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Toulouse. Facebook, Twitter, Snapchat... Nos six faits-divers les plus "réseaux sociaux", en 2019

Toulouse. Facebook, Twitter, Snapchat... Nos six faits-divers les plus "réseaux sociaux", en 2019 | Toulouse networks | Scoop.it

Facebook, Twitter, Snapchat… Nos six faits-divers les plus « réseaux sociaux » en 2019, à Toulouse

Peine de prison pour avoir insulté l'acteur Omar Sy ou s'être réjoui de la mort d'un policier sur Facebook. Voici nos 6 faits-divers les plus "réseaux sociaux", en 2019, à Toulouse

Ils font tellement partie de notre quotidien qu’ils ont intégré la sphère judiciaire. Facebook, Twitter, Snapchat, Instagram… Les réseaux sociaux sont aussi pourvoyeurs de faits-divers. Voici les six principaux d’entre eux, à Toulouse, pour l’année 2019.   

Omar Sy, sa femme et le dealer

1. Toulouse. Un homme condamné pour des propos haineux sur Twitter à l’encontre d’Omar Sy et sa femme
Mercredi 27 mars 2019, un homme a été condamné par le tribunal correctionnel de Toulouse à de la prison avec sursis après avoir tenu des propos haineux sur Twitter contre Omar Sy.

 

2. Toulouse. La police intervient pour des cyclistes importunés, elle débusque… un dealer Snapchat
La police avait été requise pour des agresseurs de cyclistes, mercredi 18 décembre 2019. Elle est repartie avec un dealer qui sévissait à Toulouse, via le réseau Snapchat.

Il se réjouit de l’assassinat d’un policier sur Facebook

3. Toulouse. Interpellé après s’être réjoui sur Facebook de la mort du policier tué dans une rixe
La BRI de Toulouse a interpellé un homme mercredi 31 juillet 2019 qui s’était réjoui sur Facebook de la mort du policier Benjamin Quiles tué lors d’une rixe devant une discothèque.

 

3 bis. Toulouse. Il s’était réjoui de l’assassinat d’un policier sur Facebook : la justice a tranché
Un homme de 30 ans a été condamné pour apologie de crime et diffamation, mardi 28 novembre 2019, à Toulouse. Il s’était réjoui de l’assassinat d’un policier en civil sur Facebook.

 

4. Gilets jaunes. L’ingénieur de Toulouse avait dévoilé l’adresse d’une commissaire de police sur Internet
Scandalisé par une vidéo sur Internet, mettant en scène une personne handicapée et une commissaire de police, lors d’une manif des gilets jaunes à Toulouse, l’ingénieur a dérapé.

Grand patron des CRS et suicide empêché

5. Toulouse. Il a menacé sur Twitter le grand patron des CRS et sa famille : un étudiant condamné
En décembre 2018, un jeune étudiant a menacé sur Twitter le directeur central des CRS. Jugé en correctionnel à Toulouse, mercredi 30 janvier 2019, il a été condamné. Détails.

 

6. Toulouse. Il annonce son suicide sur Facebook, la police le localise et vole à son secours
Un internaute de 24 ans avait annoncé son suicide sur Facebook, dans la nuit de dimanche 22 à lundi 23 septembre 2019, à Toulouse. La police l’a localisé à temps pour le sauver.

 

Par : Laurent Derne

 

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Les 50 chiffres à connaître sur les médias sociaux en 2017 

Les 50 chiffres à connaître sur les médias sociaux en 2017  | Toulouse networks | Scoop.it

Chaque année, nous publions un récapitulatif des 50 statistiques clés des réseaux sociaux. Cela permet de faire le point sur les principales forces en présence, pour bien commencer l’année. Pour accéder à tous les chiffres régulièrement mis à jour, rendez-vous sur notre page dédiée : Chiffres réseaux sociaux – 2017.

Les chiffres clés des réseaux sociaux en 2017

Moins d’un humain sur trois utilise les réseaux sociaux. On l’oublie souvent, ces chiffres permettent de remettre en perspective leur usage. En revanche, nous remarquons que le mobile est omniprésent : plus de cinq utilisateurs sur six mobilisent leur téléphone pour accéder aux réseaux sociaux.

