Toulouse networks
59.5K views | +0 today
Follow
Toulouse networks
Networking in Toulouse - Réseautage de la Ville Rose
Your new post is loading...
Your new post is loading...

Popular Tags

Current selected tag: 'Zuckerberg'. Clear
Scooped by Jacques Le Bris
Scoop.it!

Le PDG de FaceBook, Mark Zuckerberg, malmené lors de son audition au Sénat américain (17/11/20)

Le PDG de FaceBook, Mark Zuckerberg, malmené par le sénateur Josh Hawley lors de son audition au Sénat américain.
- 17 novembre 2020

No comment yet.
Scooped by Jacques Le Bris
Scoop.it!

Scandale Facebook: Le siège londonien de Cambridge Analytica perquisitionné

Scandale Facebook: Le siège londonien de Cambridge Analytica perquisitionné | Toulouse networks | Scoop.it

Le siège de Cambridge Analytica, à Londres.

 

Cambridge Analytica (CA) a-t-il illégalement obtenu les données Facebook de 50 millions d’utilisateurs ? 

Pour répondre à cette question, dix-huit membres de l’Information Commissionner’s Office (ICO), le régulateur britannique chargé de la protection des données, ont perquisitionné le siège britannique de l’entreprise, situé en plein coeur de Londres, vendredi soir. L’ICO avait réclamé cette mesure pour « fouiller les serveurs » de Cambridge Analytica et « effectuer une vérification des données ».

« Il ne s’agit là que d’une partie d’une enquête plus vaste sur l’utilisation de données personnelles à des fins politiques. Nous allons devoir maintenant recueillir, évaluer et examiner les éléments de preuve avant de tirer des conclusions », a expliqué un porte-parole de l’ICO après l’obtention du mandat.

 

CA est accusée d’avoir récupéré à leur insu les données de 50 millions d’utilisateurs de Facebook et de les avoir utilisées pour développer un outil informatique permettant de cibler des électeurs afin de peser dans la campagne présidentielle de Donald Trump en 2016.

La presse britannique s’interroge également sur son rôle pendant la campagne référendaire sur le Brexit, également en 2016.

 

Facebook dans la tempête

CA avait annoncé mardi la suspension de son patron Alexander Nix à la suite de « commentaires » de ce dernier enregistrés par la chaîne Channel 4 News, ainsi que d’autres « allégations » formulées à son encontre, qui « ne représentent pas les valeurs » de la société. Ces commentaires étaient issus d’une enquête diffusée par la chaîne britannique où Nix apparaît en caméra cachée et se vante du rôle joué par son entreprise dans la campagne Trump. Recherche, analyse, « on a dirigé sa campagne numérique », assure-t-il.

 

Le scandale a plongé Facebook dans la tourmente, l’exposant à des plaintes en nom collectif, et contraint son jeune patron milliardaire Mark Zuckerberg à présenter des excuses publiques. Dans les colonnes du New York Times, celui qui a lancé le plus grand réseau social du monde depuis sa chambre d’étudiant à Harvard en 2004 a promis de « réparer le système pour que ce genre de choses ne se reproduise pas ».

 

No comment yet.
Scooped by Jacques Le Bris
Scoop.it!

Ce que Facebook va faire pour limiter la désinformation

Ce que Facebook va faire pour limiter la désinformation | Toulouse networks | Scoop.it

L’élection présidentielle aux Etats-Unis est certes terminée, mais la polémique concernant la désinformation qui a circulé sur les réseaux sociaux (notamment Facebook, et qui aurait un peu aidé Donald Trump) ne fait que commencer.

Le PDG du réseau social insiste toujours sur le fait que la désinformation ne représente qu’une maigre part du contenu qui est partagé sur Facebook (99 % des infos ne seraient pas fausses), mais face à toutes les réactions qui ont suivi l’élection de Donald Trump, Mark Zuckerberg a décidé d’annoncer quelques mesures que Facebook compte appliquer pour « prendre ses responsabilités ».

Mark Zuckerberg rappelle que son réseau social a toujours combattu les fake news. Et comme il l’explique, « tout le monde peut signaler un lien comme faux ». Ces signaux permettent à Facebook de repérer la désinformation, en plus des sites spécialisés dans le fact-checking comme Snopes, aux Etats-Unis.

