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Série : les startups de la Région Occitanie débarquent au CES de Las Vegas

Série : les startups de la Région Occitanie débarquent au CES de Las Vegas | Toulouse networks | Scoop.it
60 startups participeront sous le pavillon de la Région Occitanie au CES de Las Vegas, le plus grand salon des technologies du 9 au 12 janvier 2018. À cette occasion, La Tribune Toulouse propose à ses abonnés tous les jours de la semaine prochaine une série de reportages consacrée à cet événement et à ces entreprises qui feront le déplacement dans le temple international de l’innovation.

60 startups occitanes s'apprêtent à s'envoler vers Las Vegas pour rejoindre le plus grand salon technologique au monde devenu le rendez-vous incontournable des petites et des grandes innovations. Toutes tenteront d'attirer l'attention des quelque 7500 journalistes et influenceurs du monde entier attendus sur place. Trois d'entre elles ont confié à nos journalistes leurs motivations et leur fierté de participer à un tel événement. Leur portrait est à découvrir dans les colonnes de La Tribune Toulouse à partir du 8 janvier et tout au long de la semaine.

Quel impact pour les startups ?

La délégation de La Région Occitanie sera emmenée par Nadia Pellefigue, vice présidente du conseil régional en charge du développement économique qui dans un entretien qu'elle a accordé à La Tribune Toulouse revient sur les nouveaux dispositifs spécialement dédiés à l'accompagnement des startups sur l'ensemble de leur phase de développement.

 

Lire aussi : Nadia Pellefigue dévoile les nouvelles aides régionales pour les startups

 

 

Une série qui reviendra également sur l'expérience CES : qu'en retiennent les startups régionales qui y ont participé l'année dernière et quels bénéfices en retirent-elles ?

 

Au CES de Las Vegas

Une chose est sûre, pour cette nouvelle édition dans la capitale mondiale du divertissement, le CES devrait offrir un spectacle à la hauteur de la démesure américaine : plus de 185 000 visiteurs devraient fouler les 225 000 mètres carrés de stands, d'espaces de networking et de salles de conférences. 4 000 entreprises de plus de 150 pays y tiendront pavillon avec l'espoir de se faire remarquer.

Quantitativement la French Tech est le troisième contingent mondial derrière les Etats-Unis et la Chine. La France sera représentée par 365 entreprises (startups, PME, ETI, grands groupes) et organisations (chambres de commerce, Régions, pôles de compétitivité...). A noter que parmi les 60 entreprises de la délégation régionale Occitanie présentes au CES, 20 ont été retenues par le comité d'organisation américain pour exposer sur l'Eureka Park du CES, l'espace consacré aux jeunes pousses les plus innovantes, poumon du salon et véritable aimant à médias.

 

 

À retrouver aussi l'hebdomadaire de La Tribune consacré au CES de Las Vegas.

 

 

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Les startups de la French Tech ont "cassé la baraque" à Las Vegas

Les startups de la French Tech ont "cassé la baraque" à Las Vegas | Toulouse networks | Scoop.it

Emmanuel Macron au CES 2015 (au centre) en compagnie d'Henri Seydoux (à droite), Président de la société Parrot.

 

Les innovations des entreprises françaises ont été largement primées et ont bluffé la presse américaine au grand salon de l’électronique Consumer Electronics Show (CES) qui a fermé ses portes vendredi 9 janvier. Il reste à la French Tech à transformer cette forte impression en succès économique.

 

«On entend parler la langue de Molière tous les 10 mètres ! », s'amuse Séverin Marcombes, le cofondateur de la start-up Lima, venu présenter son boîtier de stockage à Las Vegas.

Déjà nombreuses et remarquées l'an dernier, les entreprises françaises ont encore fait plus parler d'elles cette année au Consumer Electronics Show (CES), le rendez-vous mondial incontournable de l'électronique grand public, qui vient de fermer ses portes ce vendredi.

Et pas seulement dans la presse française : sur les grands sites américains spécialisés couvrant l'événement, de TechCrunch à Mashable en passant par Engadget et le magazine Wired, ou même les généralistes comme le Washington Post et USA Today, les innovations des start-up « Frenchies », largement primées, sont omniprésentes, en particulier dans les objets connectés, domaine d'excellence de la « French Tech », gadget pour les uns, marché d'avenir pour les autres.

Plus que la télévision 4K ou la voiture connectée, « le gagnant du CES sera la France », prédit ainsi le responsable de la rubrique technologie du site américain Yahoo, attiré par les gadgets les plus insolites : « Si vous voulez un aperçu de l'avenir, prêtez attention aux bidules absurdes mais magiques venus de France », prévient-il. « Les Français cassent la baraque au CES », renchérit sa collègue Alyssa Bereznak.

