Un volet du nouveau plan concerne justement les anciens malades qui ont des difficultés à contracter des prêts bancaires ou des assurances et qui subissent encore à posteriori les effets discriminatoires de la maladie. Le Président a annoncé à ce propos que « [le droit à l'oubli] s’appliquera à tous ceux dont la science nous dit qu’ils sont guéris. ».