En fin de comte, ce que l’entreprise laisse entendre, c’est que les nouvelles mesures annoncées ne sont que des évolutions de celles qui ont déjà été prises précédemment. Le PDG explique d’ailleurs que généralement, ce genre de mise à jour du fil d’actualité ne devrait pas faire l’objet d’une annonce aussi prématurément. Mais pour répondre aux différents articles qui ont accusé Facebook d’être l’une des causes de la victoire de Donald Trump, il a fait une exception.

Facebook promet ainsi d’améliorer ses outils de détection de canulars, sur le plan technique, et de faciliter le signalement de ceux-ci par les utilisateurs du réseau social. D’autre part, s’il n’entend visiblement pas interdire la publication de ces articles de désinformation, il envisage de mettre en place un système d’avertissement sur les articles qui ont été signalés comme mensongers. Sinon, Facebook entend également faire le ménage dans sa fonctionnalité « articles similaires », qui suggère d’autres articles à l’utilisateur en-dessous des liens sur le fil d’actualité.

Et comme nous l’évoquions plus tôt, Facebook, ainsi que Google, ont déjà pris l’initiative de priver les sites mensongers de revenus publicitaires, en les excluant de leurs réseaux d’annonceurs.

 

Facebook refuse de jouer un rôle d’éditeur

Voilà, en substance, ce que Facebook entend prochainement faire pour limiter la portée des sites de fausses informations. Mark Zuckerberg se montre optimiste, mais avertit tout de même que certaines de ces mesures pourraient être inefficaces.

En tout cas, ce qui est clair, c’est que le numéro un des réseaux sociaux ne souhaite pas devenir « l’arbitre » et préfère se baser sur les signalements de sa communauté ainsi que sur les sites spécialisés dans la vérification des faits pour identifier ce qui est mensonger sur le fil d’actualité.

Lors d’une récente conférence économique à Lima, au Pérou, Mark Zuckerberg a d’ailleurs aussi évoqué le problème des fausses informations. « Je suis optimiste. Mais en tant qu’ingénieur, je sais à quel point ce sera difficile », a-t-il déclaré.

 

(Source)

No comment yet.
Scooped by Jacques Le Bris
Scoop.it!

Scandale Facebook: comme un parfum de revanche pour la Vieille Europe

Scandale Facebook: comme un parfum de revanche pour la Vieille Europe | Toulouse networks | Scoop.it

Le patron de Facebook Mark Zuckerberg, interrogé par une commission parlementaire à la Chambre des représentants, le 11 avril 2018 à Washington

 

 

BRUXELLES (BELGIQUE) (AFP) - 

"Merci M. Zuckerberg": l'hommage malicieux lancé cette semaine au patron de Facebook illustre une satisfaction non dissimulée à Bruxelles face à la tournure des débats aux Etats-Unis, où les tentatives européennes de dompter l'industrie numérique semblent désormais faire des émules.

La protection des données personnelles à la façon européenne a souvent été perçue outre-Atlantique comme un frein rétrograde, voire protectionniste, à l'essor du secteur, tout comme les projets de l'UE de taxer les géants d'internet et les amendes vertigineuses qui ont touché Google ou Apple.

Mais le vent a peut-être tourné avec le scandale Cambridge Analytica, du nom de la société qui a exploité à leur insu les données de dizaines de millions d'utilisateurs de Facebook, contraignant Mark Zuckerberg à multiplier les excuses... et à louer le strict modèle européen.

Inconnu des profanes il y a quelques semaines, le Règlement général sur la protection des données (RGPD), qui entrera en vigueur le 25 mai dans l'UE deux ans après son adoption, a ainsi été plusieurs fois cité lors des auditions du patron de Facebook devant les parlementaires américains cette semaine.

Ce sont des "étapes positives", a même déclaré M. Zuckerberg au sujet de ces normes qui vont contraindre les entreprises à obtenir le consentement explicite des utilisateurs européens pour l'exploitation de leurs données, avec des sanctions allant jusqu'à 4% du chiffre d'affaires mondial en cas de violation.

