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Google supprime le lien vers Google+ situé en haut du moteur de recherche et des autres services

Google supprime le lien vers Google+ situé en haut du moteur de recherche et des autres services | Toulouse networks | Scoop.it

Cette fois, ça y est : Google+ est devenu un service Google comme un autre. On définissait souvent Google+ comme « le service à part » chez Google, une surcouche sociale intégrée à l’ensemble des autres services. Aucun autre service ne pouvait se vanter d’être si intégré. Google aura essayé d’employer la manière forte pour imposer Google+, mais il semblerait que la firme de Mountain View ait décidé de faire marche arrière. Le lien vers Google+, situé en haut à droite du moteur de recherche et de l’ensemble des services Google, a été supprimé hier soir.

Le screenshot ci-dessus correspond au moteur de recherche. En haut à droite, le « +Prénom » a laissé place au simple prénom. Aucun lien n’est présent sur le prénom de l’utilisateur connecté. Deux services populaires sont proposés : Gmail et Google Images. Pour accéder à Google+, vous devrez cliquer sur le symbole aux 9 petits carrés. YouTube, Google Maps, Agenda, Google+ et les autres sont désormais sur un pied d’égalité. Une fonctionnalité de Google+ est cependant toujours présente : les notifications. Elles sont accessibles depuis la petite cloche, située à gauche de la photo de profil.

Le lien vers Google+, autrefois situé sur le prénom de l’utilisateur, était également présent sur Gmail, Agenda, Google Actualités et de nombreux autres services Google. Il a totalement disparu. C’était aussi un moyen pour Google d’attirer l’utilisateur vers Google+, qui doit maintenant cliquer 2 fois pour y accéder. Le clics accidentels et les clics de curiosité seront désormais moins nombreux.

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Votre curation de contenu avec Scoop.it et Google+

Votre curation de contenu avec Scoop.it et Google+ | Toulouse networks | Scoop.it

Chez Ecritoriales.com, en 2014, nous avons revu toute notre stratégie Content Marketing ! Et c'est avec Scoop.it et Google+ que nous la construirons !

 

Structurez votre curation de contenu avec Scoop.it et Google+!

La curation de contenu (mon dieu ! Que cette expression affreuse fait penser aux pires épisodes de la série « Urgences ») est un concept pourtant essentiel à intégrer à partir du moment où vous avez décidé de faire évoluer votre stratégie web marketing traditionnelle vers une stratégie Content Marketing.

Car, notamment si vous manquez de temps pour pouvoir produire avec régularité un contenu de qualité, la curation de contenu vous permettra (mais sans remplacer la production de contenu sur votre blog !), de continuer à démontrer votre expertise en relayant des contenus « utiles » pour votre communauté.

Personnellement, j’ai un outil chouchou pour effectuer ma curation de contenu : c’est Scoop.it ! En encore plus depuis qu’il prend en charge Google+, et par conséquent son fameux Authorship !

Scoop.it en deux mots (Bon, peut-être un peu plus…)

Avec Scoop.it, que ce soit dans sa version gratuite, pro, ou encore business, vous aurez la possibilité de créer une ou plusieurs thématiques sur lesquelles effectuer votre curation.

Un conseil qui relève du bon sens : choisissez des thématiques qui font sens par rapport aux activités de votre entreprise ! Par exemple, pour Ecritoriales.com, j’ai choisi 4 thématiques qui sont :

Je gère ensuite mes sujets un peu comme une sorte de magazine en ligne, en ajoutant, non seulement les propres contenus, mais aussi les contenus des sites ou blogs que je suis dans ces domaines, ou ceux qui me sont suggérés par Scoop.it.

Par ailleurs, il est possible avec Scoop.it, et notamment pour des sites que vous suivez avec assiduité (et donc les vôtres), d’intégrer les flux RSS de ces sites afin d’avoir un contenu qui se met à jour sans que vous ayez à intervenir… Magique, non !

De plus, vous avez aussi la possibilité d’installer sur votre navigateur un bookmarklet, qui vous permettra, même lors de vos séances de navigation les plus procrastinantes, de joindre l’utile à l’agréable en scoopitant (mon petit néologisme à moi…) d’un seul clic.

 D’ailleurs, les fonctionnalités géniales de Scoop.it ne s’arrêtent pas là !

  • –          Ajout possible de ses propres commentaires même sur un contenu qui n’est pas le vôtre
  • –          Partage sur vos médias sociaux préférés
  • –          Possibilité de connecter un blog Tumblr
  • –          Possibilité de connecter un blog WordPress (Je tombe en pamoison…)
  • –          Dimension sociale qui vous permettra de suivre d’autres utilisateurs
  • –          Recommandation de contenus (dont les vôtres, bien entendu ! je vous laisse juste concevoir le potentiel de viralité d’une telle stratégie !)

Bref, et je le dis tout net, Scoop.it est en train de devenir (avec Pinterest pour des raisons que je vous expliquerai dans un prochain post), mon outil social n°1, bien avant Twitter, Facebook, et Google+ !

 

La prise en compte de l’authorship Google par Scoop.it ! (Yeah !!!…)

Un peu de définition pour commencer… C’est quoi l’authorship Google ?

C’est la manière qu’a Google d’identifier la paternité d’un contenu sur le web et de pouvoir :

  • –          D’une part l’indiquer aux internautes
  • –          D’autre part de faire un lien vers son profil Google+ s’il en a un (sinon, à vous les joies de l’anonymat et des blogs qui n’intéressent personne)

Tout ça dans les si prisés résultats de recherche de Google. Cerise sur le gâteau, vous verrez votre jolie bouille apparaitre à côté du dit résultat de recherche : Google sait faire ce qu’il faut pour flatter les egos des internautes…

 

Revenons à Scoop.it.

Lorsque vous créez votre compte scoop.it, vous êtes invité à vous connecter à vos médias sociaux, dont Facebook, Twitter, et depuis peu Google+ afin d’y partager vos contenus de curation !

D’ailleurs, si vous avez déjà un compte Scoop.it, il n’est pas trop tard pour remédier à la situation !

Rendez-vous dans vos paramètres, dans vos options de partage, connectez votre page Google+ et ENJOY ! Bienvenue dans un Scoop.it aux possibilités décuplées que vous ne pourrez plus jamais quitter.

Désormais, à chaque fois que vous déciderez de scoopiter un contenu, quel qu’en soit son auteur, Scoop.it vous offrira la possibilité de partager votre contenu sur Google+ tout en étant identifié comme auteur de votre curation : je vous laisse imaginer tout ce que vous allez pouvoir faire avec ça, vous qui avez opté pour une stratégie Content Marketing en 2014 !

Sans compter la possibilité inestimable de programmer vos messages avec un abonnement business, de connecter également votre compte buffer et toute votre vie de Content Marketeur en sera à jamais bouleversée…

Scoop.it est devenu en très peu de temps l’outil incontournable de toute ma stratégie web marketing, ainsi qu’un outil que je gère avec beaucoup de succès pour les clients de Ecritoriales.com. Et décuplé par la puissance des pages Google+, je ne peux vous dire qu’une chose : vous ne pourrez bientôt, comme moi, plus jamais vous en passer !

Et vous, connaissez-vous Scoop.it ? Quelles sont vos impressions sur cette plateforme de curation et de partage de contenu ?

Jacques Le Bris's insight:


Ce billet a été édité le 3 mai 2014, une éternité sur Internet...

