« Risque émergent ? », interroge le Comité développement durable santé (C2DS) qui souligne l’utilisation massive du dioxyde de titane sous forme nanoparticulaire à l’hôpital pour lutter contre les infections nosocomiales. Une substance reconnue pour ses pouvoirs antibactériens donc, mais également classée cancérigène possible pour l’homme… Alors, personnels et usagers en danger ? Le C2DS en appelle au principe de précaution.
Le dioxyde de titane sous forme nanoparticulaire est classé cancérigène possible pour l’homme.
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