Enseignement- Formation

À Marcinelle, les pompiers ne dorment jamais. Qu’il s’agisse d’un incendie, d’une inondation, d’une explosion ou d’un sauvetage en milieu dangereux, ces hommes et femmes interviennent sans relâche, jour et nuit. Dotée d’un impressionnant arsenal de véhicules et d’un système d’organisation millimétré, la caserne incarne l’excellence opérationnelle. Mais derrière les sirènes et les flammes, il y a un métier exigeant, dangereux et profondément humain. Immersion dans le quotidien des soldats du feu.
C’est dans une base active 24h sur 24 que les soldats du feu belges se tiennent prêts à intervenir pour des incendies, inondations, explosions, fuites de gaz, noyades ou accidents de la route. Bien plus que des éteigneurs d’incendie, ce sont des spécialistes de l’urgence, capables d’agir en toutes circonstances et avec un matériel impressionnant. Cependant, il est important de noter que la réalité peut parfois être plus nuancée. Par exemple, lors des inondations de juillet 2021, les pompiers ont fait face à des défis sans précédent qui ont mis en évidence certaines limites de leurs capacités d’intervention. En ce qui concerne les hélicoptères, les zones de secours n’en disposent pas. C’est généralement la police fédérale qui va les mettre à disposition, avec éventuellement l’appui de la protection civile. Il y a toute une coordination qui est mise en place.... Les pompiers ne peuvent pas se reposer sur leurs acquis. C’est pourquoi des exercices sont réalisés quotidiennement. Chaque année, ils suivent des formations continues dans des écoles spécialisées, ainsi que des simulations d’incendie. En parallèle, une formation permanente est dispensée directement en caserne, et elle est obligatoire.
Après l’appel, chaque garde s’accompagne de formations pratiques, notamment au Centre d’entraînement provincial de Bauffe. "Nous pouvons réaliser des interventions reconstituées, notamment en containers, avec l’encadrement d’instructeurs spécialisés, car certaines manipulations peuvent présenter des risques. Il nous arrive aussi de faire des exercices de désincarcération avec des gens coincés dans une machine par exemple. Sur place, nous disposons même d’un train et d’une reconstitution d’une petite usine chimique. Cela nous permet d’organiser une grande variété de scénarios afin de couvrir l’ensemble du panel des interventions possibles". Les pompiers de Marcinelle incarnent un engagement total, un esprit d’équipe fort et une capacité d’adaptation impressionnante. La vocation ne faiblit pas. Une nouvelle campagne de recrutement vient d’être lancée"

"Dès septembre 2025, le CECS Charleroi ouvre une section danse contemporaine accessible dès la 3e secondaire, en partenariat avec le Conservatoire Arthur Grumiaux. Un parcours structuré mêlant cours généraux et formation artistique. Charleroi confirme son ambition de devenir un véritable pôle chorégraphique en Fédération Wallonie-Bruxelles. Pensé comme un parcours structuré et professionnel, ce cursus proposé par le Centre d'Enseignement Communal Secondaire permettra aux élèves de suivre les cours généraux le matin, puis de se consacrer à la danse l’après-midi, avec jusqu’à 14 heures de pratique hebdomadaire : danse contemporaine, danse classique, expression chorégraphique… Les élèves obtiendront, au terme de leur parcours, leur Certificat d’Enseignement Secondaire Supérieur (CESS). Une offre complémentaire. Cette nouveauté complète une offre de formation qui existe depuis septembre 2024 : un bachelier en danse et interprétation, fruit d’une collaboration entre ARTS², la Haute École provinciale Condorcet et Charleroi Danse. Cette formation associe pratique artistique intensive, approche scientifique (anatomie, nutrition, prévention des blessures) et travail avec des chorégraphes belges et internationaux. Un master centré sur l’interprétation est également annoncé pour 2027-2028.
Pour Julie Patte, Échevine de l’Enseignement et de la Culture, cette montée en puissance est significative : « Cette complémentarité entre les différents niveaux d’enseignement positionne Charleroi comme un pôle chorégraphique majeur en Fédération Wallonie-Bruxelles, où les jeunes talents peuvent se former, du secondaire jusqu’au master, dans un environnement de haut niveau. »
Ce parcours complet ouvre des perspectives professionnelles dans le domaine du spectacle vivant : interprétation, création chorégraphique, pédagogie ou projets artistiques pluridisciplinaires.
Infos & inscriptions :
Humanités artistiques :
CECS La Garenne www.cecslagarenne.be - 071/86 24 00
Conservatoire : https://conservatoire-de-charleroi.webador.be/
- 071 / 31.05.37
Bachelier et Master :
Charleroi Danse : www.charleroidanse.be
ART 2 www.artsaucarre.be
Haute école Condorcet www.condorcet.be

