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#Neobanque : Payname devient Morning pour révolutionner la banque en France 

#Neobanque : Payname devient Morning pour révolutionner la banque en France  | Toulouse networks | Scoop.it
Payname change de nom et devient Morning. Une nouvelle identité qui sera déployée dès lundi pour accompagner le changement de positionnement de la startup toulousaine qui devient une néobanque du quotidien, plus proche des attentes et des besoins des consommateurs. 

Depuis 18 mois, la startup toulousaine Payname s’est imposée sur le marché du paiement entre particuliers. Depuis l’obtention de son agrément bancaire en juillet 2015, “le premier accordé en province” précise Eric Charpentier, fondateur de Payname, la jeune pousse préparait son évolution, ou plutôt sa révolution. Avec cet agrément bancaire, qui permet de tout faire comme les gros acteurs traditionnels, mais différemment, pourquoi se priver de mettre un coup de pied dans la fourmilière ? « Nous pensons que les gens ont envie d’un autre type de banque : que ce soit un endroit où on dépose notre argent en sécurité, où on nous donne les moyens de financer nos projets », nous expliquait le fondateur il y a quelques semaines.

Morning, une nouvelle idée de la banque

C’est désormais chose faite. A compter de septembre, Payname devient Morning et propose aux Français, dans un premier temps, non pas une nouvelle banque mais une nouvelle expérience pour gérer son argent. Eric Charpentier aurait bien aimé rayer le mot banque de son vocabulaire. Mais force est de constater qu’il s’agit du seul qui soit assez parlant pour le grand public. Comment décrire son activité sans l’utiliser ? Plutôt que de tout balayer, Payname se proclame donc comme une « néobanque », comprenez une banque plus proche des attentes des consommateurs.

 

“ Aujourd’hui on ne vend pas un produit, on propose une expérience “

Eric Charpentier

 

Gratuite, facilement personnalisable, plus agile, plus en phase avec les usages collaboratifs, Morning recèle de fonctionnalités dont le consommateur n’aurait même pas osé rêver : mais aussi le paiement entre amis, un compte et une carte entièrement pilotables (choix de son code pin, capacité de bloquer son compte pour éviter de dépasser une certaine somme, possibilité de bloquer temporairement sa carte en cas de perte ou de vol etc.)… Pour se rémunérer, Morning compte sur l’offre professionnelle et sur les frais qui y seront liés, mais ne fera en aucun cas travailler l’argent de ses clients. “Nous voulons revenir à la banque originelle, nous n’avons pas vocation à ce que l’argent parte sur des marchés douteux. Nous ne voulons pas nous faire de l’argent sur l’argent des utilisateurs”, explique Eric Charpentier.

Pour recruter (Morning vise 15 000 cartes d’ici la fin de l’année), la néobanque ne mise pas sur une prime de 80 euros ou sur la gratuité des frais bancaires, elle mise avant tout sur son adéquation aux attentes des consommateurs. Premier acteur non bancaire indépendant à proposer un nouveau modèle de banque, Morning s’appuie sur une licence Mastercard mais a développé ses propres systèmes d’information, une condition sine qua non de la réussite pour Eric Charpentier qui compare sa société à Free “Free a dû créer son propre réseau, s’il s’était adossé à Orange pour mener sa révolution, personne ne l’aurait compris“.

 

Maddyness, partenaire média de Payname.

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Un nouveau jour pour Payname et… pour la banque ! 

Un nouveau jour pour Payname et… pour la banque !  | Toulouse networks | Scoop.it

Le 3 juin prochain, l’équipe annoncera le nom de sa nouvelle marque, lors de l’inauguration du Toaster, Campus connecté à la campagne. Une nouvelle marque qui précise un peu plus l’arrivée d’un nouveau modèle bancaire.

 

Du paiement à la néobanque…

Pourquoi changer de nom ?

Voilà une question que vous vous posez surement. Et bien la réponse est simple : Payname, acteur du paiement en France, va devenir unenéobanque. Axé sur le paiement en ligne à ses débuts, le projet prend aujourd’hui une autre ampleur avec une équipe de plus de 40 personnes qui a l’ambition de construire un nouvel acteur bancaire indépendant.

Payname est un nom très rattaché au secteur du paiement. Autrefois annoncé comme le Paypal français, le projet prend une nouvelle direction pour devenir un acteur bancaire indépendant. Nous souhaitons vous offrir une expérience nouvelle de la banque. Il est donc important que cette nouvelle marque représente au mieux l’identité, les valeurs, l’équipe et le champ de légitimité de la startup qui ne vend pas un produit mais propose un nouveau paradigme de la banque.

Qu’est-ce qu’une néobanque ?

Banques traditionnelles, banques en ligne, et maintenant néobanque, quelles sont les différences entre tous ces acteurs ?

  • La banque traditionnelle est la banque historique, celle dans laquelle vous avez votre compte courant, un crédit et votre livret A, par exemple. Elle dispose également d’un réseau d’agences physiques.
  • La banque en ligne est une structure dématérialisée, présente sur internet, avec un portail web qui permet de réaliser ses opérations depuis un ordinateur. Une déclinaison pour mobile et tablette est parfois comprise dans l’offre. Derrière chaque banque en ligne, on trouve une banque traditionnelle. La banque en ligne est, en quelque sorte, un nouveau canal de vente pour les banques traditionnelles.
  • La néobanque propose des services financiers qui sont réalisés par l’intermédiaire d’une application web ou mobile. Les services sont imaginés pour répondre au mieux aux demandes d’un client mobile, qui n’a pas forcément accès à un ordinateur immédiatement. Une carte de crédit est mise à disposition pour régler ses achats à tout moment. La néobanque dispose d’un service amélioré en instantanéité, en flexibilité, en ergonomieet en interactions entre le client et sa banque. Il est possible d’ouvrir un compte en quelques minutes, recevoir une notification à chaque achat ou retrait, bloquer ou débloquer sa carte depuis son mobile, etc. Aujourd’hui,les néobanques reposent souvent sur un partenaire bancaire traditionnel.
Pourquoi notre néobanque sera t-elle encore plus innovante ?

  1. Un système d’information propre

Là où les néobanques s’appuient sur des partenaires bancaires, nous restons totalement indépendants pour vous proposer une véritable innovation car, pour innover, il est nécessaire de sortir du système de valeurs traditionnels. Ce fonctionnement permet une transparence totale à l’égard de nos utilisateurs et des services à moindre frais, voire gratuit. Ce nouveau système d’information offre une souplesse et une agilité que n’ont pas les banques traditionnelles. Ainsi, nous sommes en capacité de répondre aux mêmes exigences de sécuritéqu’impose la Banque de France aux établissements financiers (CIB 16768). Ce type de modèle a également l’avantage de décorréler les services bancaires de la finance spéculative pour aller vers un nouveau paradigme de la banque.

