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Spatial : plongée au coeur du fablab de Thales à Toulouse

Spatial : plongée au coeur du fablab de Thales à Toulouse | Toulouse networks | Scoop.it

Depuis un an, le site de Thales à Toulouse a aménagé un fablab interne équipé d'imprimantes 3D, de casques de réalité virtuelle, de découpe laser...

Objectif : sensibiliser les salariés du grand groupe à la culture de l'innovation de rupture. Plusieurs projets imaginés au sein du fablab sont voués à être industrialisés dans la gamme de Thales.

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Les imprimantes 3D seront taxées

Les imprimantes 3D seront taxées | Toulouse networks | Scoop.it

Les députés avaient-ils perdu de leur imagination ? Depuis quelques temps ils ne nous proposaient plus de nouvelles taxes sur des trucs divers et variés. Heureusement ils ont retrouvé leur vigueur d'antan et se lancent de nouveau dans la taxation. Cette fois ce sont les imprimantes 3D qui sont concernées. Car il ne faudrait pas risquer de zapper la taxation d'un marché qui devrait exploser.

 

La taxe "Copie Privée" adaptée aux imprimantes 3D

En France, il y a une taxe qui s'appelle la taxe "copie privée" et qui concerne tous les supports permettant de faire une ou plusieurs copies de photos, vidéos ou texte. Parmi ces supports on trouve les clés USB, les disques durs, les CD et DVD vierges, les appareils photos, etc... Et bientôt les imprimantes 3D.

Les députés ont déposé un amendement à la Loi Macron qui devrait étendre la taxe copie privée aux imprimantes 3D car elles permettraient elles aussi de reproduire des œuvres. Or, cela paraît logique : la taxe copie privée est censée compenser la perte de revenus des ayants-droits, revenus qu'ils perdent lorsque l'oeuvre est copiée.

Un marché naissant qui devrait exploser

Le dépôt de cet amendement n'est pas anodin. Le marché de l'impression 3D est tout juste naissant en France : en 2014 seulement 133 000 imprimantes 3D ont été vendues.C'est peu, mais le marché a augmenté de 34% en un an.

Toutes les prévisions le disent, d'ailleurs : le marché de l'imprimante 3D devrait exploser dans quelques années et l'imprimante 3D se retrouvera dans un grand nombre de foyers du monde entier, un peu comme les imprimantes normales.

Il était donc temps pour les députés de taxer ce marché naissant avant qu'il ne soit trop tard et que la manne financière représentée par cette taxe ne leur glisse entre les doigts.

Découvrez les avancées médicales permises par l'impression 3D


Toolmapp's comment, April 9, 2015 4:29 AM
Encore de la folie. Qu'ils réduisent le train de vie de l'Etat !
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Rassemblement international de Fablabs à Toulouse pour un festival innovant

Rassemblement international de Fablabs  à Toulouse pour un festival innovant | Toulouse networks | Scoop.it

De nombreux ateliers seront proposés durant le festival./

 

Ils vont venir, ils seront tous là. Du 6 au 10 mai, Toulouse accueillera le Fablab festival, un rassemblement de l'ensemble des Fablabs français – des laboratoires de fabrication ouvert à tous –, et même au-delà (Espagne, Hollande, Russie, Grèce, Brésil, Burkina Fasso…). L'occasion, annonce le président du Fablab toulousain, Nicolas Lassabe, de fédérer enfin le réseau français.

 

Ce festival, ouvert aux professionnels et au public, permettra de découvrir ce qui se cache derrière ce terme à la mode mais dont la finalité échappe à beaucoup (voire l'encadré). Il donnera aussi la possibilité aux curieux de découvrir un monde innovant et bouillonnant : expositions, ateliers pratiques, conférences, le tout dans un espace de plus de 3000m2.

 

De la volière de drones à l'imprimante 3D à pizzas

Les visiteurs pourront manipuler un robot-marionette, imprimer en 3D, réaliser des boomerangs en bois par gravure laser, créer des objets électroniques, s'initier au dessin mural à l'aide d'un robot-traceur, découvrir la volière de drones ou écouter Anjan Contractor, l'inventeur de l'imprimante 3D alimentaire (notamment pour imprimer des pizzas) pour le compte de la Nasa.

