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Le Toulousain Vexim lance sa filiale à New York

Le Toulousain Vexim lance sa filiale à New York | Toulouse networks | Scoop.it

Vincent Gardès, directeur général de Vexim. le laboratoire Vexim, situé à Toulouse Balma


En ouvrant une structure aux États-Unis, Vexim se prépare à déployer ses produits à travers le monde. La Food and drug administration (FDA) doit homologuer son implant SpineJack dans les deux ans.

L’implantation de Vexim aux États-Unis constitue « une étape stratégique majeure » de son internationalisation, selon Vincent Gardès, son directeur général. Si cette entreprise, créée en 2006 à Balma, se développe déjà à l’export depuis deux ans, soit directement avec sa propre force commerciale en Europe, soit par le biais de distributeurs en Amérique du Sud ou en Inde notamment, la conquête du marché américain annonce la capacité de Vexim à répondre à la demande à travers toute la planète. Notamment parce que son produit phare, l’implant SpineJack, et sa technologie innovante, devrait être homologué par la Food and drug administration (FDA, l’agence nationale des produits alimentaires et médicamenteux) d’ici 2017.

Une reconnaissance qui vaut blanc seing dans tous les hôpitaux du monde. La société, spécialiste des dispositifs médicaux destinés au rachis, se déploie sur le segment des fractures vertébrales dont le nombre est estimé à 900.000 de ce côté de l’Atlantique. Ajoutés aux 1,4 million en Europe, ce marché équivaut déjà à 9 milliards de dollars, sans concurrence qui plus est, selon Bruce de La Grange, fondateur de Vexim. L’affaire est si prometteuse que l’entreprise a levé sans difficulté 20 millions d’euros pour développer sa solution, soutenue alors parTruffle Capital, Banexi Ventures Partners et Oséo, puis a été introduite sur NYSE Alternext à Paris en mai 2012 pour lever 11 millions d’euros supplémentaires. De quoi financer l’établissement aux États-Unis.

Vexim Inc bénéficiaire dès 2016

La création de Vexim Inc procède « d’un modèle très économique » selon les propos de Vincent Gardès. Vexim ouvre une structure qui doit recruter un directeur commercial et un directeur marketing. Elle signe également des contrats avec des sociétés d’agents commerciaux rémunérés au gré de leur chiffre d’affaires. Dix États sont d’ores et déjà visés. Il va s’agir de pénétrer le marché américain avec la gamme de base des produits Vexim avant de pouvoir proposer le SpineJack. De fait, dès le premier exercice Vexim Inc doit être à l’équilibre avant de devenir l’année suivante, en 2016, bénéficiaire.

Vexim compte aujourd’hui cinquante-sept salariés en France et à l’étranger dont vingt-cinq à Balma, en banlieue toulousaine. Son chiffre d’affaires en 2013 s’est établi à 6,1 millions d’euros, en progression de 225%. Au premier semestre 2014, 4,9 millions d’euros ont déjà été générés.
Nathalie Malaterre

Laurent Martel's curator insight, September 9, 2014 3:03 AM

Très belle réussite locale de développement économique

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Développé à Toulouse, Scoop.it poursuit son rêve américain

Développé à Toulouse, Scoop.it poursuit son rêve américain | Toulouse networks | Scoop.it

Marc Rougier, président et fondateur de Scoop.it.


Scoop.it, l'outil de curation développé à Toulouse, revendique aujourd'hui un million d'utilisateurs dans le monde et poursuit sa croissance aux États-Unis, qui compte déjà pour le plus gros de ses revenus.

Marc Rougier, le président et fondateur de Scoop.it, a terminé, le 14 mars, son tour de France autour des applications business de la curation avec la satisfaction d’avoir placé cet événement en trending topic sur Twitter. Son entreprise, installée dans la TIC Valley toulousaine et à San Francisco, revendique un million de curateurs et 1200 entreprises utilisent sa version premium. « Notre modèle économique est basé sur le freemium. Nous proposons une partie de nos fonctionnalités gratuitement et certains services sont disponibles uniquement en souscrivant un abonnement », détaille Marc Rougier.