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Goodbye, Google+: Social Network Broken Into Streams and Photos Products

Goodbye, Google+: Social Network Broken Into Streams and Photos Products | Toulouse networks | Scoop.it

Horowitz didn't specifically mention Google+ in his post, but the writing is on the wall. Considering these two products make up much of the Google+ network user experience, their separation pretty much spells the end of Google's foray into social.

Google has given a lot of clues pointing to the demise of its social network over the past 18 months, including the shelving of mandatory Google+ registration when signing up for new Google services, the death of Authorship, moving much of the Google+ team to Android when G+ godfather Vic Gundotra left the company.

Even so, Google+ had continued expanding some services. For example, it wasn't that long ago +Post ads were made available to all advertisers.

Maybe Google hopes to continue using Google+ for advertising only? It seems ludicrous – without a social network, where's the audience to make it worth it for businesses to stay? Ah, there's the beauty of Google though; it was never just a social network. It's primarily an advertising network, then a search engine.

Sure, the social aspect of it would be a ghost town (as we've been proclaiming since its earliest days), but they have such reach across Search, YouTube, Gmail that it may not matter. Google+ was never getting the social engagement and activity Facebook enjoys, but their ad business is still exponentially larger and more lucrative.

If you take Photos and Streams away, there's really not much left to interest users, is there? Hangouts already became a standalone app in the fall. With this latest announcement, it's crystal clear Google has abandoned their plan to build a social network to rival Facebook.

Google+ will now join a host of products that have been killed off before it, in the Google Graveyard. We've said goodbye to Aardvark, Google Buzz, Labs, Google Answers and more.

That's what's amazing about Google, though. They take massive risks that don't always pan out, but they are free to try.

Their plans for the network always seemed somewhat patched together – often, it seemed they were trying too hard to be like Facebook and not getting it quite right. The parts they nailed, like Hangouts, aren't integral or exclusive to the network anymore. Taking on Facebook for the social media heavyweight belt was probably their most ambitious effort to date, but also their most publicized and notorious failure. The concept wasn't bad and you can't blame them for trying – it just never came together.

Goodbye, Google+.

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Vers le crépuscule de Google+ ? Des projets alternatifs émergent en interne s

Vers le crépuscule de Google+ ? Des projets alternatifs émergent en interne s | Toulouse networks | Scoop.it

Bradley Horowitz reprend les rênes du réseau social de Google, qui pourrait faire l’objet d’une exploitation par thèmes comme la photo ou le streaming.

Google veut-il tourner la page de Google+ ? Plusieurs indices tendant à démontrer que le groupe Internet cherche à renouveler l’expérience avec son réseau social qui manque de dynamisme face à Facebook.

Bradley Horowitz remplace David Besbris à la direction de Google Plus.

On recense un vrai turn over à ce poste. Puisque David Besbris avait été nommé en avril 2014 pour remplacer Vic Gundotra, le fondateur de Google Plus (l’origine du réseau social remonte à l’été 2011).

Quelles sont les intentions de Bradley Horowitz ? Dans une contribution sur Google Plus justement, l’ex-Vice-Président Produits en charge de Google Plus répond à TechCrunch qui avait dévoilé son nom. « Je voulais juste vous dire que les rumeurs sont vrais. Je vais diriger Google’s Photos et Streams. », déclare l’intéressé.

Mais dans quelle mesure Google + sera remodelé ? Il est encore trop tôt pour en savoir plus…

Mais le virage se confirme : « Je le pense de plus en plus : vous allez voir que nous allons nous concentrer sur les communications, les photos et Google+ Stream comme trois importantes domaines plutôt que les considérer comme un tout », a déclaré Sundra Pichai, Vice-Président Senior de Google en charge de Chrome, d’Android et des applications, dans les colonnes de Forbes.

Facebook a terrassé Google Plus. Sur le papier, le réseau social de Mark Zuckerberg remporte le match indéniablement : 1,35 milliard d’utilisateurs dont 890 millions d’utilisateurs actifs par jour au dernier pointage (compteur de décembre 2014). Pour Google Plus, à la date d’octobre 2013, on arrivait à 30 millions d’utilisateurs par mois.

Certes, la firme Internet a essayé de monter des synergies entre Google+ et d’autres services complémentaires comme Gmail (messagerie) ou Hangout (vidéo conférence et messagerie instantanée). Mais cela ne semble pas suffire pour revenir dans la course.


 
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Facebook, Google+, Twitter, Pinterest, and Instagram - Perfecting Your Social Media Profiles - #infographic

Facebook, Google+, Twitter, Pinterest, and Instagram - Perfecting Your Social Media Profiles - #infographic | Toulouse networks | Scoop.it
"These days, your social profile is like your second face. It’s the identity tag for everything you do and everyone you encounter in the online world. Whether you’re trying to run a business, plan an event, promote a passion project, or just make friends, a finely-tuned social profile is the cornerstone of this endeavor."
So the big question is what are the elements of a perfect social media profile?
To give you the answer, tollfreeforwarding created an infographic that will serve as your guide to perfecting your Facebook, Google Plus, Twitter, Instagram, Pinterest, and Instagram profile.

Here are some key highlights:

How to Make a Great Google+ Profile.

Profile name: Pick a profile name as close to your business or website name as possible. When you have at least 10 followers, you'll be able to create a custom URL based on your profile name.

Profile Picture: Your profile picture will show across the web, so be sure it;s professional and recognizable! Perfect image size: 250 x 250 px.

Cover Photo: Perfect size for Google+ header is up to 2120 x 1192 px. Take advantage of the large space! Choose picture that relates to your business or your industry. You can even use animated GIFs as a cover photo.

People: Be sure to enable "show people who have added you to their circles", which will impress people who visit your page.

Work:
Occupation: Keep it short - a sentence or two about what you do and where you work.
Skills: Don;t be shy! Everything you are good at (or want to be seen as good at) should be listed here. Use at least 5 strong keywords.
Employment: Highlight your career history, providing 2-3 sentences per job.

Education: Listing your education will further highlight your history, and allow Google+ to search for more people you may know.

Contact Info: Always include contact information! Even if it's only an email address, list the source you check most frequently so people can contact you easily.

Story:
Tagline: Use 10 words or less to describe yourself, and include keywords!
Introduction: You can be as brief or lengthy as you like, but you want to make sure your introduction is engaging and lets people know what you're about.

Bragging rights: Exactly what the title says: Got something to brag about? Include it here as text or links.

Places: Listing your zip code will include a map of where you're located - and where you've been - on your page. While not a necessity for a strong Google+ profile, the more information you've, the more valid your profile will appear.

Basic info: Most of this will be auto filled when you create your account, but you can choose how much personal information you want to display to your circles.

Links:
Other profiles: Got any other profiles? Blogs Websites? Add them to improve your visibility across multiple platforms.

Contributor to:Any other site or blog your write for should be linked to their "about me" page here to authenticate your authorship. Links: These can include recent blog posts, featured publications, whatever you think represents you well. Show them off!

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Google ferme Orkut, son tout premier réseau social

Google ferme Orkut, son tout premier réseau social | Toulouse networks | Scoop.it

Dix ans et puis s'en va. Google a décidé de fermer le 30 septembre prochain son tout premier réseau social, Orkut, né la même année que Facebook. S'il n'a pas rencontré le succès de son concurrent direct (100 millions d'utilisateurs contre 1,2 milliard), il était cependant populaire dans certains pays comme l'Inde ou le Brésil. Le site avait été créé par Orkut Büyükkökten, un étudiant turc de l'université de Stanford, qui avait été embauché dans la foulée.

