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Les acteurs de French Tech Toulouse dévoilent leur plan d’action

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Les acteurs de French Tech Toulouse, réunis à la Cité de l'espace 

 


Les acteurs de French Tech Toulouse se sont réunis ce lundi à la Cité de l’espace pour fêter l’obtention du label et dévoiler leur plan d’actions dans les mois à venir. Un prochain audit aura lieu à l’automne 2015 pour confirmer le label. D’ici là, un référent a été nommé pour accueillir les start-up et coordonner les projets. Il s’agit de Philippe Coste, le directeur d’Epitech.

Il est le nouvel interlocuteur privilégié pour parler French Tech Toulouse : Philippe Coste a été présenté ce lundi par les acteurs du dossier French Tech en tant que directeur délégué French Tech Toulouse. Le directeur d’Epitech est désormais le premier contact pour les entreprises qui souhaitent s’implanter à Toulouse, et orienter les demandes vers les bons interlocuteurs.

Actions concrètes
Philippe Coste a présenté ce lundi les actions, en cours ou à venir, qui concrétiseront l’obtention du label French Tech. Parmi elles le "Pass French Tech", destiné aux entreprises "en hyper-croissance". Delair-Tech, MyFeelBack, 6 mouv, Unitag, Adar et Sigfox devraient en bénéficier. Elles auront un accès privilégié, fluide et simplifié notamment aux offres de BPI france, Ubifrance, Ellisphere ou l'Inpi.

Les "Road Show Investisseurs" permettront de faire venir des investisseurs nationaux et internationaux à Toulouse, "pour leur faire visiter La Cantine, la Tic Valley, Ekito, etc." précise Philippe Coste. Objectif : faire se rencontrer les porteurs de projets et les investisseurs.

La mise en place de Jeudigital French Tech doit encourager les start-up locales à aller "pitcher" à Paris. Le Jeudigital, rendez-vous initié par la secrétaire d’État au Numérique Axelle Lemaire, permet à six start-up de présenter leurs produits et services innovants devant des investisseurs, des grands comptes et des acheteurs publics. La prochaine session aura lieu ce jeudi, à Matignon.

D’autres actions seront mises en place d’ici à fin 2015 pour donner à Toulouse une visibilité nationale et internationale. Le but est de faire de Toulouse la ville des expérimentations. Ainsi, un "guichet d'expérimentation" sera mis en œuvre. "Si une entreprise doit tester une application dans un avion, un restaurant ou une maison de retraite, nous devons lui mettre à disposition ce lieu pour qu'elle se confronte le plus rapidement possible à son marché", explique Benjamin Böhle-Roitelet, fondateur d'Ekito et ambassadeur French Tech. Un formulaire disponible sur internet sera mis à leur disposition pour qu'elles puissent se manifester.

Enfin, BPI France a débloqué une enveloppe de 200 M€ dans le cadre de la French Tech, destinée aux accélérateurs de start-up des 9 métropoles labellisées. Tous n’en bénéficieront pas. Un appel à manifestation d’intérêt devrait être publié prochainement pour déterminer les lauréats. Une dizaine de structures locales seront candidates (La Tic Valley et l'Incubateur Midi-Pyrénées, mais aussi les accélérateurs privés d'Airbus ou de Capgemini par exemple).

Nouvel audit dans un an

"Ce n’était pas facile, mais on y est arrivés, et le vrai travail commence maintenant." La phrase est signée Bertrand Serp, vice-président de Toulouse Métropole en charge du Numérique. Après s’être tous réjouis de l’obtention du label French Tech la semaine dernière, les acteurs du dossier French Tech se donc remis au travail. En effet, les experts parisiens de la "mission French Tech" menée par David Monteau se rendront de nouveau dans la Ville rose dans un an pour vérifier les avancées du collectif porté par Toulouse Métropole, le Sicoval et la Région. "Ce sera un oral de contrôle", selon Bertrand Serp. "Il faudra prouver que nous ne sommes pas dans une stratégie locale mais internationale", complète Mireille Garcia, en charge de l’Économie au Sicoval.