Un trafic divisé à parts égales entre la France et les États-Unis

Parmi ses clients, Scoop.it compte EDF, Orange, La Poste, Renault, AG2R, Generali ou le Cnes, mais aussi des institutionnels et de nombreuses petites entreprises. « Car la solution leur était dédiée au démarrage de Scoop.it », reprend Marc Rougier. « Notre cœur de métier est en effet d’augmenter la visibilité des professionnels en ligne avec une barrière d’efforts et des coûts faibles grâce à notre plateforme de curation. Les grands groupes sont venus à nous au fur et à mesure. Nous leur proposons d’ailleurs une solution sur mesure, tandis que les PME souscrivent bien souvent l’abonnement en ligne. » Aujourd’hui, les PME sont majoritaires en nombre mais en valeur les deux profils de clients se valent.

La France représente 25% des activités de la société, à égalité avec les États-Unis en terme de trafic, et le reste du monde se partage le les 50% restants avec des clients situés principalement au Royaume-Uni, en Italie, en Espagne, en Amérique latine et en Inde. Mais les États-Unis, dont le marché est plus mature, comptent pour la majorité des revenus de la société. L’entreprise emploie cinq personnes à San Francisco, et l’équipe de développement, soit quinze personnes, à Toulouse. « Nous sommes encore aujourd’hui dans une logique de croissance puisque nous avons besoin de beaucoup de volume pour exister. Notre grand objectif inspirationnel demeure de devenir aussi gros aux États-Unis qu’en France. »
Agnès Frémiot

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Les Toulousains partent à la conquête des États-Unis

Les Toulousains partent à la conquête des États-Unis | Toulouse networks | Scoop.it
Robert Scoble, blogueur hi-tech américain aux côtés de Julien Romanetto et Frédéric Montagnon

 

Beaucoup de start-up toulousaines se sont lancées dans les nouvelles technologies. Fortes de leur réussite, certaines d’entre elles ont décidé aujourd’hui de franchir un cap et de tenter leur chance aux USA.

Les entrepreneurs toulousains ne manquent pas d’ambition. Ces dernières années, les start-up n’ont cessé de fleurir autour de la Ville rose. Aujourd’hui certaines d’entre elles sont arrivées à maturité, et ont décidé de passer à l’étape suivante : le rêve américain.

Outre atlantique, tout serait possible. C’est ce que sont allés vérifier quelques-uns de ces entrepreneurs. La principale raison de ces voyages ? «Aux USA, il n’y a pas de barrières. On peut faire sa place si on s’en donne les moyens, c’est une autre culture», explique Marc Rougier, le cofondateur de «Scoop.it.»

Cette entreprise basée à Toulouse, propose une plateforme permettant de créer et partager son propre contenu internet, une sorte de moteur de recherche personnalisée, que l’on peut partager.

La grande pomme a la cote

Pour Marc Rougier, la partie commerciale est à San Francisco, la partie technique, elle, est restée à Toulouse. C’est la configuration de la plupart de ces entreprises qui ont tenté l’aventure américaine : «Nos ingénieurs restent à Toulouse et continuent de développer la partie technique. En France, on a les meilleurs. C’est beaucoup plus difficile de recruter aux USA», précise Aurore Beugniez, cofondatrice de «MyFeelback», un logiciel dédié à l’écoute client des entreprises. L’entreprise va ouvrir un bureau à New York d’ici la fin de l’année.

Frédéric Montagnon, cofondateur d’«Over-Blog», leader européen sur le marché des blogs, est lui aussi installé à New York depuis le début de l’année : «La raison est simple, à l’ouest, on est plus sur la partie technique, avec des ingénieurs. C’est à New York que le business se fait, que les médias sont les plus présents.» Mais pour ces Toulousains a qui les affaires semblent réussir, il n’est pas question de fuir la France : «C’est juste une question d’opportunité, c’est la suite logique des choses. Le marché est immense,» éclaircit Samuel Boury, cofondateur d’Ubleam, une entreprise qui crée des logos intelligents.