Google+ reste seul

Google explique sa décision par le succès de ses autres plateformes sociales : "au cours de la dernière décennie, YouTube, Blogger et Google+ ont décollé, avec des communautés qui ont émergé dans chaque coin du monde. Puisque la croissance de ces communautés a dépassé celle d'Orkut, nous avons décidé de dire adieu à ce dernier. Nous concentrerons désormais notre énergie et nos ressources à rendre ces plateformes sociales aussi formidables que possible pour tous ceux qui les utilisent."

Google promet que les utilisateurs pourront télécharger une archive contenant tous leurs contenus, à la manière de ce que proposent déjà Facebook et Twitter. L'outil TakeOut permettra même d'exporter son profil vers d'autres plateformes, par exemple Google+.

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5 outils pour mieux gérer vos activités sur Google+

5 outils pour mieux gérer vos activités sur Google+ | Toulouse networks | Scoop.it
Avoir une présence active sur Google+ est une chose et bien gérer cette présence pour plus de performances est une autre chose.
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Google+, "le futur de Google"

Google+, "le futur de Google" | Toulouse networks | Scoop.it
Raillez, mauvaises langues : Google+ est loin d'être un échec, selon l'insensible géant. Ce serait même le futur de la recherche... et de tous ses services.

 

Google+, avenir de Google ? A ceux qui se sont habitués à railler le réseau social - croissance désespérément lente de son audience, activité proche de l’hémisphère gauche d’un candidat de télé-réalité - l’idée ne pourra arracher qu’un pouffement étouffé.

C’est vrai, rappelle Ars Technica, Google+, c’est le réseau social « nous aussi on en a un » de Google, après l’échec de Buzz et la décapitation (très sale) de Wave. Mais Google+ a un avenir, qu’importent les chiffres.

"Tout est connecté au sein de Google+"

On en voudra pour preuve son lambertisme au sein des différents services de Google. Les commentaires de Youtube ? Remplacés par Google+. Le Google Play Store ? Connecté à Google+. Le moteur de recherche ? Personnalisé via Google+. Idem pour feu-Talk, refondu en Hangouts dans le réseau social.

La raison est simple, explique le journal, qui reprend les paroles de Steve Grove (en charge des partenariats communautaires du réseau social) au magazine Mint :

« Nous avons consolidé les différents services, donc aujourd’hui la recherche, Youtube, le Google Play Store… Tout ceci est connecté au sein de Google+. La raison est que Google+ est en quelque sorte la prochaine version de Google. Et le mobile et la clé pour ça : on voit beaucoup d’activité sur mobile désormais. Cela apporte beaucoup de valeur, parce que Search montre aussi les résultats de Google+, et cela va amener encore plus de gens sur Google+. Les gens vont voir que se connecter à nos services avant de faire une recherche apporte beaucoup de valeur. »

Pas étonnant du point de vue de Google, notent nos confrères. Décrit récemment par le Guardian comme « la Matrice », Google+ est le lieu où se croisent toutes vos données lors de l’utilisation des services de Google. Dont, on le rappelle, la principale activité consiste à digérer cette mixture pour vendre de la publicité ciblée.

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Utiliser le #hashtag Google Plus pour suivre votre réputation ou faire de la veille ?

Utiliser le #hashtag Google Plus pour suivre votre réputation ou faire de la veille ? | Toulouse networks | Scoop.it
e hashtag ou mot-dièse en français est un élément incontournable des médias sociaux.

Popularisé par IRC ou encore Twitter, le hashtag a pris sa place également dans Google Plus.

Aujourd’hui, nous vous proposons de voir comment utiliser un hashtag dans Google Plus afin de pouvoir profiter pleinement du réseau social.

Définition du hashtag

« Le hashtag (ou encore mot-dièse, mot-clic) est un marqueur de métadonnées lié au domaine de l’informatique.

Composé du signe typographique croisillon « # » (appelé hash en anglais) (et ressemblant sensiblement au dièse, « ♯ »), suivi d’un ou plusieurs mots accolés (le tag, ou étiquette), il est particulièrement utilisé sur les IRC et réseaux sociaux tels que Twitter, Tumblr ou Google+ et Facebook qui testerait actuellement l’intégration. »

Source : Wikipedia

Le hashtag dans un post

Afin de créer un hashtag dans un post, vous devez simplement faire précéder votre mot par le signe #.

 

Désormais, votre post est « taggué » avec comme mot-clé « googletv ».

Cela permet notamment pour les personnes qui s’intéressent à la Google TV de pouvoir effectuer une veille par exemple en suivant uniquement le hashtag #googletv.

Le hashtag pour de la veille

Grâce aux hasthtags, vous pouvez faire une veille très poussée sur Google Plus. De la veille pour votre entreprise en passant par votre marque, vous ne manquerez plus rien.

Pour se servir du hashtag dans un cadre de veille, il suffit de saisir votre hashtag dans le champ de recherche (éventuellement appliquer les filtres), puis de sauvegarder la recherche afin d’être systématiquement averti des posts qui contiennent vos mots-clés ou hashtags.

Jacques Le Bris's insight:
Conclusion

Le hashtag fait désormais parti du paysage du web.

Aussi, à vous de savoir si vous souhaitez profiter de ses opportunités ou pas.

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G+ stop ou encore ?

G+ stop ou encore ? | Toulouse networks | Scoop.it
Bonjour,

J'ai tenté ce matin de diffuser ce qui suit sur Google+.

Tenté car censuré.

A vous de juger.

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Google + et Twitter : comment utiliser les deux plateformes

Google + et Twitter : comment utiliser les deux plateformes | Toulouse networks | Scoop.it

Fin janvier, Global Web Index annonçait une nouvelle qui a semblé choquer de nombreux spécialistes dans les réseaux sociaux : Google + est maintenant le deuxième réseau social le plus utilisé au monde, dépassant Twitter et YouTube. Les inconditionnels de Twitter sont immédiatement montés au créneau pour défendre les avantages de leur plateforme de microblogging. Mais doit-on vraiment se poser la question? Quand on travaille dans le marketing et les réseaux sociaux, pourquoi ne pas utiliser les deux ?

Trendsream, qui publie le Global Web Index, a dévoilé ses statistiques de fin d’année en montrant que le nombre d’utilisateurs actifs sur Google Plus est désormais de 343 millions, et se situe maintenant en deuxième position des réseaux sociaux derrière Facebook. Certaines personnes critiquent la véracité des chiffres mais semblent oublier que Twitter et Google + ont tous les deux des forces qui peuvent s’intégrer parfaitement dans des stratégies de communication. Il est plus question de savoir comment utiliser une plateforme et non de choisir laquelle utiliser. Vous trouverez dans cet article les avantages de Google + et Twitter, ainsi que quelques pistes et outils pour vous permettre de profiter au mieux des deux produits.

(...)

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10 conseils pour optimiser son référencement sur Google+

10 conseils pour optimiser son référencement sur Google+ | Toulouse networks | Scoop.it

Ce n’est pas un secret : quand les ingénieurs ont créé Google+, ils ont construit le mastodonte du référencement, afin de dominer sur les résultats de recherche de toutes les autres plateformes sociales. Bien que Facebook et Twitter soit essentiels au niveau marketing, l’un et l’autre limitent l’accès à Google à une grande partie de leurs données, ce qui limite leur efficacité de référencement.

