Après deux ans de pandémie et la médiatisation croissante de la pollution atmosphérique, la sensibilisation des populations à la qualité de l’air intérieur et à son renouvellement dans les bâtiments s’est accrue.

Les industriels de la ventilation seront présents sur le salon - Toute l'actualité du bâtiment batirama.com...

AtmoSud estime que l'air intérieur est de mauvaise qualité dans 22 des 188 crèches de Marseille.

Les jours de forte pollution, les arythmies cardiaques sont plus fréquentes, en particulier chez les personnes porteuses de défibrillateur automatique implantable. ...

Batimat, Interclima et Ideobain accueilleront cette année un ambitieux programme de contenus autour des défis de la construction.
Préserver...

Contrairement à une idée reçue, l'air intérieur est souvent plus pollué qu'à l'extérieur. Et ça vaut aussi pour le métro.

Une bonne qualité de l'air intérieur, en plus de contribuer à l'expérience client, apporte également des avantages QVT à vos équipes.

Les professionnels de la construction ont rendez-vous sur Batimat, Idéobains et Interclima du 3 au 6 octobre à Paris, pour un Mondial du Bâtiment mobilisé en faveur de la sobriété en matériaux et en énergie...

La qualité de l’air dans les écoles et crèches est d’une importance primordiale. Les polluants de l’air intérieur peuvent en effet avoir un impact plus grand sur les enfants que sur les adultes : leurs barrières, leurs poumons… sont en plein développement et, en ce qui concerne les tout petits, leurs comportements exploratoires les exposent à une plus grande quantité de substances. Des études ont été menées autour de cette thématique de part et d’autre de la frontière. Petit tour d’horizon… En France L’étude du CRESPI, menée par une équipe pluridisciplinaire (CSTB, INSERM, EHESP…) a pour but d’améliorer les connaissances scientifiques relatives à l’impact des expositions environnementales (en particulier celui des produits d’entretien) dans les crèches afin de mieux comprendre les causes de survenue, chez les enfants, des maladies respiratoires comme l’asthme. Les trois objectifs de cette étude sont les suivants : – caractériser l’exposition aux produits de nettoyage en crèche ; – caractériser la santé respiratoire des enfants ; – étudier les relations entre l’exposition précoce aux produits de nettoyage et la santé respiratoire des enfants. Dans le cadre de cette étude, une méthodologie et une instrumentation innovantes seront déployées dans 100 crèches en Île-de-France (entre 1500 et 2500 enfants). Pour plus de renseignements sur cette étude : https://crespi.vjf.inserm.fr Et : https://conseils.xpair.com/actualite_experts/qualite-air-creche-produits-entretien-sante-respiratoire-enfants.htm L’Observatoire de la Qualité de l’Air (OQAI) propose sur son site plusieurs ressources sur la qualité de l’air dans les écoles et crèches. On y retrouve parmi d’autres documents les résultats d’une enquête descriptive sur les pratiques d’aération dans ces bâtiments. Le document identifie les freins à une bonne aération et propose des pistes d’amélioration. Un autre rapport s’intéresse aux émissions de polluants provenant du matériel et émis lors des activités scolaires (COV et aldéhydes provenant de peintures par exemple). Ces documents sont disponibles à cette adresse : https://www.oqai.fr/fr/campagnes/ecoles-et-creches Le Ministère de la transition écologique met à disposition, sur son site, un guide pratique pour améliorer la QAI dans les établissements recevant des enfants et adolescents. Ce guide est constitué de fiches permettant d’identifier les polluants et propose des actions pour remédier à ces émissions. Un autre document est disponible pour accompagner la mise en place de dispositifs de surveillance de la QAI dans les structures accueillant des enfants. Ainsi sont évoquées la réalisation d’une évaluation des moyens d’aération et de ventilation, la mise en œuvre d’un programme d’actions de prévention dans l’établissement et les campagnes de mesures de la QAI. Vous pouvez retrouver ces documents sur ce site : https://www.ecologie.gouv.fr/qualite-lair-interieur En Wallonie Une étude récente, menée par l’ISSeP et l’ASBL Hypothèse, en collaboration avec les SAMI (Services d’Analyse des Milieux Intérieurs), a analysé la qualité de l’air des écoles wallonnes. 20 écoles wallonnes ont participé au projet qui s’est déroulé en 2019. Les objectifs de cette étude étaient de sensibiliser le personnel des établissements scolaires à la QAI, ainsi que de réaliser des mesures de qualité d’air dans les écoles. Les résultats principaux des mesures montraient que, d’une manière générale, il y a un manque de renouvellement d’air dans les écoles wallonnes. En effet, le taux de CO2 dépassait le critère de vigilance de 1000 ppm dans ⅔ des locaux. Parmi les autres mesures, on peut observer que la concentration en COV (Composés Organiques Volatils) est plus élevée à l’intérieur qu’à l’extérieur, mais reste cependant, pour la plupart des mesures, en dessous des valeurs recommandées. En ce qui concerne le formaldéhyde, un COV considéré comme cancérigène, il dépassait le seuil de vigilance dans 82 % des locaux. Le rapport complet de l’étude peut être consulté ici : https://www.issep.be/wp-content/uploads/Rapport-final_AIR-ECOLE-vf-00000002.pdf Une autre étude avait déjà été réalisée par le SAMI de la province de Luxembourg en 2010, et les résultats sont assez comparables à cette nouvelle étude de l’ISSeP : http://www.province.luxembourg.be/fr/qualite-de-l-environnement-interieur-dans-les-ecoles-fondamentales.html?IDC=4380&IDD=54797#.YIvSx6E6-Um Pour plus d’informations et de conseils afin d’améliorer la qualité de l’air intérieur des écoles, consultez le guide AD’AIR : http://environnement.sante.wallonie.be/files/document%20pdf/AD’AIR/AD’AIR%20Guides%20de%20bonnes%20pratiques.pdf En Flandres Ces dernières années, plusieurs études sur la qualité du climat intérieur dans l’environnement scolaire ont été menées pour attirer l’attention sur l’importance d’un climat intérieur sain. L’Institut flamand pour la Recherche Technologique (VITO) a réalisé d’importants travaux de recherche dans ce domaine et plusieurs instances se réfèrent toujours aux résultats de ces études. L’étude BiBA (Binnenlucht in Basisscholen) [L’Air intérieur dans les écoles primaires] a été réalisée sous les auspices du département Environnement, Nature et Énergie, section LHRMG, service Milieu et Santé, dans le but d’évaluer l’impact de l’environnement extérieur, de la ventilation et de l’organisation des salles de classe sur la qualité de l’air intérieur dans les écoles. Cette étude a conduit à la formulation de recommandations concrètes pour la politique environnementale et d’autres stratégies. À cette fin, une campagne d’évaluation de la qualité de l’air a été organisée dans 90 salles de classe au sein de 30 écoles primaires en Flandre. Plus de détails et le rapport de cette étude : https://biba.vito.be/ Sur le site web de l’Agence pour les infrastructures dans l’enseignement (AGION), sous la rubrique Environnement Intérieur dans les bâtiments scolaires, l’Agence donne un aperçu de la règlementation en vigueur pour les bâtiments scolaires, des conseils pratiques pour améliorer la qualité de l’air dans les salles de classe et des informations sur les systèmes de ventilation. Une attention particulière est également accordée à la ventilation et à la Covid-19. https://www.agion.be/binnenluchtkwaliteit Le Département Environnement du Gouvernement flamand publie sur son site web une série de lignes directrices et de recommandations relatives à la qualité de l’air dans les bâtiments scolaires, avec une attention particulière en matière de ventilation et de l’utilisation du monitoring CO². https://omgeving.vlaanderen.be/bouw-gezond L’organisation Kind&Gezin s’intéresse également à la qualité du climat intérieur et fournit des conseils et des astuces sur la meilleure façon d’ optimiser le climat intérieur dans l’infrastructure existante. Différents facteurs sont pris en compte : température et humidité, ventilation, matériaux de finition, équipements techniques… https://www.kindengezin.be/kinderopvang/sector-babys-en-peuters/infrastructuur/binnenmilieu-en-omgeving/#Ventileren-en-verluchten Étude nationale belge Un projet du NEHAP (National Environment and Health Action Plan, www.nehap.be), dont les résultats ont été publiés en 2009 (“Projet “Crèches” : Mise au point d’un outil d’évaluation et analyse de l’environnement intérieur”), a étudié la qualité de l’air intérieur des crèches. Les objectifs visés par ce projet étaient d’identifier les problèmes rencontrés dans l’environnement intérieur des crèches et de formuler des propositions de solutions concrètes. Pour atteindre ces objectifs, une méthodologie en 2 phases a été mise en place. Premièrement, une phase d’auto-évaluation, réalisée à l’aide d’un questionnaire à remplir par les crèches participantes. Au total, 433 crèches ont répondu à ce questionnaire. Cette phase a permis une première évaluation de la qualité de l’environnement intérieur grâce à des éléments observables. Deuxièmement, une phase d’analyse des éléments non observables par le personnel, sur base de mesures réalisées par les SAMI. 25 milieux d’accueil ont été sélectionnés pour cette phase. Les résultats du questionnaire ont montré une utilisation souvent excessive de désodorisants, désinfectants ou détergents parfumés. Ils ont également permis de mettre en évidence le nombre élevé d’établissements présentant des dégradations dues à un excès d’humidité. Les mesures ont, quant à elles, révélé une concentration élevée en COV totaux pour 22 des participants. 14 des 25 milieux analysés présentaient en outre des problèmes de moisissures. Enfin, la concentration en CO2 dépassait le seuil des 1.000 ppm dans 18 des 25 crèches. Ceci met en avant, une fois de plus, le manque de renouvellement d’air des établissements. Consultez le rapport complet de l’étude ici : https://www.nehap.be/sites/default/files/public/content/creches/fr/rapport_final.pdf En conclusion La pandémie mondiale a donné un élan considérable à l’attention portée à l’importance d’un climat intérieur sain dans les écoles et les jardins d’enfants. Actuellement, beaucoup d’expertises sont rassemblées et diffusées via différents canaux. Malheureusement, cette situation souligne également le fait qu’une grande partie des infrastructures existantes est insuffisamment équipée pour assurer une bonne ventilation permanente : aujourd’hui, les utilisateurs doivent se contenter d’une forme autoorganisée de contrôle de la qualité de l’air, basée sur un monitoring du CO2 et la remédiation par l’ouverture des portes et des fenêtres. Nous ne pouvons qu’espérer que cette prise de conscience donnera également l’impulsion nécessaire aux décideurs politiques pour améliorer l’aménagement technique dans ce secteur par le biais d’un apport financier, et ainsi entamer le processus de rattrapage indispensable.