  1. Le cobanking pour répondre aux nouveaux usages collaboratifs

Pionnier du cobanking, nous décryptons ces usages bancaires appliqués au domaine du collaboratif, depuis juin 2015, avec le lancement de la premièrerevue du cobanking. Accessible sur ordinateur comme sur smartphone, la néobanque qui facilite et sécurise les échanges entre particuliers (cagnotte, achat d’occasion…) et revisite en même temps les usages habituels d’un compte de paiement (RIB, prélèvement, virement) deviendra réalité dès octobre 2016. Vous pourrez également disposer d’une carte de paiement gratuite entièrementmodulable et aux fonctionnalités nouvelles.

  1. La co-création des services

Toujours dans un souci de transparence et d’innovation pragmatique, ce nouveau modèle est pensé par les gens eux-même et non par des banquiers. Tous les mois nous retrouvons des personnes, utilisatrices ou non des services, sous la forme des Cafés du cobanking, pour imaginer la banque de demain, échanger sur leurs besoins, leurs attentes, leurs envies, tester les prototypes, etc. À Paris, à Toulouse ou à Saint-Élix-le-Château, en entretien individuel ou en échange collectif, ces rencontres façonnent petit à petit un nouveau modèle bancaire qui nous ressemble. Du 4 mai au 1er juillet, nous nous lançons également dans l’aventure du crowdtesting, un moyen efficace d’impliquer les premiers intéressés, de construire un modèle au plus proche des gens, de perfectionner l’expérience utilisateur, de donner des pistes d’amélioration… Nous vous invitons à nous rejoindre dans Le Garage de Bob pour apporter votre pierre à la révolution bancaire : https://blog.payname.fr/2016/04/zagatub/

  1. Un projet sociétal durable

Notre philosophie repose sur la volonté de redonner du sens à l’économie, de l’autonomie et de la transparence aux consommateurs dans le pilotage de leur argent. En nous installant au pied des Pyrénées, nous prenons le contre-pied des banques traditionnelles, pour nous inscrire dans un territoire et rester au plus proche de nos valeurs d’authenticité, de pragmatisme et de partage. L’équipe construit un projet durable à travers la construction d’un système d’information indépendant, de nouvelles méthodes de management, la création d’une équipe cycliste et d’un Campus à la campagne.

Ce dernier voit le jour avec une première réalisation : le Toaster, le bâtiment plus connecté du sud toulousain (équipé Cisco Meraki). Notre Happiness Driverassure, entre autres, l’accompagnement de la mobilité autour du Campus avec une flotte de voitures électriques pour assurer une desserte cadencée entre Toulouse et Saint-Élix-Le-Château pour notre équipe de X-Men !

Nous souhaitons développer un véritable quartier qui favorise une économie collaborative visant à faire coïncider la dynamique d’une start-up avec le développement d’un territoire mais également les besoins d’équipement et de services des habitants.

Rendez-vous le 3 juin à l’inauguration du Toaster ou sur les réseaux sociaux pour découvrir toutes ces nouveautés !

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Les 10 fintechs qui comptent à Toulouse

Les 10 fintechs qui comptent à Toulouse | Toulouse networks | Scoop.it

Éric charpentier, fondateur de la société Payname

 

 

 

Ces startups sont spécialisées dans les flux monétiques, les solutions dédiées au e-commerce, le crowdfunding ou encore l'achat de bitcoins. Leur point commun ? Elles sont basées à Toulouse et dans sa région. Alors que La Tribune Toulouse organise le Forum Fintech Innovation le 22 mars aux Espaces Vanel de la Médiathèque José Cabanis, à Toulouse, zoom sur les dix fintechs locales qui comptent.

  

 

"La région abrite pas mal de pépites", se réjouit Anton Bielakoff, directeur général de Lyra Network. Certaines, à l'image dePayname, se positionnent comme de véritables banques en ligne. D'autres, comme Wiseed, ont développé des plateformes de crowdfunding. Ces startups implantées à Toulouse et dans sa région font partie d'un seul et même écosystème : celui des fintechs. Chacune d'entre elles, à sa manière, se positionne en complémentarité, en alternative ou en concurrence frontale face aux acteurs traditionnels de la banque et de l'assurance. Et leur situation géographique, loin de Paris, peut constituer un atout, selon le fondateur de Payname, Éric Charpentier.

"Créer une fintech en province, c'est aller là où on ne vous attend pas. On est en dehors du petit microcosme parisien. On passe en-dessous des radars. Nous, avec notre régulation et notre levée de 5 M€, personne ne nous a vu venir ! C'est très confortable."

Mais si elles forment un écosystème, ces startups n'en sont pas pour autant rassemblées sous une même bannière. "La filière fintech régionale n'est pas structurée, bien que nous nous connaissions tous, explique Frédéric Honnorat, président exécutif de la société toulousaine Bankapart. Il serait intéressant que nous nous rassemblions." Cette structuration,Christophe Nicot, directeur général de l'agence de développement économique régionale Madeeli, l'appelle aujourd'hui de ses vœux.

"La masse critique pourrait être suffisante pour justifier la création d'un cluster, estime-t-il. Cette structure pourrait rassembler à la fois les banques, les compagnies d'assurance, les gestionnaires de fortune, les avocats spécialisés, les experts en propriété intellectuelle, les structures de financement, les écoles, mais aussi les startups. Est-ce qu'une telle structure vivra avec ou sans label public ? Au fond, peu importe. L'important, c'est que les projets sortent."

 

Payname veut réinventer la banque

C'est la fintech toulousaine par excellence. Celle dont tout le monde parle. Fondée en 2013 par Éric Charpentier, la sociétéPayname, qui a levé 5 millions d'euros l'an dernier, se rêve aujourd'hui en banque nouvelle génération. Son objectif ? Atteindre les 100 000 clients fin 2016.

 

Lyra Network surfe sur le e-commerce

Spécialisée dans la sécurisation des flux monétiques entre les terminaux de paiement et les banques (60 % du marché français), mais aussi dans les plateformes de paiement pour les sites de e-commerce (20 % du marché français), la société compte 160 salariés. Ils sont répartis entre son siège toulousain et ses filiales au Brésil, en Allemagne, en Inde, au Chili et en Espagne. L'export représente aujourd'hui 30 % de son chiffre d'affaires, qui se porte à 50 millions d'euros.

 

Wiseed, roi de l'équity crowdfunding

Depuis le lancement de la plateforme toulousaine d'equity crowdfunding en 2008, 60 000 "wiseeders" ont financé au total 103 projets pour un montant cumulé de 40 millions d'euros. "Notre modèle consiste à proposer à des particuliers d'investir en actions et en obligations dans des projets en recherche de fonds", résume Stéphanie Savel, la présidente de la société de 34 salariés.