Rien de tel avec Google+ !

Voici une expérience : si vous utilisez Google+, effectuez une recherche de votre nom puis observez la distribution des 100 premiers résultats. Le graphique ci-dessous montre ce qui arrive lors de la recherche de mon propre nom.

Même si j’utilise Twitter et Facebook bien plus souvent, Google+ domine les résultats. Google+ bat même SEOmoz ainsi que mon propre blog. Multipliez cela par 100 millions de personnes, et vous pouvez entrevoir la portée de la plate-forme de Google.

 

Heureusement, il existe plusieurs façons pour vous d’en tirer avantage.

1. Liez vos profils

2. Intégrez des liens à vos messages

3. Optimisez l’identification de vos titres G+

4. Un pouvoir d’édition illimité

5. Indexez un contenu nouveau en un éclair

6. Connectez-vous avec les personnes influentes

 

- 17 actions qui déclenchent des notifications :

Les mentionner dans un message.

Partager directement un message avec eux.

Partager un message et être dans un cercle auquel ils ont souscrit.

Commenter un message qu’ils ont créé.

Commenter un message après qu’ils l’aient commenté.

Les ajouter à un cercle.

Leur proposer de nouvelles personnes à ajouter à leurs cercles.

Les identifier dans une photo.

Identifier une de leurs photos.

Leur suggérer une photo de profil.

Commenter une photo après qu’ils l’aient commentée.

Commenter une photo dans laquelle ils sont identifiés.

Commenter une photo qu’ils ont identifiée.

Débuter une conversation avec eux.

Leur envoyer une invitation ou modifier un événement.

Leur signaler des événements.

Toutes les activités sur des événements qu’ils ont créés.

 

 

7. Optimisez votre photo de profil pour plus d’affluence

8. Testez le tableau de bord Google+ pour vos médias sociaux

9. Vérifiez le classement de votre cercle

10. Soyez (après coup) un impressionnant précurseur

 

Vous pouvez utiliser Google+ moins de 10 minutes par jour, en prenant de petites habitudes adaptées à votre flux de travail.

- Cliquez sur +1 pour propager un bon commentaire …ajouter des commentaires sur des choses vraiment importantes

- Cliquez sur +1 à vos propres contenus

- Participez, commentez, partagez, lancez des bulles, créez des événements

- Incluez à vos cercles les bonnes personnes

- Facilitez les choses à ceux qui veulent vous inclure à leurs cercles

 

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Hangouts in Gmail

This was probably inevitable: Google today announced that it is replacing video chats in Gmail with Google+ Hangouts. The company first brought video chat to Gmail in 2008, but ever since the launch of Google+, it was only a matter of time before the company decided to replace its old video chat feature with Google+’s marquee group video chat tool. Hangouts, Google says, “utilize the power of Google’s network to deliver higher reliability and enhanced quality” and will allow Gmail users to also reach people not only when they are using Gmail, but also “if they are on Google+ in the browser or on their Android or iOS devices.”

 

With Hangouts, Gmail users obviously also get a number of new features that weren’t previously available in Gmail video chats. Besides the fact that users can chat with up to 9 users simultaneously, Hangouts will now also allow users to collaborate on Google documents and share their screens. As Google notes, there are also a “bunch of fun effects” that users can try. (Update: It looks like both users need to have Google+ accounts for all of these features to work in Gmail.). Just like with Gmail’s video chat feature, Hangouts also requires users to install a plugin.

Ever since the launch of Google+, Hangouts has been considered the social network’s “killer feature,” but it remains to be seen how Gmail users will react to seeing even more Google+ features in their email client.

Google says that it is rolling this new feature out starting today, but the complete rollout could take a few weeks.

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Google Plus n’est pas encore mort

Google Plus n’est pas encore mort | Toulouse networks | Scoop.it
Pour le moment, Google Plus continuera d’exister. Mais il risque de beaucoup changer.

 

Il y a quelques jours, Google a dévoilé Google Photos, un service de stockage de photos gratuit et illimité qui concurrence directement les services comme iCloud ou encore Dropbox.

Mais Google Photos n’est pas réellement nouveau. En effet, il s’agit d’un service qui faisait partie du réseau social Google+ mais que la firme de Mountain View a décidé de séparer de celui-ci.

De ce fait, on se pose encore plus de questions quant à l’avenir de Google+. Il y a quelque mois, le responsable et co-créateur de celui-ci, Vic Gundotra, avait quitté l’entreprise. On croyait alors que Google+ allait subir le même sort qu’Orkut, un autre réseau social de Google qui a été débranché l’année dernière. Et par ailleurs, Google n’a jamais vraiment démenti ces rumeurs.

Mais récemment, le vice-président de la division « Streams, Photos, and Sharing » au sein de l’entreprise, Bradley Horowitz, qui a Google+ sous sa responsabilité, a clarifié les choses durant uneinterview pour Medium.com : « Non, Google Plus n’est pas mort ».

L’idée n’est pas de tuer le réseau social. En revanche, le vice-président a évoqué des changements à venir. Après trois ans et demi d’existence, Google+ a appris beaucoup de choses à la firme de Mountain View. Et son intention est maintenant de se concentrer sur les usages les plus fréquents du réseau social.

Bradley Horowitz cite un exemple : « notamment, un cas d’utilisation sur Google Plus est l’alignement des gens autour d’intérêts communs. Si je suis intéressé par l’astronomie et que je souhaite rencontrer des gens intéressés par l’astronomie, nous pensons que nous avons une bonne solution – Collections, une nouvelle fonctionnalité que nous avons lancé il y a deux semaines. C’est le début d’une série de pivots ».

Et effectivement, si Plus ne regorge pas forcément d’activités comme ses rivaux Instagram, Twitter ou Facebook, s’il a par moments été qualifié de « ville fantôme » par les médias, le réseau social de Google héberge tout de même des communautés assez intéressantes.

Concernant Collections, comme l’expliquait mon collègue Emmanuel il y a quelques jours, « la ressemblance entre Collections et Pinterest est assez frappante, désormais il sera donc possible d’organiser et de partager tous ses centres d’intérêts sur le réseau social Google + ».

Mais selon mois, on pourrait également trouver des similarités entre Collections et le service françaisPearltrees.

En substance, Google Plus n’est pas encore condamné, mais il va s’adapter et miser sur ce qu’il fait le mieux.

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Une brève histoire de Google+

Une brève histoire de Google+ | Toulouse networks | Scoop.it

Après avoir tenté d'imposer à tous ses utilisateurs ce service, qui aura connu trois patrons en un an, Google a fait lentement machine arrière. Car personne, ou presque, ne comprend son but.

