à faire davantage d'efforts. Mais les pistes semblent difficiles à mettre en oeuvre. Détails...
Le Conseil des ministres extraordinaire du 2 octobre a adopté le projet de budget 2012 qui sera déposé ce jour au Parlement grec. Le déficit public sera ramené à 8,5 % en 2011 alors que l'objectif fixé dans la loi pluriannuelle votée en juin est de 7,4 % du PIB. Ce résultat est cependant meilleur que les projections faites par la troïka des créanciers internationaux. Le gouvernement grec a également adopté le plan de réduction du secteur public. Les ministres des Finances de la zone euro examineront ce 3 octobre les projections financières grecques.
Le vote du Bundestag, jeudi en fin de matinée, pour l'élargissement du fonds de sauvetage de la zone euro, divise au sein même de la majorité et a valeur de test pour la légitimité de la chancellière allemande. Plan de sauvetage de la Grèce : Merkel peine à convaincre sélectionné dans Replay.
PARIS - Les craintes renouvelées que la Grèce n'échappe pas au défaut de paiement ont encore une fois fait retomber au plus bas lundi le moral des Bourses européennes qui ont ouvert en forte baisse, suivant le mouvement des places asiatiques. Paris a ainsi commencé sur un recul de 2,31%, Francfort de 3,45%, Londres de 2,29%, Madrid de 2,69%. Vers 07H25 GMT, Milan perdait 2,54%. La Bourse de Tokyo a terminé pour sa part la séance en baisse de 1,78%, également en raison des inquiétudes pour la Grèce et d'un ralentissement économique international, tandis que le yen s'élevait encore face à l'euro...
Ainsi les Grecs refuseraient d’économiser ? Un juriste de Vienne qui possède un pied-à-terre à Athènes les a observés au quotidien. Sa conclusion : ils économisent à en crever. On ne peut rester sans réagir aux diverses déclarations des plus hauts responsables de toute l’Europe, certaines frisant l’imbécillité, au sujet de ces “fainéants” de Grecs qui “refusent d’économiser”. Depuis seize mois, je dispose d’une résidence secondaire à Athènes, et j’ai vécu cette situation dramatique sur place...
l faut permettre à la Grèce d'effacer la moitié de sa dette et dans le même temps apporter un soutien supplémentaire aux banques qui l'ont financée, estiment mardi dans une tribune des conseillers politiques français et allemands. Les décisions prises le 21 juillet dernier pour maîtriser la crise de la dette grecque ne sont pas suffisantes, juge dans le Financial Times Deutschland un groupe comprenant un comité de "sages" économiques allemands, un conseiller au gouvernement français et un responsable de la revue économique du Fonds monétaire international (FMI)...
Privatisations, entrée en vigueur plus tôt que prévu de mesures de rigueur, le gouvernement grec, sous une pression énorme du reste de la planète, a multiplié les annonces lundi pour tenter d'éviter la faillite promise par certains oracles de marché et créanciers. Athènes a ainsi annoncé pour cette semaine des attributions de licences ou de marchés sur trois gros dossiers de privatisations, la concession de l'aéroport d'Athènes, l'organisme de jeux OPAP et des licences de loteries video...
Selon la BRI, les banques européennes détenaient 752 milliards de dollars de créances publiques américaines à fin mars. Contre 136 milliards de créances publiques grecques à fin 2010. Rassurer les troupes. C'est la mission que se sont donné les régulateurs bancaires américains dans la foulée de la dégradation de la note des Etats-Unis par l'agence Standard & Poor's...
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