 

PrêtStory mise sur le prêt participatif

Fondée en juin 2015, la société PrêtStory compte aujourd'hui quatre salariés. Sa spécialité ? Le crowdlending, ou prêt participatif. La startup tarnaise, dirigée par Serge Rouanet, vise les 200 000 euros de chiffre d'affaires cette année.

 

Yenni, au service de la santé des Sénégalais

Fondée fin 2014 à Toulouse par Lassina Gbakalé, la société Yenni a développé un service de paiement par carte prépayée ou rechargeable dédié aux frais de santé. Un service qui s'adresse "aux Sénégalais de l'intérieur et à la diaspora sénégalaise". Yenni compte à ce jour deux salariés.

 

Lymo finance les projets immobiliers

Plus de 3 millions d'euros investis dans douze projets : c'est le premier bilan de cette startup toulousaine fondée en 2013 par Gilles Roucher, Jean-Baptiste Vayleux et Damien Truchard. Lymo, qui compte Bouygues Immobilier parmi ses actionnaires minoritaires, prévoit cette année une vingtaine de projets en financement.

 

Bankapart redonne aux réseaux leur "indépendance financière"

Si le projet est en développement depuis plus d'un an, la startup, elle, n'a été fondée que fin 2015. Implantée au sein de l'IoT Valley, à Labège, la société déploie un concept de community banking, offrant la possibilité aux communautés d'entreprises, et notamment aux franchises, de "remettre l'argent au service de leur stratégie en développant leur propre service de financement", explique son président exécutif, Frédéric Honnorat.

 

BuyBox, e-carte cadeau et cagnotte en ligne

La société toulousaine BuyBox, dirigée par Aria Ardalan et Marc Guedj, déploie une technologie de e-carte cadeau et de paiement à plusieurs en marque blanche. Elle s'adresse à la fois aux marques et aux e-commerçants. La société de dix salariés, fondée fin 2010, souhaite lever des fonds cette année pour accompagner sa croissance.

 

Pick & Boost, le financement participatif des territoires

Son champs d'action : l'économie sociale et solidaire. Ses valeurs : l'utilité sociale, la coopération, l'ancrage local et l'éco-responsabilité. Fondée en 2014 à Montauban par Florient Scipion, la société Pick & Boost a lancé une plateforme de financement participatif permettant l'émergence d'initiatives territoriales. La startup compte atteindre un chiffre d'affaires de 100 000 euros cette année.

 

Ecobole permet de financer les projets environnementaux

Basée à Fronton, la startup devrait prochainement déménager son siège social en Bretagne. La société fondée fin 2012 a développé une plateforme de financement participatif entièrement dédiée aux projets environnementaux. 43 campagnes ont d'ores et déjà été financées.

 

 

 

@ALeoty

Jacques Le Bris's insight:
Le Forum Fintech Innovation à Toulouse le 22 mars

La Tribune Toulouse organise le Forum Fintech Innovation Toulouse le 22 mars aux Espaces Vanel de la Médiathèque José Cabanis, à Toulouse, de 8h30 à midi. Une matinée de prospective, d'échange et d'analyse pour réfléchir aux enjeux de la révolution fintech. Plus de 400 acteurs de la vie économique et politique sont attendus.

Inscriptions ici

 

 

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Éric Charpentier, Payname : "Objectif : 100 collaborateurs dans notre campus d'ici à deux ans"

Mise en ligne le 21 déc. 2015

Il fait partie des acteurs très "disruptifs" de la génération FinTech. Éric Charpentier, fondateur de la société Payname, revient sur le parcours de son entreprise et sur ses ambitieux projets. Interview vidéo.

 

La société, qui se présente comme "la future banque en ligne que nous aurons tous demain", est la première startup à avoir obtenu l'agrément bancaire par l'autorité de contrôle des banques. "Nous attaquerons les marchés européens dans un second temps", annonce Éric Charpentier. Payname a déjà réalisé trois levées de fonds, dont la dernière, en 2015, d'un montant de 5 millions d'euros. La startup, qui table sur 20 recrutements en 2016, construit actuellement son futur campus à une trentaine de kilomètres au sud de Toulouse, dans le Volvestre. Elle s'y installera en mai 2016. La startup a remporté le prix "Nouvelle économie" lors de la soirée Biznext organisée en décembre dernier par La Tribune Toulouse.

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Campus Payname : première pierre posée

Campus Payname : première pierre posée | Toulouse networks | Scoop.it

Après sa levée de fonds de 5 M€ en septembre 2015 et l’entrée à son capital du groupe La Dépêche, Payname a posé la 1ère pierre de son futur campus à Saint-Elix-le-Château, au sud de Toulouse.

  

Payname continue sur sa belle lancée : son patron et fondateur, Eric Charpentier avait été élu « Homo Numericus » de l’année lors des Trophées de l’Economie Numérique en juin (voir ici), l’entreprise avait décroché en juillet son agrément d’établissement de paiement (1ère fintech de province à l’obtenir, voirici), levé 5 millions d’euros en septembre (voir ici), accueilli le Groupe La Dépêche dans son capital…

  
Lundi 19 octobre, elle posait la première du Campus Payname, à Saint-Elix-le-Château (arrondissement de Muret) et recevait les félicitations de Martin Malvy, Président de Midi-Pyrénées, en ces termes : « Je tiens à saluer la naissance de ce campus qui va dans le sens des politiques régionales que nous menons notamment à travers le plan Très Haut Débit pour le développement du numérique partout et dans tous les territoires de Midi-Pyrénées. Aujourd’hui, avec ce campus à Saint-Elix-le-Château, la preuve est faite et la dynamique est en marche ! ». 


MID e-news

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Payname lève 5 millions d'euros

Payname lève 5 millions d'euros | Toulouse networks | Scoop.it

La sartup toulousaine vient comme annoncé de mener à bien une levée de fonds de 5 M€ auprès de l’investisseur MAIF Avenir.

  

Comme cela avait été annoncé dans MID e-news le 31 août 2015 (voir ici), la startup toulousaine Payname vient de mener à bien une levée de fonds de 5 millions d’euros, réalisée avec l’investisseur MAIF Avenir. Comme Cozynergy (voir l’article ici), qui vient d’annoncer une acquisition (l’entreprise montpelliéraine ECOSISTEMS) et l’ouverture d’une agence à Paris après avoir levé 1 M€ en 2014, Payname s’était intégré au programme Starter créé par La Mêlée.