"Je cherchais comment faire campagne pour notre règlement sur la protection des données. Voilà, c'est fait", a observé depuis Bruxelles la commissaire européenne à la Justice, Vera Jourova, en lançant un ironique "Merci" au dirigeant du réseau social.

 

-'Signal d'alarme'-

Le patron de Facebook "avait toujours dit le contraire, il disait que ça allait tuer internet", relève dans un entretien avec l'AFP la députée européenne Viviane Reding (PPE, droite), initiatrice du RGPD en tant que commissaire européenne en 2012.

"Maintenant notre régulation est vue comme un pas positif pour un développement futur de l'internet", se réjouit la Luxembourgeoise, comparant le "signal d'alarme" de Cambridge Analytica aux Etats-Unis à celui qu'avaient représenté dans l'UE les révélations de l'ancien consultant Edward Snowden sur les pratiques du renseignement américain.

Les sénateurs américains qui ont interrogé le patron de Facebook "ont profondément étudié la législation européenne", relève Mme Reding, et ils ont compris "que ce modèle n'est pas destructeur d'internet, mais la base de son développement équilibré".

"Des parlementaires américains nous contactent au Parlement européen pour apprendre de notre expérience", constate avec satisfaction l'eurodéputée portugaise Maria Joao Rodrigues (socialiste), rappelant combien le RGPD avait été contesté au départ par certains gouvernements européens.

"La clairvoyance dont l'UE a fait preuve est confirmée" face à ceux qui disaient "qu'il ne fallait pas créer d'obstacles pour l'économie numérique", estime de son côté auprès de l'AFP l'eurodéputé Vert allemand Jan Albrecht, militant chevronné de la protection des données.

Les Américains "sont maintenant tenus de mettre en oeuvre les normes européennes dans leurs activités mondiales parce que le marché européen est suffisamment grand pour fixer des standards" internationaux, poursuit-il, appelant les Européens à "en être extrêmement fiers".

 

-'Discussions pénibles'-

Pour Guillermo Beltra, expert au sein du Bureau européen des unions de consommateurs (BEUC), l'UE vise avec le RGPD à "faire en sorte que les développements technologiques s'adaptent aux valeurs de la société, au lieu de devoir adapter les valeurs de la société aux nouvelles technologies".

"Mais il faudra voir si cette bonne loi sur le papier sera efficace dans la pratique", dit-il à l'AFP.

Les Européens, s'ils peuvent se féliciter de leur législation en matière de protection des données, ne s'épargneront pas pour autant une remise en cause de certaines pratiques au sein de l'UE, prévient de son côté Viviane Reding.

"Des partis politiques ont souscrit à des systèmes similaires à celui de Cambridge Analytica en Europe", note-t-elle, "ce n'est pas seulement pour Trump et le Brexit que ça a été utilisé".

"Il y a des partis politiques qui utilisent des méthodes interdites par la loi, donc il y aura des discussions assez pénibles pour les uns et les autres dans de nombreux pays européens", selon elle.

 

 

Par Cédric SIMON
No comment yet.
Scooped by Jacques Le Bris
Scoop.it!

Facebook lance un système anti-fraude 

Facebook lance un système anti-fraude  | Toulouse networks | Scoop.it

Après avoir été accusé de la victoire de Donald Trump aux Etats Unis, Facebook semble vouloir éviter ce genre d’accusations en Allemagne. En effet, le réseau de Mark Zuckerberg annonce qu’il sortira dans les semaines à venir un dispositif de lutte contre les articles trompeurs en Allemagne. Ce sera la première incursion en Europe.

Facebook vient de dévoiler son Journalism Project, un large dispositif censé rapprocher le réseau social des médias, en leur fournissant plus de moyens d’entrer en contact au travers d’outils. Le but est de reconquérir un public, qui s’est montré très déçu de Facebook suite à la multiplication des articles « bidon » sur le réseau social. Ces articles aurait joué un rôle important dans l’élection de Donald Trump.

La plateforme à succès a rapidement décidé de redorer son image en mettant en avant sa lutte contre les articles trompeurs. Comme expliqué dans un article publié le 15 janvier, Facebook annonce le déploiement en Allemagne et aux Etats Unis de ses outils pour combattre les informations éronées.

