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La société de Toulouse MyFeelBack lève 1 M€ pour créer sa filiale à New York

La société de Toulouse MyFeelBack lève 1 M€ pour créer sa filiale à New York | Toulouse networks | Scoop.it


Stéphane Contrepois


La start-up toulousaine MyFeelBack a conclu une première levée de fonds d’1M€. L’entreprise de solutions de relation client multicanal prépare l’ouverture de sa filiale à New York et mise sur le développement de sa R&D. L'implantation aux États-Unis doit permettre à l'entreprise de Stéphane Contrepois de se rapprocher de ses clients.

Direction Manhattan. Avec une enveloppe de 1,3 million de dollars, soit 1 million d’euros, MyFeelBack s’apprête à ouvrir une filiale dans la Grande Pomme et à intégrer le marché américain. La levée de fonds a été réalisée auprès de business angels américains et français, mais aussi grâce à la plateforme de crowdfunding Wiseed et à BPIfrance, pour un tiers du montant global chacun.

"Cette première levée de fonds répond à un double objectif. D’un côté, le choix de partager les risques du lancement aux États-Unis avec nos investisseurs et, ensuite, la volonté de consolider notre R&D en fonction des besoin de nos clients", explique Stéphane Contrepois, président et cofondateur de la start-up toulousaine. À ses côtés, Marc Rougier, le fondateur de Scoop.it, qui soutient MyFeelBack depuis le début, et le nouveau business angel Jean-Philippe Baert, vice-président EMEA South chez l’éditeur de logiciels marketing américain ExactTarget.

"Nous sommes dans la 3e phase du développement de MyFeelBack, qui passe de la taille de petite société à celle d’un grand groupe international", annonce l’entrepreneur qui envisage une deuxième levée de fonds en 2015. "Les coûts de développement aux États-Unis ne sont pas les mêmes qu’en France", explique Stéphane Contrepois. Rien que pour le marketing, nous avons investi cette année 400.000 euros. Il est donc possible que nous fassions une deuxième opération de financement, mais uniquement pour le développement sur le marché américain." Cependant, MyFeelBack ne cherche pas seulement des financements. L’expertise et les connaissances apportées par les investisseurs seront, selon l’entrepreneur, les piliers d’un développement rapide de l’entreprise aux États-Unis.

Au cœur de l’économie new yorkaise
Parmi les 35.000 utilisateurs du logiciel Saas signé MyFeelBack, un tiers est américain. Afin de répondre aux besoins de gros clients comme Bausch Lomb, société internationale d’optique et d’ophtalmologie, et à la demande d’un marché en plein développement, la start-up toulousaine a choisi de s’installer à Manhattan, cœur des bureaux des entreprises, autrement dit, des futurs clients de MyFeelBack outre-Atlantique. "On fait beaucoup d’aller-retour en ce moment, mais nous allons bientôt découvrir nos bureaux, confie Stéphane Contrepois. L’équipe marketing et support clients restera en France, mais nous auront un commercial sur place."

Simona Pizzuti

Jacques Le Bris's insight:


En savoir plus :
La start-up, créée en 2011, est déjà active outre-Atlantique. En 2012, avant même de fêter son premier anniversaire, l’entreprise toulousaine de service de relation client mobile MyFeelBack a signé un accord de distribution pour le continent américain avec l’entreprise Excelerate Systems, spécialiste de la sécurité informatique basée à Seattle (lire notre article). Le logiciel créé par MyFeelBack permet de générer des questionnaires de satisfaction, et analyser en temps réel les feedbacks et commentaires des sondés.

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Le logiciel qui concurrence les instituts de sondage | MyFeelBack

Le logiciel qui concurrence les instituts de sondage | MyFeelBack | Toulouse networks | Scoop.it

Plus besoin d'attendre des jours et des jours avant d'obtenir l'analyse d'une enquête de satisfaction. "Après le CNRS, Orange ou E.Leclerc, nous travaillons aujourd'hui avec la SNCF pour évaluer la satisfaction des usagers sur différents services", explique Aurore Beugniez, directrice associée de MyFeelBack. 