MID e-news

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Payname la fintech française à la croissance insolente

Payname la fintech française à la croissance insolente | Toulouse networks | Scoop.it

La FinTech française Payname trouve écho auprès des particuliers grâce à un éventail de "sécurité" que n'offre pas ses concurrents comme l'américain Paypal basé au Luxembourg, comme la déclaration automatique à l'URSAFF pour les services à la personne ,paiements sécurisés, paiement à la livraison, paiement en 3 fois, création de cagnottes gratuites ou encore support téléphonique pour tout aide !

 

Fintech : définition

Les FINTECHS sont des entreprises qui travaillent dans la finance et qui s'appuient sur la dérèglementation du secteur. Son PDG a été invité lors de la première séance de travail Jeudigital  à Bercy avec Monsieur le Ministre Emmanuel Macron et Axelle Lemaire Secrétaire d'Etat chargée du Numérique .

 

 

 
Payname est aujourd'hui le leader des Fintech françaises, ce secteur de la nouvelle économie entre finances et technologie et offre des services encore jamais vu à savoir :

  1. déclaration complète et automatique à l'URSAFF pour les services à la personne (bulletin de salaire + cotisations + crédit d'impôt), 
  2. paiements d'artisants sécurisés (plus de chèque en bois, plus de liquide),
  3. paiement des loyers (assistance juridique, caution ...) 
  4. paiement à la livraison (services possible sur Ebay ou leboncoin.fr ...), 
  5. paiement en 3 fois et garantis,
  6. création de cagnottes gratuites,
  7. organisation comptable pour les Associations
  8. avec un support téléphonique pour tout aide !

Dans ses conditions, Payname est un succès et gagne de nouveaux adèptes chaque jour : 

 

 



Pour faire face à cette croissance soutenue, la start up fait construire ses nouveaux bureaux dans le sud de Toulouse pour un coût de un million d'euros.

 

Payname entend recruter 10 personnes d'ici la fin de l'année 2015 : à vos C.V. !

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La start-up toulousaine Payname déjà prête à concurrencer Paypal

La start-up toulousaine Payname déjà prête à concurrencer Paypal | Toulouse networks | Scoop.it

Eric Charpentier, créateur de Payname, et son équipe, à l’assaut du marché des nouveaux mode de consommation.

 

Grâce à sa deuxième levée de fonds, la start-up d'Eric Charpentier poursuit son développement. Elle recentre aujourd'hui son activité autour des paiements entre particuliers, notamment pour des plateformes d'échange comme Leboncoin.fr.

Payname vient d’opérer sa deuxième levée de fonds pour un montant total de 500.000 euros. Sur cette somme, 200.000 euros ont été réunis grâce à la plateforme toulousaine de financement participatif Wiseed ; pour le reste, deux nouveaux investisseurs sont entrés au capital de la start-up. L’entreprise est désormais hébergée par la communauté urbaine de Toulouse Métropole, au deuxième étage de la Cantine, et compte une dizaine de salariés. « Nous couvrons aujourd’hui tous les métiers dont nous avons besoin, dont l’essentiel le support utilisateurs. La levée de fonds va nous permettre de financer l’extension de notre équipe et assurer notre structuration », indique Eric Charpentier, son créateur.


Un recentrage sur les particuliers

L’activité de l’entreprise est aujourd’hui recentrée sur l’ensemble des paiements entre particuliers et s’adapte aux nouveaux modes de consommation. « Les personnes peuvent toujours régler, grâce au site, les services à domicile ou payer une facture, mais nous avons ajouté à ce panel le règlement d’achats effectués en ligne via des plateformes type Leboncoin.fr, en sécurisant la transaction qui ne sera payée effectivement qu’à réception du colis. Nous sommes partis du constat que 80% des Français effectuent des échanges entre particuliers, mais que dans le même temps 40% d’entre eux étaient angoissés au moment du paiement », détaille Eric Charpentier. La plateforme intègre également le paiement des loyers et celui des petites cagnottes réalisées entre amis.

Payname prélève une commission de 1,9% sur les transactions pour se rémunérer. « Nous sommes moins chers que Paypal », s’amuse Eric Charpentier. La solution se dédie également aux professionnels et notamment aux associations, qui peuvent ainsi recueillir plus simplement les cotisations annuelles, ou aux artisans qui ont la possibilité de garantir les paiements de leurs prestations en amont.
L’entreprise envisage, fin 2015, de partir s’installer dans les terres d’Eric Charpentier, dans des locaux spécialement aménagés pour Payname avec une ouverture économique et sociale sur son environnement.
Agnès Frémiot

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Payname sécurise le paiement mobile entre particuliers - Orange Professionnels

Payname sécurise le paiement mobile entre particuliers - Orange Professionnels | Toulouse networks | Scoop.it
Payname, une start-up toulousaine, se lance sur le créneau des transactions sécurisées entre particuliers.

Le foisonnement de nouvelles solutions de paiement en mobilité a prouvé qu'il ne suffit pas d'être innovant pour s'imposer. Encore faut-il répondre à un nouvel usage auquel les moyens de paiement existants ne sont pas adaptés. C'est de ce constat qu'est née Payname, une start-up toulousaine dédiée aux transactions sécurisées entre particuliers.

Spécialiste des services à la personne, son fondateur et PDG, Eric Charpentier, a imaginé une application mobile et un site qui permettent de payer d'un clic des services du quotidien, comme le ménage ou la garde d'enfants, mais aussi de gérer les déclarations auprès de l'Urssaf et le règlement des cotisations sociales. « Bien souvent, ce type de prestations n'est pas déclaré du fait des lourdeurs administratives. Ce frein est levé », souligne Eric Charpentier.

150.000 utilisateurs visés

La start-up se rémunère avec une commission de 1,9 % par transaction. L'application compte plus de 40.000 utilisateurs et en vise 150.000 à fin 2014. Pour atteindre son objectif, Payname vient d'ajouter à son application une fonction de paiement intégrant les mêmes garanties que sur un site d'e-commerce. Elle permet ainsi à l'acheteur de n'être débité qu'à réception de son colis et de régler en trois fois sans frais. Pour le vendeur, le paiement est garanti à l'expédition du produit.

En 2013, la start-up a levé 300.000 euros avec le soutien de Denys Chalumeau, fondateur de SeLoger.com, et compte, pour accélérer son développement, boucler cette année un second tour de table de près de 1 million d'euros, dont 500.000 euros en « crowdfunding ». Elle est déjà partie en campagne auprès des acheteurs et vendeurs les plus actifs sur les sites d'annonces, comme Leboncoin.fr.