« Quand même, la classe : sur les "11 objets les plus cool du CES" de Wired, cinq produits sont français, trois d'Asie, deux des US et un du UK », constatait, admiratif, Georges-Etienne Faure, le conseiller technique au numérique du Premier ministre, sur son compte Twitter en début de semaine.

Parmi les objets sortant du lot, la montre Activité Pop de Withings, les écouteurs Parrot Zik Sport, les roulettes électriques de Rollkers, le casque de relaxation Melomind de MyBrain, la pédale intelligente de Connected Cycle. Les efforts de communication autour de « l'équipe de France du high-tech », sous la bannière French Tech, déployés depuis un an par le gouvernement pour attirer l'attention sur les pépites hexagonales de la technologie, semblent donc commencer à porter leurs fruits.

« le visage entreprenant de la france »

« Notre objectif de les rendre plus visibles est rempli : la présence française est clairement reconnue dans la presse internationale, il n'y a pas d'autre pays qui se démarque, à part la Chine, très représentée historiquement », confiait depuis Las Vegas David Monteau, le directeur de la mission French Tech, rattachée à Bercy.

Il est vrai que la France a emmené sur place la première délégation européenne (la cinquième au niveau mondial) avec 120 entreprises, loin devant l'Allemagne (39) et le Royaume-Uni (33), allant des grands groupes tels que Dassault Systèmes, L'Oréal, La Poste ou Valéo, aux start-up, 66 contre 38 l'an dernier. Soit une sur trois dans l'espace dédié du salon Eureka Park ! Seuls les États-Unis en ont présenté davantage (152), même Israël, la « start-up nation » autoproclamée, n'en a que 13. Gary Shapiro, le président de la Consumer Electronics Association (CEA) qui organise le CES, a parlé en plaisantant d'« invasion » en accueillant la délégation française ! Il a invité le ministre de l'Économie, de l'Industrie et du Numérique, Emmanuel Macron, à couper le ruban d'inauguration du salon, mardi 6 janvier. Le ministre a visité les principaux stands des Français, notamment le grand espace du spécialiste des drones Parrot.

Accompagné d'Axelle Lemaire, la secrétaire d'État au Numérique, le ministre a rencontré des « VC », des investisseurs en capital-risque américains afin de montrer « le visage entreprenant de la France », d'expliquer les atouts de ses start-up et de démonter certaines idées reçues sur le pays, sa fiscalité, son droit du travail, etc.

La mission French Tech avait prévu des brochures en anglais montrant, chiffres à l'appui, que « France is innovante » mais aussi « startup-friendly ». Car l'accès aux capitaux demeure le point faible de l'écosystème français. Trente start-up ont ainsi « pitché » lundi devant des investisseurs lors d'un déjeuner spécial French Tech. Ce soutien gouvernemental et le buzz sur l'inventivité made in France sont appréciés des start-up, qui échangent de bons conseils entre compatriotes : « On sent un esprit de groupe, d'équipe, de collectif, qui s'incarne aussi dans l'hébergement de start-up sur le stand de PME comme Avenir Telecom », se félicite David Monteau.

Venir au CES permet à toutes ces jeunes entreprises innovantes de profiter de cette formidable vitrine internationale, avec ses 150.000 participants venus de 140 pays. Ce n'est malgré tout pas si facile au milieu de 3.600 exposants, dont les géants de l'électronique Samsung, LG et Sony, et des constructeurs auto comme Ford et Mercedes, dans un gigantesque barnum qui s'étend sur 185.000 m2 entre le centre de convention de la ville et les grands hôtels du Strip, le boulevard des casinos, aux décors et moquettes kitschissimes, en contraste total avec l'univers high-tech et design !

Si elles dépensent plusieurs milliers d'euros - de 2.000 euros le stand de 9 m2 sur le pavillon French Tech d'Ubifrance, sans compter les billets d'avion et l'hôtel, à 50.000 euros en moyenne pour « le CES du pauvre » selon Fred Potter, le patron de Netatmo, et plusieurs centaines de milliers d'euros pour ceux qui voient les choses en grand, comme Parrot -, c'est avant tout pour accrocher l'attention sur leurs produits des grands distributeurs d'électronique, en particulier américains, des chaînes de magasins physiques comme BestBuy au mastodonte de l'e-commerce Amazon, mais aussi des journalistes et blogueurs influents internationaux, de partenaires potentiels et d'investisseurs en quête de futurs champions.

