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Oz, premier robot agricole pour labourer sans pesticides

Oz, premier robot agricole pour labourer sans pesticides | Toulouse networks | Scoop.it

Formidable Aymeric Barthès, à 30 ans, ce toulousain diplômé de l’Institut méditerranéen de recherche en informatique de Perpignan fondateur avec avec son pote Gaëtan Séverac (de Naïo Technologie) qui lance robot Oz véritable va révolution pour l’agriculture.

 

Oz (robot de 1m de long), fabriqué en France, ne coûte que 20 KE, et permet de désherber plusieurs hectares en une journée. Une technologie qui diminue a tout les usages de pesticides. Pour l’anecdote, c’est une rencontre avec un producteur d’asperges qui lui parlait de son mal de dos que Gaëtan eût l’idée du robot...

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Les 6 start-up toulousaines qui pourraient marquer l'année 2015

Les 6 start-up toulousaines qui pourraient marquer l'année 2015 | Toulouse networks | Scoop.it

Elles ont des grands projets pour 2015. SigFox, MyFox, MyFeelBack et ITrust tentent de conquérir le marché américain, Nanolike compte multiplier son chiffre d'affaires par 5 et Naïo Technologies veut lever 2 millions d'euros. Ces 6 start-up toulousaines feront probablement l'actualité business de cette année.

 

Alors que l'accélérateur de start-up le Camping de Toulouse lance sa 5e saison pour découvrir de nouvelles perles de la technologie de l'information et de la communication, plusieurs jeunes entreprises toulousaines continuent à montrer la voie de la réussite. Revue de détail de ces start-up à fort potentiel de croissance qui devraient faire parler d'elles cette année.

  • SigFox, à la conquête de l'Asie et de l'Amérique du Nord

L'opérateur télécoms, qui propose une technologie permettant aux objets connectés de communiquer entre eux, a annoncé fin 2014 vouloir lever 100 millions d'euros.  Déjà présent en Afrique, en Espagne, en Grande-Bretagne et aux Pays-Bas, l'entreprise créée en 2012 part cette année à la conquête de l'Amérique du Nord et de l'Asie. Elle a déjà déployé son réseau dans le comté américain de Maryland et est en discussion avec des géants américains des télécoms. D'ici fin 2016, le groupe espère couvrir la moitié du monde avec son réseau, explique le PDG Ludovic Le Moan, visant même une introduction au Nasdaq en 2016. Selon ce dernier, "si on exécute bien l'année 2015, nous sommes quasiment irrattrapables. Nous aurons créé un écosytème et une empreinte mondiale".

  • Nanolike vise un chiffre d'affaires multiplié par 5

L'année 2015 est également une année clé pour Nanolike. L'entreprise de Ramonville devrait industrialiser ses technologies d'assemblage de nanoparticules en 2015, notamment grâce à une levée de fonds de 700.000 euros, annoncée début janvier, et soutenue par plusieurs investisseurs:  Newfund, Breega Capital et INSEAD Angels. La technologie développée par la start-up permet de concevoir des capteurs 100 fois plus petits que les capteurs classiques, plus sensibles et divisant la consommation d'énergie par 10.000. En plus de ces nanocapteurs destinés à l'industrie et à l'aéronautique notamment, la société conçoit des nanotags permettant de sécuriser des documents d'identité.

Le chiffre d'affaires de Nanolike devrait exploser dans les mois qui viennent.  En 2014 l'entreprise annonçait 80.000 euros de revenus. Elle espère atteindre les 450.000 euros en 2015, puis dépasser le million d'euros l'année suivante.

  • Myfox se développera à l'export aux États-Unis

Cette start-up qui fabrique à Labège des alarmes connectées a connu un taux de croissance de plus de 2.000 % sur cinq ans. Elle est 11e dans le classement 2014 établi par Deloitte des entreprises françaises à la plus forte croissance sur 5 ans.

Présente au CES de Las Vegas cette année, un salon international dédié aux objets connectés, elle y a remporté un prix d''innovation (CES Innovation Award) grâce à une de ses alarmes connectée, Myfox Security System contrôlable via smartphone. En 2015, la start-up se développera à l'export, notamment aux États-Unis.

  •  Naïo Technologies, un nouveau robot et une levée de fonds massive

La société toulousaine spécialisée dans les technologies agricoles va connaître une année 2015 dense. Les robot maraîchers de la start-up spécialisés dans le désherbage seront dotés de deux caméras cette année, pour analyser les couleurs, les formes et la profondeur, ce qui leur permettra de gérer tous types de cultures.

Cosi, un motoculteur électrique dédiés aux surfaces plus réduite, est lancé cette année. Il complète la gamme avec le tracteur électrique Oz.  En 2015 toujours, un prototype destiné à la culture des vignes sortira. il sera commercialisé en 2016 ou en 2017, affirme Aymeric Barthes, directeur général de la société.

Concernant les ventes, la start-up reste modeste. Alors qu'elle avait écoulé 10 modèles Oz en 2014, Naïo Technologies espère en vendre 20 en 2015, et écouler autant de Cosi. La distribution ce produits se fera à l'international en 2016.

En 2015 encore, Naïo Technologies prévoit une levée de fonds de plus de 2 millions d'euros, avec la plateforme de crowdfunding Wiseed pour partenaire, entre autres.