Cette jeune société toulousaine propose aux entreprises un logiciel pour capter en multicanal (téléphone, tablette, PC, papier) des retours clients puis les analyser en temps réel : baromètre de satisfaction, enquête de produit, statistiques... "MyFeelBack permet d'économiser plusieurs milliers d'euros par rapport à un institut de sondage", assure Aurore Beugniez. "Notre solution est très rapide à mettre en oeuvre. Elle permet à l'entreprise de se baser sur des rapports statistiques issus de données terrain avant de prendre une décision stratégique". 

La société a aussi choisi un modèle économique innovant en se rémunérant à la performance, c'est-à-dire au nombre de retours client. Créée en 2011, l'entreprise compte sept salariés et "connaît déjà une forte croissance", assure Aurore Beugniez. "Notre logiciel est distribué aux États-Unis et nous prévoyons l'ouverture d'un bureau à New York".

Louisa Frangeul's curator insight, December 9, 2013 2:09 PM

Quand la GRC permet de mesurer et la satisfaction client ET de faire des économies !!!

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Le Toulousain Vexim lance sa filiale à New York

Le Toulousain Vexim lance sa filiale à New York | Toulouse networks | Scoop.it

Vincent Gardès, directeur général de Vexim. le laboratoire Vexim, situé à Toulouse Balma


En ouvrant une structure aux États-Unis, Vexim se prépare à déployer ses produits à travers le monde. La Food and drug administration (FDA) doit homologuer son implant SpineJack dans les deux ans.

L’implantation de Vexim aux États-Unis constitue « une étape stratégique majeure » de son internationalisation, selon Vincent Gardès, son directeur général. Si cette entreprise, créée en 2006 à Balma, se développe déjà à l’export depuis deux ans, soit directement avec sa propre force commerciale en Europe, soit par le biais de distributeurs en Amérique du Sud ou en Inde notamment, la conquête du marché américain annonce la capacité de Vexim à répondre à la demande à travers toute la planète. Notamment parce que son produit phare, l’implant SpineJack, et sa technologie innovante, devrait être homologué par la Food and drug administration (FDA, l’agence nationale des produits alimentaires et médicamenteux) d’ici 2017.

Une reconnaissance qui vaut blanc seing dans tous les hôpitaux du monde. La société, spécialiste des dispositifs médicaux destinés au rachis, se déploie sur le segment des fractures vertébrales dont le nombre est estimé à 900.000 de ce côté de l’Atlantique. Ajoutés aux 1,4 million en Europe, ce marché équivaut déjà à 9 milliards de dollars, sans concurrence qui plus est, selon Bruce de La Grange, fondateur de Vexim. L’affaire est si prometteuse que l’entreprise a levé sans difficulté 20 millions d’euros pour développer sa solution, soutenue alors parTruffle Capital, Banexi Ventures Partners et Oséo, puis a été introduite sur NYSE Alternext à Paris en mai 2012 pour lever 11 millions d’euros supplémentaires. De quoi financer l’établissement aux États-Unis.

Vexim Inc bénéficiaire dès 2016

La création de Vexim Inc procède « d’un modèle très économique » selon les propos de Vincent Gardès. Vexim ouvre une structure qui doit recruter un directeur commercial et un directeur marketing. Elle signe également des contrats avec des sociétés d’agents commerciaux rémunérés au gré de leur chiffre d’affaires. Dix États sont d’ores et déjà visés. Il va s’agir de pénétrer le marché américain avec la gamme de base des produits Vexim avant de pouvoir proposer le SpineJack. De fait, dès le premier exercice Vexim Inc doit être à l’équilibre avant de devenir l’année suivante, en 2016, bénéficiaire.

Vexim compte aujourd’hui cinquante-sept salariés en France et à l’étranger dont vingt-cinq à Balma, en banlieue toulousaine. Son chiffre d’affaires en 2013 s’est établi à 6,1 millions d’euros, en progression de 225%. Au premier semestre 2014, 4,9 millions d’euros ont déjà été générés.
Nathalie Malaterre

Laurent Martel's curator insight, September 9, 2014 3:03 AM

Très belle réussite locale de développement économique