La qualité de l’air intérieur est un sujet qui prend beaucoup d'ampleur depuis quelques années.En effet, jusqu’à alors, nous apportions plus d’importance à la qualit...

PHOSPHORIS propose des solutions pour améliorer la Qualité de l'Air Intérieur pour les établissements de restauration.

L’Alliance HQE-GBC a publié une note de cadrage sur le sujet de la mise en place de capteurs de mesure de la qualité de l’air intérieur (QAI) lors de la réception ou de l’exploitation d’un bâtiment. L’offre de ces appareils s’est désormais diversifiée avec l’arrivée sur le marché de capteurs financièrement accessibles. Selon les modèles, ces appareils permettent de mesurer de façon indicative la température, l’hygrométrie mais aussi des polluants tel que le CO2, les particules fines et certains composés organiques volatils (COV) comme le formaldéhyde. Le document indique que ces appareils conviennent tout particulièrement aux gestionnaires de bâtiments et la restitution des résultats récoltés lors de campagnes de mesures est tout indiquée, après une indispensable mise en forme et interprétation, afin de renseigner les occupants ou les instances représentatives de personnel occupant. Les auteurs rappellent que ces capteurs à bas coût fournissent des mesures dites « indicatives » voire une « estimation objective » de la qualité de l’air intérieur (au sens de la Directive européenne n° 2008/50/CE du 21/05/08 concernant la qualité de l’air ambiant et un air pur pour l’Europe ; par exemple pour  les particules, l’incertitude acceptable est pour la mesure fixe de référence de 25%, pour la mesure indicative de 50% et pour l’estimation objective de 100%). Ainsi, ces capteurs ne peuvent remplacer les analyseurs de référence pour  établir un état des lieux et connaître les concentrations des paramètres étudiés, mais peuvent permettre d’effectuer un suivi des variations et tendances des polluants au cours du temps. Le groupe de travail « Indicateurs santé-confort » de l’Alliance HQE-GBC propose dans cette note des informations clés afin que le futur utilisateur puisse faire son choix en matière d’équipements, et dispose d’informations concernant les modalités d’installation des appareils et d’interprétation des données produites . Ces appareils peuvent aider les professionnels à piloter des moyens de remédiation de la QAI (ventilation, recirculation, traitement) selon leurs besoins. Pour la mesure en continu du CO2, les capteurs utilisant la technologie de spectrométrie d’absorption infrarouge non dispersif sont préconisés. Cette mesure est importante pour pouvoir juger de la bonne qualité du système de ventilation/renouvellement d’air d’un bâtiment ou d’une pièce. Le document propose également une comparaison de capteurs mesurant les particules fines et les COV en soulignant leurs points forts selon leurs prix. Les technologies de ces appareils évoluent rapidement et l’AFNOR travaille actuellement sur un guide relatif à ces technologies pour exposer les avantages et inconvénients liés à leur usage. La note de cadrage est disponible à cette adresse : http://www.hqegbc.org/wp-content/uploads/2021/06/CADRE-QUALITE-AIR-CAPTEURS.pdf

