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[Interview] Avec « Secret Media », Frédéric Montagnon veut contrer les ad blocks

La start-up a développé une technologie rendant unique la chaîne de caractères (URL, codes...) de chaque publicité, et donc indétectable. En savoir plus : http://frenchweb.fr/?p=171686
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Ces start-up toulousaines qui épatent les Américains

Ces start-up toulousaines qui épatent les Américains | Toulouse networks | Scoop.it
Céline Lazorthes, née à Toulouse./Photo DDM

Toulouse et son agglomération seraient-elles une mine d'or pour les pépites du monde de la tech ? Oui si on en croit la French Touch Conference, qui vient de s'achever à New York.

L'économie digitale n'est pas que parisienne mais se développe aussi en province. Fleur Pellerin secrétaire d'État au commerce extérieur, en est persuadée. Et de citer l'entreprise toulousaine Sigfox qui envisage de se déployer dans la Silicon Valley.

Spécialiste de l'Internet des objets, l'entreprise possède son siège social et ses activités de recherches et développement à Labège. Arrivé du Havre pour son premier emploi il y a 20 ans, Ludovic Le Moan, le PDG, est resté. «À Toulouse, il y a de bonnes écoles et de bons profils», souligne le patron venu défendre la dynamique de la tech française aux États-Unis.

Frédéric Montagnon, Overblog

Une raison partagée par Frédéric Montagnon, le génie toulousain d'Overblog, qui a monté trois start-up dans la capitale de Midi-Pyrénées, avant de s'installer il y a un an à New York pour développer Secret Media, une solution permettant de monétiser le trafic des utilisateurs des logiciels qui bloquent la diffusion de publicités sur un navigateur. «Quand il a fallu choisir l'école pour mes études, je voulais Toulouse pour ma formation. Ensuite, j'ai récupéré beaucoup de Parisiens qui en avaient marre de la capitale.»

Marc Rougier, Scoop It

Pour Marc Rougier, c'est le recrutement qui l'a incité à s'installer dans la ville rose. «J'ai monté Meiosys à Toulouse en 2000, car je n'arrivais pas à embaucher à Paris». Après avoir revendu son affaire à IBM cinq ans plus tard, connu un échec avec Goodjet, il retrouve le succès avec Scoop It, une plateforme de publication sur Internet pour les entreprises. Là encore à Toulouse, même si la partie «business» est basée à San Francisco. «Les États-Unis sont moins conservateurs que la France où il faut un réseau, un pedigree pour parler aux grands donneurs d'ordres. Quand l'offre est innovante : les Américains essaient plus facilement, mais jettent aussi plus facilement».

La TIC Valley vantée à New York

À La French Touch Conference de New York, Marc Rougier est venu aussi parler de la TIC Valley, l'association de 24 entreprises innovantes, installées à Labège. «Il faut favoriser ce type d'environnement favorable à l'économie digitale. La France est en retard : cela ne correspond qu'à 3 % de notre PIB, quand nos pays partenaires sont à 6 %».

Avec un écosystème favorable et des conditions de vie privilégiées, Toulouse attire. Mais certains s'expatrient quand même comme Céline Lazorthes, PDG de Leetchi.com, un service de collecte d'argent élu comme la meilleure start-up en 2013 par Wired Europe. Parmi les intervenants à New York, elle était une des seules femmes. Il y avait aussi Cédric Giorigi, le Toulousain fondateur de Cookening, qui propose des repas chez l'habitant. Et, c'est avec son petit accent du sud-ouest qu'il a vanté les atouts de la French Tech.

Genticel à la rencontre d'investisseurs aux USA

Réussite de la biotech française, L'entreprise de biotechnologie de Labège (Haute-Garonne) a présenté son activité à une cinquantaine d'investisseurs américains à New York. Elle faisait partie d'une délégation de dix-neuf entreprises, emmenées par l'association France Biotech, dans le cadre de la première édition de la French Life Sciences Days. «Je me suis rendu compte que nous avions beaucoup d'entreprises françaises dans la biotechnologie et la medtechnologie qui pouvaient séduire les investisseurs américains. Nous sommes des champions en innovation et en autorisation de mise sur le marché», souligne Pierre-Olivier Goineau, le président.

