Dès la décision de la cour administrative d'appel de Nantes connue, l'association Eau et Rivières de Bretagne a réagi. « L'arrêt rendu à la demande du cavalier victime d'un grave malaise et dont le cheval était mort à Saint-Michel-en-Grève, sanctionne la même incapacité de l'État à prévenir les risques sanitaires dus à la décomposition des algues vertes.
Par son laisser-faire historique (...), l'État (...) a permis à la pollution par les nitrates de gangrener les côtes de la Manche et de l'Atlantique jusqu'à la Vendée, de cette nauséabonde couche d'algues vertes qui défigure le littoral ».
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