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Google annonce la mort du moteur de recherche et l’avènement de l’Age de l’assistance

Google annonce la mort du moteur de recherche et l’avènement de l’Age de l’assistance | Toulouse networks | Scoop.it

Au très sélect salon professionnel E-commerce One To One 2017Google a fait sensation durant sa plénière en déclinant sa nouvelle présentation «The age of assistance» (l’âge de l’assistance – l’ère de l’assistance). Credo de cet axe déterminant en terme de communication, marketing et vente: Google s’extrait peu à peu du modèle du moteur de recherche tel que nous le connaissons encore aujourd’hui pour entrer de l’ère de l’assistance.

 

L’économie de l’assistance en 3 points

Ce nouveau temps est aussi l’avènement d’une économie de l’assistance qui prend en compte 3 déterminants principaux dans un modèle renouvelé de la recherche:

  • la personnalisation de la relation avec le mobinaute (plus encore que l’internaute),
  • le Web sémantique: posez la question et l’on vous répond directement, en capacitation également d’anticiper vos questions avec un système adaptatif qui apprend de vos habitudes (machine learning – apprentissage automatique),
  • le Web vocal: 20% des requêtes formulées aujourd’hui sur Google (via un mobile sur Android) sont vocales : un chiffre qui dépassera les 50% en 2020. Aux Etats-Unis, 25% des 16-24 ans utilisent la recherche vocale sur mobile.

 

La voix devient une interface à part entière pour chercher, une interface qui s’affranchit de composer une requête via un clavier tactile ou physique et qui va jusqu’à oublier d’afficher les résultats sous la forme d’une liste ; ceci pour vous proposer un seul résultat à entendre et/ou à afficher: «Il n’y a plus une étape de recherche, puis une étape de transaction, mais une seule étape d’action» indique l’intervenant Guillaume Bacuvier de Google.

On comprend mieux les bouleversements en perspective notamment en matière de référencement (et SEO – optimisation pour les moteurs de recherche) car cette composante est depuis plus de 20 ans baignée via une démarche textuelle et image de positionnement s’affichant dans une liste de résultats. Et Google va tuer cette liste de résultats.

 

 

Du moteur de recherche à l’assistance individuelle et personnalisée

En parallèle, le machine learning s’introduit dans le business de la solution: pour la traduction de textes, images et voix ou encore pour la recherche de photos.

Le moteur de recherche Google a bien évolué avec le temps: de la recherche de réponses, on recherche aujourd’hui des solutions… Dès demain, on apportera avant tout de l’aide.

Google est un compagnon de vie et l’assistance se niche de plus en plus dans des objets connectés différenciés: vitrines, montres, assistance à domicile (tel Google Home)…

 

Une assistance plurielle au coeur de nos vies

Cette aide se traduit au quotidien par un assistant individuel et personnalisé placé au coeur de notre vie et de la famille. C’est ce que la firme de Mountain View propose avec Google Home (un concurrent en point de mire: Echo par Amazon). Une assistance aux formats multiples: texte, image, vidéo, réalité augmentée/réalité virtuelle qui reconnaît les voix de la famille, présente et délivre une réponse hyper-personnalisée à chaque individu.

Consultez cette vidéo pour mieux comprendre comment Google s’insère dans nos vies,  nos comportements et nos choix… C’est un assistant décisionnel auquel nous déléguons une grande partie de nos choix:

L’assistance est ambiante car elle s’insère dans notre quotidien à tous les instants de la vie: vie professionnelle, vie privée (où elle imprègne profondément la vie au foyer) et vie de loisir. Elle s’affranchit d’ailleurs des barrières de ces temps de vie.

 

Ne parlons plus d’internaute ou du mobinaute mais de socionaute

Dans cette vision exprimée et matérialisée par Google en terme de business, c’est la logique écosystémique qui prime: l’aide est géolocalisée, personnalisée, tient compte de vos habitudes d’interrogation et d’aide apportée (via le machine learning) car l’assistance «made in Google» se place dans une logique d’apprentissage: apprendre de l’internaute et apprendre au mobinaute.

D’ailleurs, à ce stade, il ne s’agit plus d’un internaute ou d’un mobinaute mais plutôt d’un socionaute: un individu aidé et «plongé» dans un Internet en continu qui évolue bien entendu en société, peu importe l’interface qu’il utilise.

En fait, nous sommes en train de sortir de ce cycle du mobile qui devient une interface parmi d’autres.

 

3 points principaux pour être agile dans l’Age de l’Assistance

Dans cette ère de l’assistance, qu’est-ce qui va compter en terme de business pour réellement créer une différence? 3 points principaux auxquels il va falloir rapidement s’adapter (pour «survivre» indique en filigrane Google):

 

1.La vitesse:

Dans l’ère de l’assistance, il y a une problématique/question à résoudre via une interrogation et avec juste une étape d’action. Cela demande de la part de l’entreprise de déclencher une réponse instantanée et de façon très rapide. Les situations d’attente ne sont plus tolérées par le socionaute.