  • 2,307 milliards de personnes utilisent les réseaux sociaux
  • Cela représente 31% de la population mondiale
  • 1,968 milliard de personnes accèdent aux réseaux sociaux depuis un mobile
  • Cela représente 85% des utilisateurs des réseaux sociaux
  • 3,419 milliards de personnes sont des internautes
  • Cela représente 46% de la population mondiale

Le top 10 des réseaux sociaux en 2017

Durant l’année 2016, Facebook n’a fait qu’accroître son avance sur ses concurrents. Les autres services de l’écosystème de Mark Zuckerberg ont également le vent en poupe, qu’il s’agisse d’Instagram ou de WhatsApp (non-inclus dans ce classement, car considéré comme une application de messagerie et non un réseau social). Autre remarque : les plateformes asiatiques sont très puissantes.

  • 1,8 milliard d’utilisateurs actifs par mois : Facebook
  • 653 millions : Qzone
  • 600 millions : Instagram
  • 555 millions : Tumblr
  • 317 millions : Twitter
  • 300 millions : Baidu Tieba
  • 222 millions : Sina Weibo
  • 150 millions : Snapchat*
  • 150 millions : Pinterest
  • 106 millions : LinkedIn

* Les chiffres ci-dessus correspondent aux utilisateurs actifs par mois – sauf pour Snapchat, utilisé par 150 millions de personnes chaque jour.

 

Le top 5 des applications de messagerie en 2017

Du côté des plateformes dédiées à la messagerie, force est de constater (aussi) la puissance de Facebook. Messenger et WhatsApp sont les deux seuls services de messagerie à avoir atteint le milliard d’utilisateurs chaque mois.

  • 1 milliard : Facebook Messenger
  • 1 milliard : WhatsApp
  • 860 millions : QQ
  • 650 millions : WeChat*
  • 300 millions : Skype*

* Si les chiffres de Messenger, WhatsApp et QQ sont relativement récents, ceux de WeChat et Skype sont plus anciens et sans doute plus élevés aujourd’hui.

 

Les réseaux sociaux en France en 2017

Et la France dans tout ça ? Comme chaque année, le CRÉDOC a publié son étude de référence au mois de décembre. Réalisée en partenariat avec le CGE, l’ARCEP et l’Agence du Numérique, elle permet de faire le point sur l’usage d’Internet en France. Voici les 5 chiffres à retenir sur les réseaux sociaux.

  • 56% des Français sont membre d’au moins un réseau social
  • 84% des Français de moins de 40 ans utilisent les réseaux sociaux
  • 32% des Français utilisent les messageries instantanées
  • 60% des 12-17 ans utilisent ces plateformes de messagerie
  • Pour 53% des 12-17 ans, les réseaux sociaux sont l’un des deux services dont ils auraient le plus de mal à se passer (avec les films et les vidéos sur Internet)

L’audience des réseaux sociaux en France

Médiamétrie publie régulièrement les statistiques d’usage des sites les plus populaires en France. Deux classements sont réalisés : un premier sur desktop, un second sur mobile (web mobile et applications). Le classement desktop n’est pas très représentatif, car seuls 4 réseaux sociaux sont présents dans le top 50 :

  • 27,4 millions de visiteurs uniques par mois : Facebook (8,4 millions par jour)
  • 25,0 millions de visiteurs uniques par mois : YouTube (4,4 millions par jour)
  • 6,9 millions de visiteurs uniques par mois : Pinterest (500 000 par jour)
  • 5,8 millions de visiteurs uniques par mois : Twitter (600 000 par jour)

Sur mobile, c’est plus intéressant. Voici les réseaux sociaux les plus populaires.

  • 31,2 millions de visiteurs uniques par mois : Facebook
  • 26,0 millions : YouTube
  • 13,6 millions : Twitter
  • 11,9 millions : Instagram
  • 10,1 millions : Snapchat
  • 9,0 millions : LinkedIn

À noter les bons résultats de la plateforme de messagerie WhatsApp, qui accueille chaque mois plus de 9 millions de visiteurs uniques sur mobile en France.