Si aux États-Unis, tout est permis, ces entrepreneurs restent lucides : «Il y a quand même des inconvénients, tempère Marc Rougier. La vie est chère, la concurrence est plus importante et surtout, personne ne nous attend.» Mais tous ces businessmans sont d’accord sur un point : le risque, ce serait surtout de ne pas saisir leur chance.

Le chiffre : 2

milliards > de dollars. C’est la somme que représente le marché américain qui s’ouvre à l’entreprise MyFeelBack aux USA. la start-up toulousaine va ouvrir un bureau à New York d’ici 2014.

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Ces start-up toulousaines qui épatent les Américains

Ces start-up toulousaines qui épatent les Américains | Toulouse networks | Scoop.it
Céline Lazorthes, née à Toulouse./Photo DDM

Toulouse et son agglomération seraient-elles une mine d'or pour les pépites du monde de la tech ? Oui si on en croit la French Touch Conference, qui vient de s'achever à New York.

L'économie digitale n'est pas que parisienne mais se développe aussi en province. Fleur Pellerin secrétaire d'État au commerce extérieur, en est persuadée. Et de citer l'entreprise toulousaine Sigfox qui envisage de se déployer dans la Silicon Valley.

Spécialiste de l'Internet des objets, l'entreprise possède son siège social et ses activités de recherches et développement à Labège. Arrivé du Havre pour son premier emploi il y a 20 ans, Ludovic Le Moan, le PDG, est resté. «À Toulouse, il y a de bonnes écoles et de bons profils», souligne le patron venu défendre la dynamique de la tech française aux États-Unis.

Frédéric Montagnon, Overblog

Une raison partagée par Frédéric Montagnon, le génie toulousain d'Overblog, qui a monté trois start-up dans la capitale de Midi-Pyrénées, avant de s'installer il y a un an à New York pour développer Secret Media, une solution permettant de monétiser le trafic des utilisateurs des logiciels qui bloquent la diffusion de publicités sur un navigateur. «Quand il a fallu choisir l'école pour mes études, je voulais Toulouse pour ma formation. Ensuite, j'ai récupéré beaucoup de Parisiens qui en avaient marre de la capitale.»

Marc Rougier, Scoop It

Pour Marc Rougier, c'est le recrutement qui l'a incité à s'installer dans la ville rose. «J'ai monté Meiosys à Toulouse en 2000, car je n'arrivais pas à embaucher à Paris». Après avoir revendu son affaire à IBM cinq ans plus tard, connu un échec avec Goodjet, il retrouve le succès avec Scoop It, une plateforme de publication sur Internet pour les entreprises. Là encore à Toulouse, même si la partie «business» est basée à San Francisco. «Les États-Unis sont moins conservateurs que la France où il faut un réseau, un pedigree pour parler aux grands donneurs d'ordres. Quand l'offre est innovante : les Américains essaient plus facilement, mais jettent aussi plus facilement».

La TIC Valley vantée à New York

À La French Touch Conference de New York, Marc Rougier est venu aussi parler de la TIC Valley, l'association de 24 entreprises innovantes, installées à Labège. «Il faut favoriser ce type d'environnement favorable à l'économie digitale. La France est en retard : cela ne correspond qu'à 3 % de notre PIB, quand nos pays partenaires sont à 6 %».

Avec un écosystème favorable et des conditions de vie privilégiées, Toulouse attire. Mais certains s'expatrient quand même comme Céline Lazorthes, PDG de Leetchi.com, un service de collecte d'argent élu comme la meilleure start-up en 2013 par Wired Europe. Parmi les intervenants à New York, elle était une des seules femmes. Il y avait aussi Cédric Giorigi, le Toulousain fondateur de Cookening, qui propose des repas chez l'habitant. Et, c'est avec son petit accent du sud-ouest qu'il a vanté les atouts de la French Tech.