"Les jeunes de la région répètent leurs gammes au Quartier Major Housiau à Peutie jusqu’à lundi. Ils intégreront ensuite le peloton des Aspirants aux Métiers de la Défense. C’est ce mercredi tôt en matinée qu’un car de la Défense a pris la route depuis Mons avec, à son bord, une quinzaine d’élèves de l’école provinciale montoise. « Notre établissement, qui propose la section « Aspirant(e) aux Métiers de la Défense, de la Prévention et de la Sécurité » a été sélectionné pour participer au défilé du 21 juillet », explique Pascal Lafosse. Les élèves hennuyers sont aussi très présents sur le terrain en ce mois de juillet. Les aspirants de l’Académie de police de Jurbise sont quant à eux en renfort sur le site du festival de Dour" . La suite à lire sur www.sudinfo.be 

"Dès septembre 2025, le CECS Charleroi, en collaboration avec le Conservatoire Arthur Grumiaux, ouvre une section Humanités Artistiques – Danse contemporaine. Cette nouvelle filière offre aux élèves dès la 3e secondaire la possibilité de s’engager dans un parcours structuré et professionnel en danse, avec un emploi du temps adapté : cours généraux le matin, danse l’après-midi. Au programme : jusqu’à 14 heures de danse par semaine (contemporaine, classique, expression chorégraphique), tout en obtenant leur CESS. Cette nouveauté complète une offre de formation unique en Wallonie, puisqu’un bachelier en danse : interprétation est déjà accessible à Charleroi depuis septembre 2024. Coorganisé par ARTS², la Haute École provinciale Condorcet et le centre chorégraphique Charleroi Danse, ce bachelier intensif combine enseignement artistique, accompagnement scientifique (anatomie, nutrition, prévention des blessures…) et collaborations avec des chorégraphes belges et internationaux. Un master en danse, également centré sur l’interprétation, viendra compléter cette filière dès 2027 – 2028.
Julie Patte souligne : « Cette complémentarité entre les différents niveaux d’enseignement positionne Charleroi comme un pôle chorégraphique majeur en Fédération Wallonie-Bruxelles, où les jeunes talents peuvent se former, du secondaire jusqu’au master, dans un environnement de haut niveau. En tant qu’Échevine de l’Enseignement et de la Culture, je me réjouis de voir se renforcer les liens entre nos institutions pédagogiques et culturelles reconnues. » Ce parcours complet ouvre de nombreuses opportunités dans le secteur de la danse et du spectacle vivant : danseur· ou danseuse interprète, chorégraphe, pédagogue, ou encore créateur pluridisciplinaire".
Infos & inscriptions
Humanités artistiques :
CECS La Garenne www​.cecslagarenne​.be — 071/86 24 00
Conservatoire : https://​conservatoire​-de​-charleroi​.webador​.be/ — 071 / 31.05.37
Bachelier et Master :
Charleroi Danse : www​.charleroidanse​.be
ART2 www​.artsaucarre​.be
Haute école Condorcet www​.condorcet​.be