 

Les réseaux sociaux en détail : Facebook

  • 1,8 milliard d’utilisateurs par mois
  • 1,7 milliard d’utilisateurs par mois sur mobile
  • 1,2 milliard d’utilisateurs par jour
  • 17,9 milliard de dollars de chiffre d’affaires en 2015
  • 3,7 milliard de bénéfice en 2015

 

Les réseaux sociaux en détail : Twitter

  • 317 millions d’utilisateurs par mois
  • 80%, c’est le taux d’utilisateurs actifs sur mobile
  • 100 millions d’utilisateurs actifs quotidien (estimation)
  • En France, 55% des utilisateurs sont des hommes
  • En France, 33% des utilisateurs ont entre 16-24 ans (26% entre 25-34 ans)

 

Les réseaux sociaux en détail : Snapchat

  • 150 millions d’utilisateurs par jour
  • 8 millions d’utilisateurs par jour en France
  • 10,1 millions d’utilisateurs par mois en France
  • 71% des utilisateurs ont moins de 25 ans
  • 25-30 minutes en moyenne sur Snapchat par jour

 

Les réseaux sociaux en détail : Instagram

  • 600 millions d’utilisateurs par mois
  • Dont 80% en dehors des États-Unis
  • 300 millions d’utilisateurs par jour
  • 70% des membres français s’y connectent tous les jours
  • 4,2 milliards de Like sont comptabilisés chaque jour

 

Les réseaux sociaux en détail : YouTube

  • 25 millions d’utilisateurs en France sur desktop, 26 millions sur mobile
  • 1 Français sur 2 regarde YouTube tous les jours
  • 48% de 25-49 ans en en France
  • Segments les plus consommés : Musique, Lifestyle, Sport, Bricolage, Comédie
  • 1/3 des acheteurs sur Internet ont vu une vidéo YouTube avant d’acheter

 

Les réseaux sociaux en détail : LinkedIn

  • 467 millions d’inscrits pour 106 millions d’utilisateurs actifs
  • 35% des utilisateurs actifs s’y connectent tous les jours
  • 34% des utilisateurs sont situés aux États-Unis
  • 12 millions d’utilisateurs en France
  • Temps passé sur LinkedIn : 17 minutes par mois
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While We Weren’t Looking, Snapchat Revolutionized Social Networks

While We Weren’t Looking, Snapchat Revolutionized Social Networks | Toulouse networks | Scoop.it

Once known for its disappearing messages, Snap, the parent of Snapchat, has moved into news and, with Spectacles, consumer devices.

 

Snap Inc., the parent company of the popular photo-messaging and storytelling app Snapchat, is having a productive autumn.

A couple of weeks ago, Snap filed confidential documents for a coming stock offering that could value the firm at $30 billion, which would make it one of the largest initial public offerings in recent years. Around the same time, it began selling Spectacles, sunglasses that can record video clips, which have become one of the most sought-after gadgets of the season.

And yet, even when it’s grabbing headlines, it often seems as if Snap gets little respect.

Though Snapchat has overtaken Twitter in terms of daily users to become one of the most popular social networks in the world, it has not attracted the media attention that the 140-character platform earns, perhaps because journalists and presidential candidates don’t use it very much. Snapchat’s news division has become a popular and innovative source of information for young people, but it is rarely mentioned in the hand-wringing over how social media affected the presidential election.

And because Snapchat is used primarily by teenagers and 20-somethings, and it seems deliberately designed to frustrate anyone over 25, it is often dismissed as a frivolity by older people (especially readers of a certain newspaper based in New York who have my email address).

 

 

 

This is all wrong. If you secretly harbor the idea that Snapchat is frivolous or somehow a fad, it’s time to re-examine your certainties. In fact, in various large and small ways, Snap has quietly become one of the world’s most innovative and influential consumer technology companies.


Snap, which is based far outside the Silicon Valley bubble, in the Venice neighborhood of Los Angeles, is pushing radically new ideas about how humans should interact with computers. It is pioneering a model of social networking that feels more intimate and authentic than the Facebook-led ideas that now dominate the online world. Snap’s software and hardware designs, as well as its marketing strategies, are more daring than much of what we’ve seen from tech giants, including Apple.

Snap’s business model, which depends on TV-style advertising that (so far) offers marketers fewer of the data-targeted options pioneered by web giants like Google, feels refreshingly novel. And perhaps most important, its model for entertainment and journalism values human editing and curation over stories selected by personalization algorithms — and thus represents a departure from the filtered, viral feeds that dominate much of the rest of the online news environment.