  •  MyFeelBack ouvrira une filiale à New York

L'entreprise de solutions de relation client multicanal veut s"étendre un peu plus aux États-Unis grâce à une enveloppe de 1 millions d'euros levée en 2014. Elle s'apprête ainsi à ouvrir une filiale à New York pour "se rapprocher de ses clients" . Pour la seule année 2015, MyFeelBack a annoncé un budget marketing de 400.000 euros aux États-Unis. La start-up a l'ambition de créer des partenariats avec des grands groupes internationaux.

  •  iTrust à l'assaut de la côte est américaine

La société de sécurité informatique ITrust a dégagé 1,3 million d'euros de revenus en 2014, soit une augmentation de 100% par rapport à 2013. La société croit elle aussi en son rêve américain, puisqu'elle a ouvert un bureau à San Francisco et compte s'implanter sur la côte est des Etats-Unis avant la fin de l'année.

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Les 9 startups toulousaines qui vont marquer 2016

Les 9 startups toulousaines qui vont marquer 2016 | Toulouse networks | Scoop.it


Dans le sillage de Sigfox, la planète startup est en pleine effervescence à Toulouse. En 2015, quatre startups toulousaines ont déjà décroché le Pass French, d'autres devraient les rejoindre cette année. Tour d'horizon des 9 startups qui ont (ou vont) réaliser des levées de fonds importantes et marqueront l'année 2016 pour leurs grands projets.


Les levées de fonds de Sigfox, Payname et Naïo accélèrent leur développement

Ludovic Le Moan, CEO de Sigfox le 16 septembre 2015 à Toulouse (Crédits : Rémi Benoit).

Après avoir levé 100 millions d'euros début 2015 (un record alors en France), Sigfox poursuit son développement avec l'objectif de devenir une licorne, autrement dit de faire partie de ces startups dont la valeur atteint au moins un milliard de dollars, à l'instar de Critéo ou Blablacar. La société, basée à Labège, couvre désormais neuf pays, dont les USA, avec son réseau bas débit pour objets connectés.

((...)

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Naïo Technologies, l'expert toulousain des robots agricoles, lève des fonds

Naïo Technologies, l'expert toulousain des robots agricoles, lève des fonds | Toulouse networks | Scoop.it

Les fondateurs Gaëtan Séverac et Aymeric Barthes accompagnés de leur robot Oz.

 

Créée fin 2011 par deux passionnés de robotique, la start-up toulousaine Naïo Technologies prépare une nouvelle levée de fonds. Enjeu sociétal, innovation de rupture, management collaboratif… Pour Naïo Technologies, ambition rime avec engagement.

 

Génie de la robotique au service de l’agriculture raisonnée, la start-up Naïo Technologies a été maintes fois primée pour ses innovations. En 2014, après les phases de mises au point techniques, elle est entrée dans la maturité avec la livraison de dix mini-tracteurs « Oz », son produit leader qui enlève mécaniquement et automatiquement les mauvaises herbes en suivant tout seul les rangées cultivées. Comme les autres produits au catalogue, ce robot apporte au maraicher un gain de temps et donc de productivité, tout en réduisant l’usage des produits phytosanitaires et la pénibilité du travail.

« Nos produits et notre process industriel sont validés, il n’y a pas de verrous techniques sur les élargissements de la gamme, nous prévoyons une nouvelle levée de fonds pour le développement de marché en France et à l’international », annonce Gaëtan Séverac, directeur général. 2015 sera une année cruciale pour l’entreprise qui compte doubler ses ventes et présentera deux nouveaux produits en prototypes : un robot pour l’entretien de la vigne développé en collaboration avec l’IVF Midi Pyrénées (Institut français de la vigne) et le LAAAS-CNRS [1] et un robot pour le désherbage des grandes cultures développé avec l’entreprise Carré, le leader européen du désherbage mécanique sur ces cultures. « Nous développons pour eux un nouveau logiciel de guidage et de collecte de données ainsi que le moteur associé », souligne Gaëtan Séverac. D’ici fin 2017, la société compte passer de neuf à vingt collaborateurs et vise un chiffre d’affaires de 4 millions d’euros.

Une entreprise engagée

« Beaucoup de maraichers disent que le principal frein au développement du bio, c’est le désherbage, une tâche pénible et consommatrice de temps, raconte Gaëtan Séverac. Dans la mouvance du plan gouvernemental écophyto qui prône une baisse de 50% des produits phytosanitaires d’ici 2018, Naïo Technologies ambitionne que tous les agriculteurs puissent désherber avec l’aide de robots automatisés. La sécurité sociale agricole (MSA) a d’ailleurs confirmé l’impact du robot sur la baisse des troubles musculo-squelettiques (TMS) et finance une aide à l’achat de 3.000 euros. »C’est comme l’arrivée du premier Iphone sur le marché, nous ciblons des personnes qui cherchent la nouveauté.« Des agriculteurs Geek que l’entreprise implique étroitement sur le développement de ses produits »pour que tout le monde se développe ensemble.« Fabrication française, analyse du cycle de vie des produits pour identifier les points noirs sur les matières premières utilisée et » ne pas exporter du mal de dos", management collaboratif, réflexion en cours sur l’économie de l’usage pour une plus grande accessibilité de ses engins, Naïo Technologies innove à tous les étages, dans une logique de RSE.
Aurélie de Varax

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