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Cities are using the game to get more people involved in solving urban challenges—and finding new, innovative ideas from unlikely sources.

If you're going to communicate effectively with young people, it helps to do it in a language and format they understand. Like Minecraft, for instance. One hundred million people already play the Swedish-born game, and even those who haven't played can soon appreciate its build-it-with-blocks vernacular.

UN-Habitat, the UN's agency for sustainable urban development, has a program to improve public space in developing world cities. It helps build new parks, squares, sports fields, and sidewalks, and promotes the value of public space to local people. Recently, it's used Minecraft to engage young people.

"It's really important to involve the local community as much as possible. You get better outcomes in terms of design and maintenance, and ensuring the space is used," says Pontus Westerberg, who leads the project from his base in Nairobi, Kenya. "When you have public meetings, what tends to happen is that you get older people. They have the time, the interest, and experience. It's very difficult to get young people to come to meetings and speak up."

In about 15 countries, the agency has organized workshops where kids redesign spaces on Minecraft, then present their ideas to local architects, politicians, and businesspeople. "On the first day, the young people are really shy," Westerberg says. "But three days of building in Minecraft, they're really standing up for their ideas, arguing for why a particular feature should be there. It's nice to see the change in confidence."

The agency contacted Mojang, the Microsoft-owned company behind the game, in 2012. It has since donated licenses and helped fundraise some of the actual building work. The projects, run from a group called Block by Block, are in Haiti, Kenya, Somalia, Nigeria, the Philippines, Bangladesh, Nepal and elsewhere.

Trois regards radicalement différents sur l'avenir de la cité, à travers les exemples de Londres et du rôle joué par la multinationale Siemens, d'un bidonville situé à la périphérie de Madrid, et de deux quartiers de Hambourg.

The world looks pretty cool from up there.

Le gouvernement a annoncé ce lundi 29 juillet le lancement du projet "quartiers numériques", 200 millions d'euros seront investis dans des projets privés.

Le directeur général de la Caisse des dépôts et consignations (CDC), Jean-Pierre Jouyet, a remis au premier ministre Jean-Marc Ayrault le rapport de mission de préfiguration des "quartiers numériques", issu d'une consultation publique lancée le 8 février 2013 sur le site du Ministère du Redressement Productif, "qui a suscité jusqu'au 23 avril 2013 près de sept cents réponses et propositions dont une cinquantaine en provenance de l'étranger".

Souvent analysés dans leur dimension globale, les enjeux liés au réchauffement climatique ont aussi une dimension proprement urbaine : formidable concentration d’activités, les villes génèrent localement de sensibles hausses de température. 

Animation de l'urbanisation de la région parisienne sur les 200 dernières années

Dernièrement, on note une envie croissante de la population à consommer local, à privilégier lescircuits courts et à s’approvisionner en réduisant les distances. Dans son sillage, émerge une volonté – utopique ? – de développer des villes autosuffisantes. Alors, est-il vraiment possible pour une ville d’être auto-suffisante, voire en autarcie ? N’est-il pas vain de croire que l’on peut y arriver ? Enquête sur ces villes qui tendent vers l’autosuffisance.

Les métropoles de demain seront altermodernes, c'est-à-dire à la fois durables et attractives, plus soucieuses de l'environnement, de l'humain et du « vivre-ensemble ».

Une métropole durable n'est pas seulement une métropole verte, elle se définit par de multiples facettes : économiques, sociales, politiques, culturelles et écologiques. Les nouvelles technologies y dessinent un nouvel avenir. 

1- NOUVEL ÉCHELON D'IDENTIFICATION DANS UN MONDE DE PLUS EN PLUS NOMADE, LES MÉTROPOLES VONT CHANGER LE PAYSAGE GÉO-ÉCONOMIQUE

• Les métropoles concentrent les activités créatrices de richesses et seront donc le principal moteur de l'économie de demain.

• Dans un monde qui exigera de plus en plus de fédéralisme, les métropoles vont devenir un nouvel acteur à part entière, allant jusqu'à supplanter la nation pour les plus puissantes d'entre elles.

• Ce rôle va accroître la compétition des métropoles entre elles, les plus attractives formant un réseau de villes hypernomades de passage.

2- CE NOUVEAU STATUT DÉPENDRA DES TRANSFORMATIONS ET INVESTISSEMENTS OPÉRÉS PAR LES MÉTROPOLES, EXPOSÉES À DE NOUVEAUX DÉFIS

• Mettre le big data au coeur des projets de rénovation des métropoles.

• Mettre les TIC au service d'un développement durable des métropoles, à travers des smartgrids.

• Faire de la densité urbaine un atout de développement est donc un enjeu majeur pour les métropoles.

3- LES ÉVOLUTIONS TECHNOLOGIQUES ET STRUCTURELLES CONDUIRONT À UNE PLUS GRANDE INTÉGRATION DES POPULATIONS

• L'importance de la mise en valeur du tissu avoisinant

• Impliquer l'ensemble des populations dans le projet de développement métropolitain.

La nouvelle frontière de la ville est sous nos pieds. De Helsinki à Singapour, présentation de cinq villes dont l’extension du territoire urbain en profondeur a déjà commencé.

Capitale économique du Cameroun, bordée par la mer et peuplée de deux millions d'habitants, Douala s'étale de façon anarchique au rythme de l'exode rural. A quelques kilomètres du centre, les routes goudronnées se transforment en chemins de terre impraticables pendant la saison des pluies. Face à une offre de transports quasi-inexistante due à la faillite de la société de transports publics de Douala et Yaoundé en 1993, les bendskins, taxis motos, souvent collectifs, ont conquis le terrain. Moins chers que les taxis, plus souples que le bus, ils se sont imposés comme le meilleur moyen de se rendre d'un point A à un point B... à ses risques et périls. Résistant à toute tentative de cadrage par la municipalité, les conducteurs se jouent des règles du code de la route. Après Mexico et Caracas, embarquement pour la troisième étape de notre tour des mobilités créatives... et anarchiques.

A ré-écouter, émission Les Bons Plaisirs du 24 juillet :

Table ronde : la ville dionysiaque

avec :

Fabio La Rocca

Sociologue de la ville

Auteur de La ville dans tous ses états aux éditions CNRS

Djinn Carrénard

Réalisateur

pour son film Donoma, sorti en 2010 et présenté le 25 juillet à 16h30 au Forum des Images dans le cadre du cycle Imaginaire du Grand Paris

Edouard François

Architecte

«Ce sera un nouveau morceau de ville, dont les dimensions sont similaires à celle de l’Ile Saint-Louis. » François Grether, l’architecte-urbaniste...