 

A la fin de juin 2011, lorsque Google commence à distribuer des invitations pour la version bêta privée de Google+, c'est une effervescence mêlée de craintes qui saisit ses fans. Personne ne veut passer à côté d'un nouveau Gmail, grande réussite de Google, et dont les invitations ont longtemps été diffusées au compte-gouttes. Mais, un peu plus d'un an auparavant, Google a aussi connu l'un de ses pires fiascos avec le lancement mal préparé de Google Buzz — un véritable désastre en matière de vie privée, dont les paramètres par défaut avaient rendu publique quantité d'informations personnelles d'utilisateurs…
 

Pour ses premiers utilisateurs, Google+ est plutôt une bonne surprise. Le service propose un concept innovant et séduisant sur le papier : les « cercles ». On peut créer facilement des groupes, « famille », « collègues », « amis » ou autre, y ranger ses différents contacts, et choisir de ne partager les photos du petit dernier qu'avec ses cousins et celles de la soirée du samedi uniquement avec ses amis. Mais personne ou presque ne comprend le but de Google+. Et Google ne facilite pas la tâche de ses utilisateurs : alors que tout le monde y voit un concurrent de Facebook, le géant du Web répète à l'envi qu'il ne s'agit pas du tout d'un réseau social, mais plutôt d'une « couche sociale », un « Google 2.0 » visant à rassembler tous les services de Google. Personne n'y comprend rien.

Il faut dire que Google+ intègre une grande quantité de nouveautés, certaines réellement des nouveautés, ou intéressantes, mais aussi déstabilisantes. Les « vidéos-bulles », par exemple, permettent de lancer des discussions en vidéo avec… toutes les personnes de vos cercles qui souhaitent se joindre à la conversation. Comme à une terrasse de café, affirme Google, mais la transition est pleine de confusion pour des utilisateurs habitués aux discussions de groupe de Gmail, qui existe depuis 2007.

Pourtant, les utilisateurs affluent. Ils sont 25 millions en moins d'un mois, 150 millions en six, affirme Google, qui refuse pourtant de donner des détails ou des chiffres réguliers sur ces utilisateurs « actifs » de Google+. Si l'outil compte un noyau d'utilisateurs qui y sont très présents, la plupart des pages semblent désertes : peu de publications, peu d'activités, pas ou peu de commentaires...

Pseudonymes et comptes obligatoires

Ces débuts en demi-teinte se doublent d'une première polémique, liée à l'utilisation de pseudonymes. Contrairement à Facebook, Google+ n'impose pas l'utilisation des noms et prénoms réels ; mais ses règles prévoient qu'un pseudonyme ne peut être utilisé que s'il est bien établi par ailleurs — par exemple, si la personne l'utilise déjà sur un blog ou un autre site. L'appréciation est laissée aux équipes de modération de Google — et les utilisateurs n'y comprennent rien. Quelques fermetures, jugées arbitraires, de comptes très suivis finissent par contraindre Google à faire machine arrière : les pseudonymes sont finalement autorisés en janvier 2012.

image: http://s1.lemde.fr/image/2015/03/02/644x322/4586090_3_71f6_la-page-google-du-monde-fr_ecf6e966dc492863ecbb1fc728f392a0.png

La page Google+ du Monde.fr. Google

A la même époque, Google sort l'artillerie lourde pour convertir ses utilisateurs à Google+ : il rend obligatoire la création d'un profil Google+ lors de l'ouverture d'un compte Google. Un internaute se voit donc « offrir » un compte Google+ quand il crée une adresse Gmail ou qu'il s'inscrit sur YouTube… Un « cadeau forcé » qui fait mécaniquement grimper le nombre d'utilisateurs, mais diminue encore le ratio entre « inscrits » et « utilisateurs actifs ». Surtout, avec le développement d'Android, le système d'exploitation mobile de Google, qui nécessite un compte Google, et dont le succès se fait vraiment sentir à partir de 2012, les inscriptions explosent. L'application Google+ est, bien sûr, installée par défaut sur les téléphones Android — et impossible à désinstaller, même s'il est toujours possible de supprimer son compte Google+.

 Dans l'intervalle, Google « vend » de plus en plus Google+ comme un outil d'authentification pour se connecter à d'autres sites Web. En mai 2013, il fusionne plusieurs services de communication dans un outil intégré à Google+ : Google Hangouts rassemble désormais les messageries instantanées de Gmail, Google+, les hangouts vidéo, et même, sur mobile, les SMS. L'accueil de ce « hub centralisé » de toutes les communications est, là encore, en demi-teinte : l'interface est esthétique, mais perturbe aussi une partie des utilisateurs qui se perdent entre SMS et chats. Au début de 2014, Hangouts sera d'ailleurs au centre d'une polémique lorsqu'une transsexuelle croyant envoyer un texto à un collègue enverra à la place un message Google, qui donne accès à son profil Google — et donc à des informations sur son changement de genre.

Bronca sur YouTube

En novembre 2013, Google prend une décision qui va liguer contre Google+ une partie très écoutée de ses utilisateurs : les stars de YouTube. Poursuivant toujours ses efforts pour amener la quasi-totalité des internautes utilisant ses services sur Google+, il remplace l'outil de commentaires de YouTube par Google+. Le changement soulève une vague de protestations, de la part des commentateurs, mais aussi de la part des créateurs de vidéos — la nouvelle interface de modération est jugée beaucoup moins simple, les notifications arrivent désormais sur Google+ et non plus sur YouTube, et le système demande avec insistance à ses utilisateurs d'abandonner leur pseudonyme YouTube pour leur nom véritable.

A la fin de 2013, le géant du Web continue de publier des chiffres en hausse : peu après ses deux ans, Google+ dépasse, officiellement, les cinq cents millions d'utilisateurs. Pourtant, en avril 2014, surprise : le responsable de Google+ démissionne. Vic Gundotra avait suivi le projet depuis ses débuts. « J'ai une dette éternelle envers l'équipe Google+. Ce sont des gens qui ont construit tout ce qui est social à Google, envers et contre le scepticisme de beaucoup de personnes », écrit-il dans son message de départ.

Vic Gundotra est remplacé par l'un des vice-présidents de Google chargé de l'ingénierie, David Besbris, et la direction de l'entreprise assure que les investissements dans le produit continueront. Moins d'un an après, le 2 mars 2015, nouveau changement : c'est Bradley Horowitz, le bras droit de Vic Gundotra, qui prend la tête du « réseau social ». Ou presque. Un mot est étrangement absent du message publié par M. Horowitz pour annoncer sa nomination : Google+. « Je suis très excité de diriger les produits Photos et Streams de Google», les deux principales composantes de Google+, écrit-il. Après avoir tenté de regrouper dans Google+ l'ensemble de ses services, Google s'apprête-t-il à les séparer à nouveau ?


En savoir plus sur http://www.lemonde.fr/pixels/article/2015/03/02/une-breve-histoire-de-google_4585853_4408996.html#TcuIvuqJ5wIeMKEQ.99
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Google suit la tendance en morcelant Google+

Google suit la tendance en morcelant Google+ | Toulouse networks | Scoop.it

Lancé il y a plus de 4 ans avec un certain retard sur la concurrence, Google+ n’a jamais vraiment réussi à s’imposer face aux autres grandes plateformes sociales. Force est de constater que même Google et ses ressources quasi illimitées n’ont pas été en mesure d’assumer plusieurs fronts en même temps (cf. Google+ est mort, vive Universal Analytics). Suite aux départs successifs de plusieurs responsables, la direction de Google s’est enfin décidée à reconnaitre l’échec de sa plateforme sociale et à morceler les fonctionnalités les plus populaires : Google+ officially splits into Photos and Streams. La marque « Google+ » disparait, mais cette annonce ne sonne pas nécessairement comme une défaite.