Les utilisateurs du premier réseau social au monde pourront signaler des contenus qui leur semblent suspects, qui seront ensuite vérifiés par des journalistes issus « de médias indépendants », se conformant aux règles de l’institut Poynter. Une fois un article déclaré douteux, des alertes apparaitront au moment de le partager et des sanctions pourront être appliquées.

 

MARGAUX PONTHIEUX

No comment yet.
Scooped by Jacques Le Bris
Scoop.it!

Pour Mark Zuckerberg, l’avenir à moyen terme de Facebook se jouera dans les cieux

Pour Mark Zuckerberg, l’avenir à moyen terme de Facebook se jouera dans les cieux | Toulouse networks | Scoop.it
Onze ans après avoir lancé Facebook, Mark Zuckerberg est aujourd’hui convaincu que l’expansion à moyen terme – sur les dix prochaines années – du réseau social se jouera dans les cieux. Le lancement réussi du drone solaire Aquila jeudi 21 juillet au soir, qui est resté en l’air pendant quatre-vingt-dix minutes, n’est que la première étape d’un vaste programme qui vise, à terme, à offrir un accès à Internet au plus grand nombre, comme Mark Zuckerberg l’explique au site The Verge dans une longue interview :
« Aujourd’hui, l’étape la plus importante est celle de l’accessibilité [des 1,6 milliard de personnes qui n’ont pas de réseau], et nous ne pouvons plus utiliser les solutions trop coûteuses pour les opérateurs téléphoniques. (…) Il fallait donc créer quelque chose de moins cher. C’est comme ça que nous en sommes venus à construire ces drones solaires, qui sont l’équivalent de relais téléphoniques dans les cieux. »
L’Inde, un marché stratégique

Le patron de Facebook, qui compte plus d’un milliard et demi d’utilisateurs, espère que des « milliers de drones solaires » seront bientôt stationnés au-dessus des villes et villages situés en périphérie des grandes agglomérations pour leur fournir un accès à Internet pour une durée de quatre-vingt-dix jours renouvelable.

Il vise explicitement l’Inde et son « milliard d’utilisateurs sans accès en ligne », le pays ayant récemment interdit le déploiement du programme Free Basics de Facebook qui consistait à donner un accès gratuit mais limité à Internet – moteur de recherche, météo, actualités et outils Facebook – aux populations les plus pauvres.

Si cette mission d’universalisation de l’accès à Internet sert évidemment les intérêts du réseau social – qui pourrait, s’il remplit sa mission, proposer ses services publicitaires à sept milliards d’utilisateurs potentiels –, Mark Zuckerberg la présente comme une occasion pour les plus démunis, qui trouveraient « selon plusieurs études » plus facilement accès à l’emploi grâce à cette connexion.

Le patron de Facebook ne précise cependant pas comment il envisage de généraliser ces outils aériens, il dit simplement que son but n’est pas « de créer un réseau » mais simplement de prouver que cela fonctionne, pour que d’autres acteurs (gouvernements, ONG…) s’en emparent.

Mark Zuckerberg mise aussi sur le développement de son service Terragraph, un complément à la fibre, qui permet d’offrir une connexion réseau stable dans des zones géographiques saturées, notamment lors d’événements comme des concerts ou des matchs.

La réalité virtuelle, suite de la vidéo

L’outil doit aussi permettre d’accéder rapidement à des contenus en réalité virtuelle, l’autre domaine technologique dont l’entreprise s’empare. « Il y a encore dix ou quinze ans, si vous vous rappelez bien, tout le mondene partageait que du texte sur Internet », souligne le fondateur de Facebook, qui rappelle que la démocratisation de la photo, puis de la vidéo, n’était pas une fin en soi.

« L’autre grande tendance favorable à la réalité virtuelle, c’est qu’il y a un nouveau paradigme informatique important qui apparaît tous les dix ou quinze ans », dit-il aussi. Il reste à convaincre les utilisateurs. En février dernier, la publication d’une photo de Mark Zuckerberg marchant d’un air triomphal au milieu d’un public plongé dans un univers virtuel avait suscité l’inquiétude de nombreux internautes.



No comment yet.