Genticel à la rencontre d'investisseurs aux USA

Réussite de la biotech française, L'entreprise de biotechnologie de Labège (Haute-Garonne) a présenté son activité à une cinquantaine d'investisseurs américains à New York. Elle faisait partie d'une délégation de dix-neuf entreprises, emmenées par l'association France Biotech, dans le cadre de la première édition de la French Life Sciences Days. «Je me suis rendu compte que nous avions beaucoup d'entreprises françaises dans la biotechnologie et la medtechnologie qui pouvaient séduire les investisseurs américains. Nous sommes des champions en innovation et en autorisation de mise sur le marché», souligne Pierre-Olivier Goineau, le président.

Cotée à Euronext Paris et Bruxelles depuis le 4 avril dernier, l'entité haute-garonnaise est spécialisée dans le développement d'immunothérapies pour les femmes infectées par le papillomavirus humain qui n'ont pas de lésions. Pour 25 % d'entre elles, le virus a de fortes chances de se développer et, s'il n'est pas soigné à temps, de provoquer un cancer du col de l'utérus. Genticel vient dont de terminer la phase un des essais cliniques de ProCervix, son produit phare. Et les résultats sont de l'aveu du patron labégeois, plutôt bons : trois quarts des femmes éliminent le virus. L'objectif de la société est d'arriver à prouver l'efficacité de ce produit chez l'homme et ensuite de l'octroyer à un partenaire industriel pour la commercialisation. Selon Genticel, le potentiel est estimé à un milliard d'euros de chiffre d'affaires par an. Cette première rencontre avec les fonds d'investissement spécialisés vise à préparer l'avenir du travail du laboratoire haut-garonnais.

En effet, l'entrée en bourse il y a moins de quatre mois a déjà permis une levée de fonds de 34.7 millions d'euros, supérieure aux attentes de la société.

Les Etats-Unis restent dans tous les cas incontournables pour le développement de la société : à terme, si le produit est commercialisé, ils pourraient représenter 45 % du marché mondial. D'autant que les gynécologues du pays, contrairement à l'Europe, recommandent déjà le diagnostic en première détection du HPV lors du frottis annuel. Les essais cliniques de l'autre côté de l'Atlantique devraient commencer dès décembre 2015.

Correspondance particulière d'Anaïs Digonnet à New York
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Le logiciel qui concurrence les instituts de sondage | MyFeelBack

Le logiciel qui concurrence les instituts de sondage | MyFeelBack | Toulouse networks | Scoop.it

Plus besoin d'attendre des jours et des jours avant d'obtenir l'analyse d'une enquête de satisfaction. "Après le CNRS, Orange ou E.Leclerc, nous travaillons aujourd'hui avec la SNCF pour évaluer la satisfaction des usagers sur différents services", explique Aurore Beugniez, directrice associée de MyFeelBack. 

Cette jeune société toulousaine propose aux entreprises un logiciel pour capter en multicanal (téléphone, tablette, PC, papier) des retours clients puis les analyser en temps réel : baromètre de satisfaction, enquête de produit, statistiques... "MyFeelBack permet d'économiser plusieurs milliers d'euros par rapport à un institut de sondage", assure Aurore Beugniez. "Notre solution est très rapide à mettre en oeuvre. Elle permet à l'entreprise de se baser sur des rapports statistiques issus de données terrain avant de prendre une décision stratégique". 

La société a aussi choisi un modèle économique innovant en se rémunérant à la performance, c'est-à-dire au nombre de retours client. Créée en 2011, l'entreprise compte sept salariés et "connaît déjà une forte croissance", assure Aurore Beugniez. "Notre logiciel est distribué aux États-Unis et nous prévoyons l'ouverture d'un bureau à New York".

Louisa Frangeul's curator insight, December 9, 2013 2:09 PM

Quand la GRC permet de mesurer et la satisfaction client ET de faire des économies !!!