La ville, la campagne. Deux mondes souvent pensés à part et au milieu le péri-urbain comme une zone de transition. On associe à chacun de ces mondes une image particulière : le village où il fait bon vivre ; la ville, espace anonyme; la zone résidentielle et ses espaces pavillonnaires. Ces images correspondent de moins en moins au récit de ceux qui y vivent, de ceux qui transitent chaque jour d’un territoire à l’autre. Le rural existe-t-il encore ? La ville est-elle aussi globale qu’on le dit ? Les territoires sont bousculés.