Toxique, soyons vigilant !

Une équipe italienne a constaté que les patients chez lesquels des micro et des nanoplastiques étaient retrouvés dans l’athérome carotidien présentaient un risque cardiovasculaire plus important. Ces résultats sont publiés dans The New England Journal of Medicine (NEJM).

Il est aujourd’hui connu que les plastiques participent à la pollution de l’environnement avec des effets toxiques, une fois désagrégés en micro et nanoplastiques (MNP)

Recycler les plastiques pour les réutiliser ne serait pas une solution viable car ils contiennent trop de produits chimiques les rendant impropres à la plupart des usages.

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Des chercheurs au Japon ont confirmé avoir trouvé des microplastiques dans les nuages, et leur présence pourrait modifier le climat de façons encore mal comprises.

Pour une étude publiée dans la revue Environmental Chemistry Letters, des scientifiques se sont rendus sur le Mont Fuji et le Mont Oyama, afin de collecter de l’eau issue des nuages qui entourent leur sommet.

« A notre connaissance, c’est la première fois que des microplastiques en suspension sont confirmés dans l’eau des nuages », ont écrit les scientifiques dans leur étude.

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Ce que nous voyons dans les océans en terme de pollution aux microplastiques « n’est que la pointe de l’iceberg », explique à l’AFP le professeur Richard Thompson, spécialiste de cette pollution et directeur de l’Institut marin et de l’École des sciences biologiques et marines à l’université de Plymouth (sud de l’Angleterre).

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En utilisant ces contenants, les consommateurs s’exposent à l’ingestion de centaines de particules de plastique disséminées dans leur boisson, révèle une étude chinoise.

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Du fond des fosses océaniques au sommet du mont Everest, le plastique est partout et s’accumule. Nous en mangeons, nous en buvons et nous en respirons. Chaque semaine, nous en ingérons en moyenne 5 grammes, l’équivalent d’une carte de crédit ! Des microparticules de plastiques sont détectées dans les selles, le sang… et peuvent franchir les barrières physiologiques jusqu’aux poumons, au cerveau et au placenta, au plus près du bébé à naître. Dès 2019, l’Organisation Mondiale de la Santé reconnaissait officiellement la contamination de l’eau aux microplastiques.

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Les microplastiques sont omniprésents dans l’environnement. Pour la première fois, une équipe de chercheurs en a découvert dans les poumons de personnes vivantes.

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Accessoire indispensable quand on veut réduire ses déchets, la gourde présente un grand nombre d’avantages. Cependant, selon des chercheurs danois, il est préférable, pour sa santé, de ne pas utiliser de gourde en plastique.

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Le plastique est partout. Dans les fleuves, les océans, les eaux de pluie, la neige... mais aussi dans l’air que nous respirons à la montagne. C’est le résultat d’une étude impliquant des chercheurs de l’université Grenoble Alpes, de Toulouse et de Strathclyde, en Écosse.

Les scientifiques, dont les travaux ont été publiés dans Nature Communications le mardi 21 décembre, ont découvert la présence de microplastiques au sommet du Pic du Midi (Hautes-Pyrénées), à 2 877 mètres d’altitude. Ils avaient installé

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Les phtalates, composé chimique présent notamment dans les matières plastiques, provoqueraient chaque année la mort prématurée de 100 000 Américains âgés de 55 à 64 ans. Une étude publiée dans la revue Environnemental Pollution démontre que la présence de phtalates dans les emballages plastiques augmente les probabilités de mourir de maladies cardio-vasculaires.

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Ces particules, plus nuisibles qu’on ne le pense, véhiculent des additifs chimiques, des bactéries et des virus, agissant comme des « chevaux de Troie » dans notre environnement.

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Les jouets sexuels sont posés directement sur les muqueuses. Problème, ces tissus peuvent absorber les produits chimiques contenus dans ces objets, craignent des scientifiques.

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D’après une nouvelle étude, de minuscules particules de polystyrène peuvent être détectées dans le cerveau deux heures après ingestion. Ces microplastiques et nanoplastiques pourraient augmenter le risque de neuroinflammation et de maladies neurodégénératives.

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Les quantités de microplastiques présentes dans l’environnement et l’impact engendré demeurent aujourd’hui mal connus. L’ADEME soutient des recherches tant sur…

Quelle est la toxicité des bouteilles en plastiques ? Sont-elles dangereuses ? Quel est le plastique le moins toxique ? Ce sont des questions raisonnables, tenant compte que les plastiques sont partout. Mais nous y sommes tellement habitués dans nos vies que nous ne remarquons même pas quand nous entendons qu’ils sont nocifs pour la santé. Cependant, nous devons apprendre à faire attention aux plastiques dans notre vie quotidienne, car ils sont loin d’être pareils. Il existe de nombreux composés plastiques utilisés à des fins différentes. Certains d’entre eux sont incroyablement nocifs par rapport aux autres. Nous buvons de l’eau minérale en bouteille presque tous les jours sans savoir de quoi la bouteille est faite.

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Les déchets plastiques jetés dans l’environnement se dégradent en microparticules. Quel est l’impact de cette pollution devenue invisible sur les écosystèmes et sur l’homme ? Jérôme Cachot et Bénédicte Morin, deux écotoxicologues du laboratoire Environnements et paléoenvironnements océaniques et continentaux (EPOC) de l’université de Bordeaux nous racontent leur enquête.

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Pour la première fois, une équipe scientifique a détecté et quantifié des microplastiques dans le sang humain. L’article scientifique présentant les résultats a été publié le jeudi 24 mars dans le journal Environment International. Elle a été menée par une équipe de chercheurs de l’université libre d’Amsterdam et du Centre médical universitaire d’Amsterdam, et notamment financée par des fonds de l’ONG britannique de défense de l’environnement Common Seas.

Le sang de vingt-deux volontaires sains et en pleine (...)

Ce n’est pas vraiment une surprise: absorber des microplastiques n’est pas bon pour la santé. Ingérées régulièrement, et aux quantités couramment décelées dans l’alimentation, les particules de plastique de moins de 5 mm provoquent des réactions en chaîne dans l’organisme. C’est que qui ressort d’une méta-analyse – la première du genre – passant en revue «les impacts toxicologiques de l'exposition aux microplastiques dans les cellules humaines», publiée le 24 novembre 2021 dans le Journal of Hazardous Materials.

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Des chercheurs coréens montrent que les microplastiques s'accumulent dans le cerveau et affaiblissent ses défenses immunitaires.

Avec 367 millions de tonnes produites dans le monde en 2020, le plastique sous toutes ses formes est un véritable fléau pour les écosystèmes, mais aussi pour les organismes. Et dans ce dernier cas, les plastiques les plus nocifs ne sont pas forcément ceux que l’on voit ! Les années récentes sont émaillées de découvertes concernant les effets néfastes des microplastiques. Des chercheurs sud-coréens viennent de rallonger cette liste dans la revue Science of The Total Environment, en prouvant que les microplastiques entrent dans le cerveau et s’accumulent dans les cellules microgliales, sentinelles du système immunitaire, ce qui altère leur fonctionnement et entraîne leur suicide cellulaire.

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