L’enseigne de parfums et de cosmétiques du groupe LVMH a fait du numérique et du tout mobile les axes stratégiques de son développement. Une transition digitale portée au plus haut niveau du groupe et initiée aux États-Unis avant d’être déclinée sur le Vieux continent.
Quand la technologie se met au service de la beauté. Numéro un mondial du luxe, le groupe LVMH, propriété du milliardaire français Bernard Arnault, ne domine pas son secteur d’activité que par l’étendue de son portefeuille de maisons de couture et de haute joaillerie, auxquelles s’est en cette fin d’année ajouté le bijoutier américain Tiffany.
Le géant du luxe est également actif dans la distribution sélective, domaine qui lui a rapporté, en 2018, 13,6 milliards d’euros de chiffre d’affaires. Il s’agit là du deuxième secteur le plus lucratif pour le groupe français qui, à côté des institutions parisiennes que sont Le Bon Marché ou la future Samaritaine, peut compter sur le dynamisme de ses enseignes Sephora.
Via Jérôme MONANGE
L’enseigne de parfums et de cosmétiques du groupe LVMH a fait du numérique et du tout mobile les axes stratégiques de son développement. Une transition digitale portée au plus haut niveau du groupe et initiée aux États-Unis avant d’être déclinée sur le Vieux continent.