e-Social + AI DL IoT
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Impacts of e-social (media, mobile, solomo, smo) & AI / deep learning / IoT on customer insights and brand strategies
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L’expérience utilisateur : frein ou accélérateur de la transformation digitale ?

L’expérience utilisateur : frein ou accélérateur de la transformation digitale ? | e-Social + AI DL IoT | Scoop.it

Qu’il s’agisse de créer un avantage compétitif, de stimuler des nouvelles sources de revenus ou d’optimiser les coûts, la vague de fond de la transformation digitale est devenue incontournable. Et c’est toute la chaîne de valeur de l’entreprise qui est bouleversée sous l’effet de la mise en œuvre des technologies numériques dans toutes ses strates.

Et les collaborateurs dans tout ça ? Avec son lot de changements dans les méthodes de travail, l’organisation et les outils, la transformation digitale fait-elle vraiment bon ménage avec les collaborateurs ?

À première vue, oui. Tout laisse à penser que les outils numériques au sens large – connectivité, mobilité, visioconférence, intranet, applis collaboratives dernier cri… – rendent les collaborateurs plus efficaces, tout en leur apportant une plus grande simplicité d’usage. Seulement, il y a un hic. La transformation digitale ne peut délivrer sa promesse que si les outils numériques fonctionnent 24×7 et que les collaborateurs les adoptent et les utilisent de manière optimale. Et là, c’est une autre histoire. Une étude IDC commanditée par Econocom en 2017 sur un panel de responsables informatiques (fournisseurs de technologie) et d’utilisateurs en France révèle un décalage entre la satisfaction des utilisateurs vis-à-vis de l’outil informatique et la perception qu’ont les directions informatiques de cette satisfaction. L’étude cite : « En moyenne, 75% des fournisseurs estiment que leurs utilisateurs sont satisfaits de l’environnement de travail informatique mis à leur disposition là où 56% des utilisateurs sont satisfaits de leur environnement de travail informatique. » 

Via Jérôme MONANGE
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Transformation digitale : il faut parfois accepter de reculer... pour mieux sauter

Transformation digitale : il faut parfois accepter de reculer... pour mieux sauter | e-Social + AI DL IoT | Scoop.it

Comme le montre l’exemple de Netflix, développer de nouveaux services est tout aussi essentiel que d’exceller dans son activité d’origine.

 

Quand on pense aux entreprises qui ont été bouleversées par le numérique, l’exemple de Blockbuster vient souvent à l’esprit. En 2000, ce réseau de vidéo-clubs américain réalise un chiffre d’affaires de 5 milliards de dollars. Ses dirigeants sont alors contactés par Reed Hastings, le fondateur de Netflix. A cette époque, Netflix est une entreprise spécialisée dans la location de DVD par Internet. Son chiffre d’affaires est inférieur à 300 000 dollars et elle perd de l’argent.

 

Le dos au mur, Reed Hastings propose aux dirigeants de Blockbuster d’acquérir 49% du capital de sa société. Son idée est d’utiliser le savoir-faire technologique de Netflix pour développer une activité en ligne chez Blockbuster. Les dirigeants de Blockbuster déclinent la proposition. Huit ans plus tard, cette dernière dépose le bilan. Et Netflix fait son entrée dans l’indice S&P 500 (lire aussi l’article : « Comment Netflix a réinventé les RH »).

 

Comment expliquer des trajectoires aussi différentes ? Les dirigeants de Blockbuster ont commis une erreur très fréquente dans le monde de l’entreprise : ils se sont contentés de capitaliser sur l’activité qui a fait leur succès (la gestion de leur réseau de vidéo-clubs). De son côté, Reed Hastings ne s’est pas contenté de faire fructifier son activité d’origine (la location de DVD par Internet).


Via Jérôme MONANGE
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