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En Midi-Pyrénées, la nouvelle génération fait bouger les lignes

En Midi-Pyrénées, la nouvelle génération fait bouger les lignes | Toulouse networks | Scoop.it


"50 jeunes qui font bouger Toulouse" 


Midi-Pyrénées est la région la plus attractive pour les jeunes. À Toulouse, comme dans toute la région, la nouvelle génération fait bouger les choses. Le dernier numéro d’Objectif News, actuellement en kiosque, fait la part belle aux jeunes talents de Midi-Pyrénées ! 50 personnalités de moins de 40 ans, qui incarnent cette génération, ont été sélectionnées par la rédaction.

Amélie Kauffer, Thomas Salomon et Baptiste Tignol n’ont pas eu peur de la crise. Tout juste sortis de l’école de commerce, ils ont lancé Cocorico il y a quelques mois. Un pari en forme de défi à la morosité et au pessimisme ambiants. Comme eux, nombreux sont les jeunes de Midi-Pyrénées qui apportent des idées nouvelles.

Une région attractive pour les jeunes
La région donne sa chance aux jeunes. Une tendance confirmée par les chiffres. Selon la dernière enquête réalisée par l’Insee, Midi-Pyrénées est proportionnellement la plus attractive des régions françaises pour les jeunes de 18 à 24 ans, avec un taux de migration net très élevé, loin devant l’Île-de-France. Sur la période 2001-2006, chaque année, pour 10 000 jeunes de 18-24 ans présents en Midi-Pyrénées, 156 s’installaient sur notre territoire. Les jeunes de moins de 40 ans représentent 70 % des nouveaux arrivants, et Toulouse, bien sûr, reste le centre d’attraction. Étudiants et jeunes diplômés s’y installent.

Jeunes entrepreneurs sans peur et plein d’idées
Tous les secteurs de l’économie sont concernés mais la nouvelle génération se distingue particulièrement dans le domaine des nouvelles technologies. Aurore Beugniez, cofondatrice de MyFeelBack, et Éric Charpentier, président de Payname, en sont de parfaits exemples. La TIC Valley et son camping sont aussi un vivier important de jeunes entrepreneurs. Avec ces bouleversements technologiques et la persistance de la crise, les méthodes de management évoluent aussi et les jeunes dirigeants adoptent de nouvelles stratégies qu'ils ont réussi à adapter à leurs secteur d'activité ou la taille de leur entreprise. De jeunes manageurs que l'on retrouve également à la tête de projets structurants ou de missions de développement économique en Midi-Pyrénées.

Ses écoles et ses laboratoires sont autant de fabriques de talents, et leur réputation est grandissante. Pour Guillaume Plantin, professeur à TSE et membre du Conseil d’analyse économique, Toulouse "a les moyens de concurrencer les grands écoles anglaises et américaines". Dans ce numéro, de nombreux chercheurs ont également été mis en lumière autour de l’économie, du management et de l’innovation, qu’elle soit médicale ou environnementale. Membres du CNRS, de l’Inserm, de TSE ou de TBS, ils incarnent la réussite régionale dans leurs domaines respectifs.

La jeunesse s'est également approprié les débats de société. Élus, avocats, architectes, ils contribuent à ancrer Midi-Pyrénées dans la modernité. Une erreur s’est d’ailleurs glissée dans le magazine puisque la jeune avocate que nous avons choisi de mettre en lumière, Jennifer Cambla, n’a que 29 ans et pas 44 ans comme indiqué !

Paul Périé

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Social Meet Up - Payname

La mêlée, Le groupe la Poste et SFR vous présentent Social Meet Up : La Contagion des Pratiques Collaboratives ou Le Numérique Citoyen. Présentation de Payname.

 

Le toulousain Payname, qui propose une solution pour déclarer, assurer et payer en un clic les services entre particuliers, a décroché le 5 juin le Prix Coup de cœur du Sicoval à l’occasion des Trophées de l’Economie Numérique 2013.

Jacques Le Bris's insight:

Le site payname :

https://www.payname.fr/

 

Son Twitto :

https://twitter.com/pay_name

 

 

 

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Compte sans banque : Morning sera-t-il le Number26 français ?

Compte sans banque : Morning sera-t-il le Number26 français ? | Toulouse networks | Scoop.it

Trois ans après son lancement, Payname se métamorphose. L’établissement de paiement toulousain va en effet se lancer, en octobre prochain, sur le marché du compte et de la carte de paiement. Pour l’occasion, il change de nom et devient Morning. Son fondateur et CEO, Eric Charpentier, nous dévoile ses ambitions.

 

Good bye Payname, hello Morning !

 

A l’occasion de l’inauguration de son nouveau siège, le Toaster, installé dans la campagne toulousaine [voir encadré], la fintech Payname a dévoilé ce soir sa nouvelle marque, Morning. Un nom taillé pour l’international, qui marque symboliquement l’entrée de la fintech de 50 salariés dans une nouvelle ère : celle de la « néo-banque ».

Relativement peu connu - « personne ne nous a vu venir ! » s’exclame Eric Charpentier avec une pointe de fierté - Payname est une spécialiste des paiements entre particuliers : pour les services à la personne, d’abord, dans sa version initiale d’avril 2013. Puis, plus récemment, pour régler en trois fois, avec suivi de courrier, ses achats sur LeBonCoin, payer son loyer ou constituer une cagnotte en ligne. Des services aux usages encore balbutiants en France, mais suffisamment prometteurs pour convaincre plusieurs investisseurs, notamment la Maif, d’y investir quelques millions d’euros. De l’argent frais qui a permis de passer à l’étape suivante.

 

« Réveiller la banque »

Le déclic intervient en juillet 2015. Avec seulement 4 salariés à l’époque, sans expérience bancaire, Payname parvient à décrocher une licence d’établissement de paiement. « On a découvert alors qu’on pouvait tenir des comptes et distribuer des moyens de paiement », se souvient Eric Charpentier. L’idée germe, celle de créer cette fameuse « néo-banque ». « Les banques actuelles donnent parfois l’impression de séquestrer l’argent de leurs clients. Nous, nous voulons leur donner des outils pour le piloter », développe le CEO de Morning. En résumé, « réveiller la banque », pour reprendre le nouveau slogan de la marque.

Première étape en octobre prochain (1) avec le lancement d’un compte de paiement avec IBAN, accompagné d’une carte bancaire MasterCard à autorisation systématique. Le tout piloté à partir d’une application mobile. « Les utilisateurs pourront choisir le code PIN de leur carte, activer et désactiver d’un clic et en temps réel les achats en ligne, les paiements sans contact ou même tous les paiements, par exemple en cas de perte », promet Eric Charpentier. Un concept proche de celui de l’Allemand Number26, qui a tenté une percée en France en début d’année avant de suspendre les ouvertures.