Cotée à Euronext Paris et Bruxelles depuis le 4 avril dernier, l'entité haute-garonnaise est spécialisée dans le développement d'immunothérapies pour les femmes infectées par le papillomavirus humain qui n'ont pas de lésions. Pour 25 % d'entre elles, le virus a de fortes chances de se développer et, s'il n'est pas soigné à temps, de provoquer un cancer du col de l'utérus. Genticel vient dont de terminer la phase un des essais cliniques de ProCervix, son produit phare. Et les résultats sont de l'aveu du patron labégeois, plutôt bons : trois quarts des femmes éliminent le virus. L'objectif de la société est d'arriver à prouver l'efficacité de ce produit chez l'homme et ensuite de l'octroyer à un partenaire industriel pour la commercialisation. Selon Genticel, le potentiel est estimé à un milliard d'euros de chiffre d'affaires par an. Cette première rencontre avec les fonds d'investissement spécialisés vise à préparer l'avenir du travail du laboratoire haut-garonnais.

En effet, l'entrée en bourse il y a moins de quatre mois a déjà permis une levée de fonds de 34.7 millions d'euros, supérieure aux attentes de la société.

Les Etats-Unis restent dans tous les cas incontournables pour le développement de la société : à terme, si le produit est commercialisé, ils pourraient représenter 45 % du marché mondial. D'autant que les gynécologues du pays, contrairement à l'Europe, recommandent déjà le diagnostic en première détection du HPV lors du frottis annuel. Les essais cliniques de l'autre côté de l'Atlantique devraient commencer dès décembre 2015.

Correspondance particulière d'Anaïs Digonnet à New York
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Les Toulousains partent à la conquête des États-Unis

Les Toulousains partent à la conquête des États-Unis | Toulouse networks | Scoop.it
Robert Scoble, blogueur hi-tech américain aux côtés de Julien Romanetto et Frédéric Montagnon

 

Beaucoup de start-up toulousaines se sont lancées dans les nouvelles technologies. Fortes de leur réussite, certaines d’entre elles ont décidé aujourd’hui de franchir un cap et de tenter leur chance aux USA.

Les entrepreneurs toulousains ne manquent pas d’ambition. Ces dernières années, les start-up n’ont cessé de fleurir autour de la Ville rose. Aujourd’hui certaines d’entre elles sont arrivées à maturité, et ont décidé de passer à l’étape suivante : le rêve américain.

Outre atlantique, tout serait possible. C’est ce que sont allés vérifier quelques-uns de ces entrepreneurs. La principale raison de ces voyages ? «Aux USA, il n’y a pas de barrières. On peut faire sa place si on s’en donne les moyens, c’est une autre culture», explique Marc Rougier, le cofondateur de «Scoop.it.»

Cette entreprise basée à Toulouse, propose une plateforme permettant de créer et partager son propre contenu internet, une sorte de moteur de recherche personnalisée, que l’on peut partager.

La grande pomme a la cote

Pour Marc Rougier, la partie commerciale est à San Francisco, la partie technique, elle, est restée à Toulouse. C’est la configuration de la plupart de ces entreprises qui ont tenté l’aventure américaine : «Nos ingénieurs restent à Toulouse et continuent de développer la partie technique. En France, on a les meilleurs. C’est beaucoup plus difficile de recruter aux USA», précise Aurore Beugniez, cofondatrice de «MyFeelback», un logiciel dédié à l’écoute client des entreprises. L’entreprise va ouvrir un bureau à New York d’ici la fin de l’année.

Frédéric Montagnon, cofondateur d’«Over-Blog», leader européen sur le marché des blogs, est lui aussi installé à New York depuis le début de l’année : «La raison est simple, à l’ouest, on est plus sur la partie technique, avec des ingénieurs. C’est à New York que le business se fait, que les médias sont les plus présents.» Mais pour ces Toulousains a qui les affaires semblent réussir, il n’est pas question de fuir la France : «C’est juste une question d’opportunité, c’est la suite logique des choses. Le marché est immense,» éclaircit Samuel Boury, cofondateur d’Ubleam, une entreprise qui crée des logos intelligents.