 
Photo

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Couverture
Kylie Jenner, center, with Tyga, left. Celebrities use Snapchat to give fans access to their lives. Credit Rebecca Smeyne for The New York Times

 

Snap is still relatively small; its 150 million daily user base pales in comparison to Facebook’s 1.2 billion, and its success is far from assured. In its novelty, it can sometimes veer toward the bizarre and inscrutable. And it’s not obvious that all of its advances are positive. (For instance, I’m not sure that it’s always better for our relationships to lose a record of our chats with friends.)

Yet it’s no wonder that Facebook and its subsidiaries appear obsessed with imitating Snap. As a font of ideas that many in the tech industry hadn’t considered before, Snap isn’t just popular, but also increasingly important.

“Regardless of what happens, they’ve reshaped the social media landscape,” said Joseph B. Bayer, a communications professor at Ohio State University who has studied Snapchat’s impact on how people communicate. “They’re making risky moves, trying to rethink what people want online as opposed to taking what’s already been done and adding a new flash.”

Techies value disruption, and it’s difficult to think of another online company that has shuffled the status quo as consistently as Snap has over the past few years.

Before Snapchat, the industry took for granted that everything users posted to the internet should remain there by default. Saving people’s data — and then constantly re-examining it to create new products and advertising — is the engine that supports behemoths like Google and Facebook.

At its founding in 2011, Snap pushed a new way: By default, the pictures posted through Snapchat are viewable for only a short time. At the time, it was a head-scratching idea, one that many assumed was good only for sexting. To the tech industry’s surprise, disappearing messages captivated users who had been afraid that their momentary digital actions might follow them around forever.


Snapchat’s “ephemeral” internet — which has since been imitated by lots of other companies, including, most recently, Instagram — did not just usher in a new idea for online privacy. It also altered what had once been considered a sacred law of online interaction: virality.

Every medium that has ever been popular online — from email to the web to social networks like Facebook — has been pervaded by things that are passed along from one user to another. This is not the case on Snapchat. Though Snapchat has introduced some limited means of forwarding people’s snaps, the short life of every snap means there is no obvious means for any single piece of content to become a viral hit within the app. There are no ice bucket challenges or Chewbacca moms or Macedonian teenagers pushing fake news on Snapchat.

VideoSnapchat on the Ohio State University Attack

Snapchat’s news story about the attack by a knife-wielding assailant at Ohio State University this week.

By SNAP on Publish Date November 30, 2016. Photo by Snap.
 

There is, instead, a practiced authenticity. The biggest stars — even Kylie Jenner — get ahead by giving you deep access to their real lives. As a result, much of what you see on Snapchat feels less like a performance than on other networks. People aren’t fishing for likes and follows and reshares. For better or worse, they’re trying to be real.

The diminution of personalization algorithms and virality also plays into how Snapchat treats news. Snapchat’s primary format is called a Story, a slide show of a user’s video clips that are played in chronological order. This, too, is an innovation; before Snapchat, much online content, from blogs to tweets, was consumed in reverse chronological order, from the most recent to the oldest. Snapchat’s Stories, which have since been widely copied, ushered in a more natural order — start at the beginning and go from there.

A few years ago, insiders at Snapchat noticed that Stories were an ideal vehicle for relaying news. They could be crowdsourced: If a lot of people were at a concert or sporting event or somewhere that breaking news was occurring, a lot of them were likely to be snapping what was happening. If Snapchat offered them a way to submit their clips, it could spot the best ones and add them to a narrative compilation of the event.

While Silicon Valley was shunning editing and curation done by humans, and instead relying on computers to spot and disseminate news, Snapchat began hiring producers and reporters to assemble clips into in-depth pieces.

The company calls these Live Stories, and they have been transformative, unlike any other news presentation you can find online. Every day, Snapchat offers one or several stories about big and small events happening in the world, including football games, awards shows and serious news.

For instance, this summer, while the rest of the media were engulfed by Hurricane Trump, Snapchat’s news team spent days following the devastating floods in Louisiana. That in itself was unusual, but Snap’s presentation was also groundbreaking: Rather than showing the overhead shots or anchor stand-ups that are conventional on TV news, Snapchat offered video from inside people’s houses, from shelters, from schools. It mixed the macrostory of an impending natural disaster and the government’s response to it with the microtragedies of personal loss, and even the lighter moments of humor and boredom in between.