Certes, Google+ en tant que destination, au même titre que Facebook ou autres « portails », n’a jamais vraiment passionné les internautes, quelques millions d »utilisateurs actifs selon les dernières estimations (How many people are publicly using Google Plus?). Google a bien réussi à forcer la création de milliards de comptes, mais les internautes se sont rebellés contre cette tactique, notamment avec l’affaire des commentaires de YouTube. Depuis, Google a été obligé de faire marche arrière (Google is no longer forcing new users into making Google+ accounts). Au final, que reste-t-il de Google+ ? Un peu plus que vous ne pourriez le penser…

L’annonce faite ce matin parle de scinder Google+ en deux services : Stream pour le flux de messages et Photos pour les… photos. Certes, le flux de message peut difficilement être comparé à des services beaucoup plus visibles comme Twitter ou Reddit, mais il permet à de très nombreuses communautés d’exister en leur fournissant une plateforme technique robuste et simple à utiliser. J’ai d’ailleurs du mal à expliquer pourquoi Google a opté pour « Stream » et non « Communities« .

Exemple de communauté dans Google+

Au sujet de Photos, là encore, si ce service n’a pas la même visibilité qu’Instagram ou Pinterest, il reste un moyen redoutablement efficace pour conserver et retoucher ses photos, toutes ces photos. L’idée n’étant pas de partager des selphies ave le reste de la planète, mais plutôt de se constituer une base de souvenirs, en capitalisant sur le succès de Picasa. Et de ce point de vue là, ça fonctionne parfaitement, d’autant plus que les ambitions de Google ne s’arrêtent pas là, notamment avec le rachat récent de l’application mobile OdysseGoogle Acquires Odysee, An App For Private Photo/Video Backup And Sharing, Team Joins Google+.

L’interface d’Odysse

Il y a ensuite Hangouts, la plateforme de messagerie unifiée qui absorbe petit à petit les autres services de Google (Google Talk for Windows will close down tomorrow to make room for Hangouts). Initialement dédié aux conversations vidéo, Hangouts a rapidement pris de l’ampleur, sans toutefois égaler des applications comme WhatsApp ou WeChat (How journalists are using Slack and Hangouts, instead of email, to stay connected). Là où ça devient très intéressant, c’est que Google l’utilise maintenant dans son offre dédiée aux entreprises (Hangouts Now Works Without Google+ Account, Becomes Part Of Google Apps For Business), et qu’ils l’exploitent même comme un outil de support pour les produits « maison » (Google introduces a virtual ‘Genius Bar’ to answer device questions). Plus récemment, des tests ont été effectués auprès de commerçant et prestataires de proximité : Experimental Hangouts Feature In Google Search Allows You To Chat With Businesses.

La fonctionnalité de clic-to-chat de Hangout

Au final, si Google n’a pas réussi à faire de Google+ une grande plateforme sociale, certains services ont réussi à trouver leurs publics. Mais nous vous y trompez pas, ces services ne sont que des « danseuses » pour Google qui voulait initialement associer chaque contenu et interaction à un profil. De ce point de vue là, l’opération est une réussite, car de milliards de comptes ont été créés, et, car le système d’authentification de Google remporte un vif succès (Q4 social login report: Facebook losing ground to Google).

Évolution des parts de marché des systèmes d’authentification

Conclusion : la marque « Google+ » s’efface au profit de services isolés (Communities, Photos, Hangouts). En ce sens, Google suit la tendance du « unbunlding » (cf. Why large tech companies are hopping on the app ‘unbundling’ trend et App Unbundling: Simplifying Apps by Breaking Out Their Experiences), tout en déployant de gros efforts sous le capot pour imposer ses profils. Une tactique qui fonctionne bien jusqu’à présent, même si certains tentent une manoeuvre de contournement (Twitter launches its phone-number based login system, Digits for the web).

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Google Plus : déjà trois ans mais quel avenir ?

Google Plus : déjà trois ans mais quel avenir ? | Toulouse networks | Scoop.it

Vous ne le savez peut-être pas mais Google Plus vient de fêter ses 3 ans, anniversaire qui a eu lieu dans le plus grand anonymat. Pour preuve, le géant du web n’a même pas évoqué son réseau social lors de conférence annuelle Google I/O. Preuve d’un certain désintérêt ? Le raccourci peut sembler légitime, d’autant plus que la personne à l’origine de celui-ci a quitté l’entreprise en début d’année. Il n’en suffisait pas plus pour déclencher des rumeurs quant à la disparition future de Google Plus.

Google Plus fête ses 3 ans mais a toujours autant de mal à séduire !

Même si celles-ci ont été contredites, force est de constater que le réseau social ne séduit pas les foules. Très apprécié de certains utilisateurs de Chrome ou Android, il est en revanche détesté par d’autres de Youtube ou de Google Play (à cause de l’intégration forcée de commentaires) et surtout, il est ignoré par la plupart d’entre nous. Histoire de lui donner un nouveau souffle, Google a modifié la façon dont son moteur de recherche encourage les auteurs à utiliser le service.

Le problème majeur n’est pas tant cette méthode mais bien le manque de traffic apporté par Google Plus. Contrairement à Facebook, Pinterest ou même Twitter qui engendre beaucoup de visites, le réseau social de Google est nettement en retard, à tel point que certains le considèrent même comme un « cimetière du référencement social ».

Intéractions avec des gens que vous ne connaissez pas, plateforme de publication de billets de blog légère, Google Plus réunirait le pire de Twitter et de Facebook. Ceci se traduirait par un taux d’abandon élevé. Le réseau social n’aurait pas été conçu pour répondre aux attentes des utilisateurs mais à ceux de Google. L’intérêt est donc important pour l’entreprise américaine qui peaufine sa publicité ciblée grâce aux différents contenus mais bien moins évident pour l’utilisateur.

Notons que Google n’est pas un petit nouveau sur le marché car si Google Plus n’a que trois ans, la firme avait lancé Orkut en 2004 (en même temps que Facebook) et avait ensuite racheté Dodgeball et Raiku sans rien n’en faire. Le problème serait ailleurs et il semblerait que Google n’ait pas trouvé la solution. L’avenir de Google Plus semble plus que jamais incertain.

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Facebook, Twitter et Google+ assignés en justice par l'UFC Que Choisir

Facebook, Twitter et Google+ assignés en justice par l'UFC Que Choisir | Toulouse networks | Scoop.it
L'association protégeant les droits des consommateurs demande aux réseaux sociaux de respecter la loi française concernant le respect des données personnelles.

Ce sera à la justice de trancher. Facebook, Twitter et Google+ sont assignés ce mardi devant le tribunal de grande instance de Paris par l'UFC Que Choisir. L'association française de consommateurs reproche aux trois réseaux sociaux de ne pas respecter le code de la consommation ni la loi Informatique et libertés.

"Des icônes espions"

Citée par le site de France Info, Camille Gruhier, de l'UFC, explique par exemple que les icônes de partage d'article ou de message via Twitter, Facebook ou Google+ "sont des icônes espions, qui permettent de savoir que vous avez visité la page et qui suivent votre comportement sur internet. Cela favorise la publicité ciblée".

En outre, l'association plaide pour une amélioration de la "lisibilité" des contrats pour l'internaute car, comme l'UFC le déplorait en juin dernier, les conditions contractuelles sont pour l'heure, soit pléthoriques soit elliptiques.