Si aux États-Unis, tout est permis, ces entrepreneurs restent lucides : «Il y a quand même des inconvénients, tempère Marc Rougier. La vie est chère, la concurrence est plus importante et surtout, personne ne nous attend.» Mais tous ces businessmans sont d’accord sur un point : le risque, ce serait surtout de ne pas saisir leur chance.

Le chiffre : 2

milliards > de dollars. C’est la somme que représente le marché américain qui s’ouvre à l’entreprise MyFeelBack aux USA. la start-up toulousaine va ouvrir un bureau à New York d’ici 2014.

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Pourquoi Webedia rachète le toulousain Overblog à Ebuzzing

Pourquoi Webedia rachète le toulousain Overblog à Ebuzzing | Toulouse networks | Scoop.it
Overblog, la plateforme de blogs créée à Toulouse, rejoint le groupe Wébédia, qui édite déjà les sites Allociné ou PureMédias. Elle conserve cependant une implantation dans la Ville rose notamment avec une équipe technique.

Créé en 2004 à Toulouse par Frédéric Montagnon, Gilles Moncaubeig et Julien Romanetto, Overblog vient d’être racheté par Webedia qui édite des sites comme Allociné, 750grammes, PureMédias, ou PurePeople. Ce choix, Gilles Moncaubeig l’explique par le fait que la maison-mère Ebuzzing ne pouvait pas investir dans la société à la mesure de ses ambitions, et notamment lui permettre de se développer suffisamment à l’international. « Nous rationalisons les dépenses en nous séparant d’Overblog. Ebuzzing travaille en BtoB autour de la vidéo publicitaire en ligne et génère beaucoup de chiffre d’affaires, tandis qu’Overblog fonctionne en BtoC sur la base de l’acquisition d’utilisateurs avec un trafic énorme », constate-t-il ainsi.

La plateforme compte aujourd’hui 60 millions de visiteurs uniques par mois et a réalisé un chiffre d’affaires de 3 millions d’euros l’an dernier, tandis que Ebuzzing a quasiment doublé son chiffres d’affaires en un an pour atteindre aujourd’hui 100 millions de dollars.

60 millions de visiteurs uniques pour Overblog

En 2006, Overblog s’était rapproché de TF1 qui a détenu jusqu’à 35% de son capital afin de devenir une partie importante de la stratégie digitale de la chaîne. « Cette participation nous a permis à l’époque d’embaucher une quinzaine de personnes essentiellement pour la partie technique, mais également de rémunérer nos blogueurs sous la forme de droits d’auteur », rappelle Gilles Moncaubeig. En 2010, la société a fusionné avec Ebuzzing dans l’optique de créer un véritable média digital nouvelle génération en « crowdsourçant » (partageant) des articles de bonne qualité. Dans ce sens, en juillet 2011, le groupe lève 17 millions d’euros, finalement investi dans la nouvelle version d’Overblog, après un échec de cette stratégie.

Malgré la vente d’Overblog, les deux sociétés vont continuer à partager leurs locaux à Toulouse, chacune à un étage. « Aujourd’hui, nos deux histoires divergent mais nous sommes ravis, Frédéric, Julien et moi, d’avoir réussi à générer cette audience en cherchant simplement au départ à créer un concurrent de Skyblog. » Pour le directeur technique de Ebuzzing, l’histoire des blogs est loin d’être terminée. « Le blog ne sera jamais mort. Quand Facebook peut être comparé à un hôtel, un blog reste une vitrine, un chez soi, un espace maîtrisé. »
Agnès Frémiot

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Overblog à la conquête des États-Unis : Frédéric Montagnon, dans Le Grand Journal de New York

Overblog à la conquête des États-Unis : Frédéric Montagnon, dans Le Grand Journal de New York | Toulouse networks | Scoop.it

Le 21 septembre, L'installation d'Overblog aux États-Unis a été le thème abordé par Frédéric Montagnon, co-fondateur d'overblog, reçu par Sabrina Quagliozzi, dans l'émission Le Grand Journal de New York, sur BFM Business.

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