Sophie Arutunian

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Toulouse French Tech : des experts du ministère auditionnent les acteurs locaux du numérique

Toulouse French Tech : des experts du ministère auditionnent les acteurs locaux du numérique | Toulouse networks | Scoop.it

Le 9 octobre, une délégation ministérielle accompagnée de plusieurs experts auditionnera les entrepreneurs du secteur numérique toulousain pour décider d'accorder ou non à la métropole le convoité label French Tech. La décision est attendue "avant la fin de l’année".

Le directeur délégué de French Tech Toulouse, Philippe Coste (le président de La Mêlée), a annoncé le 17 septembre qu'un audit des "ambassadeurs" de l'écosystème numérique toulousain aura lieu le 9 octobre. L'enjeu ? Convaincre le ministère de l'Économie, de l'industrie et du numérique que Toulouse a sa place parmi les métropoles les plus attractives de France dans le secteur du numérique. L’initiative "Métropoles French Tech" est menée par le secrétariat d’État à l’Économie numérique à l’échelle nationale. L’objectif est de "faire de la France l'usine du monde des ingénieurs", selon les propos d’Axelle Lemaire, la secrétaire d’État. Toulouse Métropole saura si elle a obtenu le label " avant la fin de l'année" selon Philippe Coste. Les services du ministère avancent quant à eux une 1re vague de labellisation  " fin octobre".

Un programme économique planifié sur trois ans
Le label French Tech permettrait aux entrepreneurs de la métropole de bénéficier d’une part d’un meilleur financement, et d’autre part de rayonner à l’échelle nationale et internationale. "Nous avons un programme d’actions planifié sur trois ans", confie Philippe Coste, directeur délégué de Toulouse French Tech. L’objectif est de multiplier les levées de fonds par trois, épauler 30 start-up supplémentaires, augmenter les effectifs du secteur de 30 %, attirer 20 % de start-up étrangères de plus et permettre à 10 entreprises de devenir "Tech champions". Les métropoles sélectionnées bénéficieront d’une centaine de bourses French Tech par an, à destination des jeunes entrepreneurs.

Au niveau national, 200 M€ seront débloqués par la Banque publique d’investissement (Bpi) pour soutenir le développement des accélérateurs de start-up privés. 15 M€ seront dédiés à l’attractivité internationale des métropoles.

Un soutien public et privé
Pour donner un maximum d’ampleur à la candidature de la métropole, acteurs publics et privés s’efforcent de faire rayonner les entreprises toulousaines, notamment à l’étranger. Bertrand Serp, le vice-président de Toulouse Métropole en charge de l'économie numérique, a ainsi pu "vendre" l’économie numérique toulousaine aux géants du numérique comme Amazon, Twitter et Google, lors d’un festival international consacré à l’innovation : le Digital Life design Festival à Tel Aviv. "Avec déjà 38.000 emplois dans le domaine des technologies de l’information et de la communication (TIC) et 2.000 entreprises dans le secteur, Toulouse compte sur le numérique", a-t-il affirmé. Hors Ile-de-France, Midi-Pyrénées est la première région française pour les TIC. Dans ce secteur, le chiffre d’affaires de Midi-Pyrénées s’est élevé à 2,5 Md€ en 2013.
 
Conscients de ce potentiel, Toulouse Métropole, le Sicoval et le conseil régional sont mobilisés pour promouvoir la métropole et en faire une vitrine internationale dans le domaine du numérique. "L’université Paul-Sabatier a développé un 'Living-Lab' (un laboratoire d’innovation) à destination des startupper et étudiants en recherche", confie Marie-Pierre Gleizes, vice-présidente de la commission recherche et enseignement supérieur auprès du Conseil régional, qui finance l’initiative.  Pour Mireille Garcia, vice-présidente du Sicoval, il s’agit de créer une synergie : "En encourageant l’ouverture des entreprises toulousaines au marché international, nous espérons qu’elles restent à Toulouse et y créent des emplois, c’est un accord gagnant-gagnant".