"Le campusUCharleroi accueillera dès septembre 2025 un bachelier en jeu vidéo de la Haute École Condorcet. Un cursus complémentaire aux parcours qu’on retrouve à Mons, Namur ou Liège.Dès la rentrée 2025, la Wallonie va compter un nouveau cursus de formation centré sur le jeu vidéo. En effet, la Haute École Condorcet lance un bachelier en jeux vidéo sur le campus UCharleroi. Il sera orienté "Applied Game" (jeu vidéo appliqué), ce qui signifie qu'il est destiné à former des créateurs de jeux à portée éducative ou industrielle. Cette initiative est le fruit d'une réflexion entre l'école et sa partenaire, la Haute École Albert Jacquard de Namur. "L'idée était d'étendre l'offre en formation sur le jeu vidéo en Wallonie, d'étendre la couverture du territoire avec Charleroi, tout en veillant à plutôt couvrir tous les aspects du jeu vidéo, plutôt que se concurrencer", nous indique Godefroy Vandepoele, professeur et coordinateur de ce bachelier. En effet, on retrouve des études supérieures dans le domaine du jeu vidéo à Namur, Mons ou Liège mais pas encore dans le Pays Noir. Ce cursus orienté non pas sur le gaming et le divertissement mais plutôt ancré nouvelles technologies et simulation, permet à Condorcet de ne pas marcher sur les platebandes de ses partenaires.
Un cursus pour qui ? Le programme en jeux vidéo qu'on retrouvera à Charleroi est ouvert à tous et ne nécessite aucun prérequis. Il devrait néanmoins plus séduire certains profils que d'autres. "Il faut évidemment s'attendre à faire beaucoup d'informatique, mais il plaira plus aux étudiants qui ont un intérêt pour les maths, la physique, la chimie... Des sciences utilisées par les moteurs de jeux au final. Ceux qui ont des affinités plus artistiques trouveront plutôt leur compte à l'HEAJ".   Mais tout comme à Namur ou ailleurs, les futurs inscrits peuvent s'attendre à apprendre à coder et à découvrir les moteurs de jeux les plus populaires, Unreal et Unity, "en long, en large et en travers", pour reprendre les mots du professeur. Si dans les autres formations, on retrouve des jeunes qui souhaitent rejoindre un studio de jeux vidéo ou même fonder le leur, les futurs diplômés du nouveau bachelier ont vocation à se retrouver plutôt dans l'industrie ou des domaines culturels, dans des organisations qui chercheraient à créer des simulations, à gamifier un apprentissage ou à proposer une expérience ludique. Par exemple, un musée qui voudrait créer une expérience immersive. Bac en jeu vidéo à Charleroi : des débuts prometteurs
Ce bachelier en jeux vidéo, "orientation Applied Game", suscite déjà l'intéret. La Haute École provinciale Condorcet compte pas mal d'inscrits et est régulièrement questionnée par étudiants et parents au sujet de ce nouveau cursus. "On a de quoi être raisonnablement optimiste et on devrait avoir une classe d'une quarantaine d'élèves à la rentrée selon nos projections statistiques", détaille le coordinateur. Il s'agit d'un bac de transition pour lequel il sera fortement recommandé de poursuivre sur un master. Cela tombe bien puisque l'école a prévu d'en ouvrir un dès 2028, qui s'inscrira dans la continuité du bac. Quant aux possibles passerelles vers les autres études en jeu vidéo de Wallonie, cela reste encore à définir. "C'est évidemment en discussion, mais sur papier, cela semble tout à fait possible", rassure Godefroy Vandepoele. La rentrée de la Haute École Condorcet aura lieu le 15 septembre 2025 à Charleroi, "mais il se sera encore possible de s'inscrire après", précise le professeur.