Des commandes fermes débouchent souvent de ces quatre jours de salon, voire des levées de fonds. Prudent, le directeur de la mission French Tech reconnaît qu'il est « impossible de quantifier l'effet "business" » de ce coup de projecteur appuyé, « l'effet se verra à long terme. »

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Ce thermostat aixois donne des frissons à Google

Ce thermostat aixois donne des frissons à Google | Toulouse networks | Scoop.it
Sur le CES de Las Vegas, le thermostat connecté de Ween, une start-up d'Aix-en-Provence, a reçu un Award. Cette récompense a donné un coup d'accélérateur à cet appareil qui promet de faire réaliser des économies.

En France, Ween n’est pas encore connu, mais aux États-Unis, c’est déjà une star. Avec son thermostat connecté, cette start-up d’Aix-en-Provence créée par Jean-Laurent Shaub et Nathanaël Munier, deux ingénieurs Arts et Métiers, a obtenu ce mois-ci un Award des objets connectés. Cette récompense fait d’elle un sérieux concurrent à Nest, le californien également spécialisé dans les objets connectés pour la maison qui a été racheté en 2014 par Google pour 3,2 milliards de dollars.

Pour Jean-Laurent Shaub, ce succès est une surprise. Il a déposé un dossier de candidature à ce concours "à l’arrache" et sans vraiment y croire. "C’est Éric Burkel, notre directeur financier qui est américain, qui a insisté pour qu’on le fasse. Mais franchement, avec 4.000 dossiers de candidatures issus du monde entier, on n’y croyait pas au point d’oublier de suivre l’annonce des résultats. On a appris notre victoire en pleine nuit par un SMS."

Le jury de ce concours n’a pas été le seul à être séduit par cet objet qui ne vole pas son titre d’objet intelligent. "Après avoir levé 40.000 euros en crowdfunding sur KissKissBankBank avant le CES, ce prix nous a donné des ailes avec une levée de fonds de 2 millions de dollars. À peine croyable !" s’étonne encore le cofondateur de la start-up.

 

Macron, la Fnac, Google et Samsung très intéressés

Et lors du CES, le petit stand de 3 mètres carrés de l’Eureka Park a été le rendez-vous du gotha mondial des technologies qui est venu voir ce Français qui affronte Nest. "La magie du CES est de créer des rencontres riches, nombreuses et inattendues. On a vu passer Emmanuel Macron, les dirigeants de la FNAC et des responsables de Samsung et Google qui se sont vraiment intéressés à notre projet." Et Nest ? "Ils sont peut-être venus, mais incognito".

Pour 2016, la route de la start-up est bien éclairée. Trois grands distributeurs ont déjà signé des commandes, mais Jean-Laurent Shaub ne veut pas encore entrer dans les détails de ces accords. Il signale seulement que le produit, qui est en précommande sur le site de Ween, sera disponible dans les magasins en septembre prochain et est déjà compatible avec 95% des chaudières, qu’elles soient au gaz, au fuel ou électrique.

De retour de Californie, l’équipe se sent plus que jamais prête à affronter le géant californien. "Nous ne proposons pas vraiment la même chose. Le thermostat Nest réclame beaucoup d’interventions manuelles, ce qui décourage la plupart de ses possesseurs. Le nôtre communique avec les smartphones de la maison et sait ce qu’il a à faire. Nous nous inscrivons parfaitement dans la tendance mondiale de la maison connectée."

 


Faire baisser la consommation d'énergie

Et en plus d’être connecté, il permet surtout de réaliser des économies d’énergie et donc d’argent. "L’Ademe a réalisé une étude qui indique qu’un thermostat connecté peut réduire la consommation d’un habitat moyen de 25% et faire économiser environ 400 euros par ans. Le nôtre atteint presque les 30% d’économie." Vendu 349 euros, un système Ween peut ainsi être amorti en à peine plus d’un an.

Et lorsqu’on demande à Jean-Laurent Shaub pourquoi avoir choisi Ween, sa réponse est simple: "Parce que Free était déjà pris", lance-t-il avant d’expliquer que c’est aussi la contraction de victoire (Win, gagner en anglais) et d’écologie (Green, vert en anglais).

La victoire face à Nest n’est pas acquise, mais elle est possible. D’autant que depuis quelques heures, un bug des thermostats Nest a refroidi le domicile de nombreux utilisateurs. Et avant même que Ween n’entre en jeu.


 


Pascal SAMAMA

journaliste

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Le salon de l'électronique de Las Vegas commence mardi, quelles entreprises vont représenter Toulouse?