When a knife-wielding attacker went on a rampage at Ohio State University this week, Snapchat’s news story was similarly remarkable. Between scenes of government officials and students describing the attack, there were clips captured by students holed up in classrooms, expressing their fear and sense of bewilderment over what was going on. It wasn’t just an informative story, but it engendered a sense of empathy for its subjects that is rare in the news.

Snapchat has said that it thinks of itself as a camera company rather than a social network. This sounds like marketing puffery (after all, it only just started making its first actual camera, Spectacles), but I think its determination to set itself apart from the rest of the tech industry is important to note.

Snap can free itself from Silicon Valley’s accepted norms because it doesn’t think of itself as just another Silicon Valley tech company. It’s time we all started to see it that way, too.

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How heavy use of social media is linked to mental illness

How heavy use of social media is linked to mental illness | Toulouse networks | Scoop.it

MAY 20th will mark the end of “mental-health awareness week”, a campaign run by the Mental Health Foundation, a British charity. Roughly a quarter of British adults have been diagnosed at some point with a psychiatric disorder, costing the economy an estimated 4.5% of GDP per year. Such illnesses have many causes, but a growing body of research demonstrates that in young people they are linked with heavy consumption of social media. 

According to a survey in 2017 by the Royal Society for Public Health, Britons aged 14-24 believe that Facebook, Instagram, Snapchat and Twitter have detrimental effects on their wellbeing. On average, they reported that these social networks gave them extra scope for self-expression and community-building. But they also said that the platforms exacerbated anxiety and depression, deprived them of sleep, exposed them to bullying and created worries about their body image and “FOMO” (“fear of missing out”). Academic studies have found that these problems tend to be particularly severe among frequent users.

 

Sean Parker, Facebook’s founding president, has admitted that the product works by “exploiting a vulnerability in human psychology”. Indeed, an experiment by five neuroscientists in 2014 concluded that Facebook triggers the same impulsive part of the brain as gambling and substance abuse. Yet it is difficult to prove that obsessing over likes and comments causes mental illness, rather than the other way around. The most convincing effort was a survey that tracked a group of 5,208 Americans between 2013 and 2015. It found that an increase in Facebook activity was associated with a future decrease in reported mental health. 

An obvious solution to the problem is to cut down on screen time. Even the most obsessive users should be able to do so. The neuroscientific study on Facebook found that the subjects’ cognitive ability to inhibit their impulsive behaviour was less impaired than for drug or gambling addicts. And data from Moment, an activity-tracking app, show that it is possible for light social-media consumers to be content. Each week it asks its 1m users whether they are happy or sad with the amount of time they have spent on various platforms. Nearly 63% of Instagram users report being miserable, a higher share than for any other social network. They spend an average of nearly an hour per day on the app. The 37% who are happy spend on average just over half as long. 

The happiness rate is much higher for FaceTime (91%), a video-calling app, and phone calls (84%). When it comes to social networking, actual conversations are hard to beat. 

 

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Le top 5 des innovations de l'année sur les réseaux sociaux

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RÉTROSPECTIVE 2016 - Cette année, les réseaux sociaux, Snapchat en tête, ont apporté de nouvelles fonctionnalités à leurs utilisateurs. Les journalistes social media du Figaro, qui animent les comptes du Figaro sur les réseaux sociaux, ont sélectionné leurs 5 innovations coups de cœur de 2016.

 

1. L'arrivée de Memories sur Snapchat

Pour commencer notre top 5, il est impossible de ne pas parler de Snapchat. L'année 2016 a vu l'application donner le ton des innovations, les autres réseaux sociaux se contentant souvent de s'inspirer fortement de ces changements. Notre cœur a fondu quand Snapchat a annoncé l'arrivée de Memories. Voilà un outil qui a grandement facilité les résumés de l'actu que nous proposons chaque jour (pour nous suivre, c'est par ici https://www.snapchat.com/add/lefigarofr). Cette fonctionnalité permet d'ajouter à une story une photo ou une vidéo qui a été enregistrée au préalable sur le smartphone. Elle permet aussi de prendre une photo ou une vidéo avec Snapchat puis de la diffuser à un moment ultérieur.