"En collaboration avec d'autres hautes écoles (Haute École en Hainaut (HEH) et la Haute École Provinciale de  Hainaut Condorcet), ce cursus de 3 ans mènera à un master prévu pour septembre 2028. Les étudiants apprendront des disciplines variées telles que le game design, la programmation et l'intelligence artificielle, notamment sur Unreal Engine et Unity. Un stage professionnalisant est inclus, se concentrant sur le travail en équipe et la professionnalisation". La suite à lire sur www.lavenir.net 

"Dès septembre, la Haute école provinciale Condorcet, Albert Jacquard et la HEH lanceront un bachelier inédit en Fédération Wallonie-Bruxelles, axé sur l’usage du jeu vidéo dans l’innovation technologique et l’expérimentation scientifique. De nos jours, le jeu vidéo est l’un des médias les plus porteurs que ce soit pour se divertir mais aussi, et de plus en plus souvent, pour former, simuler et transmettre dans divers domaines. Il est devenu un outil indispensable qui répond à des besoins variés comme l’éducation, la santé, l’industrie ou la culture. Le bachelier de transition en Jeu vidéo propose dès cette rentrée académique une orientation en Applied Games. Il vise à former une génération de créateurs capables de mobiliser les technologies du jeu vidéo pour répondre aux défis actuels et futurs. Pour Aurore Goossens, via communiqué de presse : « Cette formation s’adressera à tous ceux qui aiment jouer mais également explorer de nouvelles technologies comme la réalité virtuelle ou augmentée, et collaborer en équipe pour imaginer des solutions créatives qui combinent logique, imagination et rigueur technique. Il n’est pas nécessaire d’avoir des prérequis techniques. Par contre, il importe d’avoir un appétit pour l’informatique, les sciences et les créations numériques. Les notions clefs de la création de projets et studios seront abordées en profondeur tout en développant une ouverture d’esprit et une vision innovante, à partir des mêmes ressources que le jeu de divertissement ( IA, moteurs 3D, programmation mais aussi physique et mathématique). » Les étudiants seront formés en trois ans à devenir développeur, créateur ou designer. Ils seront capables de maîtriser les technologies de pointe et concevoir des jeux qui vont au-delà du pur divertissement. En troisième année d’étude, ils seront plongés dans des stages d’intégration au cœur d’acteur performant du secteur. Trois Hautes Ecoles ont participé à l’élaboration du bachelier : la Haute Ecole Condorcet, la Haute Ecole en Hainaut et la Haute Ecole Albert Jacquard à Namur. Les cours seront organisés en grande partie dans le bâtiment « Solvay » sur le campus UCharleroi et c’est Godefroy Vandepoele qui sera en charge de la coordination. Passionné de jeu vidéo depuis toujours, Godefroy Vandepoele a travaillé comme producteur dans un studio de jeu vidéo indépendant, après avoir appris la gestion de projet chez SWIFT. Il a également fait partie du jury gaming de Wallimage, où il analysait des projets de studios belges. Aujourd’hui, ce passionné donne principalement des cours d’histoire et de culture du jeu vidéo à la HEAJ et à la HEPH. Dès septembre, il contribuera à un nouveau cursus qui va former des créateurs capables d’utiliser le jeu pour éduquer, soigner, simuler ou raconter autrement. Les inscriptions se font sur condorcet.be jusqu’au 30 septembre. Dans le prolongement du bachelier, un master en Jeu vidéo, à finalité Video Game Industry, ouvrira à Charleroi en septembre 2028.

"Il y a un an presque jour pour jour, la province de Hainaut fermait à Charleroi l'accès à la vigie de l'UT et à son internat. La tour de 21 étages réclame des travaux de remise en conformité incendie. La Province de Hainaut qui en est propriétaire n'a plus les moyens de les financer mais depuis juillet 2024, un changement de majorité est intervenu à la Région wallonne : les provinces sont appelées à faire des économies et l'exploitation d'un internat pour les étudiants de l'enseignement supérieur n'en est clairement pas une", concède le député provincial Eric Massin. "Nous étudions dès lors le projet de concéder cette activité à un partenaire privé. Des contacts ont été établis avec des candidats potentiels". La suite à lire sur www.dhnet.be 