Trois chiffres qui importent actuellement pour les sites e-commerce:

  • Le temps moyen de chargement des sites mobiles est de 19 secondes avec une connexion 3G,
  • 53% des visites sont abandonnées si les pages prennent plus de 3 secondes à charger sur mobile,
  • Les annonceurs dont le site mobile charge en 5 secondes gagnent jusqu’à 2 fois plus de revenus sur mobile que ceux dont les sites chargent en 19 secondes.

 

 

2.La visibilité:

On réfléchit désormais en terme de flux et non pas de destination. Le socionaute ne part pas d’une situation A pour arriver à une situation B.

De par l’information qu’on lui apporte, qu’on lui suggère de façon permanente, il évolue dans son approche et ses choix dans son quotidien. La mise en relation du client avec un produit ou un service peut se faire à tout moment de vie.

Pour les ecommerçants, il est donc nécessaire pour être vu de penser en continu:

  • flux magasins : connaître vos stocks produits,
  • flux clients : utiliser les data online et offline,
  • flux produits : être présent sur tous les formats.

 

 

3.La pertinence:

Quand on aide, on ne veut pas et on ne peut pas être déçus. La force est dans l’adaptation et l’expérience utilisateur devient essentielle. Dans l’ère de l’assistance, le socionaute est encore plus sélectif.

Approfondir la connaissance client en 13 points

Cette ère de l’assistance demande d’approfondir la connaissance client et prospect sur 13 points essentiels:

  • Connexion
  • Historique de navigation
  • Durée de visionnage
  • Utilisation de l’app
  • Démographie
  • Catégorie d’app
  • Sessions
  • Requêtes
  • Localisation
  • Horaire
  • Jour
  • Age et genre
  • Vidéos visionnées

 

… Sans oublier que le client est nécessairement un co-créateur de son produit/service tel dans le «projet Muze» solution d’intelligence artificielle de Google permettant de créer son propre style selon sa personnalité.

Une expérience récente «projet Muze» menée avec Zalando permet ainsi via un «compagnon mode» en ligne – en fait un assistant – de «découvrir une tenue créée à partir de sa personnalité en 5 minutes grâce à l’intelligence artificielle».

 

En résumé

L’heure est grave car cette nouvelle façon de «rechercher» va bouleverser le monde du e-commerce et plus encore largement l’économie des produits et des services dans les années à venir… avec de nouvelles compétences et stratégies à prendre en compte.

 

  • L’expert:

 

Jean-Luc Raymond est Social Media Manager Senior. Il conseille des grandes entreprises, institutions et organisations non gouvernementales sur leur stratégie de présence en ligne. Il traite des tendances numériques professionnelles et d’usages sur son blog.

Son compte sur Twitter

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Comment Google faisait passer ses services en tête dans ses résultats

Comment Google faisait passer ses services en tête dans ses résultats | Toulouse networks | Scoop.it

Dans un rapport confidentiel que s’est procuré le Wall Street Journal, on apprend que Google a délibérément « privilégié ses propres services » sur son moteur de recherche, au détriment des autres. Google a placé ses services – comme Google Shopping, Google Product Search, Google Flight [son comparateur de vol] ou son système de recherche de commerces locaux, Google Local – en haut de ses résultats de recherche.

En sus, le moteur de recherche est également accusé d’avoir volontairement rétrogradé les services concurrents aux siens dans les pages de résultats. Pire, Google aurait « illégalement pris des informations de sites rivaux afin d’améliorer ses propres résultats de recherche, et placé des restrictions sur certains sites et annonceurs », selon Reuters.

Google Boost

Le rapport émane de la Federal Trade Commission [FTC, l’équivalent de l’Autorité de la concurrence aux Etats-Unis], et détaille la façon dont Google s’y prenait pour faire passer ses services en haut des résultats de recherche. S’appuyant sur le témoignage de Marissa Mayer, à l’époque vice-présidente de Google, les membres de la FTC expliquent que pour indexer ses services dans les résultats, le moteur de recherche ne prenait plus en compte le nombre de clics, comme il le fait d’habitude pour les autres sites.