 

2. Les ciseaux sur Snapchat

Notre deuxième coup de cœur sur Snapchat est une fonctionnalité récente. La fonction «ciseaux» est progressivement déployée depuis le 13 décembre. Elle permet de découper n'importe quel élément d'une image et de le remettre sur cette image. On n'est pas loin des collages qu'affectionnaient les surréalistes!

 

3. La fin des 140 caractères sur Twitter

Sur Twitter, la fin des 140 caractères a éclairé notre quotidien de twittos. En septembre, Twitter a annoncé un assouplissement de cette règle. Désormais, les photos, les vidéos, les GIFs, les questions et les tweets cités ne sont plus pris en compte pour cette limite, qui a fait la notoriété (et le succès?) du réseau. Twitter compte 310 millions d'utilisateurs dans le monde.

 

4. De nouveaux emojis

En juin, le service de messagerie Messenger a annoncé le déploiement de nouveaux emojis. Avec ces 1200 nouvelles émoticônes, Messenger se veut «plus représentatif du monde dans lequel nous vivons». Plusieurs couleurs de peau sont désormais disponibles, ainsi que plusieurs options de genre. La représentation des femmes évolue, avec plus de choix de métiers. Selon le service de messagerie, près de 10 % des échanges sur mobile contiennent des emojis. Ces emojis ne sont pas particuliers à la plateforme, mais ils se retrouvent sur tous les smartphones.

 

5. L'arrivée des stories sur Instagram

Même nom, même fonctionnalité: avec l'annonce de l'arrivée d'Instagram Stories, beaucoup d'internautes ont crié au plagiat de Snapchat.

On en parle d'Instagram qui lance sa copie des stories de Snapchat ?

 

Avec cette nouvelle fonction, les utilisateurs sont invités à personnaliser leurs photos à l'aide de texte ou de crayons. Instagram a depuis rajouté la possibilité d'ajouter des autocollants dans les stories. Les internautes se sont rapidement emparés de ces stories, produisant un contenu original et propre à la plate-forme. Même Michelle Obama s'en sert, pour y diffuser des initiatives de la Maison-Blanche.

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Les rediffusions bientôt payantes sur Snapchat

Les rediffusions bientôt payantes sur Snapchat | Toulouse networks | Scoop.it
Snapchat a annoncé la possibilité de payer pour trois rediffusions de messages pour 0,99 dollars.

Avec des nouvelles levées de fonds, Snapchat est continuellement à la recherche de nouveaux moyens de monétiser ses services. Outre les publicités dites « cools » Snapchat va également demander quelques dollars à ceux souhaitent avoir des rediffusions de snaps. Cette option est jusque-là gratuite, mais seulement pour une seule rediffusion par jour.

Un système « parfois frustrant pour les utilisateurs qui reçoivent beaucoup de snaps chaque jour méritant une rediffusion » estime le groupe,  sur le blog officiel. Afin d’y remédier et de récolter quelques deniers au passage, Snapchat va proposer d’acheter des rediffusions supplémentaires avec le prix de 0,99$ pour trois rediffusions. « Elles sont un peu coûteuses, mais le temps c’est de l’argent! » commente la start-up. Le système est en revanche sous certaines conditions, il n’est pas possible pour revoir trois fois le même message.

  

Une nouvelle fonction pour les selfies

Toujours soucieux de séduire sa clientèle majoritairement jeune, Snapchat va également introduire une nouvelle fonctionnalité pour les selfies. Intitulée Lenses, elle aura pour but de rajouter des effets spéciaux, avec la possibilité de se vieillir, de se transformer en cyborg, de vomir un arc-en-ciel, ou d’autres fantaisies. Un procédé qui n’est pas sans rappeler PhotoBooth d’Apple.

Autre nouveauté, Snapchat introduit un système de trophées, qui n’est pas sans rappeler ce qui se fait sur consoles  de jeux. Les utilisateurs seraient donc récompensés selon leurs activités sur l’application. Par exemple en envoyant 10 snaps avec la torche. Les utilisateurs ne recevront pas de notifications, ils devront regarder régulièrement dans une salle de trophées .

  

De nouvelles façons de penser et de monétiser

Valorisé à 15 milliards de dollars, Snapchat va progressivement introduire des nouvelles fonctionnalités qui seront payantes.Les principaux revenus devraient surtout venir de la publicité. Le groupe espère ainsi récolter 50 millions de dollars cette année.

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