Des conditions contractuelles opaques

La juriste de l'association, Amal Taled, qui avait décortiqué tous les contrats, précisait ainsi que les conditions d'utilisation et les règles de Twitter s'étalaient sur trois textes et 21 pages format A4, dans une police d'écriture particulièrement petite (Tahoma 6,5 points) donc difficile à déchiffrer, renvoyant vers pas moins de 65 liens hypertextes renvoyant parfois eux-mêmes vers d'autres pages internet, parfois en langue anglaise.

Ce n'est guère mieux pour Facebook dont les conditions s'étendent sur 21 pages et 80 liens, contre 10 pages et 53 liens pour Google+. Autant d'obstacles qui empêchent les utilisateurs d'aller au bout de leur lecture, et ainsi, maintenir le flou autour de l'utilisation de leur données.

L'UFC Que Choisir avait alors prévenu. L'association de défense des droits des consommateurs avait mis en demeure Facebook, Twitter et Google+, leur donnant 21 jours pour se conformer au droit français en matière de protection des données personnelles. Faute de quoi, l'UFC se réservait le droit d'agir en justice. Voici chose faite.

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Community Management Conseils: Se construire une présence sur Google + avant qu'il ne soit trop tard

Community Management Conseils: Se construire une présence sur Google + avant qu'il ne soit trop tard | Toulouse networks | Scoop.it

Tout le monde utilise Google. Depuis la recherche jusqu'à Google Map, de Google Earth aux Google Docs, Gmail, Gtalk puis Hangout, YouTube, Android, Google Play et le navigateur Chrome. Toute personne sur Internet a sûrement utilisé un produit Google au moins une fois dans sa vie.Pourtant, des agences de communication, des sites webs spécialisés nouveaux médias, ou des professionnels en marketing s'obstinent à dire que Google + est un désert. Dans les faits, Google + possède 300 millions d'utilisateurs actifs dans le monde (chiffres datant d'Octobre), dont 5.3 millions en France, ce qui en fait la troisième plateforme sociale la plus utilisée en France après Facebook et YouTube, et devant Twitter.Depuis quelques semaines, même si cela a été remarqué par d'autres bien avant, les professionnels des réseaux sociaux se rendent compte d'une baisse de reach sur Facebook et cherchent par tous les moyens à y faire face.Il est donc temps de penser à une alternative : pourquoi ne pas passer sur Google + ? Dés les débuts de ce réseau, Google a toujours laisser sous entendre que Google + finirait par être connecté à tous ses services. Après Google Play, la recherche Google, Blogger, YouTube et enfin récemment GMail, ce n'est pas une surprise pour les personnes qui suivent de très près l'actualité de Google. Tous les services de Google seront intégrés progressivement à Google +. Le point fort est donc Google : la recherche est désormais étroitement liée à Google +.
Quand un utilisateur cherche des informations sur Internet, il y a de fortes chances pour qu'il utilise Google. Les posts Google + étant référencés très rapidement, une personne connectée sur son compte Gmail aura en priorité des résultats qui ont été "+1" par ses contacts, et aussi les liens de posts partagés sur ce réseau social. Les résultats sont donc encore plus proches de l'information que l'on recherche, sachant qu'une personne en qui on a confiance nous recommande un résultat en particulier.Si vous possédez une page sur Google Plus mise à jour régulièrement, vous pourrez même avoir une surprise dans les résultats de recherche :

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Google+ : bienvenue dans la Matrice

Google+ : bienvenue dans la Matrice | Toulouse networks | Scoop.it

"Presque tout le monde (moi inclus, dit Charles Arthur) a mal compris ce qu'était Google+. A cause de ressemblances superficielles avec des réseaux sociaux comme Facebook ou Twitter - on peut devenir "ami" avec des gens comme Facebook, on peut "suivre" des gens qui ne vous suivent pas, comme dans Twitter -, on a pensé que Google+ était un réseau social, et on l'a jugé sur ses bases, en concluant qu'il ne fonctionnait pas vraiment : un faible engagement et peu d'impact sur le monde extérieur. Si Google+ était un réseau social, force serait de constater qu'avec ses 500 millions de membres - soit près de la moitié de Facebook ce qui est colossal - ce serait un échec : on entend rarement parler de ce qui se passe sur Google+, et on reçoit peu de lien nous invitant à aller y voir.
La raison de ce constat est simple, pour Charles Arthur : Google+ n'est pas un réseau social. Google+, c'est la Matrice. Oui, la Matrice de Matrix, celle qui sait tout ce que vous pensez et fabrique ce que vous voyez et vivez.

 

Réfléchissez à ceci : si vous créez un compte Gmail, vous aurez automatiquement un compte Google+. Et même si vous n'en faites rien, le compte Google+ vous pistera dès que vous vous enregistrerez dans votre compte Google. Sur Google Maps, c'est Google+ qu'on vous propose pour enregistrer un lieu (ou le partager), et pour d'autres fonctionnalités, on vous demandera de passer par voter compte Google+. Vous pouvez évidemment utiliser Youtube sans votre compte Google+, mais si vous voulez agir sur Youtube, en commentant par exemple, il faudra vous enregistrer. Même chose pour Google Drive, Google Shopping, etc. Google+ veut que vous vous enregistriez, pour pouvoir tout voir, et tout enregistrer.

La raison pour laquelle Google+ n'est pas un réseau social, c'est que le fait d'avoir des amis ou de suivre des gens n'est qu'une excroissance accidentelle de son but véritable : être une paroi invisible entre vous et le web, une paroi qui voit ce que vous faites, l'enregistre et le stocke pour un usage futur.

 

C'est là que la Matrice entre en jeu. La prochaine fois que vous chercherez quelque chose, ou consulterez une carte, ou naviguerez sur Youtube, vous verrez ce que Google considère comme les résultats les plus pertinents (et bien sûr les publicités les plus pertinentes). Si vous fréquentez les sites climato-sceptiques, une recherche sur le "changement climatique" fera remonter dans les premières positions les sites qui contestent le changement climatique. Quoique vous cherchiez d'ordre politique, sexuel ou philosophique, si Google+ le voit, il le renverra un jour vers vous. C'est le phénomène aujourd'hui classique de la "bulle de filtre".

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Combien d'utilisateurs de Facebook, Twitter, Google+, LinkedIn, Viadeo et Pinterest en France

Combien d'utilisateurs de Facebook, Twitter, Google+, LinkedIn, Viadeo et Pinterest en France | Toulouse networks | Scoop.it
Découvrez le nombre d'utilisateurs des principaux médias sociaux en France et dans le monde, avec des mises à jour régulières.
Jacques Le Bris's insight:

vous trouverez dans cet article régulièrement mis à jour les données sur le nombre d'utilisateurs dans le monde des principaux médias sociaux, mais aussi des utilisateurs français, des sources utilisées pour vérifier ces chiffres et enfin de la date de leur dernière mise à jour :

Facebook : 1,06 milliard d'utilisateurs actifs dans le monde (Facebook 31/12/12), dont 26 millions de français (Nielsen 13/07/12),

 

YouTube : 1 milliard d'utilisateurs actifs dans le monde (YouTube 20/03/13), dont 25 millions de visiteurs uniques* en France (Médiamétrie 10/04/13),

 

Twitter : 200 millions d'utilisateurs actifs dans le monde (Twitter 18/12/12), dont 5,5 millions de français (ComScore 02/01/13),

 

LinkedIn : 160 millions d'utilisateurs actifs dans le monde (LinkedIn 14/01/13), dont 5 millions de français (LinkedIn 09/04/13),

 

Google+ : 135 millions d'utilisateurs actifs dans le monde (Google 06/12/12), dont 5,5 millions de visiteurs uniques en France* (ComScore 01/07/12),

 

Viadeo : 50 millions de membres** dans le monde (Viadeo 28/03/13), dont 7 millions de membres** en France et 3,8 millions de visiteurs uniques* en France (ComScore 01/07/12),

 

Pinterest : 48,7 millions de membres** dans le monde (ComScore 20/02/13), dont 400 000 visiteurs uniques* en France (ComScore 01/07/2012).