 

Depuis le mercredi 9 juin 2021, les Français peuvent de nouveau consommer à l’intérieur des établissements de restauration de France.L’évolution de la situation sanitaire nous permet (...)...

Après deux ans de pandémie et la médiatisation croissante de la pollution atmosphérique, la sensibilisation des populations à la qualité de l’air intérieur et à son renouvellement dans les bâtiment…...

450 millions d'euros investis pour la sobriété énergétique des - Toute l'actualité du bâtiment batirama.com...

Les purificateurs d’air sont importants pour de nombreuses raisons.Ils peuvent aider à éliminer le pollen, la poussière, la fumée et d’autres produit...

On a beaucoup parlé de la nécessité d'améliorer la qualité de l'air intérieur dans les bureaux à l'occasion du retour au travail, mais qu'en est-il des...qualité...

Un établissement qui respire, c'est bon pour l'avenir !

Lorsque l’on possède un bâtiment ou une entreprise, certains rapports et législations sont des indispensables à connaître.

Les cours en présentiel ont repris lundi 3 mai pour les élèves de collège et de lycée, après un mois de vacances et d’école à distance. Cette rentrée est marquée par un protocole sanitaire strict et à l’heure des demi-jauges et autotests, la qualité d’air dans les salles de classe est aussi un...

Des recherches sont en cours pour développer des matériaux capables de piéger les polluants présents dans l'air intérieur.

La maitrise de sa qualité de l'air intérieur est importante. Des règlementations et préconisations (faites par le gouvernement) existent.

La qualité de l’air intérieur est un enjeu de santé majeur pour les bâtiments d’enseignement. Mais comment garantir une bonne qualité de l’air intérieur ?Quels leviers, techniques (...)...