 

Un agrégateur de cartes bancaires

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En savoir plus sur http://www.cbanque.com/actu/58307/compte-sans-banque-morning-sera-t-il-le-number26-francais#VOAFAhb1ZYXVQrAy.99

 

 

Jacques Le Bris's insight:
Un campus numérique à la campagne

Seul établissement de paiement français installé en province, Payname a inauguré, en même temps qu’elle dévoilait son nouveau nom, son nouveau siège, baptisé le Toaster. Installé à Saint-Élix-le-Château, à une cinquantaine de kilomètres de Toulouse, il se veut un campus numérique à la campagne, avec ferme et terrain de foot à proximité, et est destiné à terme à accueillir d’autres jeunes pousses.

La fintech cultive par ailleurs un fort ancrage régional : Morning sera l’an prochain un des sponsors du TFC, le club de foot toulousain, et fournira notamment une carte de paiement cobrandée aux abonnés du club. C’est également une banque du Sud-Ouest, le Crédit Agricole Pyrénées Gascogne, qui fournit à Morning le compte de cantonnement indispensable pour sécuriser les dépôts de ses clients.


En savoir plus sur http://www.cbanque.com/actu/58307/compte-sans-banque-morning-sera-t-il-le-number26-francais#VOAFAhb1ZYXVQrAy.99

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#porteuntoast pour l’inauguration du Toaster et gagne un séjour à Toulouse !

#porteuntoast pour l’inauguration du Toaster et gagne un séjour à Toulouse ! | Toulouse networks | Scoop.it

Le 3 juin prochain, nous allons vivre un moment unique avec l’ouverture de notre nouveau campus : le Toaster.

Comme à notre habitude, nous avons envie de partager ce moment avec vous et nous avons donc mis en place un jeu concours qui vous permettra peut-être de gagner un séjour pour deux dans la ville rose (hébergement et transport) avec participation à la soirée d’inauguration du Toaster, le weekend du 3 au 4 juin prochain. Les gagnants rencontreront également notre équipe de X-Men à cette occasion !

 

Le jeu-concours se déroule du 20/04/2016 au 20/05/2016.

Le principe est très simple :

1/ Suis notre nouveau compte Instagram @letoasterpayname

2/ Prends une photo de toi ou à plusieurs sur le thème « porter un toast »

3/ Publie ta photo avec le hashtag #porteuntoast et ajoute la mention@letoasterpayname

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Les 9 startups toulousaines qui vont marquer 2016

Les 9 startups toulousaines qui vont marquer 2016 | Toulouse networks | Scoop.it


Dans le sillage de Sigfox, la planète startup est en pleine effervescence à Toulouse. En 2015, quatre startups toulousaines ont déjà décroché le Pass French, d'autres devraient les rejoindre cette année. Tour d'horizon des 9 startups qui ont (ou vont) réaliser des levées de fonds importantes et marqueront l'année 2016 pour leurs grands projets.


Les levées de fonds de Sigfox, Payname et Naïo accélèrent leur développement

Ludovic Le Moan, CEO de Sigfox le 16 septembre 2015 à Toulouse (Crédits : Rémi Benoit).

Après avoir levé 100 millions d'euros début 2015 (un record alors en France), Sigfox poursuit son développement avec l'objectif de devenir une licorne, autrement dit de faire partie de ces startups dont la valeur atteint au moins un milliard de dollars, à l'instar de Critéo ou Blablacar. La société, basée à Labège, couvre désormais neuf pays, dont les USA, avec son réseau bas débit pour objets connectés.

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Toulouse. Payname ambitionne d'être une banque en ligne d'ici trois ans

Toulouse. Payname ambitionne d'être une banque en ligne d'ici trois ans | Toulouse networks | Scoop.it

Eric Charpentier, le fondateur de Payname, revendique aujourd’hui 25.000 utilisateurs grand public, et une centaine de pages de paiement actives pour les professionnels.



En septembre dernier, Payname a opéré sa troisième levée de fonds de 5 millions d'euros, principalement auprès de la Maif. En mai 2016, la startup toulousaine prendra possession de ses nouveaux locaux à Saint-Elix-Le-Château. Et d'ici trois ans, elle ambitionne de devenir une banque en ligne. En un an, la startup Payname a atteint les objectifs qu'elle s'était fixé : réaliser sa troisième levée de fonds, se faire agréer établissement de paiement par l'ACPR, le gendarme des banques et des assurances.

 

En un an, la startup Payname a atteint les objectifs qu’elle s’était fixé : réaliser sa troisième levée de fonds, se faire agréer établissement de paiement par l’ACPR, le gendarme des banques et des assurances, et poser la première pierre de son campus à Saint-Elix-le-Château, au sud de Toulouse. D’ici la fin de l’année 2016, elle ambitionne de compléter son offre de service et de devenir d’ici trois ans une banque en ligne à part entière.

« Aujourd’hui, nous facilitons les échanges d’argent entre particuliers réalisés dans le cadre de l’économie collaborative », précise Eric Charpentier, le créateur de Payname. « Demain, nos utilisateurs disposeront d’un compte où ils pourront déposer leur salaire et régler leurs factures, mais aussi recevoir le paiement d’un trajet sur BlaBlaCar ou d’une transaction réalisée sur Leboncoin. Nous aurons toutes les fonctionnalités d’une banque traditionnelle avec en plus les usages collaboratifs. »

 

25.000 utilisateurs particuliers

Payname revendique 25.000 utilisateurs grand public, et une centaine de pages de paiement actives pour les professionnels. La société a également mis en place un module de paiement en ligne depuis qu’elle a reçu l’agrément de l’ACPR, déjà utilisé par une quinzaine d’acteurs, dont des entreprises locales comme Coovia ou Schoolmouv.

L’objectif de la société est de convertir les utilisateurs des services actuels de Payname en titulaires d’un compte. « Nous aimerions qu’ils aillent au bout du modèle et se disent qu’après avoir fait une cagnotte sur notre plateforme, ils gagneraient à l’utiliser comme banque pour plus de simplicité », reprend Eric Charpentier. Pour cela, le dirigeant met en avant la transparence de sa future tarification : « Nous mettrons en place un forfait annuel. » Payname ambitionne également d’augmenter son nombre de clients professionnels utilisateurs de l’application et de la page de paiement.