Cette rencontre de haut niveau, sous le marrainage d'Axelle Lemaire, secrétaire d'Etat au Numérique, se place dans l'esprit «do it yourself», soit «faites-le vous-même». Un leitmotiv pour les adhérents des Fablabs, qui ambitionnent de bouleverser les modes de consommation : arrêter de jeter un objet dès qu'il est cassé, mais plutôt tenter de le réparer, notamment grâce à l'impression 3D.

www.fablabfestival.fr


Olivier Auradou

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Trois Toulousains inventent l'imprimante 3D prête à monter

Trois Toulousains inventent  l'imprimante 3D prête à monter | Toulouse networks | Scoop.it

Présent sur le salon ICS, la jeune société toulousaine a suscité la curiosité des professionnels

 

Seule l'électronique est importée, tout le reste est usiné et fabriqué en Midi-Pyrénées avec du plastique 100% végétal. Voici l'imprimante 3D livrée en kit. Orange est intéressée pour ses nouvelles liveBox. 

 

L'imprimante 3D est déjà une réalité dans un marché hyperconcurrentiel où il faut offrir un produit différent pour arriver à percer. La société toulousaine eMotion Tech a visiblement trouvé sa voie avec un kit Micro Delta vendu pour 400 euros. Du prêt à monter version Ikea.

Certes l'assemblage n'est pas à la portée du premier venu. Mieux vaut avoir un solide bagage d'ingénieur et une pleine journée devant soi pour monter cette imprimante aux vertus sacrément pédagogiques. «Nous avons fondé la société en mai 2012. autant vous dire qu'en impression 3D, nous sommes déjà des anciens. À la base, nous étions trois associés. C'est encore le cas aujourd'hui, mais avec trois salariés en plus et deux stagiaires en ingénierie et design. Notre cœur de métier ? Les imprimantes 3 D vendues en pièces détachées pour lesquelles nous sommes à la fois fabricants, développeurs et constructeurs», explique Guilhem Peres, cofondateur de la société et juriste.

 

Made in Midi-Pyrénées

Particularité de ces imprimantes ? Les usinages sont faits en Ariège et le plastique 100 % végétal provient du Tarn.»

En fait, seule l'électronique est importée car c'est un savoir-faire qu'on a perdu en France. «Pour le peu qu'il en reste, c'est devenu extrêmement cher. Pour de basses raisons de coût, toute l'électronique est désormais asiatique», poursuit Guilhem Peres. Par contre, toute la conception et une partie de la structure métallique sont faites à Toulouse.

Au départ donc, trois compères aux parcours universitaires diversifiés : Franck Liguori est diplômé de Sup de Co, Guilhem Peres est donc juriste, et Hugo Flye, ingénieur en mécatronique. «Notre matériel est présenté en pièces détachées, un peu comme un Lego ou un Meccano. Il s'adresse surtout à des geeks, des gens qui, à la base, ont une formation d'ingénieurs», reconnaît Guilhem Peres. Le marché s'est orienté naturellement vers les particuliers qui représentent 70 % des acheteurs de Micro delta. Mais une commande sur cinq provient des établissements scolaires (écoles d'ingénieurs, collèges ou lycées). «Il y a donc une forte vocation pédagogique dans ce produit. Avec l'assemblage de ces machines, on fait tout à la fois de la mécanique, de l'électronique, de la programmation, de la CAO», rappelle aussi le coassocié. Mais ce nouveau marché intéresse aussi les professionnels. Orange ne vient-il pas d'acquérir un modèle 3D pour produire des nouvelles LiveBox ?

Jean-Marie Decorse

oliviersc's comment, November 19, 2014 10:46 AM
Source partagée via : http://www.kweeper.com/oliviersc75/sentence/1694293
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Musicophages : Artilect FabLab Toulouse, Imprimante 3D, le réseau, etc.

Réveil Créatif.

Nicolas Lassabe aux Musicophages 20 septembre 2012.
Nicolas Lassabe d'Artilect Fablab Toulouse présente le fonctionnement du réseau et ses dernières évolutions.

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Un Toulousain crée le premier violon conçu grâce à une imprimante 3D

Un Toulousain crée le premier violon conçu grâce à une imprimante 3D | Toulouse networks | Scoop.it

Le violon électrique imprimé en 3D par les Toulousains de 3DVarius.

  

Laurent Bernadac, musicien et ingénieur, a inventé le premier violon électrique imprimé en 3D. L'instrument, baptisé 3DVarius, est produit par l'entreprise Polyform à Colomiers. Il devrait être commercialisé en 2016.

Les vidéos de son instrument unique mises en ligne début août commencent à faire le buzz. Laurent Bernadac, un ingénieur toulousain également violoniste professionnel, a crée le premier violon électrique réalisé grâce à une imprimante 3D. Baptisé le 3Dvarius, l’instrument totalement transparent a nécessité trois ans de recherche pour son inventeur.