"Dès septembre prochain, le CampusUCharleroi va proposer aux étudiants une formation universitaire entièrement dédiée aux jeux vidéo. Cette formation comprend un bachelier et un master, pour un total de 300 crédits. En parallèle d’un tronc commun, plusieurs spécialisations sont proposées orientation applied games. « Trois hautes écoles ont participé à l’élaboration du bachelier, Albert Jacquard à Namur, la Haute école provinciale Condorcet et la Haute école en Hainaut ». Le master débutera dans le cadre d’une codiplomation de l’UMONS et de l’UCLouvain. Ensemble, les cinq opérateurs d’enseignement supérieur organisent donc une formation d’un total de 300 crédits. Le bachelier s’étale sur 3 ans et compte 180 crédits. Le master s’étale quant à lui sur deux ans et compte 120 crédits. La suite à lire sur www.geekolesoir.be 

Faut-il encore croire au bio ? Même si ça va un peu mieux, le secteur n’est pas en grande forme. Le nombre d’agriculteur labellisé bio est en baisse. Mais à l’Athénée provincial Jean D’Avesnes à Mons, on continue à enseigner le maraîchage bio. Les élèves passent en ce moment leur examen pratique. Avec quelle plus-value ? L’Athénée provincial Jean D’Avesnes possède un joli petit jardin à Mons. Elle profite de ce petit bijou pour enseigner l’horticulture à ses élèves du professionnel. Dans la liste de cours, on retrouve le maraîchage bio. Une pratique en perte de vitesse ces derniers temps. Mais qu’Alexis apprend avec plaisir. Il arrose ses plants de choux : "On retrouve des produits bourrés de pesticides dans les supermarchés. Mon rêve n’est pas de devenir maraîcher. Mais je trouve important d’apprendre les bonnes techniques de maraîchage. On nous enseigne que la nature peut se défendre elle-même." En cette période d’examen, les élèves doivent faire pousser des légumes ou des fruits en prouvant qu’ils maîtrisent la théorie. Mais tous ne croient pas au bio. Pour Léo, c’est vraiment dur : "C’est compliqué de lutter contre les pucerons. On est censé utiliser les coccinelles. C’est logique. Mais elles sont très peu nombreuses ici dans le jardin. Nos plantes se font manger. Je suis vraiment mitigé concernant le bio." Les professeurs vérifient les connaissances des élèves. Pour Fabrice Buski, le bio est une bonne école : "Ils apprennent à réfléchir, à s’adapter, à penser autrement… Qu’est-ce qui pourrait être mieux ? Oui le bio, ce n’est vraiment pas simple. Mais on y apprend plein de choses." Les productions de fruits et de légumes bio de l’Athénée provincial Jean D’Avesnes sont distribués aux cantines des écoles de la province de Hainaut. Depuis, il existe aussi un petit magasin où l’on peut retirer son panier. "Ça fonctionne très bien," confie la cheffe d’atelier, Céline Danloy. "Les élèves se sentent aussi terriblement valorisé. Ils voient qu’ils ne travaillent pas pour rien. L’an prochain, j’aimerais qu’ils participent à la vente. " Pour acheter les productions bio de la section horticulture de l’école provinciale Jean D’Avesnes, RDV sur place : à l’avenue Reine Astrid à Mons ou via mail : "productionshorticoles@hotmail.com".

"Coiffé de sa chevelure brune, le mannequin simulateur est désormais à disposition des étudiants infirmiers de l’Institut provincial Henri Lafontaine de Mons pour s’entraîner aux gestes qui sauvent. Détresses respiratoires, chocs hémorragiques, crises cardiaques, interactions médicamenteuses, le mannequin reproduit des scenarii médicaux variés. Il est destiné aux étudiants de la section bachelier infirmier responsable en soins généraux et leur permet de s’exercer à des interventions complexes dans des conditions proches du réel. L’Institut provincial Henri La Fontaine est un établissement d’enseignement supérieur pour adultes, qui accueille chaque année près de 1.500 étudiants répartis sur trois implantations : Mons, Saint-Ghislain et la Fabrique de Théâtre à La Bouverie". La suite à lire sur www.sudinfo.be