Le secteur privé se mobilise également. Dix accélérateurs d’entreprises privés dont la plateforme de crowfunding WiSeed, Airbus, Camping TIC Valley ou encore Capgemini (Lab Inno), accompagnent les start-up du numérique en leur apportant un hébergement, des conseils et un financement. "Nous aimerions développer à Toulouse un modèle de 'ruche d’entreprises' semblable aux pépinières telles qu’ Axeleo à Lyon ou The Family à Paris", affime Philippe Coste. Ces deux accélérateurs de start-up spécialisés dans le numérique s’inspirent du concept de think tank.


Qui sont les ambassadeurs toulousains ?
Seize chefs d’entreprises et représentants d’associations jouent le rôle d’ambassadeurs pour promouvoir l’écosystème numérique toulousain. Jean-Christophe Tortora (La Tribune), Anne-Marie (Couvreur de Mediameeting), Frédéric Jourdan (Snootlab), Éric Charpentier (Payname), Christian Carle (Pole Star), Sébastien Munier (PCB), Stéphane Contrepois (MyFeelBack/Pckado), Benjamin Bohle-Roitelet (Ekito), Vincent Redrado (The Tops), Édouard Forzy (La Mêlée), Thierry Merquiol (WiSeed), Frédéric Montagnon (Overblog), Marc Rougier (Scoop-It), Pierre-Marie Lehucher (Berger-Levrault), Daniel Benchimol (Etop/DigitalPlace) et Cédric Mallet (jeuxvideo.com).

En attendant l’audit du 9 octobre, Jean-Luc Moudenc les recevra tous lors d’un diner le 26 septembre.


Jérémie Cazaux

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La French Tech à Toulouse SO Start-up !

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@FrenchTech_Tlse en 1 infographie. @MyFeelBack retenue pour le Pass French Tech avec @DelairTech @sigfox @UnitagLive

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À Toulouse, l'entrepreneur Cédric Giorgi porte les couleurs de la French Tech

À Toulouse, l'entrepreneur Cédric Giorgi porte les couleurs de la French Tech | Toulouse networks | Scoop.it


Cédric Giorgi, PDG de Cookening


 

L'entrepreneur toulousain de 31 ans s'octroie une pause dans le développement de sa start-up Cookening pour participer activement à la mise en lumière des initiatives de la French Tech à l'international.

Épinglé sur la poche au niveau de son cœur, un coq rouge semble prêt à pousser un retentissant "Cocorico !". Cédric Giorgi n'est pas peu fier de ce badge aux allures d'origami. "C'est le symbole de la French Tech. Seuls quelques exemplaires ont été distribués. J'y tiens beaucoup", sourit l'entrepreneur de 31 ans, devenu depuis quelques mois un héraut de la marque française du numérique.
Tout a commencé à Austin, au Texas. Venu pour promouvoir son entreprise Cookening lors de l'édition 2013 du festival South by South West (SXSW), le nouveau rendez-vous incontournable des amateurs de technologie dans la musique, le cinéma et les start-up, il a constaté que les entrepreneurs français manquaient de visibilité sur place : "Nous étions quelques-uns à avoir fait le déplacement et à avoir noué des contacts au gré des rencontres. Mais aux yeux de l'ensemble des 2000 visiteurs de l'événement, la présence française passait inaperçue, car nous n'avions pas de délégation nationale, contrairement aux Allemands par exemple."