Le salon de l'électronique de Las Vegas commence mardi, quelles entreprises vont représenter Toulouse? | Toulouse networks | Scoop.it


Le Consumer Electronics Show de Las Vegas débute demain, mardi 6 janvier


 

Le Consumer Electronics Show de Las Vegas débute demain, mardi 6 janvier, dans le Nevada. La France a décidé de frapper un grand coup : elle présente 120 entreprises (dont 66 start-up) sur ce rendez-vous incontournable pour les acteurs de l’électronique grand public. En Midi-Pyrénées, MyFox est la seule start-up accompagnée par la French Tech sur le salon, mais les entreprises Sigfox et le Kubb sont aussi du voyage.

Le CES de Las Vegas est un salon grand public, destiné à l’électronique et aux objets connectés. Plus de 3 000 exposants vont présenter leurs innovations du 6 au 9 janvier, lors de ce rendez-vous annuel devenu incontournable dans le monde de la haute technologie. Ouvert à tous, c’est le lieu des innovations qui feront le business de demain (montres connectées, habits connectés, etc.).  Cette année, la France, avec le dispositif French Tech, ne compte pas passer inaperçue. Plus de 120 entreprises françaises dans les secteurs de la santé, des objets connectés, ou encore des technologies de l’image seront présentes. Parmi elles, plusieurs grands groupes (La Poste, L’Oreal, Pernod Ricard…) et 66 start-up. La French Tech sera ainsi la première délégation européenne devant le Royaume-Uni et l’Allemagne, soit la 5e au niveau mondial. "C’est une grosse opération, qui montre que la French Tech signifie déjà quelque chose" se réjouit Philippe Coste, directeur délégué French Tech Toulouse.

 

MyFox, accompagnée par French Tech
La French Tech consacre une enveloppe de 15 millions d’euros aux "opération d’attractivité internationale". Ainsi, la société toulousaine MyFox ("solutions connectées pour la sécurité et le confort de la maison") a bénéficié du dispositif et présentera sur l’Espace Smart Home sa nouvelle caméra connectée : Myfox Security Camera.
Il n’y a donc qu’une seule entreprise Midi-Pyrénéenne accompagnée par French Tech. "On fera mieux l’année prochaine" promet Philippe Coste, qui refuse de s’inquiéter. "MyFox est un magnifique ambassadeur, c’est une belle entreprise". La société toulousaine a en effet été primée fin 2014 par Deloitte Fast500 pour la plus forte progression européenne dans le secteur "hardware" et a été lauréate du Concours Mondial de l'Innovation décerné en mars 2014.
"Il faut relativiser l’impact de ce salon" tempère néanmoins le directeur délégué French Tech Toulouse. Le CES est un salon qui fait la une des journaux parce qu’il met à l’honneur les objets connectés, et des technologies à la mode. Mais les start-up ne se réduisent pas à cela."

 

Sigfox et Le Kubb y vont aussi
C’est sans l’aide de personne que Sigfox (basée à Labège) assure sa présence à Las Vegas. Demain après-midi le PDG Ludovic Le Moan et la présidente Anne Lauvergeon s’envoleront pour les USA et y resteront jusqu’à la fin du salon le 9 janvier. "Nous n’avons pas de stand. Nous ferons des démonstrations sur le stand de la société WyPlay, qui utilise notre technologie pour transmettre les informations des décodeurs TV" explique Thomas Nicholls, responsable marketing de l’entreprise. Objectif pour la société : faire du réseau. "Nous souhaitons trouver d’éventuels partenaires pour déployer notre technologie aux USA, trouver des sociétés qui produisent des objets connectés, et trouver des sociétés qui commercialisent des solutions pour les objets connectés". Sigfox, qui s’attaque au marché américain, participe pour la première fois à ce salon.
Première fois également pour Kubb. La société toulousaine, inventrice d’un petit ordinateur économe en énergies, a planifié plusieurs rendez-vous "avec des clients potentiels à l’international" et va également "regarder, entre autres, les solutions de financement international" affirme Jean-Christophe Agobert, fondateur, qui est déjà sur place. Il précise que French Tech a quand même permis d'obtenir 'une réduction de prix sur le stand".

Emmanuel Macron, ministre de l’Économie et Axelle Lemaire, secrétaire d’État chargée du numérique, font également le déplacement à Las Vegas à partir de ce lundi, et jusqu'à jeudi, accompagnés par Pierre Gattaz, président du Medef.

Sophie Arutunian
©photo lasvegaslover

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