« J’ai réussi à obtenir un violon au son de haute qualité », assure l’ingénieur et génie mécanique formé à l’Insa de Toulouse, également médaillé du conservatoire de Toulouse en violon jazz ou électrique. « J’ai commencé les essais avec de l’aluminium, vite abandonné parce que trop peu malléable, pour expérimenter ensuite le plexiglas mais l’instrument était trop lourd, environ un kilo alors qu’un violon électrique pèse plutôt 500g. Le 3Dvarius est finalement en résine transparente, imprimé par une imprimante 3D, en mode stéréolithographie ».

  

Un prototype à 10.000 euros

En février, le musicien sollicite l’entreprise Polyform à Colomiers pour imprimer son violon électrique 3D. L’instrument étant réalisé en une seule pièce, les zones sonores sont transparentes ce qui permet un excellent son. « De plus, j’ai installé du matériel haut de gamme, à savoir un capteur qui prend le son directement sur la corde, ce qui rend un son idéal », souligne Laurent Bernadac.

La fabrication du prototype prend une semaine et revient à 10.000 euros. Grâce aux vidéos de l’instrument sur la toile, le créateur du 3Dvarius a déjà enregistré une centaine de pré-commandes. Il espère commercialiser son invention, déposée à l’Institut national de la propriété industrielle (Inpi), en 2016. Son prix sera inférieur à celui du prototype. D’ici à la fin de l’année, la société toulousaine 3DVarius va lancer une opération de financement participatif pour lancer la commercialisation. En attendant, le musicien est invité à différents salons consacrés aux objets créés par les imprimantes 3D : à Rome et Moscou en octobre et à Taïwan en novembre. 
Julie Rimbert

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▶ Super Fast 3D Printer Prints 30mm in Just 6 minutes

Gizmo 3D imprime trois petites têtes de mort de 3 centimètres de diamètre en 6 minutes.

Ajoutée le 24 mars 2015

If you thought that Carbon3D's new 3D Printer was fast, this company appears to have just one-upped them. It can print 30mm z-axis height in just 6 minutes at 50 micron resolution. (Credit: Gizmo 3D Printers) - Read and see more at: http://3dprint.com/53286/gizmo-3d-pri...


L’entreprise Australienne Gizmo 3D présente une technologie d’impression 3D quasiment « en continu », dont elle assure qu’elle apporte une nouvelle rupture en termes de rapidité d’impression 3D.

En mars, la start-up américaine Carbon 3D présentait lors de la conférence TED de Vancouver la technologie CLIP. Inspirée du film Terminator, elle permettrait d’aller 25 à 100 fois plus vite que les imprimantes 3D classiques. Pour cela, l’objet est tiré en continu et se solidifie en sortant d’une « zone morte » qui reste en permanence liquide. L'impression 3D "en continu" fait des émules. Cette fois-ci, c’est une entreprise australienne, Gizmo 3D Printers, qui présente une nouvelle technologie d’impression 3D en continu. Tout comme Carbon 3D, Gizmo 3D imprime les objets à partir de résine liquide, avec la technique DLP (Digital Light Processing). La lumière UV est utilisée pour solidifier, par photopolymérisation, un polymère liquide qui se trouve dans le bac.

La lumière UV projetée par au dessus

Mais contrairement aux technologies DLP classiques, qui impriment en projettant la lumière par au-dessous, en commençant par imprimer le haut de l’objet, l’imprimante de Gizmo 3D projette la lumière UV par au dessus en commançant par imprimer le bas de l’objet. "Le projecteur se trouve au-dessus de la cuve de résine. Il projette les images sur la surface de la résine du haut vers le bas. La plaque de construction se trouve immergée dans la cuve juste sous la surface de la résine et descend à chaque couche" détaille l'inventeur de la technologie, Kobus DuToit, dans un article du site additiverse, spécialisé dans l’impression 3D.

La plupart des imprimantes 3D DLP, tout comme l’imprimante de Carbon 3D, ont un plateau de construction immergé jusqu’au fond de la cuve de résine. La projection d’image se fait sous la cuve à travers le fond en verre. Il faut alors attendre à chaque couche plusieurs secondes, le temps que le plateau monte et que la résine de la couche suivante se mette en place en-dessous. L’imprimante de Gizmo 3D permet à la résine de recouvrir rapidement la surface de la couche, pour cela d’une épaisseur très faible, précédemment imprimée. Si bien que le plateau se déplace pratiquement en continu du haut vers le bas, précise encore Kobus DuToit.