Aujourd’hui hébergée dans des locaux voisins de la Cantine, la société devrait déménager au mois de mai prochain dans son Campus à Saint-Elix-Le-Château où elle disposera de 600 m² pour héberger ses futurs salariés. La première pierre du projet a été posée le 19 octobre dernier. « Nous sommes vingt-huit aujourd’hui, nous envisageons d’être cinquante à l’horizon 2016 et une centaine d’ici trois ans », souligne Eric Charpentier. Pour faciliter l’intégration de ses collaborateurs, Payname a pris pour modèle les grandes entreprises américaines et engagé une happyness officer qui s’assure de la cohésion de l’équipe et du maintien de son esprit start-up.
  Agnès Frémiot

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La start-up toulousaine Payname lève 5 millions d'euros pour devenir la première banque collaborative

La start-up toulousaine Payname lève 5 millions d'euros pour devenir la première banque collaborative | Toulouse networks | Scoop.it

La start-up toulousaine Payname collectionne les bonnes nouvelles. Elle annonce aujourd'hui une levée de fonds de 5 millions d'euros grâce à de nouveaux partenaires dont la MAIF.

En seulement 2 ans, Payname boucle sa troisième levée de fonds. Après deux enveloppe de 300 000 euros chacune, ce nouvel apport financier de 5 millions d’euros doit lui permettre d’accélérer son développement. Pour son fondateur, Eric Charpentier, l’objectif est « devenir, d’ici 3 ans, la première banque en ligne collaborative« .

Etablissement de paiement depuis cet été

En juillet dernier, Payname est devenu un établissement de paiement. Une grande première pour une société de la Fintech travaillant avec les particuliers. L’agrément est attribué, au compte-gouttes, par l’autorité de contrôle des banques : l’ACPR (Autorité de Contrôle Prudentiel et de Résolution). « Il s’agit d’une reconnaissance de notre travail » se félicite Laëtitia Geneyton, responsable de communication chez Payname. « Cela montre que nous respectons la réglementation » poursuit-elle.

Payname reste aujourd’hui un des leaders français de ce nouveau secteur bancaire. C’est la seule plateforme en ligne qui permet de réaliser tous ses paiements de pair-à-pair (cagnotte, remboursement, service à la personne, loyer…). Le site toulousain assure les transactions, éditent la quittance de loyer ou réalise encore la déclaration à l’Ursaaf. Née en 2013, la startup toulousaine connaît une croissance exponentielle et compte à ce jour 25 collaborateurs.

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Découvrez la start up Payname

Découvrez la start up Payname | Toulouse networks | Scoop.it

La Start up Payname propose une solution de paiement en ligne 100% française. Découvrez comment cet outil vous permet de régler vos achats entre particuliers.

 

Vous avez sûrement entendu parler des différents services de paiement en ligne… surtout après qu’Apple ait fait son entrée dans ce secteur par le biais du service ApplePay. Mais connaissez-vous Payname, la solution de paiement entre particuliers développée en France ?

 

Solution de paiement entre particuliers

La particularité du nouvel outil est qu’il permet aux particuliers de payer leurs achats auprès d’autres particuliers, et facilite ainsi les déclarations avec l’Urssaf quand on paye un travailleur à domicile (ménage, garde d’enfant…)

Profitant du boom que connaît le secteur du particulier à particulier sur le web (surtout la vente de biens et des services entre particuliers via les sites d’annonces), la start-up toulousaine propose une plateforme qui facilite les échanges et les déclarations aux autorités spécialisées.

Comme tout projet innovant, la nouvelle plateforme est née d’un besoin réel et spécifique. Disposant de 10 ans d’expérience dans le domaine des services entre particuliers, Eric Charpentier a décidé de résoudre le problème du paiement des achats entre particuliers en proposant une sorte de plateforme hybride quelque part entre PayPal et eBay.

 

Payname : les points forts

La nouvelle application tire sa force du fait qu’elle apporte une réponse précise à une problématique concrète et partagée par un très grand nombre de services spécialisés dans le particulier à particulier.

En effet, ce type d’échange de services et de biens se développe très rapidement. De récentes statistiques montrent que 70% des Français sont désormais impliqués dans une forme ou une autre de l’économie collaborative, ce qui explique la progression rapide de la start-up.

Ainsi, Payname intervient dans le but d’assurer la sécurité et la crédibilité des transactions financières entre les particuliers qui s’échangent des services sur le web, et ce, en proposant une application de paiement avec des garanties associées (garanties sociales, fiscales, etc.)

Jacques Le Bris's insight:

L’application Payname est disponible sur les smartphones et tablettes fonctionnant sous Android et iOS. Téléchargez-la sur l’App Store et sur Google Play.

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Comment sécuriser le paiement entre particuliers ?

Ajoutée le 7 avr. 2015

Pour régler leurs achats sur internet, les internautes passent le plus souvent par la solution du géant américain Paypal. Aujourd'hui, un acteur français marche sur ses pas. Payname, une start-up toulousaine, a inventé un moyen de paiement sécurisé pour tous les achats. Du Bon Coin, au paiement du plombier en passant par la cagnotte pour le cadeau d’anniversaire d'un ami… Explication avec le PDG, Éric Charpentier.

 

Plus d'infos : http://liven.ws/1InjhD9

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Payname vide votre grenier

Payname vide votre grenier | Toulouse networks | Scoop.it


Votre vieux vélo traîne depuis des mois dans votre jardin mais vous n'avez pas encore pris le temps de le mettre en vente ? Les jouets que votre enfant n'utilise plus envahissent votre intérieur ? Il est temps de faire quelque chose !

Payname vous donne un coup de main cet été et se charge de vider votre grenier !

Venez déposer meubles, jouets, objets que vous souhaitez vendre et indiquez-nous le prix, on s'occupe du reste : des photos à la vente, en passant par l'annonce sur les sites comme Leboncoin ou Vivasteet. Vous recevez votre argent directement sur votre compte bancaire via Payname une fois la vente réalisée.

Quoi déposer

Meubles, jouets, objets, vêtements, tout ce qui peut se vendre.

Quand déposer

Du lundi au vendredi, de 9h à 18h sans interruption.

Où déposer

Chez Payname, à La Cantine, 27 rue d'Aubuisson, 31000 Toulouse.


Qui contacter au besoin ?

Vous êtes en bas, vous êtes en route et avez besoin d'une info, vous voulez être sûr que ce que vous avez à vendre va passer ?

Vous pouvez joindre l'équipe au 09 78 23 82 38 (non surtaxé).

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Payname, la pépite du paiement en ligne

Payname, la pépite  du paiement en ligne | Toulouse networks | Scoop.it

Éric Charpentier (au centre), fondateur de Payname entouré d'une partie de son équipe./ photo DDM David Bécus 

La start-up toulousaine créée par Éric Charpentier a inventé un moyen de paiement sécurisé sur internet pour les particuliers. On parle déjà de la naissance d'un Paypal à la française.