Une nouvelle alternative bas carbone à la climatisation par SEELEY International  En 2021, SEELEY International, leader du rafraichissement adiabatique, lance le nouveau Climate Wizard CW3, un modèle pensé pour s’adapter aux installations en petit tertiaire. Ultra-compact, le CW3 bénéficie du concept de fonctionnement d’échangeur de conception à contre-courant, comme les autres modèles de la marque, mais avec une plus grande compacité et un poids réduit facilitant et augmentant les possibilités d’installation. Il ouvre ainsi la solution adiabatique aux établissements du petit tertiaire qui n’avaient jusque-là que comme unique option la climatisation.  Conçu pour répondre aux exigences de Qualité d’Air Intérieur avec des besoins en climatisation et en air neuf dans de nombreux secteurs d’activité, le CW3 est parfait pour les locaux avec des activités recevant du public. En effet, le CW3 est extrêmement efficace dans les espaces régulièrement ouverts ou semi-ouverts sur l’extérieur (par exemple des portes qui s’ouvrent et se ferment dans des commerces) et dans les locaux nécessitant un apport d’air neuf extérieur pour garantir un air sain.  Le nouveau CW3 vient compléter la gamme hyper-efficiente en rafraichissement adiabatique indirect Climate Wizard. Véritable alternative à la climatisation traditionnelle sans ses inconvénients, elle permet de refroidir plus, sans humidifier, ni utiliser de gaz frigorigène nocif.  Un principe ancestral  Inspiré d’une pratique ancestrale, le fonctionnement adiabatique utilise le principe du rafraîchissement de l’air par évaporation. Par l’intermédiaire d’un échangeur où le seul réfrigérant est l’eau, l’air subit naturellement une baisse des températures, sans avoir à utiliser de gaz polluants et dangereux pour l’environnement.  Grâce à une faible consommation d’énergie, les systèmes SEELEY International permettent de répondre à des vrais besoins en climatisation tout en relevant les défis des nouveaux enjeux environnementaux et réglementaires actuels.  De hautes performances dans une installation compacte  Grâce à la technologie micro-core© et à l’échangeur à contre-courant M Cycle plus compact, SEELEY International ouvre de nouvelles voies dans le monde de la climatisation. En effet, cette nouvelle solution est tout aussi performante que les autres modèles de la gamme Climate Wizard, mais elle s’adapte plus facilement aux petites surfaces, avec une empreinte carbone minime et une faible consommation énergétique. Le CW 3 utilise notamment jusqu’à 80 % d’énergie en moins, en comparaison des systèmes de pompes à chaleur.  Il se positionne comme la solution parfaite pour un air rafraîchi et sain, avec un taux d’efficacité entre 110 et 136% sur la dépression bulbe humide quand les autres échangeurs adiabatiques indirects du secteur sont généralement autour de 65/70% maximum. Dans les conditions où l’exigence de refroidissement maximum n’est pas utile, le CW3 fournira un rendement (COP) jusqu’à 20 et une puissance consommée de seulement 300W à basse vitesse.  En complément, le CW3 dispose aussi d’une régulation sophistiquée qui permet de faire des économies d’énergies grâce à des groupes moto-ventilateurs à technologie inverter. Il offre enfin une Qualité de l’Air Intérieur optimale, avec un air neuf fourni à 100%, filtré, et non recyclé autour de 150 m2 et sur 3 m de haut. Pour des surfaces plus importantes, plusieurs centrales CW3 pourront être pilotées ensembles.  Qualité Air Intérieur optimale et températures confortables pour le petit tertiaire  Les excellentes performances du CW3 lui permettent d’offrir une combinaison entre une température ambiante entre 20 et 25°C et une QAI optimale, qui améliore le confort des espaces de travail. Sa petite taille lui permet d’offrir au petit tertiaire une alternative à la climatisation, sans souffrir d’un air sec et froid. Ces caractéristiques permettent d’améliorer les conditions de travail des collaborateurs opérant dans des environnements de transformation, de fabrication, ou encore dans des entrepôts. Il est aussi parfaitement adapté aux applications avec forte extraction d’air comme des cuisines professionnelles, des pressings mais aussi des crèches ou maisons de retraite où la qualité de l’air est essentielle.  Ces performances en font aussi un modèle idéal pour répondre aux exigences des bâtiments tertiaires et des ERP. Par exemple, les restaurants ou les bureaux qui doivent garantir un niveau d’hygiène et de confort optimum. Le principe adiabatique lui permet aussi d’être très efficace dans des espaces ouverts ou semi-ouverts comme des centres commerciaux, par exemple. Pour plus de confort, le CW3 est compatible avec la suite MagiqTouch qui permettra de faciliter le contrôle et la maintenance de l’installation au quotidien.  Une plus grande facilité d’utilisation avec la suite MagiqTouch en option  Afin de faciliter son utilisation, le nouveau Climate Wizard CW3 est compatible avec la suite MagIQtouch créée par SEELEY International. Cette solution peut notamment intégrer deux sondes de température en intérieur et en extérieur ainsi qu’une application pour téléphone. Elle permet de contrôler et de programmer une installation en température et hygrométrie, ainsi que de récupérer des informations sur la température extérieure, de communiquer avec une GTC (Gestion Technique Centralisée) et de faciliter la maintenance de l’appareil.