« A la place, Google “ boostait automatiquement ” ses propres sites pour certaines recherches spécialisées, alors qu’en temps normal, les sites rivaux apparaîtraient en haut de la liste. Si un comparateur de prix était bien référencé, Google Product était placé au-dessus. Quand Yelp était considéré pertinent lors d’une requête, c’était Google Local qui apparaissait tout en haut. »

Il y a encore plus vicieux, dit le Wall Street Journal :

« En même temps qu’il boostait ses services, le moteur de recherche rétrogradait ceux de ses rivaux. Par exemple, Google dressait une liste de comparateurs de prix et “ les enlevait des dix premiers résultats ”, écrivent les membres de la FTC. […]

Les efforts de Google ont payé, selon la FTC. Ses membres disent que les manœuvres de Google ont réduit le trafic de ses rivaux, et augmenté celui de ses services. »

20 mois d’investigation

Si de telles accusations ne sont pas nouvelles, la divulgation du contenu de ce document interne – envoyé par erreur au Wall Street Journal, par la FTC elle-même ! – fait grincer des dents les concurrents de Google, qui en avaient gros sur la patate depuis 2013.

En effet, au-delà du détail des pratiques douteuses de Google, ce rapport montre que des « membres clés » de la FTC recommandaient, en 2012, de traîner Google en justice pour violation des lois de la concurrence... ce que la FTC n’a jamais fait.

Retournons en 2011, lorsque la FTC lance une enquête sur Google pour abus de position dominante. Après 20 mois d’investigation et plus de 9 millions de documents épluchés, l’agence fédérale conclut à l’unanimité que Google a bien utilisé ses algorithmes pour booster un peu ses services... mais pas dans le but de noyer les services rivaux. Non, c’était seulement pour le « bénéfice » des utilisateurs du moteur de recherche.

Un accord est trouvé entre la FTC et Google : le moteur de recherche « modifie certaines de ses pratiques », – Google ne peut plus se permettre, par exemple, de recopier tout ou partie des informations de Yelp et les afficher directement dans sa page de résultat, comme il le faisait avant – et le dossier est enterré.

Sur la base de cette décision, les services rivaux en question (Yelp, Expedia, TripAdvisor, Amazon...), n’ont pas eu de preuves pour attaquer Google en justice, et l’ont dès lors un peu en travers de la gorge. La décision avait également ulcéré Microsoft qui, lui, avait eu droit à plusieurs procès aux Etats-Unis et en Europe, où la société avait été condamnée à payer des centaines de millions d’euros pour abus de position dominante.

« La FTC avait bel et bien des preuves »

Les révélations du Wall Street Journal, et en particulier la recommandation d’un procès contre Google par des « membres clés » de la FTC ravivent donc les rancœurs des concurrents du moteur de recherche, qui accusent la FTC de s’être couché devant le géant américain, en dépit des recommandations de certains de ses membres. Le New York Times cite Luther Lowe, vice-président des relations publiques de Yelp :

« Cela montre que la FTC avait bel et bien des preuves que Google truquait ses résultats de recherche. Avec sa faible décision [de 2013, ndlr] contre l’avis de ses membres, la FTC a tacitement donné un feu vert à un comportement allant à l’encontre de l’intérêt des consommateurs aux Etats-Unis. »

De son côté, la ligne de défense principale de Google s’effrite, explique le Wall Street Journal :

« Google disait que le fait de promouvoir ses propres services de recherche spécialisés permettait aux utilisateurs d’avoir plus d’information, plus rapidement. […] Les membres du FTC ont trouvé que Google privilégiait ses propres services en partie parce qu’il avait peur de perdre des visiteurs, et donc des revenus publicitaires, au bénéfice de rivaux tels que Yelp ou TripAdvisor. »

« Ce rapport pourrait soulever des questions concernant la direction de l’agence fédérale », écrit le New York Times. Trois des cinq membres de la direction de l’époque sont toujours en fonction. »

En attendant les suites de cette affaire aux Etats-Unis, Google fait toujours l’objet d’une enquête par la Commission européenne depuis 2010. Motifs : soupçons d’abus de position dominante dans la recherche en ligne et la publicité.

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L'histoire et les évolutions de l'algorithme Google - infographie

L'histoire et les évolutions de l'algorithme Google - infographie | Toulouse networks | Scoop.it
Lhistoire et les évolutions de lalgorithme Google (infographie)

Google a du adapter son algorithme au fur et à mesure des innovations et des évolutions comportementales de ses utilisateurs. Cette infographie présente l’histoire et l’évolution de son algorithme de recherche si secret. On se rend compte que nous sommes passés d’une mise à jour annuelle à une mise à jour presque mensuelle tant Google innove et ce rapidement, quitte à chambouler la hiérarchie établie dans son index.
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Qwant lève 18,5 millions d'euros, la Caisse des dépôts prend 20 % du capital

Qwant lève 18,5 millions d'euros, la Caisse des dépôts prend 20 % du capital | Toulouse networks | Scoop.it

Lemoteur de recherche français Qwant vient d'annoncer le bouclage d'une nouvelle levée de fonds. L'entreprise a récolté au total 18,5 millions d'euros, dont 15 millions auprès de la Caisse des dépôts et consignations.