Éric Charpentier a développé une brique technologique qui pourrait bien se transformer en lingot d'or. Le Toulousain a en effet développé une technologie de paiement en ligne sur internet pour faciliter l'achat de prestations de services pour les particuliers. L'idée naît en 2009 quand il crée Dweho, un site internet pour trouver une femme de ménage ou de repassage. «Avec ce site on facilitait la recherche de ce type de prestations pour les particuliers. Mais pour rendre l'acte d'achat fluide, il fallait une interface de paiement simple» raconte Éric Charpentier.

Le chef d'entreprise a donc développé une technologie qui permettait de payer en seul clic la prestation mais aussi les charges sociales afférentes. Après deux ans de succès et trois millions d'euros de chiffre d'affaires, Éric Charpentier cède Dweho et crée en 2013 Payname. Cette start-up reprend la technologie de paiement déjà développée et la propose à différents sites de e-commerce et autres places de marché afin de sécuriser leurs achats en ligne. Parmi les premiers clients, la PME toulousaine compte Oxilia.fr qui aide les familles à trouver des aides à domicile pour les personnes âgées mais aussi Jobbers.com, une conciergerie d'entreprise ou encore sefaireaider.com. Au total, une douzaine de sites utilisent déjà la technologie toulousaine.

Mais Payname et son dirigeant veulent passer la vitesse supérieure. Des discussions sont en cours avec le site leader de la vente aux particuliers sur internet. «70 % des gens ont déjà vendu ou acheté sur ce site mais le vendeur a toujours la crainte de ne pas être payé» assure Éric Charpentier.

Pour sécuriser les transactions Payname apporte donc trois garanties : le débit n'intervient qu'à la réception du produit, le vendeur bénéficie d'une garan-

tie de paiement et un règlement en trois fois est possible. «Nous prenons le risque de faire l'avance de la somme pour rassurer les vendeurs» détaille le chef d'entreprise. Pour se rémunérer Payname facture une commission d'1,9 % par transaction. «C'est le prix de la garantie que nous assurons» précise Éric Charpentier. L'application est déjà utilisée par 40 000 utilisateurs et Payname espère bien en toucher 150 000 d'ici fin 2014.

Levée de fonds d'un million

à son démarrage en 2013, Payname a levé 300 000 euros notamment avec le soutien d'un actionnaire de poids : Denys Chalumeau, le fondateur de seloger.com. Aujourd'hui pour financer son développement, la start-up cherche à lever un million d'euros dont la moitié par «crowdfunding» notamment avec la plateforme toulousaine Wiseed. L'autre moitié sera levée auprès d'un capital-risqueur régional. Payname recrute actuellement un community manager et emploiera au total dix personnes d'ici la fin de l'année.

Gil Bousquet

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La start-up toulousaine Payname distinguée au Salon des entrepreneurs de Paris

La start-up toulousaine Payname distinguée au Salon des entrepreneurs de Paris | Toulouse networks | Scoop.it

Éric Charpentier, CEO et fondateur de Payname


Payname a remporté le prix de la start-up la plus prometteuse lors du 21e Salon des Entrepreneurs de Paris. La start-up toulousaine permet de payer et déclarer un service entre particuliers en un seul clic. Un marché prometteur quand on sait qu'un tiers des Français déclare "travailler ou avoir travaillé au noir" en 2013, selon un sondage de Market Audit publié en décembre dernier. Éric Charpentier est le fondateur de la start-up toulousaine. Interview.

Comment fonctionne Payname ?

L’application est disponible depuis un mobile et sur le web. Payname est présente sur une dizaine de sites internet de services entre particuliers, comme sefaireaider.com. En un seul clic, vous déclarez et payez la personne qui vous a rendu service, qui a par exemple gardé vos enfants ou fait votre ménage.

Imaginons qu’une personne fait pour vous 2 heures de ménage, à 10 € de l’heure. Vous lui devez donc 20 €. Pour la payer et la déclarer à l’Urssaf, vous allez sur l’application Payname. Vous renseignez les heures effectuées, la paie, l’adresse mail de la personne que vous avez employée. Nous calculons automatiquement les cotisations pour l’Urssaf. Puis nous remettons sa paie à la personne qui vous a rendu service et les cotisations à l’Urssaf. Dans notre exemple, ça vous coûtera environ 30 € : 20 € à l’employé, environ 10 € à l’Urssaf et la commission de Payname est de 3 %. Nous vous remettons aussi une attestation fiscale. Ça peut paraître cher mais en déclarant correctement un service, on y gagne, car cela permet une réduction d’impôts de 50 %. Dans notre exemple, vous pourrez déduire environ 15 € de vos impôts.

Cela permet-il de lutter contre le travail au noir?
Bien sûr, ça y contribue. Mais en créant Payname, notre but n’était pas de lutter contre le travail dissimulé. Il s’agit surtout de rendre simple quelque chose qui est compliqué. Pour régler un service entre particuliers, beaucoup de personnes donnent simplement un billet et c’est tout. Elles ne déclarent pas ce service. Ce n’est pas parce qu’elles sont pour le travail au noir, mais parce que la déclaration à l’Urssaf paraît trop complexe. Pourtant, c’est totalement illégal. Le but, avec Payname, est de légaliser tous ces petits services du quotidien, d’une manière très simple.

Vous avez remporté le prix de la start-up la plus prometteuse lors du 21e Salon des Entrepreneurs de Paris, au début du mois de février. Qu’est-ce que cela signifie pour vous ?
Notre start-up a été lancée au début de l’année 2013. Recevoir ce prix au bout de seulement un an représente donc beaucoup. Il s’agit d’un titre purement honorifique, c’est une vraie reconnaissance. Cela nous permet également d’attirer des investisseurs. Nous venons de lancer une nouvelle opération de levée de fonds, via la plateforme de financement participatif Wiseed (également basée à Toulouse NDLR). Le premier après-midi, nous avons levé 50.000 €. Ce sont essentiellement des particuliers qui investissent dans notre société. Et ils sont bien placés pour le faire, car ils sont des consommateurs potentiels de Payname. Ils possèdent ensuite une partie de la société.

Quels sont vos projets pour 2014 ?

2013 a été l’année de développement du produit, nous avons cherché à nous faire connaître, à nous placer sur des sites de services entre particuliers. 2014 sera l’année du développement commercial. Nous allons élargir le périmètre des paiements. Ils ne concerneront plus seulement les services entre particuliers, mais aussi les produits. Au mois de mars, Payname devrait permettre de sécuriser les achats sur le site internet leboncoin. L’acheteur ou le vendeur pourra demander à utiliser l’application pour le paiement, pour être sûr de recevoir l’objet ou d’être payé. Concrètement, une fois que l’acheteur aura fait un dépôt, le vendeur enverra le produit. Lorsque l’acheteur le recevra, l’argent sera débloqué et remis au vendeur.

Propos recueillis par Marie Vivent

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