Quelques mois plus tard, apprenant que le gouvernement lançait un label pour renforcer la notoriété des start-up françaises à l'international, Cédric Giorgi rencontre David Monteau, le directeur de la Mission French Tech, et son adjointe Clara Delétraz, pour monter ensemble une opération pilote : fédérer les entrepreneurs français sous une même bannière lors de l'édition 2014 du festival SXSW. Ainsi, en mars dernier, un "French Tech Club" a été mis en place et animé par Cédric Giorgi et deux autres entrepreneurs - Louis Montagne de AF83 et Anthony Gongora de Souderbox aux côtés d'un pavillon français soutenu par Ubifrance, la région Île-de-France, l'Inpi et Invest in France. "Le réseau French Tech a besoin d'animateurs, et Cédric Giorgi est de ceux qui nous prêtent main-forte", salue David Monteau.

Le startupper originaire de Toulouse ne ménage pas ses efforts pour redorer le blason tricolore à l'étranger. "Quand on parle de la France aux États-Unis, c'est pour railler notre protectionnisme en citant l'affaire Dailymotion, ou pour nous demander s'il est bien vrai qu'aucun Français ne répond plus à ses mails professionnels passé 18 heures. Pour combattre les préjugés, il faut montrer nos savoir-faire, et améliorer notre communication en se groupant en meute", professe sans ambages ce rassembleur qui ignore la langue de bois. Sitôt dit, sitôt fait. En juin, il coorganisait la première French Tech Conference impulsée par Gaël Duval, le fondateur de Jechange. fr.
"Nous avons réuni 80 intervenants comme Jean-David Chamboredon, le fondateur du fonds Isai, Marie Ekeland, de France Digitale, et nos fleurons de l'innovation comme Withings, Medtech, Exoplus, Sigfox, Lengow... Sans oublier une douzaine de start-up prometteuses comme 1001 Menus et Jellynote. Et nous avons eu l'honneur de la présence de la ministre Fleur Pellerin et de la secrétaire d'État Axelle Lemaire", énumère Cédric Giorgi, tout sourire.

"Cédric a une très bonne connaissance de l'écosystème français du Web. Elle sera complète quand il aura renforcé ses liens avec les intrapreneurs et les acteurs de l'innovation dans les grands groupes, que nous inviterons pour la deuxième édition", souligne Gaël Duval.
Après avoir attiré 350 visiteurs en deux jours, l'événement sera reconduit en juin 2015.

"J'ai toujours aimé rassembler"
Ce carnet d'adresses fourni, Cédric Giorgi l'a acquis un gré de ses expériences dans le numérique. Un secteur que cet ingénieur télécom diplômé de l'INSA Toulouse a découvert par hasard, en 2005, alors qu'il était stagiaire chez Airbus à Munich, chargé d'explorer comment construire "un intranet différent". Se prenant au jeu du Web, il lance un blog dans la foulée et pendant cinq ans, il y présente ses visions du marketing. Pour affiner ses analyses, il complète sa formation avec un master en marketing et communication à Sup de Co Toulouse. En marge des cours, avec ses amis Maxime Garrigues et Benoît Ramus, il lance en 2007 l'initiative BlogSurGaronne, pour permettre aux blogueurs de la Ville Rose d'échanger et de se rencontrer.
"Je crois que j'ai toujours aimé rassembler les gens et faire vivre les communautés. Adolescent déjà, j'étais animateur dans des colonies de vacances", sourit ce fils de travailleurs sociaux.

