Toxique, soyons vigilant !

L’idée que le tabac et l’alcool représentent une manne financière pour l’Etat est « infondée », selon une étude de l’Observatoire français des drogues et des tendances addictives (OFDT)

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DROGUE 4 % des jeunes Français de moins de 17 ans auraient expérimenté au moins une fois cette drogue, selon une étude publiée en 2018

"Pète ton crâne" : Le cannabis de synthèse qui frappe dans les lycées - Le proviseur d'un lycée du Nord a alerté les parents d'élèves sur la circulation au sein de son établissement de "Buddha blues", un cannabis de synthèse extrêmement toxique, après l'hospitalisation de deux élèves, tandis qu'une autre a été hospitalisée dans les Hautes-Pyrénées.

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"C’est une défonce facile, pas chère, ça dure 30 secondes et les jeunes n’ont pas l’impression qu’à terme il pourrait y avoir des atteintes neurologiques persistantes", alerte une toxicologue.

Maux de tête, vertiges, mais aussi problèmes neurologiques persistants dans les cas les plus graves : il est dangereux d’inhaler du protoxyde d’azote, le gaz des siphons à chantilly utilisé comme une drogue euphorisante, alerte jeudi un rapport de l’agence sanitaire Anses.

"Ce qu’on est en train d’observer est assez inquiétant : les jeunes ont sûrement la sensation de ne pas être en danger en consommant ce gaz, alors que c’est exactement le message contraire qu’il faut faire passer", explique la toxicologue Cécilia Solal, coordinatrice du rapport.

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Le nombre de cas graves liés à la prise de cocaïne a été multiplié par 9 ces dernières années et 85 décès ont été signalés en 2017. Un phénomène qui fait écho à la hausse de la consommation.

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La cocaïne en suspension dans les cours d'eau entraîne des lésions musculaires persistantes chez les anguilles. C'est une nouvelle menace qui s'abat sur ces poissons déjà en danger critique d'extinction.
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Après le vapotage classique, puis les joints électroniques à base de CBD, voici que les e-liquides à base de molécules de THC de synthèse hautement toxique, débarquent dans la région brestoise. Plusieurs élèves en ont déjà fait les frais dans un établissement scolaire. Les fioles étaient importées depuis le darknet.

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Jeudi, drogues et alcool étaient au programme de 14 U18 de l’US Bourbon FPT, dans le cadre du projet éducatif fédéral. Après une matinée détente à Celtô, l’adjudant Jamault, de la gendarmerie, leur a exposé l’après-midi les problèmes liés aux addictions, et plus particulièrement aux drogues et à l’alcool : « Le cannabis est beaucoup plus toxique que dans les années 1970. Aujourd’hui, c’est un hybride qui active la production de dopamine, nuisible pour le cerveau, le système digestif, la fertilité, et amène des tremblements. » Et de rappeler les sanctions encourues par les jeunes conducteurs âgés de plus de 18 ans, contrôlés positifs aux drogues et à l’alcool : 6 points en moins sur le permis probatoire, de 1 à 3 ans de suspension de permis sans pouvoir le repasser, 4 500 € d’amende, 2 ans de prison, inscription au casier judiciaire…

Plante toxique en raison des alcaloïdes qu'elle contient, le datura est utilisée à des fins récréatives, par des personnes en quête d'effets psychotiques. Quels sont ses effets ? Existe-t-il un risque de dépendance ? Comment la consommer sans risques ? Éléments de réponse.

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Alors que 700 personnes meurent chaque année dans des accidents liés à la consommation de drogues au volant, les contrôles salivaires sont de plus en plus fréquents sur les routes de France.

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Parmi les effets secondaires potentiels du « Buddha Blue » figurent la paralysie, la tachycardie ou encore la détresse respiratoire aiguë

Inhaler du protoxyde d'azote, aussi appelé "gaz hilarant", c'est avoir un fou rire de plusieurs secondes. Mais c'est surtout se mettre en danger, car ce gaz peut provoquer des effets irréversibles, voire tuer.

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Au quotidien, dans la presse, à la la télévision, on voit des accidents à l'origine tellement étrange qu'on devrait douter du comportement de son auteur. Pourtant, jamais vous ne lirez de la part d'un journaliste, la mise en doute de ce comportement.

Encore récemment, une jeune femme se fait égorgée dans rue sans raison, un jeune homme de 25 ans prend à contresens une autoroute, ou un autre jeune fonce dans un groupe d'étudiants d'origine chinoise, sans raison apparente.

On évoque un séjour en hôpital psychiatrique dans tous ces cas, mais jamais, au grand Dieu, non jamais, les journalistes n'abordent le passé de junky de l'auteur de ces drames. Et pourquoi donc ?

D'où la question de ce petit post en forme de "coup de gueule" : les journalistes sont-ils des drogués pour protéger autant ces salopards qui tuent de façon inopinée, vraisemblablement par manque de discernement, névrosé par un cocktail drogue/alcool  ?

Faisons tomber le tabou avant que ce type de drame se banalise. Dénonçons l'omerta qui plane dans le milieu journalistique. Et appelons un chat, un chat !

Il est intolérable de laisser ce comportement démocratique se répandre sous prétexte que telle ou telle drogue aurait, soit disant, des vertus thérapeutiques ! Car il n'en est rien et on relaie ici suffisamment d'études pour le prouver. Ne pourrait-on pas avoir des doutes sur le soutien d'une loi sur la légalisation de la drogue quand le lobby des journalistes se gargarise de sondages d'opinion publique à ce sujet ?

Toutes les drogues sont des merdes qui détruisent à petit feu le cerveau. En cachant une telle réalité, les journalistes ne cherchent-ils pas à nier un comportement répandu dans leur milieu ? Leur travail est éreintant, exténuant, stressant. Une petit pétard de temps en temps, ça détend ! Peut être, mais à côté, en bas de leur immeuble des junkies tueraient père et mère pour leur petite dose de calmant.

Messieurs, Mesdames les journalistes : dîtes la vérité au public !

Car un jour, pour avoir protégé ce fléau, c'est peut être votre fille, votre fils, votre soeur qui se fera tuer par un drogué !