Le marché européen de la recherche en ligne pèse plus de 20 milliards d'euros et Google s'en adjuge une très grande partie, suivi de loin par des moteurs soutenus par d'autres géants des nouvelles technologies, comme Microsoft avec Bing. L'omniprésence de ces acteurs rend toute percée sur ce marché plus que difficile, mais Qwant ambitionne pourtant d'en chiper 5 à 10 %, au nez à la barbe des géants du web. Il mise sur un créneau porteur : la protection de la vie privée.

 

Avoir les moyens de ses ambitions

Pour soutenir de telles ambitions, il faut pouvoir se reposer sur des moyens conséquents. Si Qwant ne livre pas de données sur ses résultats financiers qui permettraient de juger de sa musculature, la jeune pousse française dispose quand même de soutiens de poids. 

En 2014 elle a levé 5 millions d'euros auprès du groupe de médias allemand Axel Springer, avant de souscrire à un emprunt de 25 millions d'euros, remboursable en actions auprès de la Banque européenne d'investissement (BEI). Aujourd'hui, le moteur de recherche annonce avoir levé 18,5 millions d'euros, dont 15 millions provenant de la Caisse des dépôts (CDC) et consignations, qui capte 20 % du capital de l'entreprise en échange.

Les 3,5 millions restants correspondent aux fonds versés par Axel Springer pour se maintenir également à 20 % du capital. Les trois fondateurs de la société restent quant à eux majoritaires. Dans le cadre de cette opération, Qwant est valorisé à hauteur de 75 millions d'euros.

Il est à noter que le moteur de recherche dispose également de financements de la part de BPIfrance, au titre de sa participation au projet Caliopen. L'organisme a en effet accordé une subvention de quelques milliers d'euros dans ce cadre, que ses participants doivent se partager.

 

Qwant en phase d'accélération

Dans un communiqué commun, Qwant, Axel Springer, la BEI et la CDC expliquent que ce nouvel investissement a vocation de permettre « le développement en Europe d'un moteur de recherche alternatif, disposant de sa propre technologie d'indexation, garantissant la confidentialité des données personnelles des utilisateurs ». La CDC elle, assure que cet engagement à lieu « au nom de sa responsabilité sociétale », l'organisme louant au passage l'empreinte européenne et les valeurs éthiques du projet.

De son côté Qwant affirme que ces fonds lui permettront notamment d'assurer une « les moyens nécessaires à une communication plus large auprès du grand public ». Jusqu'ici, la société jure ne pas avoir dépensé un seul euro en publicité, et va donc actionner ce levier pour entrer dans une nouvelle phase de croissance.  Le moteur compte en effet investir 300 millions d'euros dans le domaine du marketing sur les cinq prochaines années... le changement est donc radical.

En 2016, Qwant a répondu à 2,6 milliards de requêtes, c'est deux fois plus que l'année précédente. Mais à titre de comparaison, Google répondait à 3,3 milliards de requêtes chaque jour en 2013. La marge de progression du petit poucet est donc gigantesque.

 


Kevin Hottot

Journaliste spécialisé dans l'univers du jeu vidéo. Passionné par le Dogecoin, le financement participatif.

Jacques Le Bris's insight:

https://www.qwant.com/?q=%22Jacques%20Le%20Bris%22&t=all

 

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Investir en Direct - Présentation de Yatedo

Yatedo  «Le Google des gens», un moteur de recherche sémantique de personnes (Cv, photos, présence sur les réseaux sociaux), compte aujourd’hui 4 Millions de pages vues et recense plus de 500 Millions de profils.

 

 

Cela marche pour vous et  moi, exemple :

http://bit.ly/x4FIAW ;

 

C'est le moment d'investir. N'est-ce pas ?

La startup fondée en novembre 2010 par Amyne Berrada et Saad Zniber deux anciens de l’Epitech boucle actuellement un tour de table de 700.000 euros auprès de Business Angels et de particuliers dont la moitié a déjà été sécurisée...

 

Contact : startups @ viuz.com

 

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La semaine du SEM #4: Social Media Optimization, Téléchargement illégal & Adsense

La semaine du SEM #4: Social Media Optimization, Téléchargement illégal & Adsense | Toulouse networks | Scoop.it
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On continue notre rubrique hebdomadaire sur l’actualité des moteurs de recherche en cette troisième semaine de mars.
Au programme de la semaine : L’importance du social media dans le référencement naturel Téléchargement illégal : Google sous la pression du gouvernement américain Google AdSence dans l’actu de la semaine L’importance du social media dans le référencement [...]
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