L'effervescence de Cédric Giorgi est rapidement remarquée.
"Un jour d'avril 2007, un certain Marc Rougier m'a proposé de rejoindre les premiers salariés de sa société Goojet. C'est ainsi que je suis devenu le responsable marketing d'un portail Web et mobile synchronisé, qui allait croître jusqu'à 20 salariés et pivoter en 2010 pour devenir la plate-forme de partage de veille Scoop It." Depuis, les deux entrepreneurs sont restés amis. "Cédric avait 23 ans, et déjà une grande aisance à communiquer et beaucoup de conviction dans ses idées. D'ailleurs, il pouvait se montrer boudeur quand je ne tranchais pas dans son sens", confie Marc Rougier. Cédric est un homme de confiance, qui aime se rendre utile, et il s'engage beaucoup pour l'écosystème. "Mais quand on est entrepreneur, il faut parfois se montrer radical, jusqu'au-boutiste et penser d'abord à soi", souligne Marc Rougier.
L'intéressé en a conscience. Attaché à son rôle de père d'une petite fille de 1 an, il sait que le temps manque pour mener de front l'organisation d'événements pour la French Tech et le développement de Cookening. Il a donc choisi de "laisser grandir tout seul" le service d'échanges culturels autour d'une invitation à dîner chez l'habitant, commercialisé depuis mai 2013. "Des repas ont été organisés chaque semaine dans 30 pays, avec 300 hôtes et 10.000 inscrits qui sont enchantés de l'expérience. Mais notre business model inspiré d'Airbnb est nouveau, et on ne peut pas évangéliser un marché avec 300.000 euros de financement. Surtout quand notre concurrent principal, l'israélien Eatwith, démarrait en levant 1 million de dollars, puis 10 millions. Mes deux associés et moi avons donc renoncé à notre projet de lever des fonds, et décidé de faire autre chose pour le moment", expose-t-il en toute simplicité.

C'est avec la même humilité qu'il a témoigné lors de la dernière édition parisienne de Failcon, la conférence sur l'échec entrepreneurial. "Cédric a été très direct et d'une transparence rare, sur un sujet qui n'est pas simple : il a expliqué comment il s'était senti perdu dans le dédale des différents types d'investisseurs et de seuils d'investissement, et les erreurs qu'il a pu commettre. Il sait se remettre en question", explique Roxane Varza, organisatrice de Failcon en France. Tous deux se connaissent bien, ayant rédigé ensemble le blog TechCrunch France sur les start-up, jusqu'à sa fermeture en 2011. Quand cette page s'est tournée, Cédric Giorgi est alors contacté par Loïc Le Meur, qui le propulse business développeur de sa société Seesmic. "Nous avons ouvert un bureau européen, et transformé Seesmic, qui était un réseau social pour les marques, en partenaire de Salesforce", se souvient Cédric Giorgi. Après la vente de Seesmic en 2012, il poursuit sa collaboration avec Loïc Le Meur sur leur autre cheval de bataille : LeWeb. L'événement parisien, qui attire des visiteurs de 50 pays et les ténors des sociétés phares du numérique mondial, est désormais dupliqué à Londres. L'international, Cédric Giorgi y a pris goût.

Perrine Créquy, LaTribune.fr

Jacques Le Bris's insight:

En savoir plus :
Où le rencontrer ?

Lors d'un événement dédié au numérique : "Je participe à l'organisation de Start-up Assembly et LeWeb, à Paris. Mais vous pouvez aussi me contacter par mail ou via Twitter."

Comment l'aborder ?

Montrez ce qui vous intéresse "Posez-moi une question sur un thème précis. C'est plus sympathique que de me demander directement de donner tel ou tel contact."

À éviter !

En vouloir trop, trop vite. "Comprenez que, non, je ne peux pas spammer mon carnet d'adresses pour faire la pub de votre boîte. J'adore connecter les gens, mais avec de la courtoisie."

Timeline :
Décembre 1983 Naissance à Toulouse.
Juin 2005 Découvre le numérique à Munich
Mars 2010 Rejoint TechCrunchFrance.
Juin 2011 Coorganise l'événement LeWeb.
Juillet 2012 Fonde Cookening.
Mars 2014 Installe un pavillon French Tech lors du festival SXSW à Austin.
Juin 2014 Coorganise la première French Touch Conference à New York.
2016 Fonde une nouvelle start-up.

AUDIT & REDAC'WEB's curator insight, September 11, 2014 1:16 PM

Un super entrepreneur "toulousain" pour un super projet !