Une campagne "crowd funding " pour financer le développement de la technologie

Encore en train de breveter la technologie, l’entreprise n’en dit pas plus sur le procédé exact qui est employé. Son développeur assure toutefois qu’elle pourrait imprimer des objets de 150 x 80 x 26 mm en 6 minutesseulement, à condition d'être dotée d’une mémoire plus vaste. Elle serait alors, selon Kobus DuToit, l’imprimante 3D la plus rapide au monde. Un autre avantage de la technologie serait que la hauteur des objets ne serait plus limitée que par la taille de la cuve. Gizmo 3D va lancer une campagne de "crowd funding" en septembre. A la vente, les quatre différents modèles devraient coûter de 2 200 à 5 500 euros environ.

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Imprimer la lumière sur du papier est devenu possible

Imprimer la lumière sur du papier est devenu possible | Toulouse networks | Scoop.it

La société Rohinni, une start-up américaine, a réussi à imprimer de la lumière sur du papier. Une première ! 

 

Les récentes imprimantes 3D peuvent être utilisées pour de nombreuses applications, que ce soit dans le domaine médical ou industriel par exemple. Rohinni, une société américaine située dans l’Idaho, a inventé la technologie « Lightpaper » qui permet de fixer la lumière sur du papier en utilisant ce type d’imprimante.

Lumière sur la technologie Lightpaper

La technologie Lightpaper est rendue possible grâce à une extrême miniaturisation de diodes. En effet, Rohinni a réussi la prouesse de créer des diodes dont la taille ne dépasse pas 8 micromètres, soit pas plus gros qu’un globule rouge. Il est alors possible de les fixer sur un support aussi fin qu’une feuille de papier. C’est le support lui-même qui génère ainsi de la lumière, une fois alimenté. L’entreprise américaine précise tout de même que le support doit être conducteur.

Cette première version n’est pas parfaite car les LED étant appliquées aléatoirement sur le support, il est encore difficile d’uniformiser l’éclairage. Ce petit problème devrait être réglé dans une 2ème version de Lightpaper, précise le responsable marketing de la société, Nick Smoot.

Quels sont les types d’applications d’une telle technologie ?

Nick Smoot déclare que, dans un premier temps, cette technologie ne sera mise à la disposition que des industriels. Sur le site web de la compagnie, on peut voir différentes possibilités d’utilisation : des écrans de télévision et de smartphone ultra-fin, l’éclairage de logos ou de devantures d’établissements de commerce, des murs d’éclairage pour la maison, etc. M. Smoot précise que la commercialisation de cette technologie innovante devrait commencer dans le courant de l’année.

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La Poste se lance dans l'impression 3D

La Poste se lance dans l'impression 3D | Toulouse networks | Scoop.it
La Poste lance mercredi 27 novembre dans trois bureaux franciliens un service d'impression 3D à destination des particuliers et des professionnels, qui sera expérimenté pendant six mois avant un éventuel déploiement sur le territoire.

« L'objectif est de donner accès à l'impression 3D aux clients de La Poste et au plus grand nombre de Français, leur montrer ce qu'est cette technologie dont ils entendent parler tous les jours mais ne savent pas toujours concrètement en quoi [elle] consiste », résume Philippe Bajou, directeur général de l'enseigne (réseau des bureaux de poste). « Nous allons mener cette expérience pendant six mois, et analyser comment le grand public et les professionnels s'approprient cette nouvelle offre », explique-t-il.

TRENTE EUROS POUR UNE COQUE DE SMARTPHONE

Les trois bureaux de poste équipés d'une imprimante 3D sont ceux de Boulogne-Billancourt - Hôtel-de-Ville, de Paris - Bonne-Nouvelle et de Paris-La Boétie. Deux postiers par bureau ont été formés pour l'utilisation de l'imprimante « et pour aider les clients à faire les bons choix techniques ». La Poste propose deux offres. La première est à destination des particuliers, qui vont pouvoir imprimer de petits objets, comme des coques de smartphone, « choisis dans un catalogue, et personnalisables », ou à partir d'un fichier 3D qu'ils apporteront. La seconde s'adresse aux professionnels – des architectes, par exemple, qui pourront imprimer des maquettes.

Dans les trois bureaux de poste concernés, une imprimante 3D sera disposée dans « un espace protégé » et proposera l'impression des objets les plus simples, mais pour ceux qui nécessitent un travail plus long ou des technologies 3D plus poussées, leur fabrication se fera en atelier ; La Poste ayant en effet noué un partenariat avec Sculpteo, la société française spécialisée dans ce domaine.

Les prix seront indiqués dans le catalogue des objets suggérés par La Poste. « Une coque de smartphone personnalisée coûtera environ 30 euros », annonce M. Bajou, qui précise que, pour les objets plus volumineux ou professionnels, un devis sera établi.

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