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Quel est le point faible de Facebook face à Google Plus ?

Quel est le point faible de Facebook face à Google Plus ? | Toulouse networks | Scoop.it

Depuis que Google+ a été lancé en juin 2011 il se passe rarement une semaine sans que ne fusent ça et là des ricanements se voulant subtils prenant pour cible ce « réseau fantôme », incapable malgré les moyens de Google de venir chatouiller la cheville de Facebook.

 

 Une rivalité réelle

 

Dans les faits, et surtout dans les perspectives, la réalité semble moins manichéenne. Déjà parce que du point de vue des chiffres Google Plus se porte plutôt bien : le cabinet Global Web Index plaçait en décembre 2012 Google Plus en deuxième position derrière Facebook et devant YouTube, avec 343 millions d’utilisateurs actifs (contre 693 millions pour Facebook).

 

Cela signifierait donc qu’en moins de deux ans, Google+ aurait réussi à se construire un socle équivalant à 50% du nombre d’utilisateurs de Facebook. Or Facebook a eu presque 10 ans, dont la plupart de monopole, pour séduire ses propres utilisateurs.

 

Facebook ou la stratégie du citron pressé

 

Facebook a annoncé il y a peu la commercialisation auprès de ses utilisateurs des publications de leurs amis, censée viser notamment les oeuvres de charité, voire des évènements ou des annonces sociales. Avant cela, il y avait eu celle des publications proprement dites, vues désormais par seulement 10 à 20% des fans sans financement. A ce rythme, certains en viennent à se demander si Facebook ne doit pas être rebaptisé « réseau payant » plutôt que « réseau social ».

En ceci Facebook suit pourtant une ligne stratégique simple parce qu’unique : le seul bien commercialisable de Facebook, c’est la visibilité sur Facebook. Son levier, ce sont les données. Lorsque l’utilisateur, professionnel ou non, s’inscrit sur Facebook, il devient un citron qui a vocation à être pressé petit à petit et avec son consentement pour devenir utile à la marque Facebook.

D’où, effectivement, la sensation progressive pour l’utilisateur de se heurter à de plus en plus nombreuses cloisons financières au sein d’un espace qu’il avait cru être construit pour lui, au service de sa liberté d’expression.

 

Google Plus ou la stratégie de la station-service

 

Chez Google (Plus), les impératifs et donc la stratégie ne sont pas les mêmes : Google possédait avant Google+ son propre modèle de développement économique centré autour du moteur de recherche. La commercialisation des campagnes Adwords, pour ne parler que d’elles, avait déjà assuré à la firme un revenu pour le moins substantiel.

La stratégie de Google avec Google+, ce n’est donc pas a priori de  créer un concurrent au modèle économique de Facebook, mais plutôt de créer un réseau social performant et innovant, débarrassé des contraintes financières propres à Facebook, par-là susceptible de recueillir progressivement les déçus de Facebook – et les données qu’ils supposent, bien entendu.

En d’autres termes, il s’agit de la stratégie de la station-service, adoptée par les principales enseignes de la grande distribution depuis des décennies : loin de faire du carburant un produit rentable, ces enseignes en ont fait un produit d’appel et de racolage, partant du postulat (justifié depuis) selon lequel le consommateur venant s’approvisionner en carburant chez elles avait de plus grandes chances d’être séduit par le reste de leurs produits.

Ainsi en est-il de Google Plus : ce réseau social, qui a récemment innové avec succès concernant les communautés Google, développera certainement au cours des années qui viennent de plus en plus de fonctionnalités ergonomiques mises au service de l’utilisateur avec un désintéressement insolent.

Ce désintéressement n’est bien sûr qu’apparent : le but reste d’une part d’exploiter les données de l’utilisateur, et d’autre part de le convertir si possible aux autres produits Google, jusqu’à ce qu’il devienne « rentable ».

Or dans le même temps Facebook devra s’efforcer de presser de plus en plus le citron qui lui sert d’utilisateur (ou vice-versa) sans pour autant le décourager, de manière à conserver d’une part son statut de leader incontesté et son train de vie somptueux.

 

Un duel perdu d’avance par Facebook ?

 

D’un côté, un géant confirmé, Google, dont la marge de manoeuvre tant technique que financière est à ce jour presque illimitée, et dont les impératifs financiers sont nuls quant aux utilisateurs de Google Plus ; de l’autre, un autre géant surdoué, Facebook, dont l’avenir financier passe par la mise à contribution de ses utilisateurs via son unique produit. Décidément, il reste au moins possible de souligner que l’état actuel du rapport de force entre Facebook et Google+ ne semble pas annoncer son issue.

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Google+, le second réseau social dans le monde

Google+, le second réseau social dans le monde | Toulouse networks | Scoop.it
Google a bien compris que face à un géant comme Facebook, il faudrait s'armer de patience et innover. Malgré les critiques, le réseau social Google+ a réussi à prendre la seconde place du classement des réseaux sociaux dans le monde.

Ce qui est très intéressant à noter, c’est la troisième place pour YouTube. Ce qui prouve que Google a tout intérêt à continuer de connecter ses services. Bref, Google+ possède désormais 343 millions utilisateurs avec une progression de 27%. Quoique l’on puisse dire, Google+ va s’imposer comme le centre névralgique des services de Google.

 

Rassurez-moi, vous suivez FrAndroid sur Google+ ?

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Succès pour les réseaux sociaux en France, Twitter en vedette

Succès pour les réseaux sociaux en France, Twitter en vedette | Toulouse networks | Scoop.it
Selon une étude de Médiamétrie, 99% des internautes français connaissent au moins un réseau social, 77% y sont inscrits et l'on compte 1,6 millions d'inscrits supplémentaires en un an. Un phénomène qui concerne désormais presque toutes les tranches d'âge.

"Avec la complémentarité des réseaux, les internautes ne s'inscrivent plus sur un mais sur plusieurs réseaux sociaux, selon ce qu'ils souhaitent y faire", montre l'étude. "Et ils y sont connectés à tout instant, en mobilité et même sur leur lieu de travail".

 

Twitter en vedette


Sur l'année écoulée, c'est Twitter qui signe la progression la plus nette : plus de 2 internautes sur 3 connaissent ce réseau et 15% y sont inscrits. A l'origine, fréquenté par un cercle d'initiés, il a bénéficié de la très riche actualité liée aux élections en France. Le dernier né, Google +, est connu par 7% des internautes ; toutefois il compte presque autant d'inscrits que Twitter...

Cette année, les réseaux sociaux professionnels deviennent incontournables pour se constituer ou entretenir ses contacts. Dans ce domaine, c'est LinkedIn qui s'est installé dans les habitudes : 40% des inscrits ont consulté LinkedIn au moins une fois par semaine en 2012.

 

Facebook de proche en proche

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